Camarades, camarades, bonjour !
On se retrouve aujourd'hui pour le dernier segment de mon voyage anti-canicule en Espagne. Avant de commencer, le rappel de la création du voyage dans le spoiler ci-dessous :
Madame Kethu, elle, part animer une colonie de vacances de son côté, et je me retrouve à trimer seul toute la semaine au lieu de flâner dans d'anciens châteaux hantés dans la brume des lochs écossais…
Ajoutons à cela la canicule qui fait rage à Lyon, avec 40° à l'ombre.
C'est donc tout naturellement que je me dis que je partirai bien en week-end pour décompresser, et si possible, me rafraîchir un peu !
Les conditions sont les suivantes :
1/ Départ au plus tôt le vendredi midi
2/ Tarif "tout compris" à moins de 1.000€ (le prix de la semaine prévue en Écosse)
3/ Retour le dimanche pas trop tard (car j'ai un vol tôt le lundi matin…)
4/ Si possible chez AF
Je remarque qu'en dernière minute, il y a très peu, voire pas de différence entre l'Éco et la Business chez AF (voire même une différence négative parfois). Et qui dit Business, dit XP multipliés par 3 !
C'est parti donc pour la recherche. Je vous passe toutes les destinations tentées, parce que j'en ai tenté BEAUCOUP, mais vraiment BEAUCOUP, au point de devoir passer par un VPN car le site Air France me prenait pour un bot.
Zagreb me fait énormément de l'œil, la capitale croate me semble intéressante et le tarif est bon (520€ AR)… Mais le retour à 23h est un peu trop tardif.
Du coup, je me rabats sur le plan B ! Et selon toute logique, c'est dans le coin le plus chaud d'Europe que je me rendrais, à Madrid !
Le tarif sur un LYS-CDG-MAD / MAD-CDG-LYS est en effet d'environ 560€. Par curiosité (et appât du gain), je regarde aussi le tarif au départ de GVA : On arrive au même tarif à quelques €uros près. Pour un aller-retour en J avec 3 vols européens et un domestique, réservé 3 jours à l'avance, je trouve ça très raisonnable.
En bonus, j'ai droit à un Bombardier CS300 au retour, un inédit pour moi chez Air France (après l'avoir déjà testé chez airBaltic et Air Canada) !
L'aller se fera le samedi midi, avec une nuit à l'aéroport de Genève pour ne pas avoir à me lever aux aurores le samedi matin, une nuit dans le centre de Madrid, et un retour à Lyon à 19h. Je coche toutes les cases, c'est parti !
Routing, infos, et plan cabine tout vide
Et voilà le routing, quasiment terminé désormais :
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3
- 4AF7646 - Affaires - Paris CDG → Lyon - Airbus A321
Pour ce dernier segment, la J n'est pas bien remplie, elle ne fait d'ailleurs que deux rangs, et on peut dire que j'ai l'embarras du choix pour ma place…
Le 01A est plus adapté pour éviter le soleil en pleine face pendant le vol, c'est parti. A voir si ça restera aussi vide pendant le vol !

Pas grand chose de nouveau à vous proposer sur ce vol, si ce n'est l'éternel désespoir qu'inspire la classe Affaires d'Air France en domestique.
Pour ceux qui aiment mes statistiques, ça sera mon 20e vol entre Paris et Lyon (deux sens confondus). J'aurais cru beaucoup plus, mais finalement, moins de 10% de mes vols sont sur cette liaison !
Et c'est parti !
Et revoilà le salon du 2F !
Je vous avais laissé à l'entrée du salon Air France du 2F, entrons sans attendre, c'est qu'il fait faim ! Enfin, pas spécialement, mais c'est offert, donc bon.

Après avoir bipé rouge à l'entrée (je suis déjà passé au salon la veille avec le même billet, le système considérait donc cela comme une double entrée), un sympathique agent m'ouvre le portillon. Je file à l'étage directement, où il n'y a pas d'attente aux soins Clarins, vu qu'ils sont fermés.

Comme d'habitude, je pars au fond de l'étage pour m'installer, et accessoirement admirer le ballet des avions code-barrés !

Petit tour aux buffets, l'offre est en cours de changement entre l'offre déjeuner et celle d'après-midi, c'est donc temporairement un peu léger…

Notamment au niveau des desserts, où c'est désert.

Heureusement, à l'étage inférieur, le réassort a déjà été fait !

Je ne fais pas tout le tour, voilà donc sans plus attendre ma sélection plutôt basique. Et oui, pas d'alcool, même pas un peu de rhum pour accompagner le Coca.

Le retour du BP aux quatre segments qui m'a valu un bip rouge à l'entrée.

Les sanitaires viennent d'être nettoyés. Les miroirs ont toujours cet effet "buée" sur le bas que je ne m'explique pas…

Après un peu plus de deux heures de détente et glandouille, je reprends le chemin des portes, mon A321 du jour est en porte, le dernier au fond sur cette photo.
Il s'agit de F-GTAP, encore un appareil que je n'avais pas pris auparavant ! Ma liste des A321 restants à prendre chez AF réduit rapidement.
Il a été livré neuf en 2008 à Air France, et a depuis un peu plus d'un an la nouvelle livrée "Crevette". Il porte désormais le nom d'Épinal.
Nous pouvons donc dire qu'il s'agit… d'une image d'Épinal.

Direction le 2F-1… La boutique Swarovski est fermée, assez curieux pour une période de forte affluence comme un week-end de mi-août. A moins que la cible de la boutique ne soit les businessmen en semaine le reste de l'année, qui achète moult bijoux brillants pour leurs compagnes, histoire de se faire pardonner les coucheries pendant les voyages d'affaires.

Pour ma part, je me contente de la brillance du terminal (mais un terminal est un peu plus encombrant à porter autour du cou, je vous l'accorde).

J'arrive en porte avec un peu d'avance, j'avais envie de profiter de l'ambiance bondée du 2F… Je n'irai pas jusqu'à dire que ça me manque, cet espace surchargé, mais ça n'est pas la même expérience quand on a l'accès au salon.
Pour ceux qui se demandent, non, je n'ai pas fait de croche-pattes à l'enfant qui court dans le terminal. Principalement parce que j'étais trop loin de lui.

Et si on montait à bord ?
Un embarquement est réalisé dix minutes en avance pour les personnes en assistance et les familles avec enfants, via le portillon sur le côté, c'est plutôt confortable pour eux, ça évite la cohue de la file d'attente.

C'est finalement à 17h05, avec cinq minutes d'avance, que je peux embarquer, la passerelle est à moi !

Instant porte complet ! Les personnes devant ont certes des enfants en bas-âge, mais surtout un nombre assez impressionnants de bouteilles achetées en duty-free, vu le nombre de sacs trimballés par Monsieur.

A bord, on retrouve la cabine Domestique, sans séparateur de classes.

Les têtières siglées Business (bon, on ne le voit pas trop)…

Le pas à l'avant des A321 est toujours aussi réduit, mais il garantit un accès au couloir pour l'instant Katia si j'en ai la possibilité !

Me voilà donc bien installé à mon 01A, prêt à regarder défiler les passagers. Un petit plaisir que j'apprécie beaucoup, même si je sais que c'est souvent ce qui gêne beaucoup de FRistes, voir défiler tout le monde quand on est à l'avant…

Pas grand chose à voir dehors, si ce n'est quelques codes-barres…

… Et ce marquage d'un autre temps, où le terminal 2F accueillait des long-courriers Air France, qui plus est en 747 !

Retour à l'intérieur, avec un plafonnier certes classiques, mais resplendissant !

Et une ceinture siglée, avec l'ancien logo Air France.

Un fenestron permet aux passagers d'espionner les PNC, à moins que ça ne soit l'inverse… Le vestiaire servira à ranger les vestes des passagers en J, ainsi qu'un violon, histoire d'éviter qu'il ne s'abîme dans les coffres à bagages.

De nombreux PNT et PNC voyageant comme passagers (GP ? Placement sur LYS pour le lendemain ?) embarquent, et se présentent tous à l'équipage en cas de besoin. Ca sera cependant un simple voyageur comme moi qui prendra la place au couloir, la cabine J est pleine (bon, elle ne fait que deux rangs…).

La fin de l'embarquement est chaotique, l'équipage attend d'avoir la confirmation des agents en porte qu'il n'y a plus de passagers à embarquer, pour pouvoir placer les derniers GP, mais cela tarde à venir.
En attendant, le recto de la safety card dernière génération.

C'est finalement le commandant de bord qui ira débloquer la situation en allant lui-même en porte. Il revient finalement avec la liste des passagers, 211 personnes sont à bord, dont 4 bébés, pour 208 sièges. L'appareil est bien complet !

Attention à la fermeture des portes, attention au départ !
L'embarquement est finalement terminé à 17h45, le commandant prend la parole rapidement pour annoncer 45 minutes de temps de vol, et qu'il fait tout pour partir au plus vite. A côté de nous, un A320 repousse pour Marseille.

On repousse juste après, avec 7 minutes de retard. La jetée 2F-1 s'est bien vidée…

On part vers l'ouest, devant la nouvelle verrière reliant le 2D et le 2B. On fait la course avec un A319 Air France qui part pour Nice.

Au bout des taxiways, la course semble perdue pour nous…

Les terminaux 2A et 2C, avec un 787 American Airlines au parking, et Air Austral, British Airways au contact.

Le vil A319 qui nous a pris de vitesse se prépare à décoller juste avant nous !

On s'aligne juste après sur la 08L…

Après une petite minute d'attente, on s'élance sur les 4.215 mètres de la piste, à 18h01 !

Passage devant le Hall K du 2E, bien rempli.

Et décollage face au 2G, qui est bien plus calme.

Juste après avoir quitté l'aéroport, on passe au sud de la petite ville de Saint-Mard, coincée entre la Nationale 2 et la ligne ferroviaire de La Plaine à Hirson et Anor, qui permet de relier Paris à Laon avant de continuer jusqu'à la frontière belge.

Si vous êtes un habitué de mes reports, plus besoin de vous présenter Meaux, nichée dans les boucles de la Marne.

On poursuit notre montée, assez turbulente, en piquant vers le sud, au-dessus de la forêt de Crécy, avec l'aérodrome de Coulommiers - Voisins au fond.

La ville de Fontenay-Trésigny, avec juste au-dessus l'aérodrome du même nom. Un Breguet Deux-Ponts y trône fièrement depuis 1968, ayant notamment servi de restaurant, puis de club échangiste. Je laisse les intéressés se renseigner pour voir si cette dernière utilisation est toujours d'actualité…

La raffinerie de Grandpuits au centre de l'image, à l'arrêt depuis 2021, afin de transformer la raffinerie pétrolière en raffinerie de biocarburant (notamment aérien) et en usine de recyclage et de production de bioplastique.

On survole ensuite Montereau (sous notre appareil donc hors-champ), où l'Yonne (qui serpente sur la droite du cliché) se jette dans la Seine, qui sort de la vaste zone de la Bassée (au centre de l'image), plaine alluviale boisée et marécageuse abritant une réserve naturelle.

Le vert de la forêt d'Othe sur la gauche contraste avec le jaune des terres cramées par la sécheresse de la plaine autour de Migennes…

Le """service""" Business Domestique
Une quinzaine de minutes après le décollage, le service commence. Une bouteille d'eau est distribuée, ainsi que les snacks de J domestique. Du champagne est proposé, en plus des autres boissons. L'hôtesse nous précise de ne pas hésiter à demander un refill.
Je ne vais pas tirer sur l'ambulance, je me contenterai d'un qualificatif pour cette offre : Risible.

Petit détail sur la composition des sablés. Ca semble plutôt sain, si ce n'est les sachets fraîcheurs qui ne font pas très "bio".

Voilà les snacks une fois ouverts… Ca fait encore plus cheap. Mis à part des jolis emballages, on a exactement la même chose qu'il y a quelques années en Y, un sucré-salé en quantité homéopathique.

On survole désormais le Morvan, avec le lac de Pannecière, construit pendant les années 40 pour protéger Paris des crues de la Seine… Le dispositif de protection de Paris s'étend vraiment, vraiment loin !
Le lac sert aussi à un barrage hydroélectrique, et accessoirement à alimenter en eau potable la région. Lors des visites décennales, on peut encore y voir quelques vestiges des hameaux engloutis lors du remplissage…

Comme je le disais, le rang 1, s'il a le désavantage d'avoir un pas limité, permet d'aller visiter les sanitaires sans avoir à faire lever son voisin, un avantage très appréciable pour qui a un peu trop bu au salon !
Vu le court vol, j'en serai le seul utilisateur ou presque, c'est donc très propre.

Et toujours une pensée pour Katia… (Et oui, le coiffeur/barbier est prévu pour bientôt)

On survole ensuite le Charolais, le commandant annonce un atterrissage à 18h40 et une arrivée en porte à l'heure.

Approche beaujolaise et atterrissage lyonnais
On suit l'approche que je préfère, avec le passage au-dessus du Beaujolais, avec ici la vallée de l'Ardière et Beaujeu au fond de la vallée, ancienne capitale historique du Beaujolais

Belleville le long de la Saône au fond, et vers le centre de l'image, on aperçoit le fameux Mont Brouilly.

C'est ensuite la plus belle ville que l'on voit, l'actuelle capitale du Beaujolais, Villefranche-sur-Saône !

On se rapproche de Lyon, et voici une des plus importantes bases aériennes de France, si ce n'est la plus importante, la base du Mont-Verdun ! Si vous ne voyez rien, c'est normal, elle est quasiment totalement enterrée, à part des antennes radar permettant de surveiller le quart sud-est de l'espace aérien français.
Sous le Mont se trouvent des dizaines de kilomètres de galeries formant le reste de la base… D'après un officier de la base, il faut une bonne demi-heure pour remonter en surface depuis les coins les plus retranchés de la forteresse souterraine (à peu près la seule information utile que j'avais apprise pendant ma JAPD).

Le survol de Lyon commence, avec la Saône et le Rhône qui enserrent la colline de Croix-Rousse et de Caluire.

La rive gauche du Rhône ensuite, avec les quelques gratte-ciel de Part-Dieu. En bas à gauche, la Presqu'île, avec la vaste place Bellecour et son cruel manque d'arbres.
Et en bas à droite, le complexe ferroviaire du sud-est lyonnais, avec la jonction entre les voies venant du sud et de l'est de Lyon, celles venant de Perrache et celles de Part-Dieu. Autour de tout ça, la gare TER de Jean-Macé, la gare fret de Guillotière, le technicentre TER de la Mouche, le technicentre TGV de Gerland, et le dépôt de Scaronne.

Revenons à l'aérien, avec l'aéroport de Lyon-Bron au centre de l'image, qui était le principal aéroport lyonnais avant l'ouverture de LYS.
Depuis, il est dédié au trafic privé, sa piste d'atterrissage a d'ailleurs été émasculée d'un kilomètre environ.
D'anciens hangars datant d'avant la deuxième guerre mondiale y sont encore présents, avec des inscription en allemand suite à l'occupation. Il est possible d'y accéder par un long passage souterrain partant d'une trappe cachée dans les réserves du magasin Castorama tout proche (qui est situé dans l'ancienne emprise aéroportuaire). Il faudrait que je récupère les photos de cette petite virée pour en faire un bonus un de ces jours, tiens !

Bref, repassons à la campagne, avec le village de Saint-Georges-d'Espéranche, alors que l'on vire vers le nord pour s'aligner sur les pistes de LYS !

Avec un splendide reflet de mon t-shirt, on passe au niveau de la bifurcation entre la ligne de Lyon Perrache à Grenoble et la LGV Rhône-Alpes, que quitte le LGV 5182 en provenance de Montpellier et en direction de Lille.

On touche finalement tout en délicatesse la piste 35L (habituellement dédiée aux décollages), puis un freinage énergique du genre à faire traverser bébé à travers le pare-brise, pour quitter rapidement la piste.

Il faut en effet laisser place à l'A320 d'Iberia qui s'envole pour Madrid juste après que nous ayons quitté la piste !

On longe le terminal low-cost/hub régional Hop!, selon l'heure. Vu l'Airbus orange en porte, on est en mode low-cost là.

Et nous voilà arrivés en porte avec sept secondes d'avance !

Avant de quitter l'appareil, le commandant de bord réalise une dernière petite annonce pour souhaiter l'anniversaire de notre cheffe de cabine, qui sera donc applaudie par les passagers, devenant au passage rouge comme une tomate, ou comme moi après un vol en Business trop arrosé.

Un petit coup d'œil sur notre appareil depuis le terminal… Notons que l'appareil est bien loin du bâtiment du terminal !

Passage par la salle de livraison des bagages, où les passagers en provenance d'Istanbul profitent de la canicule pour se coller et se tenir encore plus chaud autour du tapis en attendant leurs valises.

La belle gare TGV de l'aéroport est resplendissante sous ce soleil ! Par contre, il fait un poil chaud.

Le bec de l'aigle offre une ombre bien appréciable.

J'arrive sur le quai du Rhônexpress en même temps que le tramway, au moins je n'aurais pas à patienter sans climatisation.

Le trajet sera calme, dans un tramway quasiment vide…

1h30 après notre arrivée en porte à l'aéroport, je suis arrivé chez moi à temps pour admirer les lumières du soleil couchant !

Et voilà donc la fin de ce petit voyage de 3.000 kilomètres en 6h40 de vol, avec beaucoup trop de repas et d'alcool ingurgité, mais qui m'aura permis de cumuler 51 XP !
Voilà la trace radar de ce dernier vol…

Merci à tous pour votre lecture ! On se retrouve prochainement pour un petit vol solitaire, avant un voyage théoriquement inédit sur le site !
Au plaisir de lire vos commentaires et vos FR :)
Merci pour ce FR très détaillé. Vous connaissez la géographie par cœur ou effort de recherche?
C'est un FR culturel ??.
Intéressant. Parce qu'une dissertation sur le catering ?
Bonne soirée.
Merci pour le commentaire !
Pour la géographie, c'est à la base un effort de recherche, mais à la longue, je commence à bien connaître le trajet, les seules inconnues sur ce vol étant les coins autour de Migennes et le Morvan :P
J'ai tendance à écrire beaucoup (trop, diraient certains) ! :D
Bonne soirée également !
Merci pour ce FR ferrovo-aérien :)
Je note un wagon un peu spécial derrière la rame du Rhone express :)
Je suis preneur des photos d'Urbex :)
Merci pour le commentaire :)
En effet, il y a depuis quelques mois un wagon de ballast au bout des voies du Rhonexpress... Je me demande comment il a été acheminé là d'ailleurs, étant donné qu'il n'y a pas, à ma connaissance, de liaison avec le RFN.
Pour l'urbex, c'est noté ! Il faut que je vois avec mon frère, il a tendance à mieux classer ses photos que moi ^^
A bientôt :D
C'est surtout le gabarit (non UIC) qui est à noter. A priori livraison par véhicule surbaissé routier.
C'est vrai que la comparaison du service entre un Lyon Paris et un Genève Paris fait très mal... La classe affaires sur les vols hexagonaux ne sert qu'à gagner quelques XP supplémentaires. Ils devraient la renommer premium economy, ça serait plus en adéquation avec le produit !
Je dois bien avouer que depuis mon trajet depuis Genève, j'hésite de plus en plus à perdre 3 heures pour partir de Suisse... Surtout vu le gain d'XP.
Premium Eco serait en effet un peu plus honnête, mais ça serait encore un moyen de nous sucrer des XP ! ^^
Salut Robin et merci pour le FR pour cette fin de routing!
Sympa ces stats, je vais me mettre au site que tu mentionnais!
tiens on a les mêmes habitudes!
C'est beau un billet à 4 segments c'est rare!!
ah le fameux A321 avec dérive blanche.
LOL je valide la blague!!
un bel instant stéphanB!
Pouah!!
jamais compris l'intérêt de cette petite fenêtre !
C'est pourtant pas compliqué
Dis donc tu es balaise en géographie!
Qu'est-ce que c'est minable des snacks qui servent à faire une mise en bouche en J en LC.
C'est magnifique on verrait presque les vignes.
Quelle belle approche au dessus de Lyon!
Coucou Chris ! Merci pour le com' :D
Est-ce que tu as tout ton historique de vols en tête ? C'est ça le plus compliqué, se rappeler de tous les vols avant d'avoir commencé à les répertorier :P
C'est plus calme, avec vue sur les pistes, possibilité de s'isoler un peu avec les sièges par 3 où en général personne ne prend le siège du milieu, et si on est en couple, ya les tables près de la baie vitrée... Que du positif. A part la bouffe qui est loin :P
Oui, je me demande si ça n'est pas ma première fois !
Je n'avais pas remarqué sa queue blanche, tiens :o
Je suis totalement dans le même esprit que Stephan, j'aime être le premier, et d'avoir la cabine toute à moi pour quelques instants ^^
C'est pour permettre aux PNC assis pendant le décollage/atterrissage/turbulences de voir la cabine malgré la cloison devant eux :)
C'est le fruit de beaucoup de recherches et d'habitude, mais disons que j'adore la géographie oui, j'ai même converti Madame Kethu a ma passion au point qu'elle est prof de géo désormais x)
Oui, totalement... Le seul avantage de la J est le gain d'XP, au final. Et la sensation d'être un pigeon, ça c'est quelque chose qui ne s'achète pas <3
Oui, la prochaine fois je ferai une description des appellations du Beaujolais et des flèches vers les vignerons chez qui j'ai déjà goûté du vin :P
A bientôt :D
Merci Robin pour le partage !
Encore un report fort intéressant sur le superbe produit Business d'Air France que tu décris si bien. J'adore :)
Tu pourras donner des cours de boissons sans alcool à un ami lyonnais commun ^^
A bientôt !
Salut Stephan :D
J'hésite souvent entre l'ironie et le réalisme quand je dois décrire le service en J chez AF en domestique... Dans le doute, mieux vaut en rire qu'en pleurer ^^
Je ne sais pas si l'organisme de ce cher lyonnais supporte l'absence d'alcool dans une boisson, dans le doute, je préfère ne pas tenter le diable :P
A bientôt :)
Merci pour ce FR Robin !
Un vol des plus classique mais toujours aussi décevant au niveau de la prestation servie en business... Un équipage sympa et le wifi qui permettent de relever la note ! :-)
La cantine... Le salon, pardon du 2F est toujours aussi rempli ! Les buffets sont toujours aussi peu rempli... Dommage !
Je me permet de te contredire !!! Habitant dans le secteur et ayant fait mes années lycée à Montereau, justement, je peux t'affirmer que c'est bien le contraire et que c'est la Seine qui se jette dans l'Yonne et que c'est cette dernière qui traverse Paris avant de rejoindre la Manche. :-)
De mémoire, il s'agit même de l'Aube puisque la Seine doit se jeter dedans en amont ! ;-)
Pardon de jouer les rabat-joie mais la seule chose que je connais de Villefranche, c'est le péage et je peux te dire que c'est tout sauf mignon ! LoL
Voilà, c'était la minute géo de Ben !
Sinon, retour à la base en arnaque-express... Heureusement que pour le prix c'est fiable !
A bientôt pour de nouvelles aventures ! ;-)
Merci pour ton commentaire Ben !
Heureusement que les équipages sont là, comme je dis souvent, c'est bien grâce à eux que je reste globalement assez fidèle à AF :D
A l'étage c'est parfois bien long à être rempli... En général je pars au niveau principal pour aller faire le plein de victuailles, entre les différents buffets j'arrive à avoir de tout x)
Tu t'entendrais bien avec ma compagne qui me répète (trop) souvent que c'est la Loire qui se jette dans l'Allier et pas l'inverse tiens :P
Mais il nous vaut une renommée internationale ! ^^ Je pense qu'il y aurait un business à faire, vendre du vin pendant que les gens font la queue au péage...
Oui, c'est là sa principale qualité... Et encore, ces derniers temps il est trèèèèèèès souvent HS ^^'
(pour le prix, j'ai usé d'une astuce pas tout à fait correcte pour le faire baisser, mais je vais éviter de crier sur les toits cela ^^ )
A bientôt !