Avis du vol entre Genova et Paris en classe Economique avec Air France Hop

Et voici la fin de ce routing d'une grande banalité, le retour en France, ma semaine italienne se termine.
je vous rappelle que je suis parti pour une série de 8 vols en MC, devenus 9 en route,surtout italiens en éco.
Paris - Gènes, CDG -GOA, Hop! Pour AF en CRJ. c'est là http://flight-report.com/fr/report-6697.html
Gènes - Rome, GOA - FCO, Alitalia, Airbus 319. C'est là.http://flight-report.com/fr/report-6702.html
Rome - Palermo, FCO - PMO, Alitalia, Airbus 320, c'est là. http://flight-report.com/fr/report-6737.html
Palermo - Trapani, PMO - TPI, Etihad Régional par Darwin, c'est là http://flight-report.com/fr/report-6739.html
Palermo -Pantelleria, PMO -PNA, ATR 72, c'est là, http://flight-report.com/fr/report-6742.html
Pantelleria -Palermo, PNA -PMO, ATR 72, c'est là, http://flight-report.com/fr/report-6745.html
Palermo - Rome, PMO - FCO, A320 c'est là,http://flight-report.com/fr/report-6751.html
Rome - Gènes, FCO -GOA, c'est là, http://flight-report.com/fr/report-6758.html
Gènes - Paris, GOA - CDG, on y est.
Un petit bonus touristique sur Gènes pour commencer. Une ville incroyable, à tous les coins de rue on voit que c'est une ancienne capitale.
Même mon hôtel se la joue palace, il s'appelle Bristol Palace, la photo de l'escalier.

Le lieu majeur de la ville, c'est le Palazzo Ducale, où les Doges Génois dirigeaient la ville, depuis le premier Simon Boccanegra.
La grande salle où se tenaient les grandes conférences de Storia in Piazza, impressionnant de parler dans ce lieu.

Les grandes familles ont construit leur hôtel sur une même rue, la via Garibaldi, aujourd'hui au patrimoine Unesco.
Des hôtels étonnants avec pour certains des trompe l'oeil extraordinaires.

Des bâtiments du XIXe et du XXe siècles.

Une église parmi des centaines.

Et maintenant place au FR.
Départ de l'hôtel pas trop tôt, je pense être peinard, il est 10 h 30, ça doit rouler et a priori ça devrait aller vite sur place, comme ce fut le cas huit jours plus tôt.
Pour le premier point j'avais raison, à peine un quart d'heure en taxi. Par contre ça se complique dès l'arrivée à l'aéroport, impossible d'accéder aux départs en voiture, c'est bloqué par plusieurs bus et des voitures. Le taxi est obligé de me poser aux arrivées.
Je monte donc à l'étage et la c'est la folie, noir de monde devant tous les comptoirs, en particulier Ryanair, TK et AF. Et en plus avec des passagers du genre à avoir 5 valises de 40 kg chacune.

Évidemment il y a un seul comptoir ouvert, donc ça n'avance pas. AF se décide enfin à en ouvrir un second pour les Sky Priority, ce n'est donc pas pour moi. Mais heureusement il n'y a pas de passagers SP, donc ça avance un peu plus vite et après une demi-heure de queue, je peux déposer ma valise, puisque je m'étais enregistré la veille.

Et maintenant cap sur le PIF, et là c'est pire. Deux files seulement d'ouvertes sur les trois existantes, et la file d'attente fait le tour de l'aérogare. De nouveau plus d'une demi-heure d'attente. En tout plus d'une heure pour arriver airside. Je suis en porte à 12 h 30 pour un embarquement annoncé à 12 h 40.

Heureusement qu'il y a le wifi gratuit ça permet de faire passer le temps. Ça permet aussi la photo corporate et celle des documents de voyage.

Visiblement ce matin, les bridges sont peu utilisés, même ce Ryanair ne s'en sert pas.

Pour nous c'est Paxbus. On rejoint donc notre oiseau du jour, F-HBXD et l'embarquement se passe plutôt rapidement et sans difficulté.

Notre oiseau.

La passerelle recule, on roule avec moins de 5 minutes de retard.

Remontée du taxiway puis de la piste, demi-tour dans la raquette et c'est parti pour un vol annoncé d'une heure 10.
J'avoue être toujours surpris du relatif confort de ces avions, certes, ce n'est pas la J de CX, mais le pitch est plus qu'honnête pour un vol d'une heure. J'en profite aussi pour faire les photos des documents de la pochette. Ce qui intrigue mon voisin, bonne occasion pour lui expliquer FR, mais j'ai bien compris, qu'il me prend pour malade.

L'équipage libéré, c'est désormais la traditionnelle collation haut de gamme, sucré-salé.

Différence avec Alitalia, on n'a pas droit à la lingette Oshibori. En revanche, équipage très souriant et aimable. L'interaction est courte, mais c'est toujours mieux.
Pendant ce temps superbe vue sur les Alpes.

Puis on approche de Paris. C'est le printemps les champs,de colza en fleur se multiplient.

Arrivée à l'heure, 5 minutes d'avance même et on rejoint rapidement le T2G.

La passerelle vient à pied, c'est vraiment un terminal hyper moderne.

On descend sur le tarmac

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Ensuite longue succession de couloirs pour arriver au tapis de livraison. Il est 13 h 55, les bagages sont annoncés à 14 h 23.
Il ne faut vraiment pas prévoir des connexions courtes quand on passe par ce terminal.

Finalement, ma valise arrive en troisième position à 14 h 15, je peux donc filer vers la navette qui me ramènera au 2 F puis rejoindre la gare SNCF. TGV à l'heure et à la maison à 18 h 30.

Spécial dédicace au Cobra, ma modeste récolte italienne pour cette fois, le Passito était déjà en cave. :-)

À bientôt pour un nouveau routing que j'espère plus sexy et qui sera de toutes les façons plus exotique.