Avis du vol entre Paris et Montpellier en classe Economique avec Air France

Hello :)
Voici la dernière partie de ce routing retour d'un séjour à Lisbonne.

le routing

le report

Je vous avais laissé à mon arrivée à CDG en provenance de LIS.

Vu que j'ai bien entendu 3h à attendre, direction le salon.

Nous y voici !

Accueil souriant comme d'habitude.
Il n'y a pas trop de monde, il faut dire qu'on est dimanche aussi.

Il y a tout ce qu'il faut pour petit-déjeuner :

Je ne traine pas au rez de chaussée pour ma part et rejoins le niveau supérieur.
Sur le buffet de l’étage, quel bonheur de découvrir un plateau rempli de madeleines ! C’est le seul que j'ai trouvé, il n’y en avait pas en bas alors on peut dire que j’ai vraiment eu de la chance de tomber sur cette denrée rare que je n’avais pas revue depuis des mois.
Regardez moi comme elles sont belles ! Miam !

Direction les naprooom pour moi !

Il y a une naproom (la première à gauche) qui est indiquée comme étant réservée pour le staff. Curieux, ce n’était pas le cas avant.

Je prendrai le temps de taper le FR de ce vol au calme et de fignoler mes carnets de voyage. Cette fois j’aurai une naproom tout au fond à droite, c’est assez marrant car c’est la seule qui est en pleine lumière, avec une vue sur "l'extérieur". Si vous voulez vous reposer je ne vous conseille pas cet endroit, qui est très lumineux.

Sur les coups de 11H30 il est l'heure de sortir de ma tanière.

Clarins est toujours là pour les adeptes :

Il n'y a franchement pas beaucoup plus de monde que 2h plus tôt.

Je décide de rejoindre le rez de chaussée pour faire un petit tour au buffet avant de quitter les lieux.

Cette vitrine me fait toujours de l’œil en sortant !

Mon vol est annoncé en porte F52, c’est donc vers ce côté-là du terminal que je me dirige.

Prévu à l'heure, c'est bon signe !

Le terminal est moins animé que le soir, même s’il y a tout de même du monde.

Spotting d'un TAROM, qui détonne au milieu de tout ses copains tricolores.

Il est 11H45 quand l’affichage se met en place en porte. L’embarquement est prévu à midi, dans peu de temps donc.

Tout le monde est sage.

Je suis la première à me placer dans la file de la zone 1-2.

Comme promis, c’est à midi qu’on nous fait signe d’avancer après un rapide contrôle d’identité en porte.
Au moment où je me dirige vers la passerelle j’entends un grand « STOP ATTENDEZ », hurlé par un homme, visiblement en colère que l’embarquement ait débuté.

Il s’agit de la personne en charge d’embarquer une PMR à bord, qui ne l’a pas encore fait et qui demande à stopper l’embarquement. L’hôtesse au sol essaye de lui expliquer qu’elle ne peut plus stopper l’embarquement maintenant, elle nous demande alors d’avancer jusqu’à la balise et d’attendre là-bas, ce que nous faisons tous, en bons élèves.

L’homme énervé passe finalement quelques minutes plus tard avec le fauteuil roulant, suivi par une hôtesse qui embarque des UM.

Notre A321 du jour, F-GTAQ, est déjà là, il est arrivé de Lyon tout à l’heure.

On nous fait à présent signe de poursuivre jusqu’à la porte de l’avion.
Fuselage shot alors que nous faisons le plein :

L’accueil à bord est classique, ni plus ni moins.
Petit tour de la cabine "planche à pain":

Je prends place en 5F dans ce vol qui s’annonce complet si j’en crois le plan de cabine. Il est de ce fait dès maintenant demandé de ranger les plus petits bagages à nos pieds.

Notre voisin du jour :

Je me retrouve rapidement avec des voisins, deux humains et … un chien (un petit york qui restera dans sa cage, aux pieds de sa maitresse).

Le vol sera effectivement plein, et les derniers passagers auront bien du mal à caser leurs bagages.
Il n’y a que deux rangs de Business sur ce vol.
A 12H20 le boarding est terminé, nous sommes prêts à partir.

Le commandant de bord se présente et nous indique que nous allons partir d’ici 10 minutes, le temps de charger encore quelques bagages.
Le temps de vol sera de 1H10 jusqu’à Montpellier où la météo n’est pas au beau fixe avec de la pluie, du vent est des orages. J’étais déjà au courant, un épisode méditerranéen est en cours depuis hier, je vais une fois de plus arriver en plein cœur de la tempête…

La porte sera fermée à 12H30 et le pushback sera immédiat juste après.

Spotting CDG :

Jolie prise !

Les consignes de sécurité sont dispensées par l’équipage qui en profite pour prévenir qu’il y a des UM à bord et demande ainsi au pax voyageant à proximité, de les contacter en cas de soucis.
Nous avons une courte attente avant d’accéder à la piste, devant nous, des appareils AirFrance et Hop se succèdent.

Vers l'infini et l’au-delà :

Il est 12H47 lorsque nous prenons notre envol. Au revoir Paris, je reviens dans 13 jours !

On reconnait bien les architectures de CDG sur ces prises :

La région parisienne s’éloigne.

Le rideau est rapidement tiré entre les deux classes et le service débute peu après.
Je ne désire pas de boisson, mais je choisirai juste le snack. Ça sera l’option sucrée pour moi, et on me donnera deux madeleines, c’est qu’on est généreux ici !

Le vol se passe tout à fait normalement mais par le hublot la visibilité est limitée.

Le WiFi ne semble pas fonctionner malheureusement.

Le début descente sera annoncée peu avant 13H30 mais soudainement de fortes turbulences se feront sentir.
Durant une dizaine de minutes nous subirons plusieurs secousses. Le commandant de bord ordonnera aux PNC de s’attacher car nous traversons des turbulences fortes.
Cela fait plusieurs fois que je subi la même chose lors de la descente sur MPL, c’est pénible. Bientôt il va falloir une qualification spéciale pour pouvoir atterrir ici !

A 13H47, on nous annonce un atterrissage imminent même si dehors tout est blanc et la visibilité est nulle.

Le survol de Montpellier se fera entre plusieurs gros nuages avant que l’aéroport apparaisse enfin.

Il est 13H50 lorsque nous nous posons enfin sur le tarmac de l’aéroport de Montpellier.

Nous venons nous stationner immédiatement au contact. Nous devrons attendre encore 5 petites minutes de plus avant d’être libérés de notre oiseau du jour.

Welcome Home !

Traversée rapide du carrousel bagages où je n’ai rien à récupérer. En me dépêchant je me dis que j’ai peut-être une chance d’avoir encore la navette de 14H si j’arrive à sortir rapidement.

On se dépêche, on se dépêche…

A mon arrivée à l’arrêt, il est 14H02 et pas de navette à l’horizon. On peut dire que je la rate à peu de chose, ou alors qu’elle est passée en avance.

Il est 14H30 quand le bus suivant pointe enfin son nez, toujours sous une pluie battante. Après un arrêt à la gare Sud de France, me voici rapidement à Place de l’Europe. Une courte marche humide me sépare de mon domicile.
Il faudrait revoir le comité d'accueil parce que je dois dire que ça ne me convient pas trop (et les montagnes russes de l’atterrissage non plus)

Fin de ce routing, merci de m'avoir lu ! :)