Avis du vol entre Toulouse et Frankfurt en classe Economique avec Lufthansa CityLine

Me voici reparti pour un nouveau voyage en famille (2 adultes et 1 enfant de 3 ans) qui nous fera parcourir le monde. Comme j’en ai marre de toujours voler avec les mêmes compagnies, les mêmes avions, et de toujours transiter par LAX, j’ai décidé de changer un peu.
Nous voici maintenant dans le vif du sujet du voyage retour, même si pour le moment il ne s’agit que d’un simple vol de préacheminement avant le gros morceau : 3 long courriers et 1 stop over.

ACTE 1 : Voyage aller Tahiti France : I did it my way Papeete [PPT] – Los Angeles [LAX], Air France AF77, B772, éco, 26 janvier 2014 CLIQUEZ-ICI Los Angeles [LAX] – Paris [CDG], Air France AF77, B772, éco, 26 janvier 2014 CLIQUEZ-ICI Paris [CDG] – Toulouse [TLS], Air France AF7788, A320, éco, 27 janvier 2014 CLIQUEZ-ICI ACTE 2 : Intermède suisse Toulouse [TLS] – Genève [GVA], Easy Jet EZY1474, A319, éco, 2 février 2014 CLIQUEZ-ICI Genève [GVA] – Toulouse [TLS], Easy Jet EZY1473, A319, éco, 7 février 2014 CLIQUEZ-ICI ACTE 3 : Cap vers l’est : Nouveaux horizons Toulouse [TLS] – Frankfurt[FRA], Lufthansa LH1099, CR7, éco, 17 février 2014
C’est maintenant Et après, un long vol CLIQUEZ-LA ACTE 4 : Retour à Tahiti : La boucle est bouclée On repart CLIQUEZ-ICI Et le dernier vol CLIQUEZ-LA

Il faut commencer par rendre la voiture de location

Puis direction le hall B où enregistre la compagnie opératrice du jour : Lufthansa

Nous sommes orientés vers les bornes self check in par un agent très serviable qui nous accompagne dans les démarches tout du long

Une fois les cartes d’embarquement obtenues, nous nous dirigeons vers les guichets pour déposer les bagages

Nos numéros Fréquent Flyer ayant disparus, de nouvelles cartes d’embarquement sont émises. Le vol n’a pas été booké chez LH mais chez une compagnie partenaire en code share qui fera la plus grande distance de ce voyage retour.

Et oui, merci Turkish. Je n’ai encore jamais volé avec eux (et j’aimerais bien !) mais ils nous ont accordé (à ma compagne et moi-même) un status match Star Alliance Gold qui a été l’élément déclenchant pour se décider à changer de crémerie pour ce vol retour
Passage rapide des filtres de sécurité coté hall B

Quelques occasions de spotting avec l’Antonov 124 transportant les satellites de Toulouse en Guyane

Un A350 aux couleurs de Qatar (MSN4)

ou encore les futures livraisons d’A330

Nous gagnons le Hall C

Où se trouve le salon « La croix du sud »

Pour la première fois lors de mes passages, l’étage est ouvert. L’espace est assez intimiste (petit) mais peu fréquenté

Nous restons quant à nous en bas pour grignoter un peu

L’offre change très peu et reste assez peu variée

Un ordinateur me permet de laisser un peu de propagande derrière moi

Quand approche l’heure de l’embarquement, nous sortons pour trouver notre porte juste en face du salon

Notre oiseau est là, mais pas facilement visible

L’embarquement est appelé avec 15 minutes de retard (par rapport à ce que nous indique le boarding pass). L’avion est en faux contact est nous descendons sur le tarmac à pied

Les bagages à main le plus volumineux (dont un des nôtres) partent dans les petites soutes prévues à cet effet. Je ne suis pas étonné, je connais les CRJ et leurs racks minuscules en cabine

Embarquement alors que le ciel crépusculaire commence à s’embraser

Voici la cabine en 2-2 (qui en vrai n’est pas aussi floue que sur la photo)

Mon siège (je ne suis pas spécialiste LH Group, je ne sais pas s’il s’agit de la dernière version de la planche à repasser locale ou bien d’un ancien siège plus rembourré, mais au final je le trouverai tout à fait correct pour des vols de 1-2 heures)

Le pitch

Vue de mon siège vers l’avant de la cabine

Contenu pochette

Dehors les derniers passagers traînent

Tandis que derrière nous un Beluga (A300-600ST) rentre au bercail (on peut également apercevoir l’A330 Skymark, premier opérateur japonais, qui a été livré quelques jours avant la publication de ce FR)

L’hôtesse passe distribuer une pochette de jeu pour enfant (avec quelques friandises très appréciées)

Un aéroport à construire soi même

Nous repoussons sous un ciel de plus en plus rouge alors que nous aurions du décoller depuis 5 minutes

Plus de 15 minutes de roulage durant lesquelles je rate l’A350 au décollage (honte à moi !)

C’est enfin à nous, le ciel n’est plus rouge mais presque noir (rouge et noir, Toulouse… non j’arrête)

Les conditions lumineuses ne m’aide pas dans la prise de mes clichés au survol de Toulouse, surtout avec un nouvel APN que je ne maîtrise pas encore à fond

Le service commence très rapidement, moins de 15 minutes après décollage. Un premier chariot (et une première hôtesse) nous amène la nourriture

Sandwich triangle poulet fêta, ce qui me parait plus consistant qu’un sucré salé à cette heure de dîner

Puis le 2° chariot (et la 2° hôtesse pour le service de la boisson)

Je me sens obligé de prendre une bière pour la signature LH, et elle est très bonne

Voici donc mon encas du soir

Le sandwich est très bon

A noter que notre PNC parle un peu le français, et avec les quelques mots d’allemand dont je tente de me souvenir, la communication passe bien
Nous nous posons Avec 15 minutes d’avance sur l’horaire malgré le retard au démarrage (le temps de vol est largement surestimé, donc le retard est facile à combler).
5 minutes de roulage avant de nous garer au large au milieu de confrères du même gabarit

Ou un peu plus gros

Nous trouvons place à coté d’un CR9 Adria

Débarquement

Pour remonter quelques mètres plus loin dans l’inévitable paxbus

Nous attendrons sur place le bus plein 5 bonnes minutes que la valise d’un passager soit retrouvée avant de partir arpenter en long en large et en travers FRA
Un moment d’immobilité me permet de spotter un A321 LH

Puis nous arrivons enfin dans l’aérogare 20 minutes après l’atterrissage

Nous ne sommes là qu’en transit, à suivre…