Bonjour et bienvenue à bord de ce report ! Comme vous commencez à me connaître je suis adepte des petits routings à vocation av-geek le temps d’un week-end.
introduction
Nous sommes fin juin quand ma compagne m’annonce qu’elle part faire un week-end randonnée entre filles début juillet me laissant la maison pour moi tout seul. Je ne suis pas vraiment du genre à rester planter à l’ombre de la maison en regardant le Tour de France à la télévision.
Je regarde donc quels sont les options de routing avec des appareils un peu spéciaux, nous sommes le premier week-end des vacances scolaires et à J-20 les tarifs vers les liaisons touristiques sont déjà stratosphériques.
En cherchant un peu plus je vois que Twinjet effectue toujours de multiples A/R quotidiens sur sa ligne entre Toulouse et Marseille. Pas de vols les samedis mais une liaison le dimanche en fin d’après-midi et en plus les tarifs sont en promo pour 112€ (il est possible d’avoir des billets à 79€) de quoi ajouter à mon flightlog un duo compagnie/avion très connu sur le site avec les Beechcraft 1900D de Twinjet mais manquant à mon flightlog!
Je pensais initialement rejoindre Marseille en train Intercités pour une quarantaine d’euro le matin du dimanche avant que Google flight m’indique qu’il est possible de rejoindre Marseille au départ de Toulouse le samedi avec un night-stop à Madrid pour 70€ parfait !
Sauf qu’au moment de réserver impossible d’avoir les vols que je souhaite avec Iberia. Je réserverais donc via booking pour 5€ de plus.
Ce qui nous donne le routing suivant :
Enchainement de vols
- 1IB8741 - Economique - Toulouse => Madrid - Bombardier Crj-1000
- 2IB8746 - Economique - Madrid => Marseille - Bombardier Crj-1000
- 3T71517 - Economique - Marseille => Toulouse - Beechcraft 1900D
Cette ligne est plutôt connu sur notre site en effet Iberia dessert 3 fois par jour en moyenne Toulouse à son Hub de Madrid le vol du matin et de l’après-midi sont effectués par les CRJ-1000 d’Air Nostrum tandis que le vol du soir est opéré par les Airbus d’Iberia Express. Pour cette saison été Volotea opère 2 vols semaines les vendredis soir et lundis soir ce qui a eu pour principal effet de réduire grandement les prix sur cette liaison.
Niveau report c’est aussi plutôt fourni et c’est en partie ma faute ayant emprunter ce même vol il y a à peine plus d’un mois. Rassurez-vous on est loin de la fréquence des EAP-FRA…
Départ un samedi apres-midi de TLS
Mon vol étant prévu à 17h30 je rejoins l’aéroport en milieu d’après-midi sans me presser. Je prendrai le tram pour éviter de suée comme un goret. En effet la température à bien grimpée lors de cette première semaine de juillet et il fait 35° dans l’après-midi et dire que ça doit encore grimper dans la semaine.

La façade du terminal est inondée par le ciel bleu.

Je monte immédiatement et longe les comptoirs d’enregistrements où se .pressent les passagers, pas d’arrêt pour moi, la file de l’enregistrement Iberia ne comptait que quelques passagers en attente.


Le tableau des départs affiche des niveaux s’approchant du trafic près Covid avec quelques retards pour certains vols, heureusement que je n’ai pas pris Ryanair comme lors de ma précédente escapade av-geek car il semblerait qu’il ait aussi des soucis ce samedi.

Tout est prévu dans les temps pour mon vol, je file donc airside et là la magie de l’aéroport Toulousain opère. Avec 0 secondes d’attente au PIF et des agents très aimable la formalité est passée en quelques petites minutes. Quand je vois qu’à AMS il faut parfois attendre plus d’une heure je m’estime très chanceux.

A l’issue je ferais une petite halte au stand des bouteilles d’eau à 1€, bonne surprise on peut désormais payer par carte sans contact.
La traversée de l’habituel Duty-Free sera une habituelle perte de temps et je vois d’ailleurs rarement des passagers avec des sacs en provenance de la boutique détaxée.


Les boutiques de la galerie marchande semblent connaître un peu plus de succès avec l’ensemble des magasins ouverts et des clients qui s’y pressent

Au passage on notera que le seul salon de l'aéroport Toulousain n'ouvre toujours pas les week-ends.

Il y a un peu de monde dans le hall C pour une fin de samedi après-midi, les points de restaurations sont tous ouverts mais tous ne font pas le plein.


Pas d'arrêt pour moi non plus, je file vers mon lieu de spotting habituel situé au hall B qui lui est bien souvent désert. Il s'agit de l'ancienne zone de l'aéroport dédiée à AF mais aujourd'hui elle semble surtout sous utilisée.

Mais ça ne change rien à la vue, aux portes des usines Airbus, les avions de transports Beluga sont alignés comme à la parade.

Sacré différence de taille entre le prototype de l'A380 et cet A320neo à l'origine destiné à la low-cost Russe Smartavia.

Et il y en a des Airbus A320neo en cours de finition pour des compagnies aux quatre coins du monde, on citera l'Indienne Vistara, la Colombienne Avianca ou bien encore la Saoudienne Flynas.

Mais si en ce week-end les appareils chez Airbus sont plutôt statique il y a tout de même des mouvements sur la plateforme avec la crevette qui fait voler ses Airbus A320 en mode HUB feeder depuis CDG pour le premier.

Ou, particularité de l'été, sur des destinations loisirs comme Athènes pour ce second appareil habituellement basé à Orly

Autre Airbus A320 au roulage cet appareil d'Aer Lingus qui ne laisse que peu de doute quant à sa destination à savoir Dublin !

Même si cet Airbus d'Air Corsica c'est maquillé avec une peinture "masque de raton laveur" pour ressembler à un A320neo il est vite démasqué avec la taille des moteurs et l'absence de sharklet qui sont de série sur les Neos.

On fini ce ballé d'Airbus A320 avec cet appareil d'Easyjet qui s'envole pour Porto.

Au large certaines machine sont au repos pour le week-end comme ce Crj-1000 de HOP! ou ce Beechcraft 1900D de Twin Jet.

Il a aussi un peu de mouvement du coté du hall A avec cet Airbus A319 qui embarque pour Ibiza.

Air France assure aussi des vols au départ vers CDG en Airbus A321 afin d'alimenter son HUB Parisien.

Puis c'est au tour de mon appareil du jour de faire son entrée en mode incognito avec cet livrée bien triste sans titre, logo ou même couleurs

Alors que je suis en chemin vers ma porte je croise ce Boeing 737-800 de KLM, certains vols entre Toulouse et Amsterdam sont désormais opérés avec des modèles plus gros que les habituels Embraer 190 signe que la ligne doit être rentable pour la compagnie Batave.

Notre Crj était juste derrière dans l'attente que les schtroumfs finissent de repousser.
Petite présentation rapide de notre saucisse de Mirabel, EC-LPG un Crj-1000 âgé d'un peu plus de 10 ans passés au service de la compagnie régional Air Nostrum. Il n'en porte pas vraiment les couleurs du fait que cet appareil soit régulièrement opéré sur des vols charters ou même en wet lease comme ce fut le cas durant l'été 2019 chez Croatia Airlines.

Notre embarquement prendra place en porte 31, et alors que celui ci n'a pas encore commencé une longue file d'attente se forme déjà devant le comptoir. Il semble qu'Iberia fasse une nouvelle fois le plein sur ce vol HUB feeder.

Le boarding pass en version électronique une nouvelle fois un peu de chance au tirage avec ce hublot attribué automatiquement (contrairement à AF par exemple le choix de siège est payant même le jour du vol).

Pas de passerelle pour embarquer à bord des CRJ (en Europe en tout cas) ce qui permet de faire un petit tour sous le soleil radieux et la chaleur caniculaire qui règne en cette fin d'après-midi sur le tarmac Toulousain.


Je laisse mon bagage à main de type trolley au personnel au sol qui le charge immédiatement dans la soute avant.

Coté push la barre est en place.

Tient il semble qu'il y ait un petit soucis sur l'attache de la porte de soute avant, le CDB est appelé pour constater le problème.

A bord du Crj-1000 d'air nostrum
Pendant que le CDB parle mécanique avec les agents de pistes je suis accueilli avec le sourire par la chef de cabine en porte qui sera (c'est assez rare pour le souligné dans les compagnies Espagnoles) très sympathique et enjouée.

Instant porte opposée pour notre leader des publications

Je rejoins mon siège au rang 14, on retrouve la cabine Sicma qui commence à faire un peu dépassé et au confort médiocre malgré l'épaisseur du siège.

Le pas lui est correct pour un appareil régional, même si le siège hublot a un espace un peu plus réduit au niveau des pieds due à la forme de la cabine.

L'embarquement se poursuit et le vol est tout simplement full ! Pas une surprise que pour la saison hiver Iberia ait décidée d'upgaugé 2 vols quotidiens en Airbus. On notera au passage les stickers publicitaires sur les rangements à bagages.

Petite pensée pour notre nouveau chat noir ^^

La vue par le hublot est bien dégagée.

Puis c'est à notre tour de dégager la vue de l'aéroport ^^. Nous repoussons et laissons cet Airbus de LH seul à la gate au hall C.

Nous commençons notre roulage pour un départ en 32R, on longe donc les anciennes installations de l'aéroport de Blagnac qui servent désormais pour l'aviation privé. Les 2 appareils stationnés devant sont ce que j'appellerais de l'aviation hybride ils assurent des vols réguliers mais avec des tarifs qui s'approchent plus de l'aviation privé comme le King Air 350 d'APG (vous voulez en savoir plus sur cette compagnie c'est par là !)

Aucune attente pour entrer sur la piste, nos PNT effectuent un Rolling take-off histoire de gagner quelques petites secondes.

Nous prenons les airs au dessus des installations aéroportuaires de Blagnac, ici le centre de livraison d'Airbus.

Puis prenons de l'altitude en survolant la campagne du nord Toulousain

Nous changeons rapidement de cap avec un virage à droite direction le Sud !

La montée se poursuit alors que nous passons au dessus de la foret de Bouconne

Avec cette belle météo les Pyrénées sont visibles pratiquement dès notre décollage et il va nous falloir encore prendre un peu d'altitude afin de pouvoir franchir l'obstacle.


Nous arrivons rapidement au dessus des sommets situés dans les Hautes Pyrénées on devine d'ailleurs parfaitement l'observatoire du Pic du Midi de Bigorre situé à 2876m cerné par les nuages. Une belle randonnée pour les plus sportifs mais il existe aussi un téléphérique depuis la station de La Mongie.


Au loin les sommets les plus hauts marque la frontière entre France et Espagne.

Nous passons près d'un autre site exceptionnel des Pyrénées Française avec le célèbre Cirque de Gavarnie. Classé à l'UNESCO l'endroit est vraiment majestueux et pour le coup la randonnée pour rejoindre le cœur du cirque est vraiment facile.
Pic du Marboré, Glacier d'Astazou … ces noms doivent parler aux passionnés d'aviation car il correspondent aussi aux noms des turbines produite par l'entreprise pyrénéenne Turboméca et qui équipe nombre d'hélicoptères et d'avions légers à travers le monde.


Nous voici à présent dans la partie Espagnole de la chaine de montagne où l'altitude du relief redescend progressivement en formant des vallés et canyons la région de l'Aragon est d'ailleurs très réputée pour l'escalade et le canyoning.

L'unique IFE disponible sera par le hublot car sur cet appareil le système de divertissement par wifi ne fonctionnera pas.

Puis soudain le relief devient beaucoup plus plat et aride à la frontière entre Navarre et Aragon. Il faut dire que c'est ici que l'on trouve le désert des Bardenas Reales, zone semi-désertique aux paysages spectaculaires. Tellement spectaculaire que de nombreux westerns y ont été tournés.


La route du jour avec une altitude de croisière relativement basse de 25000ft.

Nous croisons la ville de Saragosse par l'Ouest.


Passage au dessus de l'aéroport de Saragosse et ses 2 pistes. Si le trafic passager reste marginale, l'aéroport reste très utilisé par les compagnies Cargo mais aussi par l'armée de l'air Espagnole qui y dispose d'une base.
Petit complément d'information initialement cette base était utilisée par l'Us Air Force mais aussi comme terrain de dégagement pour la navette spatiale américaine.

Au Sud de Saragosse on retrouve un paysage bien plus vallonné recouvert de forets, c'est ici que l'on trouve le massif du Moncayo

Le contenu de la pochette est désormais comme sur de nombreuses compagnies composée de la réglementaire safety card et du menu de la vente à bord qui sur ce vol fera un flop.

Notre descente est déjà bien entamée quand nous passons à proximité du réservoir de Buendia qui se situe à moins d'une centaine de kilomètre de la capitale Espagnole.

Les changements de paysages sont vraiment spectaculaires lors de cette approche de Barajas pour les pistes 32.



Nous survolons un échangeur autoroutier abandonné témoin d’une certaine folie des grandeurs dans les projets d’infrastructures en Espagne lors de la dernière décennie.

Puis nous arrivons rapidement en finale au dessus des autoroutes (elles bien en fonctionnement) qui cernent la ville de Torrejón de Ardoz signe d'une arrivée par le sud et un posé sur le doublé des pistes 32.

posé dans la chaleur madrilène
Il ne nous reste que quelques secondes de vol lorsque nous arrivons a proximité des installations de maintenance d'Iberia où sont encore stockés un nombre important d'appareils du groupe IAG que cela soit des Airbus A321 de British Airways ou, malheureusement, ces superbes Airbus A340-600. Contrairement à Lufthansa Iberia n'a pas prévu de remettre en service ces vénérables quadriréacteurs.

Début juillet il n'y avait déjà plus qu'un seul Airbus A380 de British Airways stocké à Madrid, il a depuis rejoint le service actif dans la compagnie britannique qui aura été la première à réactivé entièrement sa flotte d'Airbus A380.

Papi devant n'aura pas pu se retenir d'enlever son masque durant une bonne partie du vol malgré les annonces répétés quand à son port obligatoire à bord.

Nous approchons du Terminal 4 fief d'Iberia avec cet intrus au premier plan, un Boeing 737-300 privé appartenant à la compagnie de leasing 2Excel Aviation qui s'envolera le lendemain pour Girona.

Alignement de dérives Airbus d'Iberia pratiquement parfait, il faut reconnaitre que ça en impose !

Au loin les jetbridges du T4S (qui accueil les vols intercontinentaux) sont bien déserts.

Sortie de la cabine gérée de main de maitre par notre équipage, les passagers doivent rester assis tant que l'hôtesse qui remonte l'allée en marche arrière n'est pas passé à leur niveau, c'est simple et les gens respect bien au finale j'ai eu l'impression que cela fluidifié les opérations de débarquement.


Surtout que cela ne sert pas a grand chose de se précipiter vers la sortie, de nombreux passagers avaient un trolley à récupérer au pied de l'appareil et les agents de pistes les sortaient un à un de l'étroite soute du Crj-1000.

Dernière vue sur notre Crj-1000 encore plus blanc que le camion du pompiste !

Direction la sortie et petite marche en perspective les Crj arrivant au bout du T4 avec dans notre cas un petit extra de marche étant stationné au bout du bout des portes K, en gros difficile d'avoir un cheminement piétons plus long à Barajas ^^.

L'appareil au premier plan n'est pas représentatif de la lignée de dérive visible au loin avec une sacrée brochette d'Airbus d'Iberia et Iberia express à la gate.

Seul intrus dans cette lignée d'Airbus ce Crj-1000 d'Air Nostrum est lui arrivé un peu avant nous depuis Santander.


Il nous faut remonter d'un étage, ici les escalators fonctionnent.

Puis nous débarquons a l'extrémité de cette immense jetée qu'est le T4

Je recroise cet Airbus A319 "vilain petit canard" qui a failli quitter la compagnie il y a un an (d'où la livrée blanche) avant de reprendre du service pour la compagnie ibérique il s'apprête d'ailleurs à partir vers Vigo.

Passage devant le FIDS avec pas mal de destinations Sud-Américaines partant en soirée le reste des destinations étant plutôt ouest-européenne ou sur la péninsule ibérique.


Il y a des appareils un poil plus modernes que l'A319 vu précédemment, comme cet Airbus A320neo opéré par la maison mère qui arrive lui depuis Athènes.

Ou bien encore cet Airbus A321neo de la filiale à bas cout Iberia Express qui porte haut les couleurs de sa ville de base, il vient lui d'arriver d'un court vol depuis Ibiza.

Bon repère quand vous cherchez la sortie, le MasQMenos situé au milieu du terminal est placé juste avant les escalators qui permettent de rejoindre le niveau des arrivés.

Traversée de la très lumineuse zone de livraison bagages bien déserte ce soir là.

N'ayant rien à récupérer je rejoins directement la sortie et la partie ground side, pour rejoindre le centre ville ce sera un petit tour de métro, Pour le prix comptez aux alentours de 5€.
Si vous disposez d’une carte pré-chargée de tickets de métro classiques il vous suffit d’ajouter les 3€ de surcharge aéroportuaire. Au vue du prix de certaines liaisons aéroportuaires c’est plutôt raisonnable je trouve.


C'est ici que je vous laisse profitant d'une sympathique soirée dans les rues de Madrid, une ville que j'apprécie, malgré une température bien élevé ce jour là.
Salut camarade Toulousain et merci pour ce FR,
Pffff… Et bien excuse-moi mais tu as tords ! La France est si belle vu du ciel et le vélo est un sport passionnant ! ?
J’avais eu de mémoire le même problème en voulant booker un ORY-MAD-LHR avec eux, IB ne doit pas trop apprécier notre communauté et ses routings capillo-tractés. ?
Il est vrai que c’est assez rare mais mes expériences passées sur IB m’ont prouvé le contraire. J’ai toujours eu des équipages sympa en prenant la compagnie nationale, chose qui ne fonctionne pas chez Vueling et surtout chez Air Europa avec leurs PNC qui semblent droit sortis de Guantánamo !
Dans l’ensemble c’est plutôt positif, que demander de plus sur un vol aussi court et payer à un prix aussi raisonnable ?
Je ne suis pas un grand fan de Madrid mais te rejoins sur le fait que le T4 et son jumeaux le T4S ont une architecture très sympa.
À bientôt ! ?
Hello Benji et merci pour ton commentaire, j'avais oublié ton amour pour la grande boucle même si pour l'avoir vu à quelques reprises sur le bord de la route dans la montée de l'Alpe d'Huez je dois reconnaitre que le spectacle est au rendez-vous.
Je pense qu'il s'agit limite d'une fare error car le TLS-MAD en A/S était plutot proche des 150€ A/S
Air Europa j'avais essentiellement eu des équipages masculin polis mais distant (2 vols uniquement) au contraire d'Iberia ou tu as quasiment que des hôtesses et j'avais eu quelques équipage "tire la gueule" mais aussi quelques bonnes surprise chez Iberia Express notamment.
Bon vols !
Merci Hugo pour ce FR !
C’est une façon originale d’aller de Toulouse à Marseille en passant par Madrid.
Pas mal ce stand des bouteilles d’eau à 1€.
C’est fou un aéroport de la taille de celui de Toulouse sans salon le week-end.
Une bonne idée de la part d’AF ces liaisons estivales au départ de TLS, MRS ou NCE.
Des photos magnifiques pendant le vol à travers le hublot.
Je me demande ce que vont devenir ces A340-600 d’Iberia.
J’apprécie aussi beaucoup Madrid, une ville très agréable.
A bientôt pour la suite.
Hello Sconnie et merci pour ce sympathique retour,
L'av-geek aime les détours surtout s'il paye moins cher et ou que cela lui évite la SNCF ^^
C'est en effet bien dommage surtout que toutes les compagnies opère depuis le même terminal dont forcément un nombre conséquent de majors.
Un petit nombre a été transformé en appareil cargo de fortune mais la plupart risque tout simplement d'être détruit.
Bon vols !
Bonjour et merci pour ce FR ! Dans ma tête lorsque j'ai vu la photo du CRK : Youpi !!!! Un vol à bord de mon objet volant préféré (OVP) ! TLS-MAD est relativement cours en terme de vol. Je ne comprends pas pourquoi IB n'a pas choisi les même sièges qu'Air France ou Garuda pour équiper ses CRK. La collation manque quand même pour une compagnie "nationale", osons "traditionnelle". En même temps, quand le tarif ultra basic est à 27€, ça peut se comprendre. Un vol rempli, c'est toujours à double tranchant : ça marche bien donc on est rassuré quant à la sérénité de la ligne, mais on perd aussi en confort. Les liaisons estivales AF manquaient vraiment à NTE cet été, bien que TO soit sur le terrain. Ce n'est tout de même pas le même voyage. Les A340 sont bien trites parqués de la sorte. Néanmoins, on peut le comprendre au vu des enjeux écologiques. MAD semble extrêmement bien conçu et les correspondances fluides et efficaces. A bientôt !
Bonjour le Matheuxvoyageur et merci pour ce commentaire, ravis d'avoir plus rajouter un report de plus sur ton OVP même si je dois avouer que je ne suis pas un fan inconditionnel du CRK ^^ J'avoue que j'ignore totalement la configuration des appareils de GA il faudrait que je regarde si l'on a ça dans la BDD...
Je pense que majore serait le terme juste et je te rejoins à minimas une bouteille d'eau comme chez LH ou la grande sœur d'IAG, BA.
Il y a quoi 5 avions TO basé à NTE cet été je crois ? De quoi offrir un panel de destination bien plus varié qu'un pauvre Oran et un pauvre Athènes ^^.
Bon vols !
Beau temps sur tout le vol, tu avais réservé ?
Hello mister Clipper, j'espère que tu vas bien ... pas de réservation possible mais il faut bien reconnaitre qu'aller en Espagne au mois de juillet augmente fortement la probabilité d'avoir un siège dégagé ^^.
Bon vols !
Merci Hugo pour le FR, le routing s'annonce sympathique !
Sympathique tarif pour ce vol ! (Bon, la logique aurait voulu que tu prennes l'Intercité, mais logique et avgeek sont rarement compatibles :D )
Bien dommage pour un aéroport quand même bien fréquenté...
Pas cool d'avoir de la cabine domestique sur un vol aussi long ! Enfin, c'est un peu comme la plupart des compagnies les sièges slim, mais bon.
Quasiment, à Tallinn les embarquements des CRJ se font en passerelle !
C'est la même cabine que chez Hop! ? Si oui, je trouve les sièges confortables moi plutôt (si non... Ben j'ai jamais testé les CRK ailleurs que chez Hop donc dur de comparer :D )
L'IFE naturel est vraiment beau, la traversée des Pyrénées est toujours aussi impressionnante, et tes clichés la mettent bien en valeur !
L'aéroport de Saragosse m'a en effet surpris par sa taille, vu la faible fréquentation passagers ^^
Faudra que j'essaie de le repérer la prochaine fois que j'approcherai de MAD tiens, moi qui adore ce genre de petits détails :D
Bonne idée le process pour le débarquement... Ca force le fait que ça soit respecté ^^
A bientôt !
Merci Hugo pour ce FR.
Sympa d’occuper son week-end à chassez l’oiseau rare (enfin l’avion rare)
je vois d’ailleurs rarement des passagers avec des sacs => je me suis déjà fait la réflexion sur la rentabilité de ces duty free surtout dans les aéroports de province.
A bord , le BOB ne fait pas recette, ce qui ne m’étonne pas au vue de l’horaire.
J’aime beaucoup l’approche vers MAD, le paysage est chouette.
Le métro est à un bon prix, ce n’est pas Paris.
A bientôt
Salut Hugo et merci pour le FR!
Très sympa de t'avoir rencontré à Varsovie et au salon 2F!
et pourquoi pas! Surtout pour un routing 100% avgeek et assez original.
C'est bien connu il n'y a que des pax en J la semaine lol!
Superbe brochette de Belugas que du coup tu dois bien connaître... Belle séance de spotting avec notamment le CRJ1000 Hop qui te fait de l'oeuil avant qu'il ne disparaisse et le Twinjet.
Je ne connaissais pas la raison de la livrée toute blanche du CRJ d'Air Nostrum, merci.
Superbes photos en vol - je vois que tu as résisté aux sirennes du BoB..
Encore une livrée blanche à l'arrivée, décidément!