Suite de ma série de cet hiver. La destination finale était l'Alaska, que nous n'avions jamais visitée, et c'était donc une première. Le billet principal était un open jaw entre Fairbanks et Anchorage, que nous avons refermé avec un billet award sur Alaska. Nous avons profité de la joint venture entre AF, KL, DL et VS sur l'axe transatlantique pour mixer les compagnies, mais je dois bien avouer que je suis content que ce vol soit le dernier sur Delta !
Voici donc le routing :
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5Seattle Tacoma - Fairbanks International avec Delta en Domestic First sur A220
- 6
- 7
- 8Seattle Tacoma - Los Angeles International avec Delta en Domestic First sur B739
Comme les autres vols de cette série, la récupération de la carte d'embarquement prendra une grosse demi-heure. Comme j'expliquais sur le BOS-MSP, Delta a fait le choix de mettre du personnel d'exécution au comptoir, qui appelle une hotline dédiée pour traiter toutes les cas, même les plus simples (qui passaient avant inaperçus, ne demandant à l'agent d'enregistrement que deux clics). Désormais, il faut regarder quelqu'un attendre 30 minutes au téléphone puis 10 secondes en communication pour recevoir l'aval : "Yes, you can click".

Ce fut le plus pénible, la sécurité étant assez fluide. Direction le salon, puisque nous sommes (enfin) en connexion internationale (condition indispensable chez Delta pour avoir l'accès à un salon lors d'un vol domestique).

Il est assez rempli, mais l'espace est agréable.

Nous trouvons une table, qui semble avoir été complétée de prises électriques dans un second temps.

Il y a une deuxième zone en mezzanine, qui laisse apprécier la vue du salon.


Direction le buffet, qui n'est pas trop mal pour les standards américains, avec notamment des légumes (youpi !)


Et trois plats chauds (ou plutôt deux et deux autres accompagnements).


Salade pour moi (épinards à défaut de roquette ^^) et Mac'n Cheese pour mon ami.


Documents pour ce vol : un des premiers en deux ans que nous faisons sans test PCR ni certificat quelconque :) Notez que DL a juste corrigé le problème pour son vol, le laissant sur le suivant (ce qui sera sans impact, les agents VS étant autorisés à cliquer sans avis d'une hotline).

Puis direction notre porte et embarquement selon les priorités, appelées l'une après l'autre au haut parleur et respectées dans une grande discipline.


Cabine classique aux USA, dans le bon sens du terme avec de vrais sièges Business.

Toujours pas de verre d'accueil pendant l'embarquement, mais il y a des bouteilles d'eau pour s'hydrater.

Le vol doit être assez rempli vu le nombre de valises qui sont enregistrées en porte.

Un casque est distribué en Business, et le même est vendu $5 en Economy.

C'est une vraie daube, mais j'adore les superlatifs américains qui en font une "Qualité sonore riche et haut de gamme pour améliorer les aventures acoustiques, grâce à un confort ultime et une forme optimisée pour une réduction des bruits supérieure". Casque à ne pas utiliser si vous tenez à vos oreilles.


C'est parti.

A l'origine, nous devions être dans celui-ci, mais il partait trop tôt (et donc difficile de s'endormir, sur un vol finalement court, surtout pour une arrivée au petit matin…). Nous l'avons quand même réservé et dès le premier changement, demandé le changement du SEA-LHR en SEA-LAX-LHR, qui implique certes un détour mais offre de bien meilleures horaires / temps de vol (et quelques miles au passage…)

Go !


Après la montée, le service commence.

Just one more box

Toujours rien de terrible dedans, mais je serai malhonnête à dire que ça ne se laisse pas picorer avec un verre. Ce n'est pas terrible, mais sur ce vol assez court qui s'ensuivra d'un LC, l'impression n'est pas la même que sur le long vol précédent où cela faisait notre repas.


Le reste du vol se fera avec l'IFE, qui reste très complet.

Puis nous arrivons à LAX…là aussi il y a foule !


Il ne nous reste plus qu'à prendre une connexion en bus pour rejoindre le TBIT d'où part notre vol pour LHR.


A bientôt !
Ça paraît peu pratique d'avoir des employés qui doivent appeler un hotline pour faire n'importe quelle manip'. Pourtant les compagnies (en générale) essayent de donner plus de pouvoir aux employés que l'inverse.
Le contenu de la boîte permet d'avoir un snack en regardant un film mais c'est pas génial, ni très sain.
Merci pour ce Fr
Merci Tom pour le partage !
Effectivement ces appels aux hotlines sont une plaie, dommage pour DL et un service client qui était souvent exemplaire au sol.
Au salon j'ai souvenir de ces prises courant, elles sont donc moins récentes qu'il n'y parait.
A bord, une vraie cabine "business" même si ils l'appellent First et cette boite qui a, heureusement disparu depuis, mais qui à l'époque faisait quand même le job, quand il y avait le sandwich dedans :)
A bientôt !