Bonjour à tous chers lecteurs,
On poursuit le périple avec le troisième vol du jour, mais surtout un morceau de choix, puisqu'il s'agit d'un des deux vols qui m'ont poussé à organiser cette balade dans la péninsule arabique. Le vol étant de nuit, les photos ne sont donc pas d'une grande qualité, je vous pris de m'en excuser.
Ce trajet, c'est pour moi un retour sur un vol long courrier, un vrai. Depuis un certain 21 novembre 2016 où j'avais traversé l'Atlantique à bord du 767-300 C-GEOU d'Air Canada entre Montréal et Lyon, je n'avais plus jamais voyagé sur de longues distances. C'est donc avec une certaine excitation que j'attends ce vol, mais avant tout, pour ceux qui n'auraient pas suivi le début de mes péripéties, voici ci-dessous, le pourquoi du comment je me retrouve à embarquer vers Abu Dhabi depuis Londres à bord du géant des airs.
Une étrange genèse
Je vous présente une virée dans le Golfe persique qui est le fruit de plusieurs envies et réflexions qui perturbaient mes pensées aéronautiques depuis quelques mois. Je vais essayer de vous expliquer cela.
On dit parfois d’une photo, d’une image, qu’elle peut vous marquer au point d’infléchir vos choix, votre manière de penser. Et cette photo, c’est moi qui l’ai prise. Ce n’est pas un chef d’œuvre, loin de là, c’est seulement une prise de vue d’un avion dont l’atterrissage à Heathrow est imminent. Mais ce n’était pas n’importe quel avion. C’était un A380. Par ses dimensions, par son prestige, par son confort, cet avion a toujours eu une place de choix dans mon cœur. Je n’ai qu’une fois voyagé à son bord, de Johannesburg à Paris, sous les couleurs d’Air France. Depuis cette virée africaine, ma vie personnelle a beaucoup changé, réduisant le champ des possibles de mes voyages. Puis la crise sanitaire a balayé bien des rêves, modifiant profondément l’équilibre économique du transport aérien. Pour autant, même avant les ravages du virus, l’A380 n’avait plus forcément bonne presse auprès de certaines compagnies. Le « mérou » bâtait de l’aile et le COVID lui avait pratiquement asséné le coup de grâce.
Contre toute attente, le géant du Airbus n’avait pas dit son dernier mot ! Et certaines compagnies ont fait le choix de le maintenir, ou plutôt de prolonger sa carrière, pour accompagner le retour dans les airs des passagers. Malgré cela, on peut observer une réduction de la flotte initiale, mais ce retour presque inattendu de l’A380 dans les airs ne serait durer, permettant simplement de faire le joint en attendant la livraison d’appareils plus efficients.
Pour en revenir à la photo, la voici : il s’agit du vol QR 3, Doha - Londres, sous un éclatant soleil, en février 2022. J’aime beaucoup la compagnie Qatar Airways, j’ai déjà eu l’occasion de voyager avec elle (en 2013, notamment à bord d’un A340-600), et j’avais bien apprécié le niveau de service. L’A380 qatari est lui aussi condamné à moyen terme et de prendre une photo de celui-ci m’a amené à réfléchir à monter un routing pour l’ajouter à mon tableau de chasse. Fin de l’acte premier.

Acte deux. En décembre dernier, cherchant le sommeil dans un hôtel bruxellois dont l’isolation phonique n’était pas la caractéristique principale, j’entends le passage d’un heavy. Ni une, ni deux, je consulte FlightRadar24 et je constate que c’est un A380 d’Etihad qui fendait le ciel nocturne du plat pays. Je regarde quelques photos de cet appareil. Je trouve que cette livrée lui va à merveille. Mer## ! Voilà une nouvelle envie de plus en plus marquée de reprendre le géant des airs. Ça cogite fort, je regarde comment je peux combiner des vols avec pour objectif principal de voler à bord de ces deux mastodontes aux si belles livrées. Fin de l’acte deux.
Après moultes réflexions, je trouve une fenêtre de tir où je suis à la fois dégagé de mes diverses obligations, qu’elles soient familiales ou professionnelles. J’ajoutais quelques vols en amont et en aval, ce qui donne ce routing très soutenu qui me permet d’ajouter trois nouvelles compagnies (Etihad, Oman Air et SalamAir) et trois nouveaux aéroports (AUH, MCT, BAH).
Voici donc le programme des réjouissances :
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3EY18 - Etihad - Économique - London - Abu Dhabi - A380-800
- 4EY386 - Etihad - Économique - Abu Dhabi - Muscat - A320
- 5WY655 - Oman Air - Business - Muscat - Manama -737-8 MAX
- 6OV266 - SalamAir - Économique - Manama - Muscat - A320neo
- 7QR1149 - Oman Air - Économique - Muscat - Doha - A330-300
- 8QR3 - Qatar Airways - Économique - Doha - London - A380-800
Une envie de voyage
Après un vol de Madrid à Londres dans un sentiment de stress élevé suite à un retard majeur et la peur de rater ce vol, je vais pouvoir enfin profiter pleinement de ce voyage dans la nuit.
Je vous avais laissés ici. On voit que les départs du T4 en soirée sont majoritairement orientés… vers l'Orient !

L'embarquement se prépare.

Finalement, je n'étais pas si en retard que ça. Heureusement que j'avais prévu large à LHR.

Il est malheureusement impossible de prendre en photo "mon" A380. Du côté où il aurait été photographiable, l'embarquement du vol El Al pour Tel Aviv interdit de pénétrer dans une partie du terminal.
Dès que l'embarquement est lancé, je me présente. Je veux faire partie des premiers PAX pour en profiter un max. Voilà que je deviens poète.
Je présente ma carte d'embarquement imprimée la veille et ça bipe négativement. On me demande de me mettre sur le côté. Allons bon. En fait, la préposée me demande de présenter un justificatif de visa pour ma destination finale, le Sultanat d'Oman. Je lui montre donc le document que j'ai également imprimé, elle me remet cette nouvelle carte d'embarquement et c'est bon. Je ne vois pas trop pourquoi il y a eu cette "alerte", puisque lors de l'OLCI (enregistrement en ligne), j'ai fourni le numéro du visa.
Cette histoire est quand même étrange. Si l'on se réfère au site https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/, les ressortissants français n'ont pas besoin de faire une demande de visa. Dans le doute, j'en ai fait une demande auprès du ministère des affaires étrangères omanais, cela m'a coûté 5 OMR soit 12 euros. J'ai même demandé conseil à Valérie, allias AirBretzel, qui revenait d'un récent séjour à Oman, qui n'a pas eu à faire de demande de visa préalable.
Mais alors, pourquoi Etihad m'a redemandé de me justifier ? Étrange.
Bref… J'ai ma nouvelle carte d'embarquement, cartonnée celle-ci.

Nanti de ce précieux sésame, je peux accéder à mon avion que décidément j'aurais bien mérité. La passerelle descend vers le niveau inférieur de l'appareil.

C'est la seule photo possible de mon appareil. J'espère qu'à l'arrivée, je pourrai tenter quelque chose de mieux.

Et voici le pedigree de mon bel A380 du soir, qui peine à se dévoiler. C’est le plus jeune de cette petite famille de mérou.

L'instant porte ; sa taille et le manque de recul ne permettent pas de l'avoir dans son intégralité. Quant au fuselage, il n’a pas été possible de le prendre.

L’accueil est très chaleureux et très souriant .
Je vais rejoindre mon siège 81A. Ça fait bizarre d’avoir un tel nombre, pour moi qui suis nettement plus habitué à user mes jeans sur les sièges des A320.
L’assise sera confortable et agréable. J’aime bien les coloris sobres.

L'écran d'accueil de l'IFE.

Je n’ai malheureusement pas photographié le pas, mais il était généreux pour mon mètre-quatre-vingt-quatre. Il ne m’a pas empêché de dormir plus tard.
La tablette, pliable, de taille généreuse. On peut aussi l’approcher de soi.

Le contenu de la pochette.

La carte de sécurité dont on peut presque regretter qu’elle ne soit pas aux belles couleurs de la compagnie.


Le magazine de bord. Ça fait plaisir d’en trouver un.

Les pages les plus intéressantes, pour moi mais pas que.
On peut constater qu’Etihad n’aligne plus que quatre A380 (A6-APG, H, I, J) sur les dix initiaux. Ils sont normalement exclusivement exploités entre AUH et LHR.

Le réseau EY. La carte et son graphisme sont bien plus aisés à lire que ce qu’on peut trouver sur le magazine KLM !

Vue sur le PSU.

La vue à bâbord. L’épaisseur de la cloison ne facilite pas les prises de vue extérieures.

Les passagers continuent de s'installer. Le vol sera très bien rempli ce soir en éco.

Le menu nous est distribué. C’est digne d’une business class. C’est la classe !


Une trousse est remise à chaque passager, dont voici le contenu. À noter que le masque à deux faces distinctes : une "laissez-moi dormir" et l'autre "réveillez-moi pour la soupe".

Quand on a la poisse…
Il est 20h30, heure locale, "boarding completed"
Nous repoussons à 20h44. Les affaires se présentent bien.

Les moteurs sont lancés mais je sens bien que quelque chose ne "tourne pas rond". On entend qu'un des GP7270 "pompe", c'est-à-dire que son régime n'est pas stable. Je pense que c'est ce problème qui est à l'origine de nos soucis.
Nous retournons au stand après une annonce du commandant de bord. Il est donc 21h03.
Le personnel commence donc une forme de service pour tuer le temps, avec des biscuits salés et un verre d'eau. Aïe ! Ça sent mauvais ?
Le CdB refait une annonce pour nous remercier de notre patience. C'est pas forcément de nature à rassurer quant à la suite des événements. Les autres sisters du golfe se font la malle. Après Qatar Airways et son A350-900, c'est au tour de Gulf Air de retourner à sa base. Nous, on attend…

Nouvelle prise de parole du cockpit. Cette fois-ci, c'est bon !
On repousse à 22h03 et le taxiing débute à 22h12.
Les consignes de sécurité sont lancées.

Il faut rallier le T4 au seuil de la piste 27R, ce qui implique préalablement traverser la 27R.



Nous sommes enfin alignés et les quatre GP7270 donnent toute leur puissance dans un étonnant silence. Il est 22h27, au lieu de 20h55, soit 1h32 de retard.
J'ai vraiment la scoumoune. La correspondance de demain matin semble compromise.

Bien que je sois assis à l'arrière de l'appareil, c'est le niveau sonore exceptionnellement bas qui surprend.

Nous entamons un large virage vers la gauche avant de prendre la direction du sud-est.
Le repas est servi. Le service a pris pas mal de retard, bien évidemment. La nuit sera courte.


L'entrée était bien, j'ai bien apprécié. J'ai choisi l'agneau à la mongolienne.

C'était relevé comme il le fallait. Là aussi, j'ai bien aimé. Il n'y a qu'à voir ce qu'il reste…
À noter que les couverts étaient en métal avec le motif qui caractérise bien la compagnie.

Quant au dessert, un cheese-cake, c'était plutôt pas mal. Seul le pain était moyen.
Au bout du compte, j'ai bien mangé.
Un IFE très complet
La taille de l'écran est vraiment impeccable.
J'ai trouvé qu'il est facile de naviguer dans les différentes fonctionnalités.
Il y a un large éventail de films, dont certains très récents. Des films en langue française sont également proposés avec pas mal de choix.








Pour ma part, j'ai regardé Oppenheimer. Je ne savais pas qu'il durait trois heures. La nuit sera très courte. Le casque audio était agréable.
Dernier regard sur Subotica, tout au nord de la Serbie. Je vais essayer de dormir un peu.

Une bien trop courte nuit
Je me réveille, on en est là.


Des hublots sont ouverts çà et là. Je lève doucement le mien. Mes deux voisins, un couple de sexagénaires britanniques, sont déjà réveillés.

Le service du petit-déjeuner va débuter.

La prestation servie se résume à cela. Je suis un peu déçu. J'aurais pensé que la petit déjeuner aurait été un plus conséquent, plus varié. Le chausson était quand même bien bon.

Il semble que ce soit le lac Hamrin, en Irak.

fin du vol
La descente a débuté quarante minutes avant de se poser, au dessus de brumes du Golfe persique.
On devine déjà les installations de l''aéroport international d'Abou Dabi, qui porte le nom de Zayed, du nom de l'actuel émir d'Abu Dhabi et président des Émirats arabes unis.


La manœuvre va consister à faire une large boucle pour s'aligner sur la piste 31R

Il reste pas mal de zones à construire.


On est dans l'axe.

Touché imminent.

Vue sur l'élégante tour de contrôle.


Le taxiing sera assez court.

L'ancienne livrée est encore portée par ce 777-300ER. Je trouve la nouvelle largement mieux ; c'est une des plus belles (la plus belle ?) actuellement.

Dès le signal éteint, ça se lève rapidement.

Une annonce est faite à destination des passagers continuant leur voyage vers Manille, Katmandu, Mascate, de se rendre vers le point d'information. Je pense que c'est confirmé, la correspondance n'attendra pas.
Je quitte l'appareil sous les excuses et les salutations de cet équipage chaleureux.
Et voilà la seule vue "potable" de mon si bel A380. Pas moyen de faire mieux.

Direction le point d'information pour savoir à quelle sauce je serrai mangé.


Le point d'information improvisé se trouve ici. Deux agents d'Etihad s'excusent à nouveau pour le retard et distribuent les nouvelles cartes d'embarquement, ainsi que deux vouchers : un pour le petit déjeuner, l'autre pour un repas. C'est à prendre chez des enseignes "partenaires". Il ne s'agit pas d'un lounge, loin de là, mais plutôt de chaînes de restauration rapide.
Pendant les explications, j'entendais que mon vol initial était en last call. Moi qui n'avait pas de bagages en soute, j'aurais peut-être pu le tenter, mais dans la mesure où j'avais déjà une nouvelle carte d'embarquement, je n'ai pas voulu batailler.

Mon prochain vol est à 16h45 ! Ça laisse du temps. J'aurais pu prendre l'option "fin de nuit" sur un siège sur place, puisque c'est un "silent airport" comme on peut le lire.

Je préfère rejoindre la sortie.

Je passe la PAF en deux temps, trois mouvements. J'achète deux tickets de bus urbains pour aller en ville, sans but précis.

Je n'ai pas de connexion internet, je ne sais pas où aller exactement. On verra bien…

J'atterrirais par là. C'est pas l'endroit rêvé, mais ça me permet de prendre l'air en attendant le vol suivant.

Le vol selon Flightradar24.

Au niveau de mes statistiques personnelles, j'en suis là.

Ma flotte au 1/400e s’agrandit avec l’arrivée de ce nouvel A380 (en plus de celui d’Air France).
Il porte la même immatriculation que celui avec lequel je viens de voyager. C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi, ça veut dire beaucoup.

Merci de m'avoir lu jusqu'au bout.
Merci pour ce FR !
Que d'émotions avant d'embarquer à bord ce bel oiseau qu'est l'A380 ! Un des plus beaux appareils civils jamais conçu pour moi, quel dommage qu'il n'ait pas eu le succès escompté... EY a remis 4 appareils en service (A6-APG/H/I/J) l'année dernière, ceux ci étant les plus jeunes de la flotte (livrés en 2016/2017). Les autres appareils, plus anciens (livrés en 2014/2015), sont stockés à TEV ou LDE en attendant de connaître leur sort. Mais il semblerait qu'EY décide de remettre en service 3 A380 supplémentaires.. L'A380 EY va d'ailleurs faire son grand retour à JFK fin avril... Wait and see !
A bord le service proposé est de haut niveau, dommage pour la correspondance...
A bientôt !
Merci pour le commentaire.
C'est le moins qu'on puisse dire. On peut dire que je l'ai bien mérité !
On est bien d'accord. J'ai coutume de dire que cet avion est arrivé trop en avance. Airbus a eu raison trop tôt. Il permet de désaturer les aéroports trop encombrés.
Je ne savais qu'EY allait remettre en service des A380, notamment vers JFK. C'est une excellente nouvelle !
Oui, j'ai vraiment trouvé ça d'un bon niveau. Quant à la correspondance, je préfère avoir raté celle-ci que les précédentes !
Bons vols
Merci Grégory pour ce FR.
Un sacré routing , mais qui donne des sueurs froides pour les correspondances.
Tu as quand même un peu de malchance .
Je ne comprends toujours pas pourquoi Etihad voulait un visa alors que les français en ont un pour 10 jours en arrivant.
Repas intéressant, avec un menu papier.
Un film de 3 heures, tu étais courageux !!
Bonne gestion à ll’arrivée
À bientôt
Merci Valérie pour le commentaire.
Par la suite, j’ai eu encore une situation de stress, mais plus facile en a encaisser, vu qu’elle concerne le dernier vol.
Moi non plus, je ne vois pas pourquoi. Je pense qu’EY a souvent des Français à bord de ses avions et qu’elle devrait savoir selon la destination finale s’il faut ou non un visa.
En mangeant mongolien, j’ai pensé à ton séjour là-bas.
Quand j’ai mis le nez dedans, difficile d’en décrocher.
Bons vols
Merci pour ce partage. Un voyage a bord du géant des airs, cela devient rare. Etihad semble être la meilleure des 3 du golfe en eco en tout cas sur l'A380.
Merci pour le commentaire.
Je ne vais pas faire les conclusions du dernier report avant de l’avoir rédigé, mais effectivement, EY est au dessus du panier.
Bons vols
Merci Gregory pour ce FR
Décidément il y a du chat noir sur Flight Report.
Raison pour laquelle j'adore le 380. Un vaisseau qui glisse en silence. En plus vu la croissance du marché, c'est un avion qui commence à reprendre tout son sens.
Catering sympa ... tu aurais du essayer de négocier un salon mais vu le retard global tu as lancé la compensation ?
Merci pour le commentaire.
J'ai rouvert mon sac à dos plusieurs fois pour qu'il s'échappe, mais rien n'y fait !
C'est un réel plaisir un tel niveau de silence. En outre, l'A380 aurait tout son sens sur certaines liaisons dont les extrémités sont largement saturées.
J'ai lancé une demande, je n'ai que le mail de confirmation pour l'instant.
Bons vols
Salut cher Lyonnais et merci pour la suite, le gros morceau!
C'est vrai que le T4 n'est pas le plus spotter friendly, certaines parties sont complètement aveugles, d'autres ont une superbe vue sur le tarmac et la 27R/9L.
ça serait pas une histoire du fait que tu partes d'un pays non EU?
Le siège a l'air confortable effectivement.
Un magazine de bord ça devient tellement rare.
Plus que 4 mérous c'est triste
carrément mais y'en moins..
Un menu et une trousse pour de l'éco ça claque.
un vrai beau plateau avec des couverts en métal.
superbes photos à l'arrivée
Merci pour le commentaire cher Lyonnais.
C'est peut-être toi qui a trouvé le pourquoi du comment. Et aussi le fait que comme Flavien le suppose, le fait de ne pas avoir de billet de retour du point de vue d'Etihad (résa avec Qatar Airways).
Peut-être un peu plus dans quelques mois, si EY retourne à JFK avec le 380, comme le mentionne un peu plus haut FlyMax.
C'est la classe, c'est mieux que de la business en MC en Europe.
Une jolie prestation au bout du compte.
Bons vols
Merci Greg pour ton FR.
Voila un routing et des vols vraiment intéressant avec ce combo d'A380, deux compagnies qui avaient pourtant annoncé ne pas vouloir les remettres en service pendant le covid.
Tu aurais dû me demander pour le visa pour Oman, il n'est utile que pour les séjours entre 15 et 30 jours, pour 14 jours et moins, il suffit juste d'avoir un passeport valide. Je pense que la vérification d'EY concerne davantage le fait de ne pas rester plus de 14 jours (car j'imagine que tu es sur 2 résas différentes).
Encore un retard, c'est pas de chance, mais l'essentiel est de ne pas avoir eu le vol annulé et remplacé par un autre type d'avion.
ça fait plaisir de revoir qu'EY propose de nouveau un très bon produit en Y.
Je partage la frustration de ne pas pouvoir voir son avion ni au départ et ni à l'arrivée !
A+
Merci Flavien pour le commentaire.
C'était inespéré. Au plus fort du COVID, je rongeais mon frein (notamment en lisant des reports), et je me disais que je regretterais éternellement de ne pas avoir pu voyager à bord de ces deux A380 que je visais en priorité. Heureusement, EY et QR sont revenus en arrière, pour mon plus grand bonheur.
C'est vrai que je n'ai pas pensé à te demander. Mais au moment de l'OLCI, ça bloquait pour EY. Et il fallait bien que je trouve très rapidement une solution.
Ça m'aurait carrément fait ch### que l'on passe la nuit à Londres et que l'on soit acheminés plus tard sur un 787-9.
C'est un produit d'un très bon niveau.
Il est pourtant tellement beau qu'il faudrait surement prévoir d'autres points de stationnement. :-)
Bons vols
Merci Greg pour la partage.
Une chance de voler à bord de ce bel oiseau même si le retard te fait louper le vol suivant.
Le routing est bien consistant et nous promet de beaux récits.
A bientôt pour la suite.
Merci Michel pour le commentaire.
C’est une chance effectivement, et surtout une belle expérience. Le retard m’a quand même permis de faire un tour à Abu Dhabi.
Bons vols