Avis du vol entre Lyon et Paris en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous !

Après deux FR one-shot, je repars pour un routing au long-terme, avec LE voyage de 2022 pour moi ! Un petit séjour dans une ville qui me tente depuis des années, Chicago !

Si vous avez déjà lu mes récits, vous savez ce qui vous attend juste après : Un pavé sur comment j'en ai fini là, parce que, comme d'habitude, la construction de mon voyage se fit à coup de pulsions !

Pour ceux qui veulent sauter ça, passez directement à la partie "Routing et infos" :) 

La construction du voyage

Tout commence en mai 2022, avec la fameuse offre AMEX remboursant 50% du montant d'un billet en Business chez Air France.

Forcément, je suis très tenté, et quand je tombe sur un tarif promo Paris - New-York à 1600€ environ, je craque direct. Un aller-retour Paris <> JFK en J à 800€, c'était la seule chose censée à faire. Ca sera un départ le 24 novembre, et un retour le 28 novembre. Le retour devait se faire sur Orly, mais l'annulation des vols JFK <> ORY me vaudra un rebooking sur CDG, ça ne me gêne pas spécialement.

Initialement, je pensais passer ce séjour à New-York. MAIS j'ai envie de deux choses :

1/ Prendre un Amtrak (les trains longue distance américains)
2/ Prendre un Boeing 717-200 de chez Delta. Je devais rajouter cet avion à mon logbook en 2020 chez Volotea, mais Covid oblige, ce fut raté. Même si les 717 ne doivent pas disparaître dans l'année, je me méfie plutôt (cf. ce qui s'est passé pour Volotea), et j'ai envie d'en profiter dès que possible donc.

La première solution qui me saute aux yeux est d'aller aux chutes du Niagara depuis New-York en train, et revenir en avion depuis l'aéroport de Buffalo Niagara, qui dispose de certaines rotations via Detroit en 717.
Cependant, le tarif est assez prohibitif (surtout le train, je ne souhaite pas voyager en place assise, je voudrais une cabine en wagon-lit), et le timing laisse peu de temps pour les visites, même pas deux jours (c'est là le soucis de réserver ses billets sur un coup de tête sans avoir planifié un voyage complet…).

Je cherche finalement autre chose, en regardant où volent les 717… Et je vois passer Chicago. J'ai envie depuis tout petit de visiter cette ville (merci Maman Kethu qui est fan d'Urgences). Je pars donc dans cette direction, mais je ne trouve rien de convainquant niveau trains (tarif/horaires)…
Jusqu'à ce que je remarque la liaison Amtrak Hiawatha Service qui n'est, certes pas, une liaison longue distance, mais qui permet de parcourir les 140 kilomètres entre Milwaukee et Chicago en 1h30. C'est déjà ça, et ça a le mérite de ne pas coûter aussi cher que l'aller-retour CDG<>JFK en J ! C'est en effet seulement 50$ l'aller-retour, tout à fait raisonnable.

Pour rallier Milwaukee depuis la Grosse Pomme, je craque pour un départ le 25 novembre depuis Newark, escale à Minneapolis, et arrivée à Milwaukee en fin de matinée. L'inconvénient est de devoir faire JFK > EWR le 24 novembre, pas une partie de plaisir. Le gros avantage est que les deux segments sont en 717, ça me permettra de ne pas être dégoûté si l'appareil venait à être modifié (à moins que LES DEUX ne soient modifiés, mais ça serait vraiment pas de chance). Le tarif n'est pas donné, 280$ en gros, mais c'est le prix à payer pour les 717 ! (Et les distances sont un peu plus grandes qu'un LYS-CDG…)

Pour le retour, je pars sur autre chose que je souhaitais tester : La Domestic First, une classe qui m'a toujours intrigué : Un siège confortable, mais un service triste comme tout. Comme la J domestique Air France, mais le siège en plus, en gros.
Je prends un vol direct Milwaukee > JFK le 28 novembre au matin, avec Delta Connection by Endeavor, en CRJ900. Tout d'abord parce que j'adore les CRJ, et ensuite parce que ça permet d'avoir un siège isolé, ce qui me convient très bien. C'est par contre 340$. Cher, mais si je compare à l'aller, ça reste correct. La Y était à environ 150$ pour comparer.

Il me faudra juste ajouter à tout cela un "simple" aller-retour LYS <> CDG. Je met des guillemets parce que, comme je construis mon routing au fur et à mesure des évolutions de mes voyages, je réserve l'aller en multidestination BOD > LYS / LYS > CDG (avec un BOD > LYS début novembre), et un CDG > LYS / LYS > LIL (avec le LYS > LIL qui se déroulera le 3 mars 2023). L'open-jaw me permet d'avoir des tarifs Carte WE sur des vols que j'aurais sinon du payer plus cher en aller simple, mais ça donne des résas sans queue ni tête.
Bref, c'est compliqué comme tout, mais c'est moi quoi.

Le LYS > CDG se fait le 23 novembre dans l'après-midi : J'aurais pu partir le 24 avec le vol du matin, mais je préfère être tranquille, le vol pour JFK part à 10h30 le 24, et ça m'ennuierait "un peu" de le louper à cause d'un retard du LYS > CDG (surtout qu'avec deux dossiers différents, je ne serais pas reprotégé sur un vol suivant…).

BREF, c'est tiré par les cheveux, mais le récap est juste après !

Routing et infos

Voilà donc le routing, tel que prévu initialement ! Le dernier vol ne sera pas reporté (préférant dormir, et un CDG > LYS, ça n'est pas de l'inédit). 

J'ai choisi ce vol, parmi tous les vols entre Lyon et Roissy (et le TGV), principalement parce qu'il était effectué en A220-300 (Bombardier CS300 pour les vieux comme moi :P ), un avion que, même s'il est très mal équipé chez Air France, je trouve fort sympathique !

J'avais réservé dès l'achat un siège en 08A, côté "duo" (toujours plus agréable que la triplette), et avec le hublot bien aligné. Petit conseil, Air France permet un "virtual tour" de la cabine des A220, très pratique pour choisir son siège ! Ca se trouve ici. 

Pas de grande nouveauté pour la base de données, mais notons tout de même que le déploiement de l'A220 sur CDG <> LYS est assez récent : Ca date du début de la saison hiver IATA, le 30 octobre 2022 donc.
C'est d'ailleurs assez curieux, car ce vol était auparavant effectué en Embraer 170 en fin de matinée. Il a été décalé en début d'après-midi, et est suivi par un autre vol en A319 (en général) à peine une heure plus tard. Grosse augmentation de capacité sur ce créneau donc, j'ai du mal à en comprendre la raison…

L'A220 est donc une première pour moi sur ma ligne navette, et la deuxième fois que je prends l'A220 Air France. Et ça sera mon 15e vol LYS > CDG (et oui, seulement 15, j'aurais cru plus).

A part ça… Pas grand chose. C'est compliqué de trouver une stat inédite à chaque vol vous savez !

Allez, on y va ! 

LYS efficace, comme on l'aime !

L'avantage de ce vol AF7693, c'est qu'il part à 13h45, et que donc je peux… Partir à une heure normale. Je prends le C1 à 10 heures. Un luxe rare pour moi quand je prends l'avion !

Le Rhônexpress arrive, mais le conducteur nous invite à ne pas monter : La rame a un problème dans son circuit d'air comprimé, elle part donc en arrière-station et il nous faudra attendre le suivant.

Heureusement, ce dernier part immédiatement, sans attendre son heure de départ prévu 15 minutes après. Point de bonté de la part de l'exploitant : C'est surtout que dans les conditions de vente, tout retard supérieur à 10 minutes doit être indemnisé à hauteur de 50%. Et autant dire que Transdev préfère éviter cela. 

C'est donc avec seulement 5 minutes de retard que nous partons. Un écran diffuse des informations sur les prochains TGV et vols au départ de LYS.

La gare est assez fréquentée, deux TGV et un Ouigo sont prévus au départ dans le prochain quart d'heure.

Mais pour moi, c'est direction l'aéroport ! J'avais initialement prévu de monter en TGV sur Paris, mais l'appel de l'air fut plus fort…

Le Terminal 1 dans toute sa splendeur !

Je l'ai déjà dit plusieurs fois, mais j'adore l'architecture de ce terminal. Moderne et sobre, tout ce que j'aime.

C'est plutôt calme à l'intérieur…

Le FIDS le confirme : Peu de vols au départ sur le temps de midi, 8 vols seulement embarquent entre 11h30 et 14h (l'embarquement du vol TK pour IST ayant fini en avance visiblement).

Vu que je suis bien en avance, il n'y a pas grand monde aux comptoirs. Mais le nombre de comptoirs ouverts est assez limité aussi, logiquement.

Ca sera donc passage aux bornes pour récupérer le BP !

Pour le PIF, c'est à l'étage ! Malgré les indications ÉNORMES sur les ascenseurs, il y a toujours des gens pour se plaindre qu'ils doivent trimballer leurs grosses valises dans les escalators.

Le PIF ne semble pas attirer la foule.

Mais un avantage est un avantage, même s'il ne sert à rien : J'emprunte donc le coupe-file.

J'ai bien fait de passer là, parce qu'en fait, il y a tout de même un peu la queue.
Comme la ligne où débouche le coupe-file n'avance pas, l'agent qui répartit les passagers m'escorte à une autre ligne ouverte à l'autre bout du PIF pour que "je n'attende pas trop".
Délicate attention, même si ça donne encore plus l'impression de passer devant tout le monde ^^ 

Duty-free où je ne m'arrête pas, comme d'habitude…

Je passe par la rotonde, pour atteindre le Relay de l'autre côté et y dépenser un voucher de 11€ obtenu suite à l'annulation opérationnelle de mon LYS-MRS l'avant-veille (voir le bonus de ce FR).
Le voucher est valable 48 heures, donc même si je suis sur un voyage totalement différent, ça passe crème ! Ca me fera des provisions pour la première nuit aux États-Unis, merci Air France :) 

Au loin sur le tarmac, Volotea, TwinJet et EasyJet…

A côté, un A320 British Airways, et au fond, Pegasus arrive d'Istanbul SAW en A321neo.

Brussels Airlines, en nouvelle livrée, repousse…

La gastronomie lyonnaise au salon

Allez, le petit tour est terminé, il fait faim ! Direction le salon.

Comme le laissait supposer le FIDS, le salon est bien calme aussi…

Mon trou de hobbit est donc tout à moi !

Direction le buffet ! Les boissons sont bien approvisionnées. A côté, yaourts, jus de fruits, saumon fumé et mini-sandwiches dans le petit frigo.

Sur la plaque froide, un peu de fromage (qui sera réapprovisionné par la suite), de la charcuterie, trois salades, et de quoi se faire un dessert sain (je n'y toucherai donc pas).

Sur la plaque chauffante, des mini-burgers, de la quiche aux légumes, et des nems poulet-coco.

Au niveau du sucré, il y a de quoi faire ! Viennoiseries, macarons, tarte aux pommes, et mignardises variées…

Ma sélection du jour est donc bien variée elle aussi. Si le matin, le salon est un peu décevant, je trouve que l'offre de journée est vraiment sympathique. Rien d'exceptionnel, mais c'est bon, et de qualité.

Les documents de voyage du jour.

Après un peu plus d'une heure au salon, je quitte les lieux à l'heure prévue de début d'embarquement.

Sur le tarmac, un sympathique ATR 72-500 d'Air Corsica qui s'apprête à partir pour Ajaccio.

Air Nollaig est aujourd'hui en 772. Si j'ai bien retenu la leçon, ça veut dire J rétrofittée et Y à peine améliorée.

KLM arrive d'Amsterdam en 738, il s'arrêtera au bloc avec quelques secondes d'avance. La néerlandaise est ponctuelle !

L'heure d'embarquer a sonné, une queue se forme, mais ça n'est pas lancé…

L'appareil est en effet arrivé avec un quart d'heure de retard, et le débarquement est toujours en cours.

Dès le débarquement terminé, un pré-embarquement est lancé, il nous faudra donc patienter…

Nous sommes finalement libérés après dix minutes d'attente…

Redécouverte de l'A220 by AF

Vue grillagée sur l'appareil du jour, F-HZUE, dénommé Giverny, livré à Air France un peu moins d'un an plus tôt.

Instant porte !

Après un accueil enjoué en porte, je redécouvre cette cabine qui est toujours aussi classe, et qui vieillit bien de surcroit.

Je prends place à mon 08A, le pas est bien correct.

Vue de côté. Le fait que les sièges ne sont pas de l'extra-slim, comme si souvent sur les cabines récentes, est assez positif.

La J est séparée de la Y par des panneaux de cuir, plus pratique que les rideaux à tirer, et sans doute plus hygiénique également.

A côté de nous, KLM a commencé à embarquer également.

Les sièges sont équipés de têtières réglables en hauteur et sur les côtés…

Le porte-tablette, qui permet au passager d'amener son propre IFE (à défaut d'avoir pris l'option des mini IFE dans le plafonnier)…

Prises USB disponibles…

Et signe d'une cabine réussie, une patère !

Il y en a même une par siège !

Au niveau des pieds, un boitier empiète un peu dans l'espace vital.

La boucle de ceinture est bien siglée !

Le plafonnier, avec le moodlighting chauvin…

Le vol est loin d'être prévu complet, mais l'embarquement prend des plombes quand même, grâce aux passagers qui se ramènent avec des valises énormes qui ne passent pas dans les coffres (pourtant grands !) de l'A220. Et aussi grâce au personnel au sol qui ne vérifie jamais la taille des bagages. Sans aller jusqu'à un contrôle strict à la low-cost, une valise de 35cm d'épaisseur ne devrait pas passer…

J'en profite donc pour regarder la notice de sécurité. 

Elle n'a rien d'exceptionnel, seul le nom diffère de l'A318/A319 globalement.

L'embarquement est finalement terminé à 13h45, l'appareil a curieusement été rempli à l'inverse de d'habitude : L'avant de la Y est blindé, mais l'arrière est quasiment totalement vide. Seulement deux passagers en J.

Le commandant annonce 45 minutes de temps de vol, et un départ lorsque les bagages seront tous chargés. Il espère rattraper un bout du retard en vol. 

Prenons le chemin des airs…

On repousse à 13h57, KLM est prêt au départ également.

Emirates termine de vider ses soutes et ses galleys.

On laisse passer l'A319 Air France du vol suivant pour CDG, qui arrive déjà. Ces deux vols sont décidément très proches !

Les démonstrations de sécurité sont réalisées… Mais les panneaux non-amovibles de la J bloquent la vue, le PNC qui officie en tête de J fait l'aller retour pour effectuer aussi les manipulations en tête de Y. Pas terrible pour l'équipage.

Roulage en contournant le parking à low-cost (et à TwinJet, dans un registre totalement différent).

Ce 738 Transavia est arrivé il y a moins d'une heure de Tunis, et il restera sur le tarmac jusqu'au lendemain midi, où il partira pour Tel Aviv.

Les portes du T2 servent de point de stationnement éloignés à U2 et TO.

On remonte vers la piste 17R…

On s'aligne sans aller au bout, ça évite un kilomètre de roulage supplémentaire.

Et décollage à 14h10, avec pêle-mêle Saugnieu, le réacteur, la fumée de la centrale du Bugey, et la crevette !

Colombier, le long de l'A432.

Un bout de la grande zone logistique de Satolas, avec les entrepôts d'à peu près toutes les entreprises de livraisons possibles…

On vire vers le nord au-dessus du centre pénitentiaire de Saint-Quentin-Fallavier, et à côté, le poste de transformation très haute tension du Chaffard, qui regroupe des lignes en provenance des centrales nucléaires de Bugey, Saint-Alban, et Cruas, et alimente en moyenne tension une bonne partie de l'Ain et de l'Isère, ainsi que les Alpes en haute-tension.

La vallée de la Bourbre, qui se jette dans le Rhône un peu en aval de la centrale de Bugey (dont on aperçoit toujours le panache de fumée).

On aperçoit l'aéroport d'où nous venons de décoller, juste avant d'entrer dans la masse nuageuse…

Croisière nuageuse, service et approche

On poursuit la montée entre les couches, avec de nombreuses turbulences au passage.

On débouche sous le soleil à 14h15, l'aile est toute brillante !

Le rideau est tiré avec la J.

Le service commence rapidement, c'était la première fois à l'époque que j'avais ce sablé aux éclats de caramel. Plutôt bon !

Je me mets en mode USA et l'accompagne d'un bon Coca !

C'est facilement mangé et entassé dans le porte-gobelets.

A 14h33, on débute notre descente. Le commandant annonce un atterrissage à 14h55, pour un parking à 15h05 (pour une heure planifiée à 15h).

Le ciel se découvre enfin quelques kilomètres au sud de la Seine, vers Romilly-sur-Seine. Le chef de cabine donne les infos pour les correspondances les plus courtes.

On vire petit à petit vers l'ouest, en passant au-dessus de la Marne, au nord de La Ferté-sous-Jouarre. 

Cette ville coincée dans une boucle de la Marne, à moitié cachée pour les nuages, c'est bien entendu Meaux, et sa fameuse moutarde (bon, pas si connue que ça, mais bien injustement car c'est un délice).

Les volets et le train sont sortis, nous sommes alignés et prêts pour l'atterrissage ! Et heureusement, car nous passons au niveau de Saint-Mesmes, donc à seulement 4 nautiques du toucher. 

On survole le bassin de récupération des eaux pluviales de l'aéroport (côté Marne), avec le ponton où sont amarrés pas moins de 4 zodiacs (sous le watermark de la photo).

CDG en arrivée, direction l'hôtel !

Et poser à 14h58 ! Les spoilers sont déployés, et l'inverseur de poussée est déclenché, pour quitter la piste au plus vite.

On file vers le terminal 2F, je suis du mauvais côté pour admirer les aéronefs du T2A.

La tour de contrôle Nord et le Concorde…

Le complexe hôtelier Accor, avec notamment l'Ibis Styles où je passerai la nuit !

Nous voilà arrivés au 2F, dernier virage !

Et parking à 15h06, 6 petites minutes de retard. A côté de nous, l'A320 F-GKXH qui partira bientôt pour Stockholm.

Débarquement rapide. Une hôtesse au sol attend les passagers pour La Réunion, qui sont en short connection.

Mais moi, ma correspondance est plus que large, mon vol pour New-York part dans un peu plus de 19 heures ! Je peux donc me permettre de marcher tranquillement…

Je suis un des seuls à prendre la direction du landside, forcément.

Sixt nous régale de ses jeux de mots douteux, et CDG annonce dix minutes de marche jusqu'aux trains.

Que serait CDG sans un trottoir roulant en rade ?

Vue sur le parking des chargeurs de bagages, aux tapis plus ou moins dressés…

Prochain VAL dans deux minutes !

Comme d'habitude, tous les passagers s'entassent dans la voiture la plus proche de l'escalator, tandis que la 2e est totalement vide…

J'ai ainsi tout le loisir de jouer au conducteur de train !

25 minutes après notre arrivée au bloc, j'arrive devant mon hôtel. L'Ibis Styles est de bonne qualité et à un prix correct. En face, le Pullman est nettement plus cher, mais il est fort plaisant…

La déco de l'Ibis Vert est tournée vers l'espace, c'est assez sympathique !

Et ma demande d'avoir une chambre avec une belle vue sur les pites a été exaucée, me voilà au dernier étage avec une vue imprenable sur le doublet nord, le T3 et le T1 (ce dernier étant encore fermé à l'époque, malheureusement).

Terminons avec la trajectoire du vol du jour, 49 minutes en l'air, à une altitude de croisière de 26.000 pieds.

Et c'est ici que je vous laisse pour cette mise en bouche !

On se retrouve bientôt pour une des nombreuses pièces de résistance de ce routing :)

En attendant, merci pour votre lecture et vos éventuels commentaires !