Avis du vol entre Paris et Amsterdam en classe Affaires avec Air France

Suite de mon retour Brésil Allemagne avec le match AF/KL sur moyen-courrier.
Oui car le hasard fait que mon agence de voyage m'a booké sur un CDG-AMS-STR au lieu du direct CDG-STR du soir. L'avantage étant il est vrai d'arriver 4 heures plus tôt tout de même car, [gueulante ON] les liaisons CDG-STR se sont réduites comme peau de chagrin depuis l'après Covid avec au mieux 2 vols quotidiens au lieu de 3 ou 4 avant [geulante OFF] 

Place à Air France en Babybus

Ce routing sera certainement pour moi aussi le dernier en Babybus, l'A318, dont la compagnie code-barre était un grand opérateur et qui faisait la liaison STR-CDG en remplacement des B737-500 avant que Regional puis Hop ne reprenne la ligne. Tarom sort aussi ses A318, les autres sont déjà tous mis au repos pour le transport de passagers sur vols commerciaux. Pourtant ils ont tous moins de 20 ans mais c'est investissement fut une erreur, une de plus, des managements précédents du groupe sortis en grande partie de l'ENA…
J'avoue que cet adieu au A318 m'a motivé à écrire ce récit. 

Le transfert 2E-L au 2F fut très rapide. Seule la sécurité me prendra 5 min car deux postes d'ouverts pour 4-6 personnes devant. Ca reste acceptable ;)
Heureusement car je n'avais que 1h05 de correspondance sur le papier, moins avec notre 1min de retard, puis le temps que la passerelle se mette en place, puis le temps du contrôle passeport / maître chien en passerelle classique des vols ex-Brésil. Mais je dirais une 20aine de minutes pour la correspondance y compris navette et marche. J'ai même dû attendre 5-10min le début d'embarquement ^^.  

Nous sommes enfin lâchés avec un appel prioritaire de la zone 1 (business) et 2 (Sky Priority) en même temps.

Non ce ne sera toujours pas toi mais bien ton ancêtre.

Instant P

Cabine qui ne fait pas son âge mais les A318 ne sont pas si vieux. Je n'ai pas eu le choix de mon siège en rang 1 gauche. On ne peut bien évidemment pas étendre ses jambes :(

La tablette est dans l'accoudoir. Le gros plus des vols Business Air France plutôt que HOP est que le siège mitoyen reste libre.

Nous repoussons dans la purée parisienne et devant le regard d'un très grand ancêtre.

Je passe sur les vues ratées du décollage pour arriver direct à l'objet central de ma comparaison, le service… Il n'y a pas photo. On est sur un vol de 50min et les personnels de cabine délivrent un vrai plateau repas, certes froid mais très recherché. En plus le poisson froid passe très bien mois qui, au contraire, n'accroche pas du tout sur la viande froide. Les couverts et la verrerie ne sont en aucun cas ni en carton ni en bois.

Cette tartelette fut de plus délicieuse.

Alors je sais que la critique n'est pas sur ces vols ultra-courts que je fréquente mais bien sur les CDG-IST/ATH/AGP/TUN… Il serait à mon avis facile d'adapter le tout sur les vols de 3h et plus. Les avions ont un four unique et sur cette durée on peut se permettre d'attendre un peu en ayant par exemple un service d'apéritif. En somme des choses qui semblent simples à mettre en oeuvre. 

Le circuit d'approche nous fait passer par les installations portuaires. 

Et bienvenue à AMS, parfaitement à l'heure.

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Cette image de passerelle m'a toujours fait penser à l'image que j'ai du Nautilus…

Arrivée dans cette jetée C qui a l'avantage d'être proche du salon…

Je n'ai pas parlé du salon du 2F non visité cette fois. Mais je peux reporter mon dernier passage en ces lieux qui date du 4 septembre:
- l'accueil reste charmant avec des personnels pro-actif pour épauler le client
- le bar est maintenant enfin ouvert, tout comme la partie "front cooking" qui sert un plat différent des 3 autres - du moins en fin d'après-midi et soirée
 - les buffets froids restent diversifiés
- il y a maintenant 3 plats chauds différents avec une viande, un poisson et un plat végétarien
Je vous donne RDV au prochain épisode pour la comparaison avec l'infâme Crown Lounge.