Avis du vol entre Sevilla et Paris en classe Economique avec Air France Hop

Bonjour à toutes et tous.

Les bonnes choses ont une fin, et ce petit week-end particulièrement agréable se termine.

On profite d’un dernier repas en mode tapas, puis nous sommes deux à rejoindre l’aéroport ayant des vols aux mêmes horaires.

On ne change pas et ce sera un trajet en bus (4€) pour rejoindre l’aéroport avec la ligne EA.

Le bus n’est pas plein, ce qui est confortable.

Aéroport de Séville

Nous voici à SVQ.

Pas le plus bel aéroport au niveau extérieur.

Voyons voir à l’intérieur.

D’abord je cherche les comptoirs AF afin de déposer la Bretzel valise.

Le hall avec son plafond assez particulier.

Il n’y a quasiment personne.

Opération rapidement menée, je pose la question à l’agente de savoir s’il y a un salon.
Celle-ci ne sait pas, elle me demande d’attendre et part poser la question un peu plus loin.

Elle revient et me répond que non mais j’aurais un snack à bord.

Bon nous ne sommes pas convaincus et décidons de voir par nous-mêmes.

Je ne prendrai pas le fast track, il y a peu de monde, je passe avec mon camarade de week-end.

Cela va vite, je sors mon ordinateur.
Si les chaussures recouvrent la cheville elles doivent être enlevées.
C’est bon pour moi avec mes baskets.

Le BP magique

Le duty free est obligatoire.

Mais ce sont toujours les mêmes produits, j’ai fait mes courses en ville avec des produits plus typiques.

Mon avion part des portes B et celui de mon camarade des portes A.

Nous passons un espace de restauration, quelques boutiques et finalement on arrive à un salon.

Qui mentionne bien Air France…

Nous nous disons au revoir, mon travail de FRiste m’envoie visiter cet espace VIP et je ne peux l’inviter n’étant pas sur le même vol.

salon VIP

Un scan de mon BP et c’est validé.

Je cherche une place, elles ne sont pas nombreuses.
On remarquera que chaque passager n'a qu'une occupation : son téléphone.

Présentation de l’offre qui a le mérite d’exister.

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L'offre liquide

N’ayant pas faim, je me contente d’un peu de popcorn, d’un donuts et d’une bouteille d’eau à emporter.
Cela aurait pu faire une photo de couverture insolite.

Je profite de mon temps pour commencer la rédaction du précédent FR, ayant beaucoup de travail en ce moment, je n’aurai pas le temps cette semaine, donc prenons de l’avance.

A l’heure de l’embarquement je quitte le salon, il me faut au moins une photo de l’avion.

Il y a des espaces pour s'assoir

Ou les amateurs de bacon .

Un peu de retard, j’attends à proximité de la file qui est déjà en place.

L’appel est fait des passagers SP, nous ne sommes pas trop nombreux (j’en dénombre 8)

Je retrouve les mêmes agents qu’à l’enregistrement.

Passage par une passerelle qui donne un effet boîte de nuit.

a bord du vol af1547 direction paris

Accueil en porte par Jérôme notre CC du jour.
Un rang de J, et je remarque que la bouteille d'eau attend bien ses passagers, il y a donc bien eu un loupé sur le vol aller.

Récupération de mon siège.

Pas de voisin

Il fait un froid de canard dans l’avion.

J’installe mes affaires sous le siège de devant.

Le pas est bon, à mon niveau.

La fiche de sécurité.

Je regarde si je vois l’avion de mon ami, mais non il est déjà vers la piste.

Arrivent les derniers passagers et j’ai une voisine qui finalement rejoindra son compagnon qui est seul sur le 5A.

Finalement c’est mieux qu’en J.

Derniers préparatifs, et on quitte l’aéroport de Séville.

Décollaaaaaaaaaaage.

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Il fait terriblement froid, je remets mon manteau et continue ma rédaction de FR avec ce vol, mon maître mot est de ne plus prendre de retard, sinon je risque de publier en juillet…

Le chauffage est mis et maintenant il fait très chaud.

Le trolley arrive avec un choix de sandwichs : tomate-fromage ou poulet-fromage.
Je choisis la première option, avec un jus de pomme.
Le sandwich finira dans mon sac comme repas de ce soir n’ayant pas faim du tout.

On passe à proximité de Madrid.

Puis c’est le coucher de soleil de l’autre côté de l’avion, moi je bénéficie d’un beau ciel rosé avec la pleine lune.

Les nuages et les turbulences font leur apparition.

On repasse au froid glaciaire, puis au chauffage en mode surcuisson, puis retour du froid…

A 19 heures on nous annonce que notre atterrissage est imminent.

Que nous devons lire la notice de sécurité et que nous devons laisser nos affaires en cas de problème.

On nous demande de relever les tablettes.
Mais il reste encore une heure de vol, c’est quoi ce bordel.

Finalement un nouveau message du CC.
Le commandant a demandé à l’équipage de finir le vol attaché en raison des turbulences, alors la cabine a été préparée car ils ne pourront pas le faire, mais il reste bien une heure de vol, voilà qui est plus clair.
Bon pour l’instant les turbulences je les cherche, on va bien voir.

Finalement les PNC se relèveront et nous n’aurons aucune turbulence, notre pilote aurait-il fait de l’excès de zèle ?

Je finirai donc le vol en lisant, en ayant soit trop chaud soit trop froid, cet avion mériterait un entretien.

On s’approche de Paris, je peux observer facilement la tour Eiffel, mais niveau photo j’ai abandonné, avec la lumière en cabine c’est impossible.

PNC, take your seat, (cette fois ci c’est la bonne) et nous voici revenus à CDG.

Une annonce est faite que nous serons au 2G.

Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle terminal 2g

On attend un peu notre parking.

PNC aux portes, dernier virage.

Cela s’active en cabine.

Ma voisine de rang tente de sortir sa valise cabine, mais une jeune fille fait le forcing pour passer, cela va se terminer par un accrochage, elle montre son BP, visiblement elle a une correspondance, mais cela ne justifie pas de pousser les gens non plus.

Un au revoir chaleureux à notre CC qui était sympathique.

Je suis le parcours direction la sortie.

Je recroise la jeune fille pressée qui a loupé la direction connexion et qui rebrousse chemin face à la sortie définitive.
Des nouvelles affiches, vantant la nouvelle décoration du 2G.

Maintenant il me faudra attendre 35 minutes ma valise.

Le prix des taxis a augmenté, mais pour moi la suite ce sera avec le RERB, bien moins onéreux.

Merci pour la lecture et les commentaires, prochain routing vers l’Amérique centrale pour deux semaines de vacances au Guatemala.

BONUS BY BRETZEL