De prime abord, je préfère avertir le public que ce vol s'est déroulé de nuit, qu'il est extrêmement court et donc qu'il n'y a que peu de photos. Ça n'a pas été un exercice facile que de rédiger ce report, tant j'aime bien les illustrer et détailler avec du texte l'expérience vécue. Cette dernière a été très bonne… mais si brève. Pardonnez-moi par avance pour ce report dans un format un peu particulier.
Bonjour à tous chers lecteurs,
Suite de mon périple scandinave, avec pour ce segment une 5e liberté, bien trop rares en Europe de nos jours. Celle liaison aérienne sous les couleurs éthiopiennes a déjà été reporté six fois. Mais c’est à chaque fois en Dreamliner. C’est d’ailleurs cet appareil qui était initialement prévu au moment où j’ai réservé.
Ce changement n’est pas pour me déplaire, le 777, il n'y en a plus que 6 en version passagers tandis que la flotte compte aussi 29 Dreamliner, en versions 8 et 9.
Pour mémoire, c'est la sortie de flotte des 737-700 de la Scandinavian Airlines System, qui a conduit à initialement ma présence à Oslo. Le vol ET715 OSL - ARN - ADD étant quotidien, ça facilitait grandement l'organisation de ma sortie aérienne. Et pour 55 euros, j'avais donc réservé une place en éco.
Voici donc le routing.
Enchainement de vols
- 1
- 2ET715 - Business - Oslo - Stockholm-Arlanda - Boeing 777-200LR
- 3SK843 - Économique - Stockholm-Arlanda - Oslo - A320neo
- 4SK837 - Économique - Oslo - Paris-CDG - Boeing 737-700
J'avais reçu un mail de la part d'Ethiopian Airlines quelques jours avant mon départ, me rappelant un certain nombre de choses et me proposant une place en classe affaires aux enchères. La mise minimale était de 90 euros. J'ai pesé le pour et le contre. Dans les contre, il y avait la brièveté du vol. Mais dans les pour, il y avait l'accès au salon. Mais quand on voit le prix pour se nourrir en Norvège ou en Suède, on se dit qu'un passage au lounge, ça pèse dans la balance. Et puis je n'ai voyagé qu'une seule et unique fois en J, je tente donc ma chance en me disant que j'étais quasiment sûr de gagner. La veille du départ, je reçois un mail qui m'indique que j'ai "gagné". Et en plus, j'ai la place 1A. Oui, la 1A. Si on m'avait dit qu'un jour on m'attribuerait cette place…
En attendant, je quitte l'arrêt des taxis et la gare routière d'Oslo-Gardermoen où j'ai été prendre l'air quelques instants.

Le FIDS de l'instant. J'ai beau être pas trop mauvais en géographie européenne, mais là, il y a des bleds que je ne connais pas. Il est vrai que pour certains, il s'agit de bourgades éloignées d'Oslo, et difficiles d'accès par la route. Par exemple, à 19h35, Ørsta-Volda, à peine 10 000 hab.

Je profite d'un guichet SAS pour qu'on édite mon boarding pass pour mon vol ARN - OSL du lendemain. Ça n'a pas été aussi simple que ça, mais avec un peu de persévérance, l'agente a pu sortir ma fiche cartonnée.
Ceci fait, direction les comptoirs d'ET. C'est vaste, en travaux, mais malgré ceux-ci, il y a de la place.

Comme je le disais, direction les comptoirs ET, et ceci pour plusieurs raisons.
La première, c'est que j'ai déjà imprimé ma carte d'embarquement mais c'était du temps où j'étais encore en éco. Je n'avais pas encore remporté l'enchère.
La deuxième, c'est que je veux un souvenir cartonné.
Et là troisième, c'est de connaître le lounge dans lequel je serai accepté.
C'est pas la foule mais c'est pas super bien organisé.
Je vais à la file priority mais les familles lourdement chargées occupent bien le personnel.
Je me fais griller une place par une PAX en éco mais je ne vais pas faire de scandale.

Et voilà donc une magnifique carte qui fera un bon souvenir pour ce vol.

Direction le PIF pour commencer, en fast track ce qui n'est pas habituel pour moi.

C'est bien organisé, pas besoin de tout déballer. En moins de quatre minutes, l'affaire est réglée.
Pas besoin de chercher bien longtemps, le SAS Lounge est bien indiqué.

The SAS Lounge
J'emprunte les escaliers, j'arrive à l'entée où on peut scanner soi-même son BP. Les portes s'ouvrent sur un salon particulièrement chargé.
C'est l'heure de point et il va falloir jouer des coudes.

La tireuse à bière, à deux becs. Voilà qui m'intéresse de prime abord.

Et après coup, je n'avais vu que je l'avais en photo, mais le mec au premier plan à droite, eh bien il ne garde pas un autre tabouret pour une autre personne. Non, quand il s'est barré, il a bien quitté les deux places alors qu'il voyait que d'autres PAX cherchaient un endroit pour se poser. Belle mentalité.

Résultat, dans un premier temps, je me suis placé où il y a le sac (au passage je vous présente donc mon éternel compagnon de voyage qui est certifié "format IATA"). Puis quand Môssieur a daigné prendre ses cliques et ses claques, nous nous sommes installés à trois côte à côte. C'est un peu serré, mais c'est bien plus pratique pour manger un bouillon.

Vraiment pas un choix extraordinaire. Le maigre panel était quand même bon, mais ça ne casse pas trois pattes à un canard confit.

Une partie de mon choix liquide.
Pour résumer, j'ai pu me nourrir, c'est vrai, mais je n'ai pas non plus fait un festin. Ce n'est pas que je sois difficile, loin de là, mais le choix restreint et l'heure qui tourne ont eu tôt fait de siffler la faim fin de la partie. Je ne garderai donc pas un souvenir impérissable de mon troisième lounge.

Retour aux fondamentaux
Il est 17h50, mon vol décolle à 18h45, c'est donc très large, mais il y a un détail qu'il ne faut pas omettre : celui de passer la PAF. En effet, le vol continuant vers Addis-Abeba, il faut donc présenter son passeport.


Résultat, on a le droit de passer au milieu du duty free. J'ai trop de la chance !


Pas ému le moindre du monde par ces étalages, je poursuis mon chemin.

Le passage de la PAF. Il n'y a personne, ça ne mettra pas bien de temps. On me fait passer par un portique sas (ben oui, on est en Scandinavie, on va dire sas, hein ?), et ça a l'air bien plus rapide et plus fiable que nos PARAFE.

J'ai finalement mis plus de temps à sortir et à ranger le passeport qu'à être contrôlé.

Les deux bières bues m'obligent à bifurquer dans ce lieu d'aisance parfaitement propre.


Après une bonne marche, me voilà à bon port. Je ne saurais jamais si les priorités ont été respectées. Mais vu la foule, je ne vais pas faire "péter mon galon" de business.
Et là, c’est le drame. Mon BP est scindé en deux morceaux par la préposée. Pour une fois que j’en avais un vrai de vrai, si beau, avec la 1A. Petit ange parti trop tôt…

Dans le triple sept
Et voilà donc mon deuxième objectif de la journée, cette 5e liberté d'Ethiopian Airlines. Ce n'est pas une exclue, mais pour le passionné que je suis, voyager à bord d'un wide body aux couleurs africaines au sein de l'Europe, c'est une opportunité à ne pas rater. En février dernier, j'avais pu faire l'autre liaison, de Genève à Manchester, avec un A350-900 (voir ici : https://flight-report.com/fr/report/60997/ethiopian-airlines-et728-geneva-gva-manchester-man/).
La machine initialement prévue lors de la réservation était un 787-9 mais finalement, c'est un 777-200LR qui a été déployé. Pour les récits en Dreamliner, vous avez le choix entre six contributeurs, dont voici les liens :
Akivi : https://flight-report.com/fr/report/48258/ethiopian-airlines-et715-oslo-osl-stockholm-arn/
Okapi : https://flight-report.com/fr/report/46494/ethiopian-airlines-et715-oslo-osl-stockholm-arn/
RYRthebest : https://flight-report.com/fr/report/53328/ethiopian-airlines-et715-oslo-osl-stockholm-arn/
SKYTEAMCHC : https://flight-report.com/fr/report/53712/ethiopian-airlines-et715-oslo-osl-stockholm-arn/
Jett Tyler : https://flight-report.com/fr/report/53712/ethiopian-airlines-et715-oslo-osl-stockholm-arn/
Tango_Bravo388 : https://flight-report.com/fr/report/62790/ethiopian-airlines-et715-oslo-osl-stockholm-arn/
Voici enfin l'engin, ou plutôt ce qu'on peut en voir.

Le pédigré du bébé :

Instant porte raté.

Accueil éminemment chaleureux et souriant, ça commence fort. Je tourne à gauche, c’est pas dans mes habitudes.
Nous ne serons que quatre en J.
Voici donc mon trône pour cette petite heure de vol. C'est pas du dernier cri, mais ça me semble confortable.


Le service débutera par une simple bouteille d’eau et la distribution d’un oshibori.
Et je peux déjà profiter d'un siège cossu.

Le contenu de la pochette avec le Selamta, que je trouve très intéressant sur l'évolution de l'Afrique, mais surtout qui a le mérite d'exister encore !

Ce qui nous intéresse le plus dans ce genre de magazine.
Trois nouvelles routes sont mentionnées : Atlanta, Copenhague et Karachi.


Celui-là, je ne l'ai même pas feuilleté.

La safety card plastifiée.


Ce serait pas l'heure de l'apéro ? Beer or champagne? Réponse B ! Avec grâce et sourire.
P.S. J'ai bien entendu demandé l'autorisation de pouvoir photographier la PNC qui était à mes petits soins.

Eh bien à la vôtre chers reporters !

Repartons sur mon environnement proche. Un casque était distribué, mais je ne l'ai pas ouvert.

La télécommande. Un peu usée par le temps…

Gros plan sur les liseuses.

Le seul point négatif question propreté : le porte gobelet qui aurait mérité un nettoyage plus approfondi.

La ceinture qui en a vu.

F-OITN, on est toujours là !

More champagne? Oh yes, of course!
Et de deux ! Et toujours avec ce large sourire.
Une vue plus générale peu de temps avant le repoussage.

Ma belle vue. À noter que la passerelle avant n'a pas été connectée. En même temps, vu le nombre que nous étions en J, ça n'aurait pas apporté un grand bénéfice en fluidité d'embarquement.

Un bien trop bref vol
18h44, on repousse et on débute le taxiing à 18h50.

Je ne vous montrerais qu'une vue psychédélique du roulage. Est-ce de l'art ? Pas sûr.

Un peu plus nette celle-là.

À 18h55, nous nous alignons sur la 01 droite et une minute après, les deux puissants GE-90 nous collent aux sièges.
Les moteurs sont plus silencieux que dans mes souvenirs. Est-ce le fait d'être placé à l’avant ? Pourtant, j'en ai passé du temps dans les 777 et on ne peut pas dire que ce soient des modèles de silence.
Une
La géolocalisation n'est pas de la première jeunesse mais elle évoque pour moi des souvenirs de vols longs courriers à l'époque où je voyageais loin.

Quand le nez de l'appareil est déjà à destination et que sa queue est toujours au point de départ, on se dit que le vol va être court !

On ne peut pas dire que le terme "croisière" soit vraiment adapté à ce vol puisque celle-ci n'a duré que cinq petites minutes au FL 290.
Ça n'aura pas empêché que l'on s'occupe bien de moi.
Bière éthiopienne ? Bien sûr. Plus fraîche, elle aurait été meilleure à moins qu’elle ne se boive ainsi.

Ma charmante hôtesse me propose encore du champagne ou de la bière. Je décline. Elle me suggère alors une spécialité locale que j'accepte volontiers.
La descente a déjà débuté.

Deuxième instant F-OITN !

Notez qu'Ethiopian utilise également le français dans ses messages écrits.

Passage par les toilettes. C'est bien évidemment impeccable.



Déjà Arlanda
Nous nous alignons sur la 01L.
Atterrissage bien marqué qui a déverrouillé les tablettes.

Stockholm et sa région son plongées dans un brouillard assez dense. Nul besoin de flouter les visages.

C'est à regrets que je quitte cette équipage particulièrement chaleureux. J'avoue que dans ces conditions, j'aurais bien aimé poursuivre ma route jusqu'à Addis-Abeba.
Je trouve ce logo élégant et il égaye bien cette cloison.

Et re-instant porte. Bien mieux celui-ci. Parfait même. Ça évitera des coups de fouet intempestifs.

La passerelle n'est pas vitrée. Décidément, ce 777, je ne pourrais pas le voir sous toutes ses coutures.


Coup d'œil aux correspondance, juste par curiosité.

Et ce sera la dernière vue sur mon 77L ET-ANP. Si si, c'est bien lui !

Direction le centre-ville
Ce n'est pas ici que je vais perdre beaucoup de temps.

On est bien à Stockholm et non Addis-Abeba. Mais je n'avais pas trop de doutes là-dessus.

Je suis le fléchage de l'Arlanda Express, le coûteux service ferroviaire dédié qui permet de rejoindre rapidement le centre-ville.

Plongée dans les profondeurs.

Je n'aurais pas trop à attendre. Le service est cadencé et la fréquence est d'un train toutes les quinze minutes.

J'avais acheté mon billet en ligne, mais ça ne donne pas de réduction, si légère soit-elle. Un A/R coûte 600 couronnes, soit 52 euros.

Et voilà mon bateau qui vient de se mettre à quai.

Le confort est correct. Heureusement vu le prix consentit.

C'est plus rapide que notre RER B, mais ça fait cher la vitesse quand même.

Et me voilà arrivé à la gare centrale de Stockholm où je retrouve des trains un peu plus "vintage", avec cette Rc construite en 1984 par ASEA.

Quand je vais me coucher, « mon » vol en est là.

Le vol, selon Flightradar24.

Merci de m'avoir lu.
Merci pour ce FR.
Voilà qui est certainement le moyen le moins cher de boire du champagne en Scandinavie ! ;)
Quelle était l’étiquette arrive ? Je me souviens d’un très bon Lallier entre ADD et JNB.
Le salon SK bondé et à l’offre réduite, c’est habituel.
Voilà des endroits qui ne nous manqueront pas quand SK aura quitté *A (ni les membre *G Eurobonus).
Un service aux petits oignons à bord.
A bientôt.
Merci pour le commentaire.
Quelle était l’étiquette arrive ? Je me souviens d’un très bon Lallier entre ADD et JNB.
Surement un des moins chers. Mais je n'ai pas pris le temps de demander quel était le nom de ce breuvage.
Je ne connaissais pas mais c'est bien décevant.
C'était une belle expérience.
Bons vols
Champagne Victoire (c'est lisible sur le col), déjà ey du Pommery Apanage sur ET
C'est ce qui s'appelle avoir le sens du détail. Merci pour cette précision.
C'est ce qui s'appelle avoir le sens du détail. Merci pour cette précision.
C'est ce qui s'appelle avoir le sens du détail. Merci pour cette précision.
Bonsoir et merci pour le partage,
Une belle prise dans les pays nordiques.
Beaucoup de champagne pour un vol d'une heure.
Le salon avant la PAF n'est possible que parce qu'Oslo n'a pas beaucoup de vols internationaux, à Paris ou Londres ça créerait trop de retards.
A bord le service et le confort sont au-dessus de la concurrence sur cette route.
Bons vols,
Merci pour le commentaire.
Seulement deux verres. Et une bière.
Oui, cette disposition m'a surpris mais vu la fluidité, ça ne pose aucun problème.
Et largement je pense !
Bons vols
Merci Greg pour le partage !
Toujours autant d'humour dans le texte, qu'est ce que c'est agréable à lire. J'ai esquissé un sourire quand tu disais que c'était un vol de nuit et dur pour les photos, tu verras dans mon report à suivre ce que c'est un vol de jour, au couloir aux USA. Même combat ^^ #spoiler
De manière générale j'ai toujours trouvés les lounges SAS assez bondés, agencés de façon a y caser le plus de monde et avec très peu d'espace vital. Quant à la restauration, bien, euh ... non je m'abstiens.
A bord cabine vintage mais un super équipage ! Rien à redire.
Tout comme le double instant porte, pas de fouet intempestif ni pour la première ni pour la deuxième photo !
A bientôt !
Merci Stephan pour le commentaire.
Merci beaucoup pour les encouragements.
C'est vraiment une grande déception. Ça m'a permis de me caler la dent creuse, point-barre.
Cabine confortable, En service, un sans faute. What esle?
Ouf !
Bons vols
Salut Greg et merci pour ce rapport avgeek, une jolie prise même de nuit.
à garder précieusement!
le salon a l'air agréable hormis le manque de politesse de certains.
C'est rare de monter à bord des B772 Ethiopian, je pensais qu'ils avaient tous été retirés.
Le siège en 2-2-2 n'est pas ouf mais pour un si petit vol ça va.
mercio pour la page flotte, Ethiopian a quand même une belle flotte Long Courrier, beaucoup plus en terme de quantité que ses soeurs africaines on dirait.
La PNC a l'air bien agréable oui
Merci le commentaire cher Lyonnais,
La carte d'embarquement a malheureusement été détachée au moment d'embarquer. Grrrrr !
Non, ils font toujours partie de la flotte PAX. Par contre, je ne sais pas si l'arrivée des nouveaux A350-900 et -1000 ne va pas précipiter leur sortie, à moins qu'ET n'envisage encore d'augmenter son réseau.
C'est la plus importante pour l'Afrique.
Ah oui, très attentionnée.
Bons vols
Merci pour le report, super agréable à lire !!
Un upgrade en business plutôt pour s'amuser que pour un véritable intérêt, mais comme tu dis, économiser un repas en Suède ou Norvège c'est toujours ça! Sinon salon pas terrible.
Un bon vol mais du coup aucune prestation à manger ? Seulement à boire ?
52€ l'A/R avec l'Arlanda Express, tout de même, c'est hors de prix ! Il doit sûrement exister des solutions moins onéreuses mais si on reste que quelques heures / 1 nuit, c'est toujours agréable la rapidité. Il faut y mettre le prix
A bientôt
Louri
Merci pour le commentaire.
Merci pour les encouragements.
Ou comment faire d'une pierre deux coups.
Le vol est si court que ça réduit d'autant toute possibilité de restauration.
C'est presque le prix du vol ET OSL - ARN en Y. Mais je n'avais pas le choix.
Bons vols
Une belle occasion de voler Ethiopian sans avoir à aller trop loin. Ils ont plusieurs vols comme celui-ci. J'ai vu un Copenhague - Vienne disponible à la vente aussi.
Bonne idée de se faire plaisir avec l’enchère. En plus en 777-200LR, un avion assez rare.
Pour un vol aussi court, on notera que les PNC font attention à ce que les verres ne se vident pas.
Merci pour ce Fr
Merci Moritz pour le commentaire.
Je pense que ça sera ma prochaine cible.
Si gagner aux enchères était presque logique, le 77L a été un coup de bol, ça c'est sûr.
Et tant mieux ! Mais attention quand même aux abus.
Bons vols
Quelle chance avgeek! Voilà un modèle que j’ai raté plus d’une fois chez Ethiopian, la compagnie adepte des changements d’avion de dernière minute. Le salon est resté le même, espérons que cela change une fois le nouveau propriétaire installé ?
Sinon, un vol très confortable avec doubles rations de bulles. Merci pour ce partage! À bientôt
Merci pour le commentaire Guillaume.
Disons que j'ai la poisse 80% du temps, on peut dire que j'ai eu pas mal de chance sur ce coup ! Pour une fois.
Le changement d'alliance se traduira sans doute par du changement dans la prestation. Reste à savoir si Skyteam apportera un plus ?
J'ai eu l'impression d'être chouchouté par l'hôtesse.
Bons vols et à bientôt