Bonjour à tous !
Après de longs mois de diette Flight-Reportesque, et de quasi diette aérienne (avec moult vols annulés à cause de ma défaillante santé), je tente un retour par ici.
J'avais une série de vols en cours de report, mais j'ai du mal à me replonger dedans, à force de patiner sans réussir à écrire une ligne cohérente, je préfère la laisser de côté pour le moment.
C'est donc un nouveau routing que je vous propose, le plus récent que j'ai en stock à l'heure où j'écris ces lignes. J'ai d'ailleurs malheureusement perdu bon nombre de photos de reports non écrits, à la suite d'un téléphone décédé de sa belle mort sans possibilité de récupérer les données… Sauf miracle, vous ne pourrez donc pas bénéficier d'inédits (la visite de l'aéroport de Trévise ou encore mon routing donc je suis le plus fier, faire Orly > Roissy en passant par Tunis, en Business s'il vous plait).
Allez, sur ce, commençons !
Le routing en détail, l'enregistrement et les stats
Petit pavé introductif sur la construction du routing, que vous pouvez sauter allègrement si vous n'avez pas la motivation.
Comme souvent ces derniers temps, ce voyage était à but semi-professionnel, à savoir casser l'isolement du télétravail en allant bosser avec des collègues bordelais. L'idée est lancée mi-novembre pour un trajet mi-décembre.
Depuis Dunkerque, le trajet en train est plutôt long, et pas donné, surtout en période pré-Fêtes où les tarifs commencent à monter (minimum 100€ et 6 heures de train).
En solution aérienne, on a bien des vols directs depuis Lille avec easyJet (Volotea aussi, mais pas le jour où je pars), à un tarif correct de 40€. Mais la compagnie orange a l'immense défaut de se foutre de la gueule du monde au niveau du tarif des bagages cabines : Si l'on veut pouvoir trimballer une valise et choisir un siège hublot, on doit rajouter 45€. A titre de comparaison, sur un vol similaire, Ryanair ne demande "que" 20€, et y ajoute l'embarquement prioritaire.
Exit donc cette solution, même si le prix total reste "abordable" par rapport aux autres solutions, je n'ai pas envie d'encourager ce foutage de gueule.
Du coup, je me rabats sur les aéroports bruxellois, facilement accessibles depuis Dunkerque (via Lille ou en direct en partant de La Panne). Curieusement, Brussels Airlines ne commercialise de BRU-BOD qu'en saison touristique. Et du côté de Charleroi, c'est Ryanair, à un tarif trop élevé pour que je m'y penche (plus de 30€ c'est trop cher pour voler sur Air Dumping Social, et là on était plutôt dans les 50-60 sans bagage cabine).
Mon salut viendra de KLM, avec une bonne nouvelle : Enfin des tarifs équivalents entre un départ en train de Bruxelles-Midi pour Schiphol, et ceux en avion depuis Zaventem. J'aime bien l'avion, mais entre Bruxelles et Amsterdam, on a une liaison Thalys directe, rapide et fiable, qui débouche directement à l'aéroport, et qui met clairement moins de temps porte à porte. Donc cette liaison aérienne, toute cocasse qu'elle soit, reste une belle aberration à mon goût. Le lissage des prix entre train et avion est donc le bienvenu.
C'est donc sur un billet ZYR-AMS-BOD que je jette mon dévolu (ZYR = Bruxelles Midi), pour un peu plus de 100€.
Pour le retour, j'hésite assez peu : Les trains sont hors de prix le vendredi soir (150 à 200€), alors qu'en face j'ai un vol Volotea BOD > LIL en soirée pas trop cher. Comme j'ai un bagage en soute, je me laisse tenter par le "combo Plus", qui permet une sélection de n'importe quel siège sans surcoût, embarquement prioritaire, un bagage soute (indispensable pour ramener du vin), une flexibilité "totale" et un petit snack offert à bord. Étant Megavolotea Plus, ça me revient à 73€. Pas forcément le plus abordable, mais clairement la solution la moins chère sur mes dates, et la plus simple en plus.
On obtient donc le routing suivant :
Enchainement de vols
- 1KL1317 - Économique - Amsterdam → Bordeaux - Embraer 190
- 2V72422 - Économique - Bordeaux → Lille - Airbus A320
L'enregistrement en ligne de ce vol AMS > BOD montre une cabine J très réduite, un seul rang, avec un prix de 89€ pour le surclassement. Pas donné, si on prend en compte l'absence de siège neutralisé.
La cabine Y laisse présager un vol assez rempli, même si on ne dirait pas de prime abord : Quasiment tous les sièges sélectionnables gratuitement sont occupés, il ne reste que les payants (Eco Comfort, avant de cabine, issue de secours).
Les autres sièges seront donc sans doute pris par les derniers pax à s'enregistrer.

Curieusement, l'OLCI propose aussi un plan cabine pour la section en Thalys, mais sans pouvoir sélectionner de sièges (et avec un plan "cabine" qui ne ressemble pas à grand chose).
Le type d'appareil indiqué est ES1, probablement pour "EuroStar" (car je doute qu'il s'agisse d'un Vickers ES 1 sur ce trajet).

La ligne AMS > BOD a été pas mal reportée, avec 14 récits, la majorité en Embraer 190. Pour moi, ça sera une première. Ça sera même mon premier vol international de ou vers Bordeaux (oui mes 17 vols précédents sur la plateforme bordelaise étaient tous domestiques).
Ça sera également mon 15e vol sur Cityhopper, et mon 25e en Embraer 190. Globalement, le constructeur brésilien est le 2e sur lequel je vole le plus (loin derrière Airbus et légèrement devant Boeing).
La formule Air&Rail KLM
Commençons donc ce récit à la gare de Bruxelles-Midi. Contrairement aux trajets domestiques TGV+Air en France, où le e-billet téléchargeable est désormais la norme, les trajets Air&Rail depuis la Belgique vers CDG ou AMS nécessitent de passer au comptoir AF/KLM dans la gare.

Cela permet par contre de récupérer directement et sans attente son BP papier, avec la section en train et les vols sur le même billet.
Il est aussi possible d'enregistrer des bagages en soute directement à l'agence de la gare de Bruxelles-Midi. Pour cela, il faut se présenter minimum 30 minutes avant le départ du train.
Les bagages sont ensuite pris en charge par AF/KLM, chargés dans un compartiment "bagages" fermé dans le TGV/Thalys, et acheminés jusqu'à la destination finale. Ca facilite grandement le cheminement à l'aéroport (et évite l'attente aux comptoirs qui peut aller avec).

Dans l'agence, des sièges sont présents pour patienter. Le réaménagement de la zone était en cours quand j'y suis passé, d'où les sièges un peu "entassés" dans les coins.
De ce que j'ai compris de la discussion entre les ouvriers, il y aura à terme une zone dédiée "Sky Priority".

Quelques minutes avant l'arrivée en gare de mon train, je monte sur le quai, juste à temps pour voir arriver la rame TGV PBA 4540 (les rames TGV Réseau tricourant de Thalys), avec son sticker du nouveau logo Eurostar, remplaçant le sigle Thalys depuis l'automne 2023.

Les sièges en 2de classe réservés par KLM sur le Thalys semblent être regroupés dans les petits "compartiments" aux extrémités des voitures, séparés de la salle principale par une porte coulissante.
Avantage : C'est plus calme. Inconvénient : C'est en "carré", donc peu agréable si l'on a une personne en face, sauf à aimer faire du pied à des inconnus.

Le trajet sera assez calme, malgré la montée d'un groupe de Marseillais en gare d'Anvers. Nous aurons un retard d'une petite demi-heure à l'arrivée à Schiphol, en raison d'un train en panne sur la ligne à grande vitesse néerlandaise entre Rotterdam et Amsterdam, nous obligeant à emprunter la ligne classique pour contourner l'incident.

Passage express landside > airside
La gare de Schiphol débouche directement dans la "Schiphol Plaza". Direction la zone des départs 1-2 (je n'ai jamais mis les pieds dans la zone 3-4, il faudrait que j'y passe un jour).

Le voyageur se trouve face à 3 possibilités pour atteindre l'étage des départs : Les tapis roulant (caché derrière le pilier), l'escalier, et l'ascenseur.

En bon sportif, je prends les escaliers au petit trot. Ca me fera mon sport hebdomadaire.
Pas de passage au comptoir donc, vu que j'ai déjà mon BP. Je peux directement rejoindre l'entrée du PIF prioritaire, bien cachée si on ne sait pas où elle se trouve.

Le contrôle n'est pas chargé, seulement quelques personnes devant moi. Et avec 6 postes par ligne, + des machines ne nécessitant pas de sortir liquides/électronique, ça avance vite !

J'aurais droit à un contrôle explosif, réalisé par un agent qui donne dans le comique et fait des vannes à tous les passagers. L'ambiance est plaisante donc.
A noter : Moins de 10 minutes entre ma sortie du Thalys et ma sortie du PIF, c'est vraiment efficace.

Et me voilà dans le cœur de la zone airside Schengen d'AMS, parée des couleurs de Noël.

Direction l'étage et le salon… Et que vois-je ?! Les sièges du salon ont changé, avec une nouvelle sellerie bleu triste, au lieu du marron sale précédemment !

C'est la saison des travaux à AMS, le café avec la grande "fausse verrière" a été totalement démonté, la zone est en cours de réaménagement.

El famoso Crown Lounge, en rénovation
L'accueil au salon est inexistant, ce sont les bornes qui officient, et le personnel ne répond pas à mon bonjour.
Le salon est bien rempli, d'autant plus qu'une zone est fermée pour être réaménagée. On peut noter, à droite, que certains sièges "marrons" font encore de la résistance.

Le buffet est classique : Maigre sélection de cold cuts…

Bar à salade un peu plus varié.

Des plats de type "basiques et roboratifs".

La suite… Au moins ça a le mérite d'exister.

Des soupes, et un choix de pains sur la droite.

Le coin des liquides, avec la fontaine à jus qui est HS, comme toujours j'ai l'impression. C'est tant mieux, le jus concentré pas ouf est remplacé par du pur jus proposé dans des bouteilles.

Le reste des liquides, avec les alcools forts, la fontaine à soda, la tireuse à bière, des snacks, et des bouteilles d'eau et de jus de fruits, donc.

Je me trouve une petite place sur les nouveaux sièges bleu, à côté d'un voyageur "Diamond Medaillon" de chez Delta.

Un bout de ma sélection du jour…

… Et le reste. Les cookies sont les seuls éléments "sucrés" du buffet, c'est bien tristounet.

En allant visiter le petit coin (propre d'ailleurs), je note que mon vol est annoncé avec 10 minutes de retard. En effet, l'appareil initialement prévu pour notre vol accumule une heure de retard sur sa précédente rotation, un autre appareil nous a été affecté, limitant ainsi le retard (l'appareil doit arriver d'Aberdeen 20 minutes avant le départ de notre vol). Bonne réactivité de KLM sur ce coup.
On peut aussi noter que les trains pour Bruxelles sont aussi indiqués sur le FIDS.

Balade pédestre et bussesque à Schiphol
Je quitte le salon une dizaine de minutes avant la nouvelle heure d'embarquement, il y a du chemin jusqu'aux portes B…

Au début du cheminement vers la jetée, le FIDS affichant l'intégralité des vols prévues des portes B jusqu'à la fin de la journée, une grosse cinquantaine de vols en un peu plus de 5 heures.

Le couloir est toujours aussi long, surtout sans les tapis roulants… Je chercher encore à comprendre pourquoi ils ont été retirés.

Arrivée en jetée B, direction le sous-sol, synonyme d'embarquement par bus. Logique vu le vol précédent de notre appareil, hors-Schengen.

Le bus est en place devant la porte, les hôtesses au sol sont prêtes, mais il faut patienter.

La salle d'embarquement est largement occupée par un groupe de collégiens/lycéens qui rentrent visiblement d'un voyage scolaire à Münich, de ce que j'ai compris de leurs conversations peu discrètes. Espérons qu'ils soient plus calmes en vol !

En attendant l'embarquement, petit spotting de… Passerelles vides ?

Du coup, il ne me reste qu'à attendre l'embarquement. Ce dernier est lancé à 15h40, l'heure de départ prévue. Je pense qu'on aura un peu plus de dix minutes de retard du coup !

Pas de bus dédié Skypriority, évidemment, le seul avantage est qu'au moins je peux m'asseoir.

Le bus se remplit rapidement, sans être plein à craquer (c'est ce que j'apprécie à AMS, les bus sont très rarement tassés, contrairement à CDG où c'est ambiance RER A dans les paxbus).
On longe la future jetée A dont les travaux n'en finissent pas…

Découverte de l'oiseau bleu
Et voilà déjà notre coucou du jour, bien entouré !

Je laisse passer la foule pour tirer le portrait de la bestiole. Joli nez…

Et jolie queue !

Fuselage-shot de ce charmant PH-EZZ. Ce bestiau a été livré fin 2013 à Cityhopper, il va donc sur ses dix ans. Et c'est un nouveau venu dans mon logbook, joie ! Ca fait mon 7e E-190 Cityhopper (sur les 30 que comportent la flotte).

Vénérable instant porte !

L'accueil en porte est cordial, je file directement à ma place, pour constater que les ceintures chez KLM ne sont malheureusement toujours pas siglées.

Le pas est par contre bon (mais je suis dans un siège normalement payant pour cela, donc encore heureux).

Les bulkheads en tête de cabine sont aux couleurs de la compagnie (et le masque de la personne devant moi l'est quasiment aussi).

A côté de nous, un confrère qui arrive d'Hannover, avant de repartir pour Bristol dans quelques dizaines de minutes.

La documentation de bord, avec le bienvenu magazine de la compagnie, le Holland Herald.

Et la safety card, commune aux E175 et E190.

Le magazine met en avant ce mois-ci Rovaniemi, la "ville du Père Noël". C'est sûr qu'avec 200.000 rennes en Laponie, ya de quoi tirer de gros traîneaux…

Les destinations mondiales, toujours aussi bordéliques.

Et le plat de spaghettis européen. Minsk apparaît toujours comme étant desservie par la compagnie tchèque CSA, alors qu'il n'y a globalement plus de vols depuis/vers l'UE en Biélorussie depuis mi-2021…

La page de la flotte, avec le nombre de 737-700 qui se réduit comme peau de chagrin (seulement 6 appareils). A droite, la mise en avant du dégivrage, avec une bien charmante photo.

Le dernier bus vient larguer sa cargaison de passagers…

Et l'escalier est rapidement retiré, la porte fermée.

Direction le ciel bleu… Nuageux.
Le commandant fait une rapide annonce pour préciser un temps de vol d'1h20, et un départ proche. En effet, à 16h05, avec 25 minutes de retard, on repousse avant de filer vers les taxiways.

Non, ce n'est pas la queue pour atteindre la piste, mais la file des appareils qui viennent d'atterrir, avec un petit jet privé qui devance un Airbus Aegean, et un Embraer de German Airways.

On contourne les terminaux par l'ouest, pour atteindre la piste 09 (la Buitenveldertbaan). J'ai très rarement décollé de cette piste, je me fais donc une joie de découvrir un panorama que je ne connais quasiment pas !

On décolle à 16h16, avec une belle vue sur… un des parkings d'AMS, pour le moment.

On commence rapidement à virer vers le sud…

… Et c'est les nuages. Et bien tant pis pour la vue, hein.

Au moins la lumière est belle sur la couverture nuageuse…

Une prestation gratuite, en Europe ?!
De suite, sans paysage à décrire, mon report s'en trouve cruellement raccourci. Le service commence un quart d'heure après le décollage, avec la Business (qui reçoit l'habituelle box KLM, mais trop loin pour moi pour en voir le contenu en détail) puis la classe économique.
La collation KLM varie peu avec les années, c'est sandwich + boisson (de l'eau me suffira), une offre désormais bien rare en Europe de l'Ouest.

Aujourd'hui, c'est le fameux sandwich aux oeufs qui est proposé !

La garniture n'est pas très généreuse, mais ça reste bon pour un sandwich de ce genre.

On a beau faire durer le plaisir, c'est rapidement terminé.

Dehors, on a atteint notre altitude de croisière, et on survole l'Aisne. Du coup, les nuages sont plus passionnants que ce qui se passe au sol là. (les Axonais, ne me tapez pas hein !)

Cette météo est une excuse parfaite pour une bonne sieste ! Quand je me réveille, pendant la descente, la vue n'a que peu changé.

Sandwich de soleil entre ses nuages.

Approche finale et BOD
On perce enfin le plafond nuageux au sud-est de Bordeaux, au niveau de Villenave-d'Ornon et Cadaujac. La grisaille au sol nous a suivi depuis AMS.

On passe au nord de Talence et Gradignan, au niveau du campus de l'université de Bordeaux Montesquieu.

Puis survol des quelques parcelles quasiment urbaines de Pessac, plus précisément celles du Château Pape Clément, que l'on aperçoit dans le coin bas gauche de la photo.

La "plaine des loisirs et sports de Beutre" de Mérignac, autrement dit, un parc quoi.

On touche le sol à 17h43, après 1h27 de vol, au niveau de la base aérienne 106 de Mérignac. C'est la piste 29 qui est en service ce soir, c'est assez rare (85% des vols atterrissent sur la piste principale 05/23).

Si le toucher était assez délicat, le freinage est très puissant, pour quitter la piste utilisée par la piste principale, soit en un peu moins d'un kilomètre de piste.

L'apron accueille plusieurs appareils, uniquement des low-cost (même si c'est flou, croyez-moi).

D'ailleurs, on arrive à notre point de stationnement, avec easyJet (en provenance de Marrakech) et Ryanair en voisins.

Et nous voilà au bloc à 17h46, avec 21 minutes de retard.

Le débarquement est rapide, je profite du bout de passerelle vitré pour tenter de tirer le portrait de notre appareil, ainsi que du voisin Ryanair, qui fait du béton après avoir fait un aller retour sur Marseille ce matin.

La salle de livraison des bagages est bien remplie par les passagers en provenance de Marrakech.

Je passe sans m'arrêter, direction la sortie… Le comité d'accueil est assez vaste, mais ça n'est pas pour moi !

Tramway de ses morts et mini bonus hôtelier
Moi, c'est le froid et la pluie qui m'attendent. Les taxis me font de l'oeil, mais vu le trafic routier bordelais en soirée, les transports en commun seront plus rapides pour atteindre ma destination.

Enfin, ça aurait été le cas si la fréquence de dix minutes du tramway était respectée…

Il faudra attendre une vingtaine de minutes pour avoir un tramway, et logiquement, il sera rapidement blindé, prenant du retard à chaque arrêt. On mettra plus d'une heure pour rallier la cathédrale et la tour Pey Berland, contre 45 minutes maximum prévu. J'en viens à regretter le bus…

Le trajet se termine au Bacalan, où l'écluse est quelque peu submergée par l'eau !

Rapide "bonus" hôtelier, je séjournerai au Renaissance Bordeaux (visible sur la photo précédente, en haut à gauche). Si l'hôtel est très agréable et confortable, on regrettera la sous-utilisation architecturale des silos à grain dans lesquels l'hôtel prend en partie place (seul le couloir d'accès à la réception y passe), et le bar-restaurant rooftop, qui est sans doute très bien, mais qui semble privatisé beaucoup trop souvent (ce fut le cas tous les soirs de mon séjour).


Allez, je vous laisse avec la trace radar du vol, avec une croisière à 37.000 pieds, et une approche assez longue sur BOD.

Merci de m'avoir suivi jusque là, et à bientôt pour la suite, j'espère !
Des bisous o/
Hello cher Kethu :) J'espère que ça va mieux alors... AMS > BOD a été pas mal reportée, avec 14 récits > BOD semble apprécié^^ des membres skyteam de ce report puisqu'il y a énormément de récits vers AMS et LYS depuis BOD... plus que sur NTE en tout cas.
Franchement, du BRU <> AMS en avion, c'est un poil décalé avec les enjeux actuels mais bon, la praticité et le prix rendent son utilisation attractive.
KL a une bonne gestion du retard, facilitée par le HUB où sont stationnés les E-Jets... Si ça avait été dans l'autre sens, ça aurait été moins sympa...
KL offre clairement un meilleur service sur AMS <> Région que Hop! (qui reprend la ligne sur LYS à 100%) avec ce sandwich, bien que faiblement garni, existant.
Le 737-700 est venu à Nantes l'an dernier, mais ce ne sont plus que des E-Jets maintenant. Ce type d'aéronef devient vieux !
BOD, c'est.... BOD avec les compliments qui vont toujours avec :)
Merci d'avoir relaté l'expérience train + vol, ça a l'air de bien fonctionner.
A bientôt !
Hello LeMatheux ! Merci pour ton commentaire :)
Ca va un peu mieux, même si c'est pas encore parfait, merci ^^
En effet, NTE est moins couvert, peut-être que la destination est moins prisée que Bordeaux... (Pourtant j'apprécie tout autant Nantes ^^ )
Le BRU <> AMS va bien finir par disparaître au profit d'une liaison uniquement Thalys... A voir si la fiabilité du ferroviaire tient le coup, mais ça me semble être une bonne alternative.
KLM est souvent assez réactive à son hub, j'ai déjà eu d'autres cas comme ça, c'est assez plaisant en effet. Surtout que la compagnie propose des correspondances très courtes à AMS, donc la ponctualité doit vraiment être top.
Je suppose que Hop! sur LYS ne propose que l'offre domestique... C'est bien dommage, ça fait une descente en gamme. Surtout que KLM alignaient souvent les Embraer E2, quand même un cran au-dessus des appareils Hop.
Les 737-700 de KLM sont clairement voués à disparaître... Pas assez capacitaire VS la conso bien inférieure d'un E2.
BOD au retour (que je viens de publier), c'est encore pire ^^
A bientôt !