Bonjour à tous chers lecteurs,
Suite et fin de ce routing avec le dernier vol vers Paris après le morceau de choix de Stockholm-Arlanda à Copenhague en A350-900. Mais voici un rappel du pourquoi du comment.
Il y a quelques semaines, en parcourant notre site préféré, j’avais pu lire un report (à voir ici https://flight-report.com/fr/report/65224/sas-sk1423-stockholm-arn-copenhagen-cph/) de SKYTEAMCHC décrivant un vol intra-européen de la SAS assuré en A350-900. Il s’agit là de mon coucou de cœur sous les belles nouvelles couleurs de la compagnie scandinave - je trouve que cette livrée sobre remplace avantageusement la précédente.
Cette rotation n’a lieu que les vendredis jusqu’au 2 février inclus. Je cherche le bon créneau, les prix sont parfois très élevés. C’est finalement sur la dernière rotation que je jette mon dévolu.
Rappel du routing.
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3
- 4SK559 - Economique - Copenhagen - Paris - Airbus A320neo
En TRANSIT
Mon vol est déjà affiché, mais la pendule à gauche ne me fait pas encore les gros yeux. Alors, direction le salon.

Un chantier d'extension visiblement.

On est bien au Danemark, peu de doutes là-dessus.

Un magasin de laisses et harnais dans un aéroport. Pourquoi pas ?

Le FIDS.

Par contre, aucune indication quant à l'emplacement du SAS Lounge…
Le SAS LOUNGE
La veille, au moment de l’OLCI, SAS me propose pour 29,90€ un voucher pour accéder au lounge SAS d’Arlanda ou de Copenhague. Vu le prix de la vie en Scandinavie, et singulièrement dans les aéroports, je trouve que la proposition est relativement honnête. Bien que je n’ai pas été spécialement emballé par le lounge d’Oslo en novembre dernier, je veux bien retenter ma chance.
Je retiens donc la proposition et vise le lounge de CPH. Au moment de payer avec mon AMEX, ça plante. Essai avec une nouvelle carte, pas mieux. Bon ben… tant pis.
Ce matin, je passe aux comptoirs de la SAS à ARN. Ils ne vendent pas ce genre de prestation, il faut donc se présenter directement à l’entrée.
Après l’avoir longuement cherché, je finis par demander à un point information mon chemin. J’ai eu beau regarder la signalisation, à aucun moment il n’est indiqué.

J’explique ma situation à l’agente. Elle s’excuse de la situation et m’informe qu’en porte, c’est plus cher. C’est 249 Kr. (soit 32 euros). J’accepte la proposition. Car de toute façon, arrivé à Paris, j’enchaîne avec un TGV vers Poitiers et j’arriverai au mieux à minuit chez mes beaux-parents. Autant bien se remplir la panse.

L'essentiel de l'offre, qui était correcte. Le pesto était très bon.

Bof bof…

Voilà qui est mieux ! Ça n'est pas de la belge, loin de là, mais ça ira dans l'immédiat !


Ceux qui sont punis.


Passage par les toilettes du lounge. Rien à redire.

Le choix n'était pas spectaculaire, mais ça m'a permis de bien le remplir le ventre avec diverses salades, saucisses, pesto, pates… En boisson, ce sera bière et eau pétillante. Le vin rouge à la pression, j'ai pas osé.
Retour vers PARIS
Je vous présente un Irlandais détaché en Scandinavie.

C'est un petit jeune qui n'a même pas un an au compteur.

Retour à la porte B9 où les priorités seront bien respectées.

Vient mon tour.

Traditionnels instants…

100% porte.

À bord de l'A320neo
Accueil chaleureux et souriant en ce début de soirée pluvieuse.
Je prends place à mon 08F. On peut regretter un peu le choix des couleurs chez SAS. C'est un peu austère.

Le pas ne brille pas par sa générosité. C'est la configuration assez classique sur ce genre de machine.

Contenu classique pour la pochette.

Le BoB en détail.


La safety card.


Une prise USB est à disposition des PAX.

La tablette.

L'embarquement se poursuit. On ne sera pas vraiment à l'heure.

Ma vue privilégiée sur le CFM tribord.


En vol
À 17h25, sous sommes poussés au large et à 17h29, nous débutons le taxiing.


Le démonstrations, peu suivies par les PAX, la tête déjà dans le week-end.

Direction la 22L.

Prêt à rugir.

Zou !

Après la traversée de la couche nuageuse, le spectacle est largement plus sympathique qu'à proximité de notre bonne vieille terre.


Ambiance saumonée à bord.

C'est l'heure d'la soupe du thé !


Le ciel est magnifique dehors, mais sur le planché des vaches, le spectacle n'est pas aussi reluisant.

Certes, j'insiste, mais je le trouve beau ce moulin !

Je replonge dans la lecture de mon roman et déjà, le CDB annonce le début de la descente.
Je ne vous présenterais pas les photos de l'approche, ça donne trop le tournis.
Nous nous posons sur la 27R et après une traversée rapide la 27L, nous approchons du T1 où nous sommes attendus.

L'agitation prend le pas sur la torpeur qui avait caractérisé ce vol tranquille.

Nous sommes rapidement connectés au jet bridge. On peut saluer là l'efficacité du personnel au sol.
Je prends congé de l'équipage souriant.


Dernier regard sur "mon" A320neo. Je trouve que la nuit magnifie cette livrée que décidément j'apprécie.

S'en suit le fameux parcours qui caractérise le T1 de CDG. Ça doit surprendre plus d'un touriste étranger ou même Français d'ailleurs.

Les fameux tubes.


En ces temps de JO approchants, il n'est pas inutile de rappeler ces quelques règles.



Un coup de VAL jusqu'au T3 puis c'est le RER jusqu'à Denfert-Rochereau et la 6 jusqu'à Montparnasse. Et enfin un TGV jusqu'à Poitiers avant un week-end en Charente.

Coup d'œil sur le béton des parois de la gare RER de CDG1, dont la mise en service date de 1976.

Le diagramme du vol selon Flightradar24.

Merci de m'avoir lu jusqu'au bout.
Merci Greg pour ce vol de fin de routing.
Le prix demandé pour l'accès au salon est raisonnable, tu as bien fait de ne pas te priver d'autant que l'offre est correcte.
Je te comprends...
C'est vrai que la cabine est un peu tristounette avec ces sièges gris mais la prestation tient la route.
Belles couleurs du ciel au couchant.
A bientôt.