Bonjour à tous et bienvenue à bord de ce report pour la première escapade à vocation av-geek de l'année 2024 !
introduction
Nous sommes la première semaine de Janvier quand je trouve mon programme de vols bookés entièrement vide. En effet des voyages sont prévus à des horizons plus ou moins lointain mais rien de concrétisé pour le moment. Pour remédier à cela quoi de mieux qu'une petite escapade av-geek j'avais quelques idées en tête au nord du Royaume-Uni mais j'avais du mal à trouver une combinaison fiable et pratique dans le créneau imparti.
En effet ma compagne partait elle une semaine en Argentine pour le travail la 3ème semaine de Janvier #jalousie alors autant prévoir cette escapade sur les mêmes dates.
Bref je jetterais mon dévolu sur le Boeing 757-200 de la compagnie loisir britannique Jet2.com qui effectuaient ses derniers vols au service de la compagnie lors de cette saison hiver principalement sur des destinations ski (Genève, Grenoble) depuis leur base de Manchester mais pas uniquement avec tous les samedi un vol vers Alicante sur la Costa Brava. Et le samedi en question le tarif était plutôt bon 75£.
Pour rejoindre Alicante rien de plus simple Ryanair propose des vols directs le vendredi après-midi pour en peine plus de 20€. Le retour se fera lui aussi étonnamment en direct avec TUI en effet le dimanche matin lors de la saison hiver la compagnie aérienne du voyagiste britannique effectue plusieurs rotations depuis différentes grandes villes du Royaume-Uni à destination des stations de ski Pyrénéennes (Londres, Birmingham mais aussi Manchester) je prendrais donc ce vol pas l'option le plus économique (90£) mais de loin la plus rapide et pratique !
Ce qui nous donne le routing suivant:
Enchainement de vols
- 1FR1059 - Economique - Toulouse => Alicante - Boeing 737-800
- 2LS880 - Economique - Alicante => Manchester - Boeing 757-200
- 3BY2272 - Economique - Manchester => Toulouse - Boeing 737-800
La ligne entre Toulouse et Alicante initialement ouverte par Volotea peu de temps après l'ouverture de sa base en 2017 avec quelques vols principalement lors de la saison hivernale. Elle sera concurrencée en 2018/2019 avec l'apparition de Ryanair sur cette liaison qui éjectera la low-cost Espagnole. Ryanair est donc seul sur la ligne depuis avant la période covid et maintient été comme hiver entre 2 et 3 vols par semaine opérés par des appareils basés à Alicante.
Sans surprise cette ligne est une exclusivité sur notre site, il faut dire que l'aéroport d'Alicante est pour le moins boudé par les flight-reporters. On ne compte que 5 reports à l'arrivée sur ALC alors qu'il s'agit d'un des aéroports les plus fréquentés d'Europe avec pratiquement 16 millions de passagers soit plus que Helsinki, Nice ou encore Porto…
Départ un vendredi apres-midi de toulouse
Travaillant proche de l'aéroport je n'avais pris que ma demi-journée de RTT pour ce routing de 3 jours et à l'heure ou mes collègues partaient manger je rejoignais de mon côté l'aéroport à pied après une grosse dizaine de minutes de marche. Le temps et bâché en cet mi-journée du mois de janvier mais il ne pleut pas et il ne fait pas trop froid


Je rejoindrais rapidement le niveau des départs, il y a du monde dans les commerces groundside.

Mais peu de monde aux comptoirs d'enregistrements bagages que cela soit chez Star Alliance au hall C ou chez AF-KLM au hall D, il faut dire qu'avec les surtaxes que mettent les compagnies sur les bagages en soute il n'est pas autant de voir la majorité des passagers voyager léger.


Puis je prends la direction des contrôles de sûreté, une étape que je passerais en environ 10 minutes avec des agents polis.

Le FIDS du jour ou le bleu de Ryanair prends de plus en plus de place.

Puis je suis l'habituel circuit avec traversée du duty-free obligatoire.


Mais aussi de la zone commerciale avec pas mal de passagers dans les magasins ce midi.

On débouche dans le hall C où l'on trouve la plupart des restaurants de l'aérogare et ils font le plein à cette heure du déjeuner.


Passage devant la boutique du Stade Toulousain qui aura réalisé une saison monstre en gagnant la coupe d'Europe et le championnat lors de cette saison 2023-2024

Il y a un peu de monde dans la zone, je rejoindrais le hall B, de plus il y a de grandes chances que mon vol porte de Hall A j'aurais du coup déjà fait la moitié du chemin. Comme je l'ais déjà dit dans d'autres récits cette zone de l'aéroport est vraiment délaissée aujourd'hui en effet longtemps place forte d'AF pour ses vols régionaux ou ces navettes. Cette zone accueil désormais quelques vols vers Lyon, Paris Orly et de rares KLM pour Amsterdam ou encore TAP pour Lisbonne… un signe du déclin d'AF sur la plateforme Toulousaine. D'ailleurs la boutique Relay présente dans la zone a déménagée au hall A et le petit bar semble aujourd'hui vivoter.


Seul avantage de la zone on y trouve toujours des sièges libres, elle est bien plus calme et offre même de belle possibilités de spotting comme cet ATR72-600 d'Air Corsica qui arrive depuis Ajaccio.


On dispose aussi d'une belle vue sur les usines Airbus avec des appareils en cours de fabrication pour Cebu (A330neo-900) Virgin Atlantic et Air France (A350)

Mais encore British Airways ainsi que Sichuan pour les A350 et Easyjet pour cet A320neo (bien que dans ce cas précis ce soit plutôt un No Engine Option)

En parlant d'appareil sans moteur, on peut voir le prototype de l'A380 MSN1 lui aussi sans ses 4 propulseurs.

En parlant des usines d'Airbus on peut aussi voir en ce jour de semaine pas mal de mouvements des appareils de transports Beluga comme cet exemplaire de dernière génération en provenance de l'usine d'Hambourg Filkenwerder.

Il n'y a heureusement pas que Airbus à Toulouse et on peut voir quelques mouvements commerciaux comme cet Airbus A319 de Volotea en provenance de Strasbourg.


Ou ce Crj-1000 tout blanc qui arrive lui depuis Madrid.

Puis c'est au tour de notre Boeing du jour de faire son entrée en provenance d'Alicante et avec un bon quart d'heure d'avance. Malheureusement le vol initialement prévu en B737max-200 sera effectué pour un bon vieux B737-NG.

Il est temps pour moi de me diriger vers le hall A.

Non sans avoir pris en photo notre appareil du jour qui approche de la gate. Il s'agit d'EI-DPZ un Boeing 737-800 qui avec ses 16 ans au compteur est parmi les plus vieux de la flotte Ryanair.



Lorsque j'arrive en porte l'embarquement vient à peine de débuter bien que l'heure de fermeture de la porte soit dans moins de 5 minutes.

Quelques photos de cette jetée du hall A qui propose 9 portes en faux contact idéal pour les compagnies low-cost. Il faut dire que tout a été pensé pour elle avec des zones de parcage et des flux dédiés pour les départs/arrivés


Notre embarquement est en cours et les 2 agentes en porte seront moyennement aimable car et pressés.

Le BP via l'application Ryanair, la technique Ryrthebest a fonctionnée !

Après quelques minutes d'attentes les fauves sont lâchés en direction de l'appareil, comme très souvent chez FR l'embarquement en faux contact qui permet de faire quelques clichés de notre avion du jour.


Pas de montée par l'escalier intégré. Vu mon emplacement en cabine ce sera l'escalier mobile à la porte arrière à l'ombre de la dérive.


Il y a de l'attente pour pouvoir monter à bord, je peux donc prendre quelques clichés des appareils autour de nous comme cet Erj-190 de HOP qui rejoindra Lyon dans la soirée.

Ou cet Airbus A319 d'Easyjet qui est au roulage pour un vol vers Lyon, d'ailleurs je trouverais ça un poil dangereux en effet l'appareil passera au moteur à une quinzaine de mètres de nous à ce point de parking #9 on se retrouve lorsqu'il fait son virage sur le taxiway à une trentaine de mètres derrière les réacteurs heureusement les pilotes d'Easy feront bien attention de ne pas mettre un coup de gaz qui aurait pu à minima nous décoiffer.

Montée des marches mais sans tapis rouge.

Je serais accueilli par une unique hôtesse espagnole en porte qui avait l'air bien fatiguée et n'avait pas vraiment le sourire elle répondra toutefois poliment à mon holà de circonstances.

Je rejoindrais mon siège au rang 28, bien que l'appareil soit plutôt ancien, voir très ancien si l'on compare à l'âge de la flotte Ryanair, ce dernier a été rétrofité avec les sièges Z110 de chez Zodiac que l'on retrouve chez les appareils de Ryanair les plus récents.

Le pitch n'est pas terrible mais largement suffisant pour la grosse heure de vol qui nous attends.

De quoi donner un coup de jeune à la cabine qui fait elle un peu vieillotte

Surtout au niveau des plafonniers (comment Boeing à pu garder ce design aussi longtemps)

Le plan de cabine selon Aerolopa.

Nous attendrons qu'une classe de collégiens s'installe (dans un état d'excitation général) pour que l'embarquement soit considéré comme terminé. La vue par le hublot est parfaite et le hublot est même propre !
Petite scène un peu surréaliste quand au roulage un passager se lève remonte le couloir pour aller chercher une bouteille d'eau auprès de son amis situé à l'avant de la cabine … l'équipage sans doute blasé se contentera de faire plusieurs annonce en anglais avant que le passager daigne tranquillement regagner son siège. J'aurais espéré un peu plus de fermeté de la part de l'équipage cabine… mais bon je pense que malheureusement se genre de scène fait parti de leur quotidien…

Lors de notre repoussage, on aperçoit ce Beechcraft 1900D de la petite compagnie TwinJet qui s'envolera sans doute en direction de Metz-Nancy ou Marseille.

Nous remonterons la piste pour un départ en piste 14. Observant le départ de ce superbe A350-1000 de British Airways en partance pour l'un de ses premiers vol d'essai il sera livré quelques semaines plus tard complétant ainsi la commande initiale de British Airways pour 18 exemplaires placé en 2013.

Nous attendrons quelques instants le temps que ce C130-J de l'Armée de l'Air et de l'Espace décolle. On notera la décoration spéciale sur la dérive célébrant les 10.000 heures effectuées par l'escadron de transport franco-allemand "Rhein/Rhin" basé à Evreux.


L'appareil militaire ayant dégagé la piste c'est à notre tour de nous aligner pour un départ en piste 14L.

Nos pilotes poussent nos 2 moteurs CFM56 à leur puissance de décollage et notre Boeing s'arrache facilement du tarmac Toulousain alors qu'on aperçoit au loin les Boeings qui occupent habituellement la zone de fret.

Nous n'avons pas encore dépassé les limites de la zone aéroportuaire (on aperçoit la zone héliport) et des bureaux du campus d'Airbus que nous commençons à plonger dans les nuages qui recouvrent l'agglomération Toulousaine ce vendredi après-midi.

La couche de nuages et plutôt fine et nous rejoignons rapidement le ciel bleu

En cabine la classe de lycéen est toujours à fond, il faut dire que pour certain d'entre eux il s'agit, si j'ai bien compris, de leur premier vol.

Nous prenons rapidement de l'altitude dans le ciel Occitan alors que les nuages se déchirent sous nos ailes.

Très rapidement le relief s'élève à l'approche des Pyrénées faiblement enneigés en cet mi-janvier. il faut reconnaitre que le survol de la chaine Pyrénéenne est toujours un très beau spectacle depuis un hublot.


Malheureusement toujours bien trop court, les reliefs commencent à s'adoucir après la Serra del Montsec situé à la frontière entre Catalogne et Aragon.

Coté divertissement pas d'écran tactile, Ryanair à prévu un IFE ne diffusant que les consignes de sécurité ^^.

Le winglet du jour est logoté

Puis notre vol se rapproche des cotes au Sud de la Catalogne au nveau de Castellón de la Plana, un petit coup de zoom et l'on aperçoit les installations portuaires. On voit aussi bien dans la ville voisine le stade jaune "Estadio de la Cerámica" qui accueil l'équipe de football de Villarreal évoluant en première division Espagnole. On ne voit toutefois pas l'aéroport de Castellón par lequel j'étais passé il y a moins d'un an il est en effet situé à plus de 30 kilomètres au nord de l'agglomération


Peu de temps après c'est Valencia qui apparait sous nos ailes on la reconnait facilement du ciel avec la coulée verte (ancien lit de la rivière Turia) qui sépare la ville en deux … Tandis que la rivière suit elle un canal au Sud de la ville construit dans les années 60.

Bien que suivant une route pratiquement plein Sud nous nous éloignons des rives de la méditerranée, il faut dire qu'à cet endroit le cap de la Nau s'étends comme une jetée dans la mer des Baléares.


Pendant ce temps, en cabine le service bat son plein entre le Bob, la vente à bord et les tickets de loterie rien n'est oublié par notre équipage mais le tout recevra un accueil pour le moins mitigé des passagers. Une fois ces gesticulations terminés un passage de ramassages des déchets et il est déjà temps de préparer la cabine en vue de l'atterrissage. Il n'y a pas à dire sur les vols cours les PNC Ryanair ne chôment pas !

La route du jour quasiment plein Sud avec une altitude de croisière respectable de 35.000ft

Notre descente commence au dessus de la Serra de Mariola puis de la Sierra del Maigmo des paysages très vallonnés, aride et très photogénique vue du ciel.


Nous survolons la ville de Elda signe que nous arrivons à l'Est de l'aéroport d'Alicante.

Nous effectuerons notre dernier virage pour rejoindre l'axe d'approche de la piste 10 au dessus de la petite ville d'Aspe.

On croise la route de l'immense autoroute AP-7 qui relie Barcelone à Gibraltar en suivant la cote méditerranéenne.

Finale au dessus de la zone industrielle d'Elche qui donnera une petite course avec l'ombre de notre Boeing 737. Sans surprise pas de vainqueur dans cette course vers la piste de l'aéroport d'Alicante.


Arrivée sous le soleil d'Alicante
Posé virile (comme souvent avec Ryanair) mais correct sur le tarmac de la piste 10.

L'imposant terminal d'Alicante Elche est visible au loin où l'on notera la présence de ce Boeing 737max-8 d'Icelandair qui assure des liaisons entre Keflavik et Alicante pour Icelandais en manque de soleil.


Le roulage en direction du terminal sera court en distance mais nous ferons un petit arrêt sur le taxiway le temps que notre point de parking se libère.

Notre place vient de se libérer, nous passons dans les 6 heures de ce Boeing 737max-8200 de Ryanair en provenance de Weeze dans le Nord-ouest de l'Allemagne.

Mais c'est aux cotés de cet Airbus A320 d'Easyjet Suisse en provenance de Genève que nous nous stationnerons.

Rapidement les opérations de débarquement commencent avec un bel instant Danette ou les accompagnants/professeurs auront du mal à tenir leurs élèves groupés. De mon coté le vol aura été plutôt plaisant avec un joli spectacle depuis le hublot.

Vue mon emplacement dans la cabine ce sera, comme lors de mon accès à bord, un passage par la porte arrière avec un adieu plutôt souriant de la part de l'équipage en porte. Ce sera avec plaisir que je parcourrais sous le chaud et brillant soleil Espagnol les quelques dizaines de mètres me séparant du terminal.



Il nous faudra grimper quelques volées de marche pour rejoindre le cœur de la zone arrivée du terminal, le cheminement est un peu étrange et il nous faut remonter l'entièreté du terminal avant de tourner à gauche et descendre d'un étage pour rejoindre la zone de livraison des bagages.

En chemin l'office de tourisme local fait sa pub, ici le château de Santa Barbara situé dans la banlieue nord d'Alicante.

Salle de livraison des bagages que voici, je ne marquerais pas l'arrêt voyageant léger pour ces 48 heures hors de la maison.


Le tableau des arrivées de cette après-midi d'hiver pas mal de vol arrivant depuis le nord de l'Europe ou de destinations Espagnoles.

J'arrive rapidement ground-side qui dispose de nombreux services et qui a, je dois le dire, tout d'un grand aéroport sans toutefois l'affluence de la haute saison.

Pour rejoindre le niveau des transports en commun il faut grimper au niveau des départs même si la signalétique est pour le moins perturbante et pas hyper clair. Cela permet de faire une petite vue du niveau des départs où l'on trouve les comptoirs d'enregistrements.

Le niveau des départs coté extérieur est sur une large mezzanine où l'on trouve le dépose minute mais aussi les arrêts de bus


Le bus C6 pour le centre ville passe toutes les 20 minutes, enfin oui mais non car le bus passera une première fois et sera rapidement complet et je serais le dernier à pouvoir monter à bord du bus suivant. Consolation, le ticket ne coute que 3€85 et le bus semble être opéré 24h sur 24 en saison. Par contre pour la vente des billets pas de machine automatique il faut payer son ticket en cash à un préposé ou directement au chauffeur du bus.


C'est ici que se termine ce report, on se retrouve rapidement pour la suite de cette série qui sera bien plus av-geek pour la suite du routing.
Merci Hugo pour ce FR !
RYR riend quand même bien des services ! Et les "voisins" de Bordeaux vont le regretter à mon avis car ce sont de plus en plus souvent les seuls à proposer des billets sous la barre des 30€...
A bord du classique RYR qui fait bien le job sans avoir en plus à se déplacer dans des aéroports loin des centre-ville.
A bientôt !
Hello Nico et merci pour ce retour en effet Ryanair est devenue la seul compagnie en france à offrir à mon sens de véritable tarifs low-costs avec wizz... pour le reste Volotea Easyjet ou Transavia ont des tarifs qui ont tendance à se confondre avec les majors...
En tout cas sur cette liaison loisir entre 2 aéroports "majeur" FR fait parfaitement le travail. Bon vols !
Ryanair a le mérite de pouvoir opérer ce genre de liaison qu'on ne verrait nulle part ailleurs. Pratique pour aller prendre le 757 de Jet2.
En plus les prix sont (parfois) doux et les options siège ou bagages ne sont pas ruineuse comme sur Wizzair ou Volotea.
Merci pour ce Fr
Hello Moritz et merci pour ton commentaire, tu as bien résumé l'intérêt du vol et de Ryanair qui est parfois de créer un marché là ou il n'y en a pas. J'approuve aussi ton analyse sur les options qui restent abordable chez FR.
Bon vols !
Merci Hugo pour le FR!
En evitant Ryanair tu aurais mis 3h de plus au bas mot avec 1 correspondance en plus à la clef pour rejoindre ta destination. C'est un peu la force du produit, d'éviter la logique de hub avec des tous petits prix.
Tiens hâte de lire la suite, on ne voit pas souvent des B757 en europe, et Jet2 est assez rare sur FR!
Hello Chris et merci pour ton retour en effet Ryanair offre un service point à point et très souvent pour un meilleur tarif que la concurrence des legacy et pour une heure de vol quand on est format poche comme moi ce n'est pas trop inconfortable.
C'est vrai on doit avoir plus de FR sur Twinjet ou Chalair que sur sur Jet2...
Bon vols !
Merci Hugo pour ce FR.
En effet Alicante n'est pas souvent reporté sur le site.
Chanceux ce groupe de jeune de partir au soleil.
un peu plus de fermeté de la part de l'équipage cabine => surement dépassé par les gens qui ne respectent plus rien.
A bientôt
Hello Valérie et merci pour ton sympathique retour, en effet moi aussi j'aurai bien aimé aller en classe verte à Alicante 😅.
Pour l'équipage je rejoins ton retour sans doute un peu dépassé par des passagers qui doivent se croire chez mémé...
Bon vols !