Avis du vol entre Osaka et Dubai en classe Economique avec Emirates

Bonjour à tous,

Devant retourner à Dubai quelques jours, je décide d'inclure une petite virée à ce séjour.
Qui dit Dubai, dit Emirates.


Le Japon ayant rouvert le 11 octobre 2022 sans contrainte pour les vaccinés ayant reçu trois doses, je décide donc de m'orienter vers le pays du soleil levant.


Je regarde d'abord Tokyo avec Emirates mais les classes affaires et first sont complètes et l'économie, hors de prix.
Je me tourne donc vers Osaka où les tarifs sont plus décents.


Comme à mon habitude avec Emirates, je vérifie l'immatriculation des avions envoyés sur KIX et là, c'est la douche froide, c'est comme Lyon voire pire.

Je laisse donc tomber l'idée n'ayant pas envie de passer 35h en classe éco dans une cabine désuète et me tourne plutôt vers les USA pour une triangulaire : Lyon - New York - Dubai - Lyon.
Depuis longtemps, j'ai le New York - Dubai sur Emirates dans un coin de ma tête, cela serait peut-être donc l'occasion.


Cependant, j'avais attendu avec impatience la réouverture du Japon et c'était dommage de ne pas s'y rendre pour une question d'immatriculation/cabine.
En regardant de plus près, les vols DXB - KIX et KIX - DXB sont de nuit et par conséquent, ça limite les dégâts.


Finalement, je réserverai un multidestination : 4 jours dans la région d'Osaka suivi de 4 jours à Dubai, le tout sur Emirates.
   

Après avoir passé quatre jours entre Osaka, Kyoto, Himeji, Nara, il est maintenant l'heure de repartir à Dubai.
 

aeroport d'osaka

Je rejoindrai l'aéroport d'Osaka en train, masque sur le visage car il est toujours obligatoire à l'intérieur, dans les transports et dans les zones extérieures lorsqu'il y a beaucoup de monde.
 

Je jette un coup d'œil rapide à mon vol sans réellement prêter attention aux autres.
Je réaliserai après coup qu'il n'y avait que deux vols internationaux ce soir-là.


Les vols internationaux restent encore assez "local".
 

Je rentre et découvre un terminal vide, bien loin de la frénésie avant Covid alors que nous sommes en novembre 2022.
 

Il y a un peu de vie du coté des comptoirs Emirates mais j'ai l'impression d'être de nouveau en pleine pandémie.
 

Du coup, pas d'attente. Il faut bien y trouver un avantage.
  

Je passe le PIF puis la PAF en un temps record.


Airside, c'est tout aussi désert et effrayant.
 

Il n'y a que le duty free d'ouvert et un seul point de restauration, c'est triste mais finalement c'est largement suffisant pour deux vols.


Cela ne m'empêchera pas d'acheter une bouteille de gin japonais ainsi que du fond de teint, le taux de change étant plutôt favorable.
 

Dans cette aile, le tableau des départs du lendemain n'est guère fourni.
  

J'en profiterai pour appeler mon papa mais n'oserai même pas parler tellement c'était calme et sans aucun bruit.

Il est prêt pour suivre mon vol sur FR24.
 

Une zone, réservée aux First/Business/Plat/Gold/Silver, avait été délimitée proche de la porte d'embarquement.
 

Vol ek317 : Osaka - DUbai

L'attente fut longue et j'en profiterai pour prendre notre avion A6-ECE en photo.
 

L'embarquera sera lancé dans l'ordre des priorités.


A moi la vieille cabine pour changer.
 

La particularité de l'aéroport d'Osaka est d'être construit sur une île artificielle dans la baie d'Osaka.
 

Une trousse de confort est distribuée.
 

Elle contient une paire de chaussettes, un masque, une brosse à dents et un mini dentifrice.
 

C'est parti pour 10h40 de vol et une longue nuit en perspective.
 

Contrairement au vol aller où la cabine était complète, sur ce vol retour, le taux de remplissage était un peu plus léger. 
 

Un froid horrible s'empara alors de la cabine.
Chacun tentera de se réchauffer comme il le pourra : ici la version doudoune et alcool.
  

Avant d'embarquer, j'avais fait une capture écran du menu via l'application Emirates.
 

L'entrée était vraiment quelconque avec trois feuilles de laitue, pois chiches et demi tomate. 

En revanche, le plat japonais, beef yakisoba était excellent. 

Il y avait également un mini kit kat ainsi qu'un chocolat.
 
Je demanderai un gin tonic mais la PNC n'en avait pas de gin à ce moment-là.
Elle avait toutefois de la bière japonaise Asahi.

La bouteille d'eau était bien pratique pour la garder sur ce vol de nuit.
  

La PNC reviendra un peu plus tard avec un demi verre de gin.
Le gin n'est en fait pas disponible en petite bouteille comme la vodka ou l'amarula, mais servi à la grande bouteille qui circule dans la cabine. 
 

Il est maintenant l'heure de dormir.
 

Je jetterai un petit coup d'œil à la carte pendant la nuit.
 

J'ouvrirai les yeux 2h30 avant l'atterrissage.
 

Pile au moment où le service débutera.
 

La PNC annoncera oralement les deux plats au choix dont un qui n'était pas mentionné sur le menu.
Je ne serais pas très convaincue par le plat asiatique et opterai pour une valeur sure, l'omelette. 

En revanche, je suis un peu déçue de mon plat principal qui ne correspondait pas réellement à ce qui était sur le menu, à la limite, peu importe.
La texture des deux "trucs" frits était improbable et non identifiée.

Un thé vert sencha en classe économique était disponible, en plus du thé noir, un petit plus.
 

aeroport de dubai

L'arrivée à Dubai se précise avec une qualité des caméras toujours aussi parfaite sur cette génération d'appareils.
 

Nous arriverons à l'heure en porte.
 

Je reçois une notification d'Emirates d'indiquant que ma valise sera livrée 13.
 

Je m'arrêterai à Dubai quelques jours avant de repartir à Lyon.
 

Sans oublier un passage au Starbucks situé à la sortie pour finir de me réveiller ;)
 

Merci d'avoir lu ce Flight-Report!
 

Kyoto

Fushimi Inari