Avis du vol entre Bangkok et Siem Reap en classe Economique avec Bangkok Airways

Bonjour à tous !
Précédemment dans ce périple :
Etape 1 : [TNR-RUN : Air Austral Premium Economy ]
Etape 2 : [RUN-BKK : Air Austral Premium Economy ]
La troisième étape me conduit au but final de ce voyage : Angkor ; enfin Siem Reap pour ce qui est de l’aéroport, des hôtels, des restaurants, des marchés de nuit et j’en passe.
Je n’ai pas su trouver dans la base de données du site un FR portant sur cette ligne. Si je suis précurseur, je ne saurais trop vous inciter à m’imiter.
Un premier bonus angkorien termine ce reportage.
J’arrive en fin de matinée à Suvarnabhumi.

Les comptoirs PG se trouvent dans l’allée F.

La compagnie communique sur les cartes d’embarquement chargées sur les smartphones. Faut-il seulement en avoir un…

Ayant effectué la veille mon enregistrement en ligne, je me dirige vers les comptoirs dédiés, déserts. L’agent, parfaitement courtoise enregistre ma valise et le remet mon BP. La procédure dure moins de deux minutes.

A droite, la file Y où patientent les voyageurs qui n’ont pas procédé à l’EEL. Une trentaine environ.

Célèbre figure de BKK fidèle au poste.

La porte d’embarquement du vol pour REP annonce un accès à l’avion en paxbus.

Direction l’étage pour satisfaire aux obligations du PIF. Pas de Premium lane aujourd’hui.

Vue panoramique sur une partie de la zone d’enregistrement.

Le zone 1, au rez-de-chaussée, correspond à la Premium Lane. A l’arrivée en zone 2, le personnel répartit les voyageurs entre les deux blocs PIF.

Je suis prié de me diriger sur la gauche. Vue générale du PIF.

Je passe pour la première fois au « nudoscope », vocable que j’emprunte à Lagentsecret.

Puis retour au rez-de-chaussée où un agent répartit les voyageurs entre les deux zones d’immigration.

Me voilà airside. Entre mon arrivée à l’aéroport et la fin des formalités il s’est écoulé moins de 15 minutes. Temps de prise des photos inclus.

Vishnou au sommet de la montagne.

Les dieux.

Et les démons unissent provisoirement leurs forces pour le barattage de l’océan de lait. Le but est d’en extraire l’élixir de l’immortalité. L’exercice a duré 1000 ans.

PG offrant un accès salon à tous ses passagers Y, je me dirige donc vers la zone idoine.

Tentative de selfie avec le tableau des départs.

Clin d’œil à Durian ;)

Une pensée pour Numéro_2

Me voici au bout de la jetée.

Quelques parités du jour.

Jetée C où se trouve ma porte.

Mais rien ne presse. Direction le salon Y PG. Pour cela, descendons d’un étage.

Séance d’auto-flagellation. Les curieux et les étonnés pourront consulter mes FR au départ de BKK sur vols KQ et DL pour résoudre l’énigme.

Une accorte Durian Girl qui eut même accepté Numéro_2 dans son giron.

Pour PG c’est par ici.

Nous y voilà. L’accueil est courtois. La cerbérine indique qu’aucune annonce d’embarquement n’est faite. Ses autres rôles sont de diriger les PAX Blue Ribbon, la J maison, dans la partie qui leur est réservée et d’inscrire le mot de passe du wifi sur le BP..

Vue générale du salon, pas très grand ni rempli. A croire que la plupart des PAX ignore que cette offre existe. Il est vrai que nul n’en parle lors de l’enregistrement.
Les couleurs me font penser à un jardin d’enfants.

Détaillons les lieux : le coin presse.

Des sièges sont réservés pour de jeunes moines bouddhistes particulièrement vénérables.

Offre solide dans son ensemble.

Sandwiches au poulet.

Feuilletés aux épinards.

Fondants au chocolat.

Brownies.

Banane et riz collant emmaillotés dans une feuille de bananier.

Sucre et serviettes.

Boissons. On note l’absence de toute boisson alcoolisée, à la manière de TG dans ses salons domestiques.
J’ai effacé par mégarde la photo d’un distributeur de pop-corn. ?

Si le temps universel semble en panne ou dérobé ou disparu, le coin informatique est plus fourni que celui du salon SQ dans lequel croupit récemment à SIN le malheureux Numéro_2… ;))

Ma modeste sélection.

Photo Corporate.

Tableau des départs d’une lisibilité très médiocre.

Je profite d’un wifi de fort bonne qualité et de la capacité à accéder à flight-report.com pour poster le 1° FR de cette série. En effet, pour une raison que j’ignore, impossible de me connecter à FR depuis ma guest-house de BKK –j’y suis pourtant régulièrement parvenu par le passé- ; idem d’un cybercafé.
Nouvelle photo corporate.

Effort de décoration.

Mon BP avec le code wifi.

Vue de ma place.
Un salon agréable auquel on peut reprocher des sièges pas très confortables.
D’autres compagnies ont-elles pour leurs PAX Y les mêmes attentions ?

L’heure de l’embarquement étant arrivée et aucune annonce n’étant faite, je quitte donc le salon.

Zone d’attente.

Accès internet.

Pour moi c’est ici. La nécessité de descendre d’un niveau confirme le PAXbus.

Un oiseau TG.

Vue depuis le plancher des vaches.

Les formulaires d’immigration à remplir pour obtenir son visa à l’arrivée contre 20 USD et une photo.

La porte est déserte.

A bord du paxbus. Cet exemplaire était vétuste avec une main courante qui ne tenait plus au plafond !

Nous voici au pied de l’A 320 qui va nous mener à REP.

Moteur.

Hissons-nous à bord de cet A320 né en 2005, passé par Air Deccan et Kingfisher Red. Il a rejoint la flotte PG en décembre 2013.

Profil depuis le bas de la passerelle.

Et depuis le haut.

L’intérieur de la cabine 100% Y est neuf.

Mon siège pour l’heure à venir.

Le pitch, très convenable.

Fiche de sécurité et sac vomitoire.

Le contenu de la pochette.

Le voisinage PG. Tous les vols de Bangkok Air sont au large et embarqués par bus.

Le réseau.

La flotte aux livrées originales.

Notre voisin en cours d’avitaillement.

Nous décollons pour un vol de 40 minutes selon l’annonce du CDB.

Paysage désormais bien connu autour de BKK.

Ambiance cabine. Le remplissage ne doit pas excéder 50%. Le siège B de ma rangée est libre.

Nous atteignons l’altitude de croisière.

Les PNCettes se hâtent de servir la prestation. Mais que peut donc contenir cette jolie boîte ?

Un mini-repas complet, boissons incluses. Quelle compagnie « du Nord » en fait autant ?

Salade et pâtisserie.

Jambon, fromage sur lit de salade.

Rince doigts.

Signature avec le café.

Bis repetita.

Le tout est très bon.
Le vol se poursuit sans encombre. Le débarrassage est rapide.

Gros plans sur le moteur gauche pendant la descente.

Des habitations flottantes.

La campagne est sèche en cette fin de mois de février.

L’une des deux stations d’épuration de Siem Reap.

Des lambeaux de forêt au milieu des champs.

Paysage rural.

Rizières au cordeau. La moisson principale a eu lieu en décembre. Actuellement, une deuxième campagne de riz moins assoiffé et plus court est en cours.

Atterrissage et reverse.

Virage vers l’aérogare.

Cet hélicoptère permet d’effectuer des vols panoramiques au-dessus des sites archéologiques.

Les deux avions à la livrée immaculée sont immatriculés au Cambodge.

Ils appartiennent à la compagne Wat Phnom Airlines. J’ignore l’étendue et la réalité de ses activités.

Terminal fret.

Zone des secours.

Vue générale de REP.

Notre escalier sur roue en approche.

Nous débarquons à l’heure.

Avant de nous accorder une petite déambulation vers le bâtiment.

Un ATR Lao Airlines s’en va.

Le Français n’a pas totalement disparu des affichages officiels.

Etant parvenu à destination parmi les premiers, les formalités de visa et de police sont très rapides.
Il faudra donc attendre un peu pour récupérer les bagages.

Pour patienter, vue de la zone PAF.

La salle de livraison des bagages sous un autre angle.

Bienvenue à Siem Reap Angkor sous le regard bienveillant de la Triade cambodgienne : au centre, feu Norodom Sihanouk ; à sa gauche sa première épouse ; à sa droite : son fils et successeur.

Ici s'achève le compte-rendu de vol à proprement parler. La roulette peut vous conduire promptement à la conclusion.
Ici commence la véritable raison d'être de cette série de FR. Je vous propose pour terminer un premier bonus angkorien.
La porte nord d’Angkor Thom vers laquelle le pressent les tuk-tuks de bon matin.

Les divinités tirent la queue du serpent Naga. De l’autre côté de la route, les démons font de même.

Celui-ci est aux aguets.

Le Bayon, temple central d’Angkor Thom.

Il est constitué de 54 tours portant sur chacune de leurs 4 faces un visage statufié.

S’agit-il du sourire de béatitude du Bouddha, du roi bâtisseur ou de Shiva ?

Présence féminine.

Une équipe de restaurateurs.

La reconstitution d’objets manquants est réalisée par des artisans comme ceux de l’association « Artisans d’Angkor. »

Détail.

Vue d’ensemble du Bayon.

Un peu plus loin, la terrasse des éléphants, dans le prolongement du palais royal, qui surplombait ce qui constituerait chez nous un « champ de mars ».

Pour que la raison de la dénomination soit encore plus claire. S’il ne reste essentiellement que les temples c’est parce que les constructions profanes étaient bâties en bois.

Le temple de Ta Phrom est célèbre pour le combat que mènent la pierre et les arbres. A l’avantage de ceux-ci.

La foule est nombreuse, d’autant plus qu’Angelina Jolie y a réalisé un tournage. Chacun y va de sa photo devant une grosse racine. Je vous épargnerai la mienne.

Autre exemple de cet enchevêtrement magique et destructeur : un véritable baiser de la mort.
L’imaginaire collectif associant Angkor à ce genre d’image, il n’est pas prévu d’éradiquer ici tous les arbres comme cela a été fait sur les autres temples des petits et grand circuit. On essaye de garder sous contrôle.

A proximité de chaque site d’importance des toilettes ont été aménagées. Voici les pictogrammes qui en précisent le bon usage.
Des urinoirs.

Des cabines.

L’APSARA, autorité gestionnaire du site, s’efforce de nettoyer les barrays pour donner toute sa place à l’eau, élément majeur de la représentation hindouiste de l’univers.

La porte d’entrée sud du domaine d’Angkor Wat.

Les célèbres tours vues du sud.

Trois séduisantes apsaras.

Une des cours du niveau supérieur.

Une apsara polychrome. Celle-ci est suffisamment en hauteur pour ne pas subir les outrages des doigts de la foule. Il est vrai qu’il n’y a aucun gardien sur les sites.

La tour sud-ouest.

Et pour terminer, la carte postale.

Merci d’être parvenu jusqu’ici.
Maintenant, c’est à vous de jouer avec vos claviers !
A bientôt !