Bonjour à tous,
Je vous retrouve aujourd’hui pour un vol intérieur qui m’emmènera de l’Atlantique à la Méditerranée.
Ayant pris quelques jours de congés, j’avais prévu - comme souvent en automne/hiver - de les passer à Aix-en-Provence. Mais cette fois-ci, en plus des trajets en TGV, j’ai cherché à ajouter un parcours en avion. C’est un pur caprice avgeek, je l’assume volontiers.
Mais le problème fin novembre, c’est la météo! Côté nord-ouest et nord-est, pluie et vent sont au rendez-vous. Les RNS-MRS, CFR-MRS ou SXB-MRS avec Volotea attendront donc une autre fois. Côté sud-ouest, il fait meilleur et j’avoue avoir lorgné le TLS-MRS de Twin Jet. Mais à 330€ l’aller-simple, c’est tout de suite rédhibitoire! Finalement, c’est en regardant la carte de Google Flights que je découvre par hasard l’existence improbable d’une liaison La Rochelle-Marseille avec Ryanair. Etonnant de voir qu’un tel vol fonctionne toute l’année!
En tout cas je suis doublement content car cela me fera découvrir La Rochelle et enrichira le site avec une liaison pas encore reportée. Il doit y avoir un Dieu des avgeeks car tant l’horaire que le prix me conviennent. Après le vendredi entier à La Rochelle, un départ à 14h35 le samedi me laissera encore de bonnes heures sur place sans pour autant arriver trop tard à Aix. Et le tarif s’affiche à 23,99€; en y rajoutant le TGV Paris-La Rochelle à 60€ le tout ne revient pas beaucoup plus cher qu’un TGV direct Paris-Aix.
Enchainement de vols
- 1TGV Inoui - Paris —> La Rochelle
- 2FR2003 - Economique - La Rochelle —> Marseille - Boeing 737-800
- 3TGV Inoui - Aix-en-Provence TGV —> Paris
Sur mes deux jours passés à La Rochelle, la météo a montré ses deux faces: la mauvaise le vendredi avec des nuages bas toute la journée, la bonne le lendemain avec un beau soleil d’automne.
J’en profite pour immortaliser cette très belle ville, à commencer par les tours emblématiques marquant l’entrée du Vieux-Port: la tour de la Chaîne et la tour Saint-Nicolas.

Le vol ne partant que l’après-midi, j’ai encore du temps pour arpenter les petites rues de la Vieille Ville.
Au détour d’une place je tombe sur le magnifique Hôtel de Ville. Répertorié aux Monuments historiques, c’est le plus vieil hôtel de ville français encore en fonction.

La Rochelle possède un patrimoine historique et architectural vraiment riche; mais à force de l’admirer il ne faudrait quand même pas louper l’avion! Vers 12h45 je décide donc de me mettre en route.
Souvent les petits aéroports régionaux sont peu ou pas desservis par les transports en commun, et le taxi reste alors l’unique option. Mais ici, une bonne nouvelle m’attend car la ligne de bus 1b relie le centre-ville à l’aéroport situé sur la commune de Laleu.

Au niveau des horaires, la fréquence n’a absolument rien à envier aux grandes métropoles: un bus toutes les 20min en semaine, 30min le samedi, et toutes les heures le dimanche. J’avoue être assez bluffé!
Un bus part à 12h59 et arrive à 13h22 à l’aéroport. Y être 1h15 avant le décollage sera amplement suffisant.

Le ticket unitaire coûte 1,30€ et le paiement s’effectue à bord en sans contact.
Pendant le trajet, je regarde la signalisation routière qui dégage un petit parfum d’été: Île de Ré, port de La Pallice (le 6ème port français en tonnage de marchandises). LRH - ‘’Aéroport de La Rochelle - Île de Ré’’ - est situé à seulement 4km du centre-ville, à proximité du pont menant à l’île de Ré.

20min suffisent à rejoindre LRH et le bus me dépose devant l’aérogare. En tout cas, bravo pour cette desserte pratique et économique!

Je craignais que LRH ne soit un simple hangar; je découvre au contraire un petit bâtiment très esthétique qui a un côté un peu scandinave.
La haute saison estivale voit probablement une affluence importante mais en cette fin novembre les pax ne sont pas légion.

Une oeuvre certes très design, mais je crains que mon séant y soit inconfortablement assis :-)

Tour de contrôle

Un café Trib’s est ouvert avec une petite terrasse extérieure. Mais avec du vent et seulement 8°C, elle ne trouve aucun amateur.

A l’intérieur il n’y a pas foule. Ce n’est pas étonnant car LRH n’accueille que deux vols le samedi: un à 9h15 vers OPO, et le mien à 14h35 vers MRS.
Le petit terminal est lumineux et agréable. Agréable en tout cas en hiver, car en pleine saison estivale et avec plusieurs vols simultanés, on doit vite se marcher sur les pieds.

Entre nous, je préfère ce message de bienvenue à ‘’Paris vous aime’’ :-)
Néanmoins je suis jaloux car je n’ai pas réussi à prendre la même photo!

Il y a huit guichets de check-in: n°1 à 4 pour Ryanair et (derrière le mur vert) n°5 à 8 pour EasyJet.

Le FIDS des arrivées apparaît bien esseulé. Pour aujourd’hui il ne reste qu’un seul vol…et il est en retard!
Par prudence je préfère vérifier sur FlightRadar qui confirme que l’avion a bien quitté MRS et atteindra LRH à 14h29. Bon ça va, le retard reste supportable.

Comme toujours sur les LCC, les appels à se rendre en porte retentissent très tôt. Il n’est que 13h50 et pourtant les ‘’passagers du vol FR2003 à destination de Marseille sont invités à se présenter immédiatement en porte’’. Je rigole intérieurement en apercevant certains pax se lever précipitamment et piquer un sprint vers le PIF!
Avgeek de longue date, vous comme moi ne tombons pas dans le panneau et je préfère rester landside, dégustant un grand café acheté chez Trib’s. En revanche il faut se passer de Wifi; il y a bien un portail de connexion mais mes tentatives de login se soldent par un échec.

Tout en patientant, j’observe les interactions entre les pax et le personnel. Que ce soit au check-in ou au comptoir d’information, les employés sont extrêmement serviables et aimables. Bravo à eux.

Tout comme le reste de l’aéroport, les toilettes sont impeccables.

L’avion est encore en approche sur LRH mais je décide de passer airside à 14h15, et ce pour une raison purement pragmatique: cela me laissera un peu de temps afin de prendre d’autres photos pour mon FR!
Le passage du PIF ne prend que quelques minutes avec deux agentes très souriantes.

Tout comme le FIDS des arrivées, celui des départs se tourne les pouces avec le deuxième et déjà dernier vol de la journée.

LRH dispose de quatre halls d’embarquement qui sont modulables et flexibles entre eux. Chacun disposant de ses guérites de la PAF, un hall peut ainsi traiter indifféremment vols Schengen et non-Schengen.
Aujourd’hui c’est le grand luxe: tous les halls sont ouverts pour l’unique vol intérieur de la journée. Il n’y a donc aucun souci pour trouver une place libre.

Une boutique duty-free et un café Trib’s agrémentent la zone d’embarquement.

Au niveau propreté, il n’y a absolument rien à redire; tout est nickel landside comme airside.

S’il fallait faire une critique, c’est le peu de fenêtres avec vue. Mais d’un autre côté il n’y a pas grand chose à spotter non plus!

Et on a vite fait le tour du propriétaire.

Le programme d’hiver est réduit à sa plus simple expression: deux destinations (MRS et OPO) deux fois par semaine (lundi et samedi). Mais cela a au moins le mérite d’exister en basse saison.

A 14h33 précises l’avion se pose sur la piste 09 de LRH, salué par un groupe de volatiles. L’appareil du jour est le B737-800 9H-QDA opéré par la filiale Malta Air.
Petite déception: au moment de la réservation, je m’étais réjoui à l’idée d’essayer le nouveau B737-8Max. Encore la veille du départ, Flightradar indiquait que 9H-VUP assurerait le vol. Mais bon, il y a dû avoir un changement de dernière minute :-(

L’embarquement s’effectue sur deux portes. La porte n°2 est réservée aux pax Sky Priority Boarding tandis que les autres utilisent la n°3. Dans les deux cas, les premiers dans la file ont vraisemblablement poireauté debout depuis quasiment une heure.
Inutile de se presser - je préfère monter dans les derniers, n’ayant de toute façon pas pris l’embarquement prioritaire.

Le personnel en porte est aimable et souriant: rapide contrôle du BP et de ma pièce d’identité, puis j’entame le pèlerinage vers l’avion.

Ah j’adore les embarquements par piste…mais en étant chaudement couvert. Car avec 8°C et un vent de nord-est, il fait tout de même frisquet!
Basé à MRS, 9H-QDA a d’abord effectué un aller-retour sur Fès, avant d’entamer son vol MRS-LRH.

Dernier coup d’oeil sur LRH dont je garderai un très bon souvenir: bus fréquent depuis le centre-ville, personnel très souriant, attente confortable. Mais le fait de voyager en basse saison y contribue aussi.

Pour une liaison n’opérant que 2 fois par semaine, je constate qu’il y a tout de même du monde. Le vol sera rempli aux deux-tiers environ.

Instant winglet que seuls les avgeeks sont à même de comprendre

L’un des deux moteurs CFM56-7B qui me transportera sur les 600km séparant LRH de MRS

Peu importe legacy ou LCC, embarquer à bord d’un avion reste toujours un intense moment d’émotion.
Ça y est, je vais tomber dans le pathos :-)

Fuselage shot…d’un avion américain, d’une compagnie irlandaise, à immatriculation maltaise, effectuant un vol intérieur français. Vive la mondialisation!

Que deviendrait un FR sans son instant porte?

L’accueil en porte est souriant. J’avais pré-acheté un siège hublot vers l’arrière de l’appareil. En montant à bord, je constate que le siège du milieu reste libre sur pas mal de rangées…SAUF sur la mienne! Grrr, ça a vraiment le don de m’énerver!
Etant le dernier à embarquer, j’en profite donc pour m’asseoir au tout dernier rang où je serai plus tranquille.

En m’installant au 34F (et avec le 34E libre!), une bonne surprise m’attend. Moi qui craignais de passer le vol les genoux collés au siège de devant, je trouve au contraire que le pas est généreux - comparable à AF et en tout cas meilleur que Volotea ou EasyJet.
La mauvaise surprise est l’état du hublot: il est franchement dégueulasse :-( Heureusement que j’emporte toujours quelques lingettes désinfectantes en voyage.

Hormis une PNC espagnole, le reste de l’équipage est français. D’ailleurs, hormis les consignes de sécurité, toutes les annonces ne seront faites qu’en français.
Tout le monde est installé et pourtant la porte avant reste toujours ouverte. Pour son unique annonce de tout le vol, le Cdb nous informe alors d’un léger retard car il est “encore en conversation technique avec Dublin”. C’est tout! Je crois que c’est la première fois que j’entends une annonce aussi peu explicite!
Finalement nous mettons en route à 15h16 - avec tout de même 41min de retard sur l’horaire. Le roulage est court, nous remontons ensuite une partie de la piste, demi-tour sur la raquette, puis c’est enfin le décollage sur la piste 09.

Grâce à une procédure de départ tout en courbes, l’IFE naturel démarre immédiatement et j’admire le panorama sur La Rochelle:
le Vieux-Port et le quartier du Gabut (au centre), la Vieille Ville (en haut à droite), le CHU (en bas à droite)


Vous avez aimé la photo?
Allez, j’en rajoute une deuxième - avec cette fois-ci la gare en plus!

Et jamais deux sans trois!
C’était ma première visite à La Rochelle et j’en garderai un souvenir très sympathique - en particulier la Vieille Ville.

Depuis le port de La Pallice, le Pont de l’Île de Ré relie le continent…à l’Île de Ré.
Ouvert en 1988 et d’une longueur de 2926m, c’est le deuxième plus long pont de France après celui de St-Nazaire.

C’est ensuite la petite Île d’Aix et la grande Île d’Oléron que je découvre sous un magnifique soleil d’automne. J’ai bien fait d’avoir nettoyé à fond le hublot!

L’estuaire de la Charente

L’avion met le cap vers l’est et le vol se poursuit tranquillement ponctué par plusieurs intermèdes commerciaux:
premier passage avec le BoB (peu d’amateurs), puis un second avec des promotions Black Friday sur les cosmétiques (une dizaine d’acheteurs), et enfin un dernier passage avec la vente de cartes à gratter (0 amateur).
Au sud de Clermont-Ferrand, nous virons à droite - cap au sud…et vers les nuages.

L’IFE naturel fait une pause au-dessus de la Lozère et de l’Ardèche, malheureusement cachés par les nuages.

Mais le ciel se dégage à nouveau dans la basse vallée du Rhône, à l’approche d’Avignon.

Pendant la descente, j’aperçois au loin les étendues de la Camargue

Nous survolons ensuite l’étang de Berre et ses salins

Après être passé à la verticale de l’aéroport Marseille-Provence, nous atteignons le littoral de la Côte Bleue au-dessus de Carry-le-Rouet, port dans lequel Fernandel possédait une grande villa.
L’appareil effectue ensuite un virage à 180°C au-dessus de la mer, l’atterrissage se faisant face au nord en raison d’un fort mistral.


Le panorama durant l’approche finale s’avère grandiose et je reste le nez littéralement collé au hublot!
Mon appareil photo immortalise l’archipel inhabité du Riou constitué de petites îles (île Jarre, île Calseraigne) et de l’île de Riou (la plus grande de l’archipel).

Situé entre Marseille et Cassis, le Parc national des Calanques est tout aussi spectaculaire.
Je me régale de la vue mais à force de mitrailler à travers le hublot, je vais finir par souffrir d’une tendinite de l’index :-)

Massif de Marseilleveyre abritant plusieurs calanques dont celle des Goudes en bas à droite

Puis la cité phocéenne se dévoile enfin - avec les plages du Prado et le port de la Pointe Rouge

Emblème de Marseille, la basilique Notre-Dame-de-la-Garde - “la Bonne Mère” - veille sur la ville.

Tout en étant ballotté par les rafales de mistral, l’avion longe la Corniche Kennedy parsemée de petites plages.

L’IFE naturel est vraiment exceptionnel sur ce vol et je ne résiste pas à la vue “carte postale” sur Marseille:
le célèbre Vieux-Port dont l’entrée est gardée par le Fort St-Jean au nord et le Palais du Pharo au sud.

Le Vieux-Port cède ensuite la place au grand port maritime de Marseille. Deux navires de Corsica Linea y apportent une touche rouge vif.

Un immense paquebot Costa rappelle que Marseille est le premier port de croisière de France et le 4ème de Méditerranée.

Tout est relatif: vu du ciel, le même navire Costa paraît vraiment minuscule.

Le plancher des vaches se rapproche progressivement, nous survolons l’échangeur entre autoroutes A7 et A55.

Le mistral continue de souffler par violentes rafales et je souhaite intérieurement une remise de gaz afin de pimenter le FR :-)

Un voeu malheureusement pas exaucé - au contraire, il y a un intermède sans vent et nous nous posons tout en douceur sur la piste 31L (et non sur la 31R habituelle car elle est en travaux)

Durant le roulage nous passons devant les hangars de DHL où stationne le 752 OE-LNQ. Livré en 2002 il a d’abord assuré 15 ans de loyaux services chez AA, avant de passer chez DHL puis DHL Austria.

Les compagnies legacy et certaines LCC (par exemple V7, TO) opèrent au terminal 1 historique.
Le terminal 2 plus basique héberge FR, U2 (la compagnie, pas le groupe rock), et plus surprenant, EI en saison.
Le roulage est très court et nous atteignons rapidement le parking, à côté du 738 9H-QBM à destination d’Agadir.

Avec le coup de frein final à 16h22, nous accusons 27min de retard à l’arrivée: une performance bien peu “O’Leary-compatible” :-)
Forcément il y a spontanément un instant Danette et je préfère rester tranquillement assis. D’ailleurs bien m’en a pris, car le CC informe qu’en raison du vent violent le débarquement s’effectue uniquement par la porte avant. Et vu que je suis au tout dernier rang…

Par le hublot, je remarque un appareil d’un autre âge dans la zone de fret.
Le B737-300 EC-KLR et ses vénérables 36 années effectue désormais des rotations cargo avec RNS et TUN.

Haha, pendant tout le vol je ne m’étais pas aperçu de cette bannière publicitaire juste au-dessus de ma tête.

Le vol n’étant pas complet, le débarquement est assez fluide. Et c’est un ciel limpide mais un mistral glacial qui m’accueillent sur le tarmac de MRS.

Il est temps de prendre congé de 9H-QDA qui repartira dans deux heures vers RBA.

Un peu comme au terminal 2G de CDG, je m’attendais à rejoindre rapidement la sortie.
Que nenni! Il faut au contraire parcourir tout un dédale de couloirs.

Les coursives sont loin d’être glamour.

Mais on se retrouve tout de suite plongé dans l’ambiance locale! :-)

Toutes les fenêtres sont opaques. Toutes? Non, une résiste encore et toujours.
Et c’est à travers elle que ma collection de photos s’enrichit d’un spécimen supplémentaire: l’Embraer 175 PH-EXP de la compagnie batave.

“Et ça continue encore et encore…
C'est que le début d'accord, d'accord…”
En tout cas je n’en vois toujours pas le bout - ni des couloirs, ni des autocollants!

Ah ben c’est pas trop tôt; après la Longue Marche j’arrive enfin à la salle de livraison bagages qui est tout aussi basique que le reste du terminal 2.

En revanche je ne m’explique pas pourquoi il y a si peu de pax autour du carrousel.
Soit la livraison de bagages a été sacrément efficace et rapide, soit très peu de personnes ont enregistré des valises.
La question reste encore aujourd’hui non élucidée…

Autant la livraison bagages est déserte, autant la sortie est bondée de personnes accueillant leurs proches et amis. En jouant quelque peu des coudes, je photographie l’unique FIDS des arrivées. Atterrir en provenance de La Rochelle, ce n’est tout de même pas courant!

L’avantage du terminal 2 est qu’il se trouve juste en face des arrêts de bus. Et avec un mistral d’autant plus glacial que le soleil s’est couché, chaque mètre à pied est une épreuve :-) Je cours donc me réfugier dans la navette qui relie l’aéroport à Aix-en-Provence.

Et c’est avec l’itinéraire du jour que ce FR se termine. Comme à chaque fois, merci à ceux et celles qui ont pris le temps de le lire, et à bientôt!

Informations de vol:
Ryanair FR2003 LRH-MRS
Boeing B737-800 9H-QDA
Prévu: 14:35-15:55 (1h20min) / Réel: 15:13-16:22 (1h09min) - Retard 27min
Merci Paul pour le récit et l'exclu sur ces petites transversales où on aimerait bien revoir du AF!
De jolies photos de La Rochelle que je ne connais pas!
Le terminal est tout mignon et lumineux, fort agréable.
LOL l'instant "se présenter immediatement en porte pour un embarquement immédiat" alors que l'avion n'est même pas immédiatement en approche!
Comment était l'atterrissage sur Ryanair?
moi il me fait peur!
quelles somptueueses photos à l'arrivée avec ces belles couleurs
Merci pour les commentaires.
La Rochelle est tout aussi sympathique que son aéroport!
“ Comment était l'atterrissage sur Ryanair?” => tout à fait normal, rien de low-cost…à l’inverse du Terminal 2 de MRS :-)
A bientôt
Comme quoi, un simple vol intérieur peut offrir de si beaux clichés ! LA ROCHELLE, inconnue pour moi aussi bien au niveau aérien que terrestre !
MRS bien connue, merci pour votre FR et la beauté de vos photos !
Au final, un vol RYANAIR qui fait le job sur une liaison hélas abandonnée par AF...
Merci de m’avoir lu.
Un superbe panorama qui a compensé le fait que ce ne soit “que” un simple vol intérieur.
FR a la réputation qu’on lui connaît mais sur ce vol précis, je n’ai pas grand chose à lui reprocher.
A bientôt
Merci pour ce partage. L'aéroport de La Rochelle est petit mais agréable. Un embarquement à pied au large qui permet de photographier l'avion sous presque toutes ses coutures et de très jolies vues au décollage comme à l'atterrissage.
Merci de m’avoir consacré quelques minutes.
C’est tout le charme d’un boarding par piste, et d’autant plus quand personne ne gueule “PAS DE PHOTO” comme à Roissy!
A bientôt
Merci pour ce FR.
Je ne m'attendais pas à un aéroport aussi joli pour La Rochelle.
Et ici , même avec deux vols, il y a un service de transport en commun à un prix ultra compétitif.
Très belles photos de Marseille à l'atterrissage.
A bientôt
Merci pour les commentaires.
Moi aussi j’ai été très agréablement surpris par LRH, en tout cas cela fait honneur à la ville.
“il y a un service de transport en commun à un prix ultra compétitif” => rien à redire. C’est pareil qu’à Caen que j’ai utilisé en début d’année. Dans les deux cas la desserte en bus est à en faire rougir les gros aéroports!
A bientôt
Merci pour ce FR sur une ligne peu commune.
Les vues au départ sont superbes! J'ai eu de bons retours sur La Rochelle, que je ne connais que par le rugby ^^
L'approche sur Marseille est une de mes favorites de France!
Merci de m’avoir lu.
“ une ligne peu commune” => c’est certain, d’autant plus en cette saison. Je pensais vraiment qu’une telle ligne ne fonctionnerait que l’été. D’ailleurs on aime ou on déteste FR mais je lui reconnais au moins le mérite de faire exister cette transversale inattendue.
“ La Rochelle, que je ne connais que par le rugby” => moi c’est par Fort Boyard. A chacun ses références :-)
Merci pour ce report.
Je n’aime ni l’avion, ni la compagnie, mais je dois bine avouer que j’ai vraiment bien aimé la lecture de ce récit.
LRH, ça fait partie de mes objectifs, U2 à une liaison avec LYS ce qui n’est pas pour me déplaire.
La liaison en transports urbains est très aisée et ça, je l’avais déjà repéré. C’est tellement rare cette simplicité à ce niveau tarifaire.
Bons vols
Merci pour les commentaires.
Je craignais le pire en réservant FR. Mais sur ce vol précis, finalement je n’ai rien trouvé à lui reprocher. Il a bien fait le job, sur une liaison transversale un peu inattendue.
“C’est tellement rare cette simplicité à ce niveau tarifaire” => vous avez très bien résumé. De plus gros aéroports devraient s’en inspirer.
A bientôt
Merci pour ce FR
FR n'est pas une compagnie que j'affectionne particulièrement, mais votre récit rend ce FR agréable
LRH, aéroport que je ne connais pas, une architecture très sympa et contemporaine avec tout ce qu'il faut pour y passer un moment agréable en attendant son avion alors que d'autres se précipitent vers le PIF dès l'annonce faite
Voler dans un fer à repasser contrôlé par des ordinateurs, sondes etc... pour le faire voler, mais sans moi
A cette époque de l'année, le soleil rasant vous a permis de faire de beaux clichés et/ou de beau contre-jour
A bientôt
Philippe
Merci de m’avoir consacré quelques minutes.
LRH a été impeccable à chaque étape: au niveau de la desserte en bus, de l’amabilité du personnel, de la propreté. Ensuite c’était fin novembre; en plein été, avec plusieurs vols simultanés, c’est peut-être loins agréable.
FR restera toujours FR, mais il a bien fait le job sur mon vol.
A bientôt
Le départ de cet aéroport bien coquet fait presque oublier la compagnie. On est loin de l’ambiance de BVA.
En ajoutant des conditions sociales comme au Bangladesh, la boucle est bouclée.
Mais la liaison à le mérite d’exister.
C’est une très bonne chose d’embarquer en dernier…
Les vues tant au départ qu’à l’arrivée sont superbes. Quel dommage que le hublot soit sale.
Merci pour le partage Paul et à bientôt.
Merci pour les commentaires.
“ En ajoutant des conditions sociales comme au Bangladesh, la boucle est bouclée. Mais la liaison à le mérite d’exister” => c’est parfaitement résumé. FR - avec la réputation qu’on lui connaît - offre une liaison que d’autres LCC ne desserviraient pas forcément. Je me dis parfois que c’est comme au restaurant: les plats sont bons, mais il faut oublier ce qui se passe dans les cuisines!
A bientôt