Bonjour à tous, et merci d'avoir cliqué sur ce report malgré une vignette dégueulasse ! (Je sais qu'une photo de couverture d'autopsie de sandwich m'amputera de la moitié de ma faible audience, mais j'accepte)
On se retrouve pour un nouveau petit périple, et pour reprendre les bonnes vieilles habitudes, un périple sans queue ni tête !
Une petite explication du routing ci-dessous :
Un routing farfelu, un vol prévu complet
L'origine du voyage est un simple week-end passé à Paris avec une amie, pour aller à Orsay, Montmartre ou encore l'Opéra…
En partant de Lyon, la solution logique est le TGV ou le Frecciarossa, le samedi matin, à quelques dizaines d'€uros pour 2 heures de trajet.
Mais vous savez mon amour pour les détours ! Pour être franc, je ne me rappelle plus pourquoi, mais je me suis visiblement dit, un mois avant le voyage, dans mon cerveau torturé, qu'il serait fun d'y aller en avion, qui plus est, en passant une nuit à Amsterdam.
Je pars donc sur un vol Lyon - Amsterdam le vendredi en début d'après-midi, suivi d'un vol Amsterdam - Paris le samedi matin. Je rajoute à cela une nuit au Novotel de Schiphol, situé à quatre minutes en train de l'aéroport, pour un tarif assez modeste (environ 90€ la nuit), et qui est tout à fait confortable. En plus, le bar propose toute une variété de gins et de tonics, ce qui n'est pas pour me déplaire !
J'arrive donc à un trajet 200€ plus cher et 14 heures plus long que le train, mais qui aura le mérite de m'amuser un peu (et de me faire gagner quelques XP Flying Blue et points Accor).
Le retour sera lui réalisé en TGV direct, payé par mon employeur, car j'enchaîne après le week-end mon déplacement pro mensuel à Paris.
Le routing est donc le suivant :
Enchainement de vols
- 1KL1416 - Économique - Lyon → Amsterdam - Embraer 190
- 2KL1229 - Économique - Amsterdam → Paris CDG - Boeing 737-800
- 3TGV 6627 - Première - Paris → Lyon - TGV Océane
Lorsque l'OLCI ouvre, comme d'habitude chez KLM, les sièges avant non utilisé par la J sont libérés et passent en Eco Comfort. Je sélectionne donc le 03F, sans voisin, côté Alpes et côté opposé au soleil.
La J est quasiment vide, avec un seul siège occupé, et un surclassement proposé à 89€. Un tarif que je trouverai correct si le siège voisin était neutralisé, ce qui n'est malheureusement pas le cas sur les Embraer KLM.

Malheureusement, le matin du vol, le plan cabine s'est considérablement rempli, j'ai récupéré un voisin, et le vol sera probablement totalement complet…

Allez, un peu de stats !
La liaison Lyon - Amsterdam de KLM a été reportée un certain nombre de fois, 25 fois (3 fois en J, 22 en Y), dont 8 fois par… Moi. Du coup, pas vraiment d'inédit, mais bon, voilà !
Pour moi, ça sera mon 12e vol sur la ligne (eh oui, 3 n'ont pas été reportés), et aussi mon 12e vol sur KLM Cityhopper. Par contre, ça sera le 23e sur Embraer 190 et mon 47e sur un appareil du constructeur brésilien.
Je peux aussi dire que ça sera mon 50e mouvement (arrivée ou départ) sur AMS, en 13 ans depuis mon premier passage aux Pays-Bas, soit un vol tous les 96 jours en moyenne (en sachant qu'après mes deux premiers passages, je n'y suis pas retourné pendant 7 ans et demi, ça n'est pas mal !).
Petite balade à LYS
Fraîchement rentré de Nantes, après être fraîchement rentré de Monastir, je profite de l'arrivée du printemps dans le jardin de mon père avant de prendre la route pour l'aéroport…

Je me gare au P5, afin d'avoir ma voiture à l'aéroport quand je rentrerai tard d'un autre voyage, deux semaines après.
Je file tout au bout du P5, cela a de multiples avantages : Beaucoup plus de places libres (et donc moins de marche jusqu'à l'arrêt de la navette, que l'on voit derrière), et au retour, c'est le premier arrêt du bus, donc je serai dehors plus rapidement, surtout qu'une sortie secondaire se situe juste à côté de l'autre extrémité du P5.
Bref ! J'y suis plus de trois heures avant le départ de mon vol, afin de glander au salon (et d'y faire mes réunions, aussi).

A peine arrivé à l'arrêt de bus que celui-ci s'amène !

Et à bord, il y a du monde ! J'ai pris la photo au premier arrêt, mais au dernier avant le terminal, on se serait cru dans un bus RATP un jour de grève. Et avantage de monter au premier arrêt, je peux m'asseoir !

J'arrive finalement entier au T1, 12 minutes après m'être garé, plutôt efficace.

A l'intérieur, un peu de monde, le café Confluences tourne bien.

Le FIDS est bien rempli, malgré les vols pour Porto, Madrid et Istanbul annulés !

Aux comptoirs Air France, c'est très vide : le vol pour CDG est en train d'embarquer, et le prochain au départ, celui d'AMS, part dans 3h30.

Mais malgré cette large avance, il est possible d'enregistrer ma valise ! Je demande à ne l'enregistrer que jusqu'à AMS, et pas jusqu'à CDG comme le voudrait le système par défaut.

Après quelques manips, c'est chose faite par une agente sympathique qui me remet mon BP, un peu surprise par mon trajet toutefois. Direction l'étage pour passer airside !

Du monde à l'entrée du filtre…

Heureusement, le coupe-file est lui désert !

Le PIF est passé en un clignement d'œil (d'environ 4 minutes le clignement), le duty-free me tend les bras…

Une fois passé ce dernier obstacle, me voilà au bord de la rotonde, où une petite zone est en travaux. Le "food court" à droite est bien fréquenté.

Le salon Confluence, version déjeuner
Je file vers le salon sans demander mon reste, je suis censé être en réunion depuis sept minutes !

Accueil souriant, comme d'habitude, et direction mon trou de hobbit pour ma réunion ! (Que je ferai évidemment à voix basse, histoire de respecter mes voisins)

Bon, au passage, je récupère quand même de quoi me sustenter un minimum… L'offre étant en cours de changement à mon arrivée, ça sera viennoiseries et jus d'orange pour ce premier passage.

La documentation de voyage du jour, mon vol partira de la porte B01.

Une fois mon devoir professionnel réalisé, direction les buffets pour voir l'offre du midi ! On trouve donc des nems au poulet et des samosas végé chauds.

Et on a aussi de la ratatouille ! Bon, je n'aime pas ça, mais c'est sympathique d'avoir de "vrais" plats chauds désormais à LYS.

Comme d'habitude, dans les frigos, l'offre liquide ainsi que du saumon fumé, des œufs durs et autres machins du genre.

Et le buffet froid, avec fromages, charcuteries, et bar à salades, assez fourni !

Et, Ô surprise, un nouveau vin rouge a fait son apparition ! Un Côtes du Rhône, un peu plus local que le Pays d'Oc proposé habituellement (à droite ici). Bon, après recherche, c'est visiblement plutôt un vin du sud de l'appellation, donc pas en Auvergne-Rhône-Alpes, mais hein, voilà, c'est déjà mieux.

Le salon est globalement calme…

Voilà ma modeste sélection (avec aussi le sucré que je n'ai pas pris en photo dans le buffet), globalement, le tout est plutôt bon, même si c'est assez basique. Ca fait bien l'affaire quoi !
Par contre, le vin n'est pas vraiment mieux que celui du Pays d'Oc. Mais bon, maintenant on a de la piquette bien de chez nous !

Embarquement dans un Schtroumpf
Après un agréable moment au salon, je quitte les lieux un quart d'heure avant l'embarquement, pour me balader un peu dans l'aéroport…

Sur le tarmac, un 737 Transavia, et un A320 easyJet qui s'est posé en urgence quelques heures plus tôt : Il reliait Nice à Orly lorsque de la fumée a fait son apparition dans le cockpit, justifiant un détournement sur la plateforme lyonnaise.
Moins d'un mois plus tard, ça sera un vol Orly > Nice de la compagnie orange qui sera à nouveau dérouté sur Lyon, cette fois en raison d'un feu moteur (heureusement une fausse alerte).

En porte B01, le vol est bien affiché, les agents s'occupent de gérer l'arrivée de l'appareil, qui sont redirigés vers l'étage, et donc la PAF… Ce traitement peu conforme à Schengen n'est habituellement infligé qu'aux vols venant d'Europe du Sud.

Appareil que voilà, vu à travers le vitrage du couloir des arrivées et ses filtres anti-soleil. Et j'aperçois ma valise dans les chariots bagages !

Le nettoyage est terminé, l'embarquement ne devrait pas trop tarder…

Il est finalement lancé à 13h55, avec une dizaine de minutes de retard. Le passager devant moi est surclassé en J, le vol est vraiment prévu très complet ! Malheureusement, pour moi, pas de bip rouge, direction ma classe Eco donc.

Mais comme le dit Sixt, "La classe peut être économique !". Oui, bon, ils sont aussi bons en jeux de mots que moi en photos.

Tentative de fuselage-shot, l'appareil du jour est PH-EZP, un Embraer 190 livré en avril 2010 à Cityhopper. Je l'ai déjà pris une fois, entre Amsterdam et Lyon en mai 2022.

Instant porte, charmante avec cette couleur bleuet !

Depuis l'année dernière, l'appareil a gagné les nouvelles cabines, que personnellement j'apprécie ! La rénovation s'est faite en août 2022, à l'aéroport de Varsovie.
L'accueil en porte était souriant, et une musique d'embarquement est diffusée, ce qui est assez rare et aléatoire chez KLM.

Allez, découverte de cette cabine, que j'ai déjà vu sur 737 et Embraer E2, mais pas encore sur les Embraer 190. Je rappelle que les sièges à l'avant (où je suis installé) sont plus confortables que ceux à l'arrière, nettement plus simples et moins équipés.
Ici, les têtières sont réglables en hauteur et sur les côtés…

Le dossier comporte un repose-téléphone ou tablette, pour s'adapter aux usages modernes…

Et pour s'adapter à ma petite personne, des patères sont disponibles, discrètes toutefois.

Des prises USB sont à disposition en bas du siège.

Et le pas est bien généreux. Mais pour un siège normalement payant, c'est la moindre des choses.

Par contre, le plafonnier n'a pas évolué…

Et la ceinture, si elle a changé de couleur, n'est toujours pas siglée.

Embraer oblige, le hublot n'est pas très bien aligné…

Dehors, le chargement des bagages se poursuit tranquillement.

Allez, consultons le contenu de la pochette, avec ce magazine de bord bienvenu !

Le journal met en valeur une destination qui me tente beaucoup… Même si je ne sais pas quand est-ce que j'y mettrai les pieds !

La carte du réseau européen, où la Russie et l'Ukraine sont toujours desservies…

La page de la flotte KLM, avec le nombre de 737-700 qui diminue de mois en mois…

Dans la pochette se trouve aussi le menu de Business d'un précédent vol. Alors à défaut d'avoir été surclassé, regardons ce qu'on peut manger à l'avant chez Cityhopper !

Une salade de fruits pas folle avec du muesli à la cannelle (ma bête noire), et des blinis avec saumon fumé et fromage aux herbes. Rien de bien fou. La carte des boissons est assez complète par contre !

C'est bon, ma valise grimpe à bord !

C'est confirmé par l'appli Air France d'ailleurs.

Et le dernier passager grimpe aussi à bord, d'ailleurs. Il est 14h10, et… On attend. A côté de nous, connecté en passerelle à l'ancien T1, Volotea en A319 qui arrive de Prague.

L'occasion de consulter la safety card, qui est commune aux E175 et E190, bien que la disposition des issues de secours soit différente.


Patience…
Le commandant prend la parole à 14h20 pour nous annoncer 1h10 de vol, mais un départ retardé d'encore environ 15 minutes en raison du créneau donné par le contrôle aérien.
Finalement, on peut repousser dès 14h30 !

Au satellite D, Pegasus côtoie des easyJet.
Une fois le tracteur détaché, rien ne se passe. Au bout de quelques minutes, le commandant de bord reprend la parole pour indiquer qu'un ordinateur de bord rencontre un problème technique, et qu'il lui faut éteindre tous les systèmes de l'avion pour faire un reboot du système. Ca me rappelle curieusement mon vol Amelia Castres - Orly ça…

Le reboot est effectué, mais ça ne marche toujours pas. Le commandant annonce que nous allons être tracté au parking pour qu'ils puissent faire appel aux mécaniciens KLM sans bloquer le taxiway.
Pendant le roulage (très lent et saccadé d'ailleurs, comme si les pilotes avaient laissé le frein à main), Air France en A321, Emirates en 777 et Corsair en A333 sur le vol saisonnier Orly - Lyon - Pointe à Pitre.

Et commence la longue attente… A 15h15, 45 minutes après avoir repoussé, le commandant sort du cockpit pour réaliser une annonce devant les passagers. Et autant dire qu'il a le sens du suspens :
"We just tried absolutely everything. Everything…
… Excepted one thing. But it will take 30 minutes."
Nous voilà donc repartis pour attendre ! Le commandant précise que si ça ne marche pas, le vol sera malheureusement annulé.

Des bouteilles d'eau sont distribuées en J, rien pour la cabine Eco. Je vais donc demander un verre d'eau à l'hôtesse, qui me le sert avec le sourire, en me demandant de rester dans le galley pour boire, pour que toute la cabine ne défile pas demander une boisson.
Elle me précise qu'ils ne font pas de service boisson dans tout l'appareil pour être prêts à partir quand le problème sera résolu.
Je passe ensuite faire un tour aux WC, qui sont propres, logiquement.

Et une pensée pour Katia, au sol pour changer un peu.

Finalement, quelques minutes avant 16h, le commandant ressort du cockpit, les pouces en l'air, et crie un grand "Wouhou, success !!"
Il prend ensuite le micro pour nous dire que le problème est bien résolu. Par contre, étant donné que l'APU tourne depuis 1h30, nous devons refueler, puis avoir un nouveau créneau de départ…
EasyJet repousse pour Rome à côté de nous.

EK a eu le temps de retourner et de repartir pour Dubaï pendant notre panne.

L'avitaillement en carburant approche… Le commandant ressort une nouvelle fois, bandant les muscles, pour nous annoncer qu'il a réussi à négocier de pouvoir partir sans avoir besoin de créneau.

Le départ, enfin !
16h30, nous partons enfin ! Le hub Hop! commence à se remplir.

Roulage vers la piste, avec vue sur l'église de Saugnieu, et un A320 Volotea qui arrive de Venise au bout du taxiway.

Devant nous, Corsair part pour Pointe à Pitre.

C'est ensuite, enfin, notre tour de nous aligner sur la 17R !

On s'élance à 16h37…

Décollage avec une belle vue sur le T1 dans son intégralité !

Saint-Laurent-de-Mure, avec une zone logistique et un circuit auto au premier plan. La montée secoue bien, un fort vent du sud souffle en rafales.

On vire très rapidement vers le nord, au-dessus du nord Isère.

Le Rhône, et la centrale de Bugey et ses 4 tours aéroréfrigérantes en bas au centre, signe que les réacteurs 4 et 5 sont en fonction (les 2 et 3 étant refroidis uniquement avec l'eau du fleuve).

Alors que l'on aborde les Dombes, les nuages font leur apparition, et ne nous quitterons plus de tout le vol…

Le service commence un quart d'heure après le décollage, et est fait avec le sourire. Pour accompagner le sandwich du jour, ça sera jus d'orange pour moi !

Aujourd'hui, c'est sandwich au fromage et au fromage. KLM ne cessera jamais de m'étonner.

Pour être plus précis et moins taquin, c'est une tranche de Beemster, avec du fromage crémeux au poivron. C'est plutôt bon, même si c'est un peu léger en garniture !

Arrivée pluvieuse et AMS
Pendant la descente, le cockpit reprend la parole pour réaliser une longue annonce, d'abord pour annoncer un atterrissage à 17h55 puis un taxi d'environ 15 minutes puis un bus jusqu'au terminal. Il liste ensuite les correspondances qui ne seront pas assurées.
Il poursuit ensuite par une explication complète du problème rencontré à notre départ. L'ordinateur de bord remontait une erreur sur les commandes de vol, et malgré leurs différentes tentatives, l'erreur ne disparaissait pas.
Ils ont donc décidé de vérifier toutes les commandes trois fois pour vérifier s'il était possible de voler en sécurité malgré cette erreur, d'où la longue attente.
Les tests s'étant révélé concluant (donc, si j'ai bien compris, que l'erreur était un "faux positif"), nous avons pu partir. L'annonce se termine par des excuses renouvelées plusieurs fois.
Bref : La communication a vraiment été de qualité pendant ce vol !
On restera dans la grisaille jusqu'assez tard pendant notre approche…

Approche qui est vraiment très turbulente, avec une belle averse et du vent en rafales…

Les pilotes plaquent l'avion au sol à 17h54 sur la Polderbaan détrempée…

Et c'est parti pour le long roulage…

On prend le temps de faire les voyeurs et regarder un accident de la circulation sur l'autoroute A5 qui longe le taxiway…

On traverse l'autoroute A4 depuis le nouveau taxiway terminé en 2022, qui permet de doubler l'accès aux pistes Zwanenburgbaan et Polderbaan depuis les jetées A, B et C (et le parking à Schtroumpfs).

Les seuls 747 que l'on peut encore facilement voir à AMS sont des appareils cargos, malheureusement… A gauche, un CRJ900 LH Cityline.

On bifurque comme prévu sur le parking éloigné, le long de la jetée A toujours en construction.

Et parking à 18h05, avec un joli retard de 2h20 !

Le débarquement commence rapidement, je suis dehors alors que les pilotes n'ont même pas éteint les phares !

Allez, à bientôt, brave Embraer ! Qu'est-ce que je les trouve beaux avec la livrée KLM…

Direction le paxbus, où les écrans sont HS.

On est déposés aux arrivées à 18h15, des passagers se précipitent pour avoir leurs correspondances, moi, je suis tranquille…

La sortie vers le tapis bagages n'est pas très glamour, encore moins avec ces travaux.

La livraison des valises est prévue au tapis 10…

Malgré le grand nombre de tapis à AMS, il y a 3 vols affectés sur celui-là !

Assez surprenamment, la livraison commence dix minutes à peine après mon arrivée, et ma valise sort parmi les premières. J'étais habitué aux longs délais d'Amsterdam, me voilà ravi !

Je n'ai plus donc qu'à passer landside et me diriger vers la gare, passant devant ce vénérable nez de Douglas DC-9.

Comme je le disais dans l'intro, les hôtels de Hoofddorp sont très rapidement accessibles en train, je suis dans ma chambre du Novotel même pas une demi-heure après avoir récupéré ma valise.

Et les avions ne sont jamais bien loin, au fond, derrière la centrale photovoltaïque sur la gauche (oui, ça n'est pas de l'eau), la piste 18C/36C et les taxiways menant à la Polderbaan…

Et voilà pour ce petit récit riche en rebondissements !
La trace radar du vol, suivant la trajectoire habituelle qui fait monter vers Paris puis bifurquer pour commencer l'approche au-dessus de Lille…

Merci pour votre lecture, vos éventuels commentaire, et à bientôt pour la suite !
Bonjour cher Kethu et merci pour ce FR entre le HUB de coeur et le HUB de KL ! Remarque que lorsque l'on arrive à une heure hors vague AF, on a du mal à croire que c'est encore le hub de Hop! (ils suppriment Pau dès début septembre, liaison reprise avec Twin Jet en Beechcraft à 300€ AS au lieu de 50€ pour AF...). LYS commence a bien paufiner son réseau long courrier avec AC et TS sur le Canada, RUN, MRU et DZA avec Corsair (qui n'a pas reconduit la route vers PTP cet hiver), Emirates et Transavia sur Dubaï, Qatar Airways sur DOH, Air Sénégal et Transavia sur DSS. Il manque encore les US, mais je pense que le rayon d'action d'avions de plus petite capacité s'élargissant, ça pourrait arriver rapidement. Je trouve que KLM gère vraiment bien ce genre d'incident. ChrisB avait eu aussi un incident technique entre AMS et LYS récemment (de mémoire) et ça s'étai très bien passé. AMS efficace, ça n'est pas souvent, il faut savourer le moment à mon avis XD !!! Je trouve que le catering gratuit est bien pour la durée du vol. J'espère que le second vol sera plus relaxant ! A bientôt !
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Salut LeMatheux, merci pour ton commentaire !
J'avais pas suivi la suppression de PUF... Ca va devenir un hub Twinjet l'aéroport de LYS, et tant pis pour les passagers qui n'ont pas un PEL à claquer dans chaque voyage... Surtout que là on ne peut pas sortir l'excuse du "Oui mais il y a le train" !
Oui, ça manque pas mal d'une liaison US à Lyon, fut un temps il y avait Delta pour JFK, mais la ligne avait été arrêtée vers 2010... Ca serait sympa de voir cette ligne reprendre du service !
KLM sait en général bien communiquer avec ses passagers, c'est essentiel dans ce genre de situations !
Oui, je préfère ne pas trop m'habituer à AMS qui va bien, c'est quitte ou double en général x)
Le catering est bien adapté en effet, et assez rare désormais en Europe occidentale !
On verra ça pour le second vol ^^
A bientot :)
Merci Robin pour le partage !
L'offre au salon semble avoir bien évolué et dans le bon sens.
A bord, les sièges à l'avant sont effectivement sans commune mesure avec les planches à repasser du fond !
Le retard, même aussi long, a été super bien géré par l'équipage en tenant au courant les passagers.
A bientôt !
Merci pour ton commentaire Stephan !
Oui, le salon de LYS s'améliore petit à petit, c'est bien appréciable de voir les choses aller dans le bon sens...
Clairement, KLM a vraiment fait une cabine très/trop différenciée... Heureusement que je n'ai pas à payer pour l'avant ^^
Oui, la communication a été exemplaire, et je n'ai pas entendu de passagers râler, juste poser des questions ou exprimer leur inquiétude de manière posée. De suite, c'est plus agréable.
A bientôt !
Salut cher lyonnais et merci du FR.. on se suit sur les routings lol.
J'adore tes stats! Wow 50 mouvements à AMS classe.
On doit passer pour des dingues desfois lol
Je suis aussi fan du trou de hobbit - pour tes 7 min en retard tu as dit quoi?
La piquette de chez nous enfin oui mais à quand un petit bourgogne tout simple comme une petite romanée conti!
C'est vrai que c'est très rare la musique chez KLM.
Les sieges de devant sont corrects ceux de derrière c'est une autre histoire..
Le problème technique est très bien géré par le capitaine avec beaucoup de com c'est appréciable.
À bord un sandwich standard mais qui reste gratuit.
Salut Chris ! Oui, à croire que tu m'espionnes :P
Mes voyages en Estonie ont bien augmenté mon nombre de passages à AMS, vu que depuis la France c'était une galère ^^
Clairement, et encore, ils ne voient pas le routing dans l'intégralité, quand parfois le but est juste de revenir au point de départ xD
C'est moi le manager de l'équipe, donc j'ai le privilège de ne pas avoir à me justifier ^^
Je plussoie mille fois pour le Romanée Conti ! Par contre, le prix du billet risque de ne pas être le même quand LYS répercutera ça sur le tarif d'entrée xD
Je l'ai eu que 2 ou 3 fois la musique chez KLM... Cela dit, ça se perd un peu chez AF ces derniers temps.
Le capitaine était vraiment au top, dur de faire mieux ! Et avec les explications détaillées en vol, il n'a rien caché à ses passagers.
Le sandwich avait aussi le mérite de ne pas être trop sec, comme ça arrive parfois.
A+ !