Avis du vol entre Tunis et Paris en classe Economique avec Transavia

Bonjour à tous !

(Vous avez peut-être déjà vu ce report avec un autre compte (Adam05) mais ayant perdu les codes, je le reposte ici) c'est mon tout premier report
 
On se retrouve aujourd'hui sur un ancien vol que j'ai effectué entre Tunis et Paris-Orly le 1er mars 2020. Je le poste avec deux ans de retard :)
Nous étions déjà en mode Covid et les premiers contrôles avaient lieu. 
C'est un vol que j'ai eu à 250 euros aller-retour, assez raisonnable pour des vols avec des bons horaires (A l'aller 16h10 mais 6h de retard donc 22h) et le retour à 12h. Je l'ai réservé 3 semaines avant le départ.    


Arrivée à l'aéroport, enregistrement des bagages et passages aux contrôles de sécurité rapides. L'embarquement est déjà annoncé, je cours donc vers la porte, dommage, je n'ai pas eu le temps de faire un tour dans le terminal. 

Embarquement par bus… dans ce 737-800 assez récent le F-HTVI. 

Avant de monter, on peut voir l'arrivée de cet A320 de Libyan en provenance de Tripoli. 

Petite vue sur l'aile avec l'aéroport en fond. 

Je monte enfin dans l'avion et quelques seconde après les passerelles d'embarquement sont retirées.  

Pushback avec 20 minutes de retard. 

Temps de roulage assez long vers la piste. 

Nous sommes alignés sur la piste, temps d'attente long en raison du trafic aérien.
En attendant, on peut apercevoir ce 737-800 de Royal Air Maroc pour Casablanca nous rejoindre.  

Décollage à 12h27 avec un petit virage au nord. Au revoir la Tunisie. J'y serai retournée 2 ans plus tard. 

Une montée rapide et voici la vue au dessus des nuages. 

Vue sur la cabine, très propre malgré l'escale courte de l'avion à Tunis. Il y avait pas mal de sièges vides. Déjà un effet virus, la moitié portait des masques, ce n'était pas généralisé à l'époque. 

Je me prends tout le soleil. Bon la prochaine fois je choisirai ma place. 

Après quelques minutes de sommeil, on entame notre descente vers Orly et le temps commence à se gater. 

En effet, un temps déprimant. 
Une fin de vol très secouée avec un atterrissage très brusque. 

Atterri à bon port à l'heure, le retard rattrapé en vol. 
L'avion se parque et la malédiction du bus continue. Décidemment, je n'aurais pas eu de chances, avec Transavia il faut s'y attendre. 
L'occasion de voir un peu le trafic sur place avec cet A330-200 d'Air Algérie arrivant d'Alger. 

Un A319 d'Air France

Un 737-600 arrivant de Monastir. 

Un A320 de TAP Portugal arrivant de Lisbonne avec un A350 de French Bee en fond. 

Je quitte l'avion et dernière vue sur cet appareil. 

Préparation d'un 777 d'Air France pour Fort-de-France. 

Arrivée dans le terminal au chaud et vue sur le dernier avion, un A330-200 de Level.