Enchainement de vols
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Retour vers Paris après 3 jours de détente avec des amis à Biarritz ou il a fait beau et la température de l'océan était parfaite : je serais bien resté plus longtemps 'autant plus que mes amis étaient la jusqu'à mercredi ! Comme à l'aller j'ai pris le bus pour le trajet
AEROPORT DE BIARRITZ


Mon sac de voyage et les flammes du moment.

Plusieurs vols partent aux alentours de la même heure et il y a la queue devant le comptoir d'enregistrement pour le vol AF vers Paris. Pour ma part je passe le PIF rapidement avec mon bagage cabine.

Après une pause café au rez-de-chaussée, je prend l'Escalator qui conduit à l'étage.
Les vols Swiss vers Genève et Air France vers Lyon sont en cours d'embarquement. Celui de Transavia vers Orly est pour plus tard.



Plusieurs bornes de recharge sont installés dans les salles d'embarquement.

Raynair s'en va.

Swiss arrive

Air FRance/ Hop s'en va à son tour.

Notre appareil est en route et prévu avec 5 minutes de retard.

Le voici.

Il y a relève d'équipage celui arrivé de Paris dormira à Biarritz. Il y a pire comme découché surtout l'été !

A BORD
L'embarquement est un peu confus et nous attendons un peu en passerelle.

Le CC et un steward nous accueillent en porte.

Je m'assied au 4F


Le commandant fait une annonce de bienvenue et les PNC prennent la relève pour les démonstrations de sécurité alors que nous repoussons

Le petit appareil devant nous attend en seuil de piste attend l'atterrissage du vol Transavia.

Un autre avion nous suit.

Le Transavia est arrivé au parking.

Survol de Biarritz de la cote des basques et de la grand plage.

Nous longeons la cote landaise et ses plages interminables un bon moment.

Les PNC passent en cabine pour le service. Coca, eau et un palet breton.

Le ciels se couvre de nuages au moment de notre progression vers Paris.

Les consignes de notre A320.

Nous approchons de Paris , les signaux s'allument et l'équipage prend sa place à l'avant après avoir vérifié les ceintures.

L'appli nous indique que nous sommes proches.


Un temps gris et une température fraiche nous attendent à Paris. Beaucoup d'avions sont sur le départ.

Nous venons nous parquer au 2F juste à coté de Saint jean de Luz sur lequel j'ai effectué le vol aller.

A très bientôt pour de nous récits.
Merci pour le partage de ce vol domestique.
BIQ-LYS, une des rares transversales Hop qui a survécu.
Magnifique vue sur Biarritz après le décollage.
“et le plate breton” => Montée en gamme du catering: un plateau breton aurait-il remplacé le palet breton? :-)
A bientôt
Merci de ton commentaire ! J'ai corrigé le plate breton en palet breton. J'imagine bien un plateau breton : huitres, galettes et Kouign Amann avec une bolée de cidre ;-)
Merci pour ce FR
Il va même attendre un peu plus ... les turbulences de sillage pour un tagazou, c'est mortel. Je me souviens d'un vol où, à l'atterrissage j'étais un peu trop dans le sillage d'un petit bimoteur, j'au du faire une brusque remis de gaz avec mon PA-11 pour ne pas perdre le contrôle en finale.
Un palet breton, 5 litres de salive
Merci de ton commentaire tout à fait exact sur le petit avion et les turbulences. Pour le palet breton c'est un litre se salive par paquet de beurre ;-)
Merci Christophe. Un vol efficace qui te ramène au bercail, ce n'est que pour mieux repartir ;-)
BIQ a la chance d'avoir gardé AF et un trafic soutenu.
A bientôt.
Hello Stephane. Biarritz a gardé CDG car il y a pas mal de correspondances dont une bonne partie de voyageurs espagnols du pays basque qui transitent par Paris. Il y aussi une clientèle "chic" pour les golfs, hotels de luxe et résidence secondaires de la région de la région. Le traffic international est saisonnier mais en saison il y a Francfort, Zurich, Munich, Copenhague Bruxelles Dublin, Genève et Luxembourg qui complètent Lyon Brest et Londres et Paris avec AF et TO pour Orly. Plus de 930 000 PAX en 2022 !