Bonjour à tous !
Retournons dans le passé, mais toujours autour de Lille (oui, j'ai enchaîné les voyages dans le Nord quelques mois avant d'y déménager…).
Pour varier un peu des aller-retours sur feue la ligne AF Lyon - Lille, le retour se fera via Bruxelles et Amsterdam.
Le détail du routing est ci-dessous, même s'il sera probablement court vu que tout ceci commence à dater !
Le routing d'un voyage dans le passé
L'origine du voyage est un peu tarabiscotée : En novembre 2022, j'ai été à Chicago. Et comme vous vous en souvenez sans doute (lol, même moi j'avais oublié), le dernier leg de mon voyage d'alors, CDG > LYS, avait été acheté en open-jaw en combinaison avec un LYS > LIL, parce que, magie des tarifs aériens et du tarif "Carte Week-End", ça coûtait moins cher qu'un aller simple.
Et voilà donc d'où sort ce LYS > LIL, initialement prévu le vendredi 3 mars, décalé sans frais au jeudi 2 mars.
J'ai modifié ce vol pour profiter d'un week-end prolongé à Lille puis en Belgique, avec une amie. Et pour le retour, quoi de mieux que de prendre le chemin des écoliers en passant par la ligne la plus inutile du réseau AF/KLM, un BRU-AMS(-LYS) ?
En plus, c'était la solution la moins chère, à 89€ (moins que le TGV ou que Brussels Airlines, qui se fait bien plaisir depuis le départ de Hop! de la ligne BRU-LYS, avec des prix quasiment toujours supérieurs à 100€ sans bagage soute).
Voilà donc le routing, un peu plus original qu'un LYS <> LIL :
Enchainement de vols
- 1AF1568 - Économique - Lyon → Lille - Embraer 170
- 2KL1724 - Économique - Bruxelles → Amsterdam - Boeing 737-800
- 3KL1417 - Économique - Amsterdam → Lyon - Embraer 190
A l'OLCI, je m'étais initialement placé au 01F, ne voyant que peu de doublets de libres ailleurs dans la cabine. Mais le matin du vol, le rang 3 se libère, et le 03D reste affiché comme bloqué, ce qui me semble de bonne augure pour ne pas avoir de voisin !

La ligne Lyon > Lille devient ma spécialité, même si là, promis, c'est mon dernier récit sur la ligne, à moins qu'une autre compagnie aérienne ne reprenne la ligne…
En effet, en préparant ce FR, je viens de me rendre compte que Twin Jet a déjà abandonné la ligne et ce, comme à son habitude, tout en discrétion, en annulant les derniers vols et en retirant discrètement la destination de son site Web.
Je ne suis guère surpris, Air France remplissait ses vols vers Lille quasiment uniquement grâce au hub Hop!, avec des clients depuis les autres destinations françaises, hub dont ne profitait pas vraiment Twin Jet vu les horaires des vols…
Du coup, ce récit sera le 10e et probablement dernier Lyon > Lille sur Flight Report, le 3e d'affilée venant de moi (4e en tout).
Et, à l'époque, c'était mon 7e passage à Lille, et mon 7e vol en Embraer 170 (dont 5 depuis/vers Lille, décidément).
Sur ce, allons-y !
LYS ensoleillé, LYS fréquenté, mais LYS… J'ai pas de rime en é qui colle, désolé.
Après une approche sans surprise en Rhônexpress (enfin, si, des personnes qui montent à Meyzieu Z.I., je n'avais jamais vu ça !), j'arrive devant la gare de Saint-Exupéry, resplendissante sous le soleil !

Et elle est bien remplie, avec un TGV pour Miramas et un Ouigo pour Marseille qui partiront bientôt.

Avec ce beau temps, pas de raison de faire un détour par l'ancien terminal 1 pour rester à l'abri !

Et en plus, ça permet de contempler le "nouveau" terminal 1, que je trouve toujours aussi beau.

Et ici aussi, c'est bien fréquenté.

Cela s'explique par les nombreux vols vers des "hubs prévus prochainement, vers CDG, IST, FRA ou encore DXB… Et oui, je suis bien en avance, j'ai réalisé mon trajet vers l'aéroport sur ma pause de midi.

Ayant une valise à enregistrer, direction les comptoirs, où mon attente sera nulle.

Le personnel est souriant, et ma valise est prête pour partir dans les entrailles de l'aéroport !

Elle fait 10 kilos, principalement des bouteilles de Beaujolais… Je répands la bonne bibine à travers le monde.

L'hôtesse souriante me remet ma carte d'embarquement, je file vers l'étage…

Le PIF semble bien chargé (même s'il y a de la marge dans les filoguides).

Le coupe-file est appréciable dans ce cas. Lyon Aéroports fait sa pub pour le service d'accueil personnalisé, pas vraiment donné (200€ dans le sens des départs), et dont je doute de l'utilité pour un aéroport de taille raisonnable.

Je passe sans la moindre attente au PIF, malgré la foule. Six files sont ouvertes, ce qui est beaucoup pour LYS ! Le duty-free est toujours en mode "déco hivernale".

Le nombre maximal de personnes dans la boutique est pour le moins… Précis !

Vue sur la rotonde, qui est là aussi très chargée.

Idem dans l'espace de restauration où il semble compliqué de trouver une table libre.

Confluence bondée mais bien achalandée
Mais je compte pour ma part me restaurer au salon, allons-y donc !

L'accueil y est cordial, et là aussi, il y a du monde…

Mais fort heureusement, mon trou de hobbit est quasiment vide ! Je suis joie ! L'effet des poteaux de filoguides de chaque côté de l'entrée, les non habitués pensent que c'est signe que l'endroit est réservé… Tant mieux pour moi.

En plus, la "cheminée" est allumée, ça ajoute encore du charme à ce petit coin.

Je file au buffet, avec des cold cuts et quelques salades…

Une quiche lorraine en chaud.

Et du choix en sucré !

Le vin, à l'époque, était toujours ce Pays d'Oc Marius pas terrible…

Les frigos, avec les boissons fraîches, ainsi que du saumon, des oeufs durs et quelques autres choses à grignoter.

Sur le petit buffet au milieu du salon, d'autres petits plaisirs sucrés.

Et une quiche saumon épinards, des nems, et une cocotte…

Cocotte qui contient de la ratatouille, la présence d'un plat chaud était nouvelle à l'époque au salon.

Et voilà ma sympathique sélection, histoire d'accompagner ma courte après-midi de travail.

Les documents de voyage, je pars de la porte D16, pour une fois j'évite la D02.

Petit tour aux sanitaires, propres et fonctionnels.

Air France Hop! hangarisé
Après deux heures au salon, je récupère mes affaires pour filer au satellite D. On voit là l'aberration du hub Hop!, relégué au fond dans le satellite D, alors que les low-cost sont en passerelle dans le terminal principal. Ici, un A320 easyJet qui embarque pour Marrakech.

La rotonde est toujours animée, et les filoguides pour accéder à l'étage supérieur (hors-Schengen) ne sont pas remplis. Cela dit, pour qu'ils le soient, il faut déjà que la file d'attente à la PAF à l'étage déborde allègrement…

C'est l'heure de la transhumance tri-quotidienne vers le hub Hop!

Sur la gauche, deux autres appareils U2 ainsi qu'un AnadoluJet sont en porte, tandis qu'au large on trouve Volotea, et encore un U2, décidément le maître du tarmac lyonnais quand Hop! n'est pas là.

Enfonçons nous dans les profondeurs de LYS…

Pour profiter des tapis roulant en travaux. Ah, joie !

Là encore, il y a foule !

Ah, c'était le bon temps où les A321 servaient encore sur le hub Hop!..
Ici, pour Bordeaux. La ligne est passée en A320 courant mars, puis A319 à partir d'avril, et désormais en Embraer 190 dès la rentrée de septembre 2023…

A gauche, c'est Toulouse qui est desservie avec cet A320 (desserte également passée en E-190).

Et là un Embraer 170 pour Brest. Là, pas de changement de module, on est déjà sur ce qui se fait de plus petit chez Hop!, depuis le départ des ERJ145.

Ma porte est tout au fond du hangar. A gauche, la porte pour Nantes est bien blindée. Et bien peu adaptée à une compagnie comme Air France.

Pour Lille, c'est moins chargé, et je peux m'adosser sur un boudin (je ne parle pas d'un autre voyageur hein) à proximité de la porte.

L'embarquement n'a pas encore commencé, mais mes bagages sont déjà bien chargés à bord, d'après l'application Air France.

Tour d'horizon d'un 170
L'embarquement est lancé à 16h20, je suis en pole position.

Alors que je m'apprête à tirer le portrait du coucou du jour, un agent au sol qui allait passer devant moi se recule, et m'invite à faire mes photos, s'excusant même d'avoir failli passer devant mon objectif. LYS n'est clairement pas photophobe !
Et voilà donc F-HBXB, le deuxième Embraer 170 livré à Regional en 2008. Il s'agit de l'un des 5 E-170 qui porte la "nouvelle" livrée Air France Hop! (sur les 13 de la flotte).
Et je ne l'ai jamais pris avant, voilà donc mon 6e E-170 Hop! logué.

L'accueil en porte est souriant et sympathique, je file à mon 03F.

L'embarquement se fait tranquillement, sans se presser…

Le winglet est joliment décoré de la crevette Air France !

Qui va gagner la course : Le camion Scania de kérosène, ou le Boeing 737-800 de Transavia qui part pour Marrakech ?

Revenons à mon siège, où le legroom est plutôt limité pour ma grande taille.

Siglée, la ceinture n'est pas…

Plafonnier Embraer classique, avec la tringle de séparation Y/J, pas utilisée sur ce vol ne proposant pas de J.

Comme d'habitude à bord des vols AF, des lingettes désinfectantes sont disponibles à la porte de l'avion.

L'embarquement est terminé en une dizaine de minutes et… tadaaaa ! Pas de voisin, me voilà joyeux.

Il est donc l'heure de compulser cette notice de sécurité, qui a bien vécu.

On peut noter que le Wifi n'est pas autorisé à bord… Est-ce que le Wifi proposé à bord des autres appareils AF a une configuration spécifique pour empêcher les interférences ?

Départ panoramique
Le commandant réalise l'habituelle annonce de bienvenue, notre départ est prévu dans quelques minutes, avec un temps de vol d'une heure et du beau temps sur le parcours.
EasyJet part à vide pour se positionner sur un autre hub, celui de Milano MXP. Et derrière le winglet, un autre U2 s'apprête à décoller, celui-là en service commercial, pour Marrakech, en concurrence frontale avec le vol Transavia parti quelques minutes plus tôt.

On repousse finalement à 16h36, avec une vue sur le hangar de maintenance Hop!

Au loin, deux Airbus A330 se reposent, dont un Corsair attendant de repartir sur La Réunion.

On s'aligne sur la 35L…

Et décollage à 16h44, après 1.300 mètres de piste avalés, suivi de près par notre ombre !

Le train d'atterrissage rentre tranquillement dans son emplacement, on a une belle vue sur Saugnieu…

Et c'est encore plus beau avec le winglet !

Le petit village de Janneyrias, avec au nord l'usine Geismar (anciennement Mecanofer), spécialisée notamment dans la construction d'engins rail-route, comme ceux utilisés sur le réseau tramway de Lyon.

On approche du Rhône, et du golf club de Lyon, situé dans un ancien méandre du fleuve…

Mais dis donc, ne serait-ce pas un charmant winglet ?! Au fond, les panaches de fumée de la centrale de Bugey.

On vire vers le nord-ouest, avec au fond Bourg-en-Bresse…

On passe en Bourgogne, après avoir traversé la Saône et survolé Mâcon…

Et on passe au-dessus des nuages (j'aime bien la forme de celui-là d'ailleurs !).

Entracte collation et sanitaire, puis reprise du vol touristique
Le service vient m'occuper alors que les paysages ne sont plus disponibles. J'accompagne mes sablés aux amandes d'un thé et d'un verre d'eau. Un de mes voisins en 03A/C prendra une mignonette de whisky, je ne savais pas que les alcools forts étaient disponibles sur les vols domestiques Hop!

Thé oblige, je pars visiter les latrines, propres et bien tenus.

Avec toujours une pensée pour Katia, malgré l'espace restreint (je nettoie le plafond avec mes cheveux, à moins que ça ne soit l'inverse).

Pour compenser l'absence d'instant porte à l'embarquement, en voilà un de l'intérieur ! Chez Embraer, c'est une sorte de brassard qui est mis sur la poignée afin de rappeler l'armement du toboggan.

De retour à ma place, une passagère me demande, avec l'accord de l'hôtesse, si elle peut placer sa valise à côté de moi. Elle est assise au rang 2, et sa valise était reléguée tout au fond de l'avion, car trop grosse pour passer dans les coffres. Ca lui évitera d'avoir à attendre tout le débarquement pour aller la récupérer, et ça ne me gêne pas spécialement (mais je ne sais pas si c'est conforme aux règles de sécurité).

La descente commence à 17h20, le cockpit nous annonce un atterrissage dans 20 minutes. On passe au large d'Eppeville et de Ham dans la Somme. Pendant la Révolution, cette dernière sera renommée en… Sparte. Original !

Au fait, je vous ai parlé du winglet ?!

Pardon, j'arrête. On passe vers Péronne, qui a une histoire assez riche. Mais c'est surtout pour son rôle pivot pendant la première guerre mondiale qu'elle est connue. Occupée en août 1914 par les Allemands, elle est reprise par les Français pendant la bataille de la Marne quelques semaines plus tard, et à nouveau occupée par les Allemands fin septembre.
La ville restera sous emprise germanique jusqu'en 1917, avec le repli de l'armée allemande. Mais de mars à août 1918, la ville sera à nouveau occupée par les troupes de l'empire allemand, avant d'être enfin libérée début septembre 1918 par les troupes australiennes.
Avec tous ces combats, la ville sort de la guerre totalement détruite.

La vallée de la Scarpe et ses marais, entre Athies et Fampoux. C'est dans cette dernière ville qu'aura lieu une catastrophe ferroviaire en 1846, seulement quelques semaines après l'inauguration de la ligne Paris - Lille, lorsqu'un long et lourd train de voyageurs entre Paris et Lille/Valenciennes (les deux tranches étaient réunies en un seul train) chuta en partie du viaduc de la Scarpe pour plonger dans une tourbière située en contrebas.
Les causes de l'accident sont difficiles à établir avec certitude, vitesse excessive du train ou remblai affaissé et fragilisé… Le bilan officiel est de 14 morts, mais plusieurs témoins affirment que celui-ci serait de plusieurs centaines de morts. Sans doute une certaine exagération, mais peut-être que le bilan officiel était un peu sous-estimé malgré tout.

On survole ensuite la commune d'Avion, plutôt bien nommée ! On y trouvait 3 puits de mine dans le temps, dont 2 sont actuellement toujours exploité, mais désormais Par Gazonor, pour l'exploitation du grisou, utilisé pour la production d'électricité. L'exploitation de ce gaz permet en outre de limiter le risque d'explosions dans les anciens gisements exploités, ayant libérés ce gaz redouté des mineurs.

Juste après, on passe Lens, avec le stade Bollaert des Sang et Or.

On vire vers l'est pour s'aligner avec la piste de LIL, au-dessus de Hulluch et de Haisnes, avec sur la droite, un peu en haut, le terril 73 de la fosse n°18 de Lens.

Entre Billy-Berclau (en bas) et Wingles (en haut) se trouve le marais de Wingles, d'anciens terrils plats de la fosse 3 et 4 de Meurchin revenus à la vie sauvage.

Survol d'Annœullin, commune connue pour… Euh… Être la commune de naissance de Dodo la Saumure ? On a les personnalités qu'on peut hein…

Gondecourt ensuite, et son pré à vaches au beau milieu du village…

Seclin, et son vaste pôle de santé dans le coin bas-droit, avec un hôpital, un EHPAD, une unité psychiatrique pour les détenus… En bas au centre, on peut voir les bâtiments de l'hôpital Notre-Dame, fondé dès le XIIIe siècle, qui a accueilli des sœurs jusqu'en 2013. La tradition hospitalière de la ville remonte à loin !

J'ai failli louper le fort de Seclin ! Construit après la guerre de 1870, avec 11 autres forts, pour constituer une ceinture de défense autour de Lille. Le site où il a été construit abritait, il y a bien longtemps, à l'époque gallo-romaine, un vaste camp romain.

Débarquement en terres nordistes
Allez, fin de l'approche touristique, l'aéroport est en vue, avec le seuil de la piste 01 au loin !

Et on se pose tout en douceur à 17h40 sur la piste 08, après un peu moins d'une heure de vol.

Freinage délicat, car il nous faut de toute façon aller chercher le taxiway à l'autre bout de la piste…

La plateforme lilloise n'est pas très fréquentée, au moins la vue est imprenable sur le terminal…

Dernier virage et arrivée au bloc à 17h44, avec un bon quart d'heure d'avance sur l'horaire. Au fond, Volotea au parking.

Le débarquement se fait rapidement, avec un dernier regard sur le coucou du jour, qui repartira sur Lyon dans un peu moins d'une heure.

Le couloir de débarquement longe la baie vitrée, avec une belle vue sur le tarmac…

Volotea embarque ses derniers passagers pour Toulouse…

Dur de se tromper de tapis bagage à Lille, il n'y en a que deux. Ca sera le 1 pour moi…

A peine ai-je le temps de passer au pipi-room (propre) que les valises sont livrées !

Plus qu'à rejoindre la sortie !

A l'époque, la navette aéroport ne circulait que toutes les heures, n'ayant guère envie d'attendre une grosse demi-heure, ça sera en Uber que je rejoindrai le centre, pour une trentaine d'€uros…

On termine le récit avec la trace radar du vol, trajectoire classique, à une altitude plutôt basse pour ce vol, 26.000 pieds, et une approche par depuis l'ouest sur LIL.

Bonus culinaire
Je ne résiste pas à l'envie de vous partager la légèreté de mes repas quand je suis à Lille, en guise de petit bonus gastronomique.
On commence par deux "petits" os à moelle en entrée, histoire de se mettre en appétit…

On poursuit avec une carbonade flamande fort sympathique (eh oui, accompagnée de vin et pas de bière !)…

Et bon, pour le dessert, rien de très local, un simple moelleux chocolat… Mais il faut bien ça pour faire couler le repas !

Sur cette note sucrée, je vous abandonne pour ce premier vol "vintage" !
Merci à tous pour votre lecture, vos commentaires, et on se retrouve bientôt pour la suite :)
Salut l'ami ex-lyonnais et merci pour sans doute le dernier FR sur la liaison. Tristesse de voir ce reseau hop qui ne cesse de se reduire et comme tu le disais sur les lyon-bordeaux où l'on est passé du 320 à maintenant au E190...
En esperant qu'AF ne prepare pas le coup de la fermeture d'orly en parlant de demande qui baisse avec cette technique!
Hormis pendant le covid je n'avais plus vu d'embraer sur bordeaux c'est dommage.
Le passage pif expedié et salon qui tient la route avec "ton" fameux trou de hobit ou je me rends à chaque fois egalement.
Passage aux hangars low cost pouah.
Je ne savais pas pour la mignonette non plus...
À bientot!
Salut l'ami nordisto-lyonnais et bien sûr, Bienvenu chez les Ch'tis !!!
Merci pour le partage de l'une des dernières liaison qui permet de rallier la capitale des Gaules avec notre beau pays le Nord ! Ca fait mal de voir toutes ces liaisons domestiques Air France disparaître l'une après l'autre... J'espère que cela ne sera pas le cas pour toutes les lignes. Il n'y a plus qu'à espérer une demande suffisamment forte pour les fêtes de fin d'année pour envisager un renversement de situation, notamment pour les lignes comme Lyon-Bordeaux.
A très vite et au plaisir de te croiser un jour dans le nord !
Merci Robin pour le partage !
Ah ce réseau HOP! qui diminue comme le vin d'un verre d'un certain lyonnais, qui a d'ailleurs commenté plus haut.
De mémoire à bord, il reste whisky et cognac en alcool fort, rien d'autre.
La pensée à Katia, un moment toujours plein d'émotion.
Merci pour la porte, même à l'intérieur ça reste un instant porte :)
A bientôt !