Bonjour à tous, et bienvenue dans ce nouveau report sur un vol un peu ancien !
Je dissémine petit à petit mes allers-retours Lyon - Bordeaux entre d'autres vols plus "originaux", étant donné que je vais voler pas mal de fois sur cette liaison en 2022-2023…
Rapide historique d'un voyage
Étant une fois de plus lâchement abandonné par ma compagne, début juillet, je décide d'aller passer un week-end prolongé à Bordeaux chez ma belle-sœur (elle aussi abandonné par son compagnon à ce moment là).
L'aller se fera le vendredi 8 juillet, le retour le 13 juillet, parce que ma belle-sœur part sur Paris ce jour-là.
Pour l'aller, le vol habituel AF1498 du matin fera l'affaire, à un tarif pas donné avec le début des vacances scolaires (environ 80€), malgré une réservation plus de deux mois à l'avance.
Pour le retour, le 13 juillet est encore plus demandé, et ni U2 ni AF n'offre de bons résultats en vol direct. Via Paris CDG (avec départ à midi, 4h de correspondance l'aprem, et arrivée à 19h à Lyon), c'est plus correct, même s'il en coûte tout de même 90€, et un parcours assez illogique. J'aurais bien opté pour le train, mais on tapait dans les 120€ minimum, avec la correspondance Montparnasse - Gare de Lyon à se farcir…
Changement de programme 4 jours avant le départ, ma belle-sœur part le 12 au lieu du 13. Les prix sont forcément moins sympathiques, et ayant un déjeuner professionnel à Bordeaux le midi, je dois donc prendre un BOD-CDG à 20h, puis un CDG-LYS à 22h, pour un surcoût de 87€ MAIS avec la découverte du Bombardier CS300 AF (que je n'avais pas encore pris à l'époque). En direct, c'est encore plus cher.
Et forcément, comme un soucis n'arrive jamais seul, le 11 juillet, mon déjeuner est annulé (pour cause de maladie du côté de mon camarade de repas), j'en profite pour changer à nouveau le programme du 12 juillet, avec toujours un passage via CDG, mais en départ à 11h de BOD, 5h à CDG, et arrivée à LYS à 19h. Pour le coup, le changement est gratuit, même si je perds le CS300…
Bref, un bien long pavé pour faire un LYS - BOD / BOD-CDG-LYS à un tarif prohibitif de 250€ environ.
Le routing qui en découle
Enchainement de vols
- 1AF1498 - Économique - Lyon → Bordeaux - Embraer ERJ190
- 2AF7625 - Économique - Bordeaux → Paris CDG - Airbus A319
- 3AF7646 - Économique - Paris CDG → Lyon - Airbus A321
Pour le placement à bord, pas de grande surprise, je privilégie le rang 1, pour son pas bien généreux (contrairement aux A320), le hublot bien aligné (une chose rare sur les E-190), et côté gauche pour espérer voir Bordeaux à l'approche… La cabine s'annonce bien remplie, j'aurais très probablement un voisin.

Pas de grande nouveauté pour moi ou la BDD, j'ai déjà pris ce vol avec le même horaire, même type d'appareil, deux semaines avant, et j'en ai déjà fait un report…
Pour les amateurs de statistiques, il s'agira de mon 215e vol et mon 16e en Embraer E-190 (oui, j'ai pas grand chose à proposer comme stats).
LYS ensoleillé
Avec une réservation quelques jours avant, le parking P3 n'est pas donné, à plus de 60€ pour les 6 jours de stationnement… Mais au moins ça me permet de découvrir ce parking inauguré il y a seulement quelques jours, le 20 juin 2022.

Pour retenir les étages, des lieux touristiques plus ou moins connus (ainsi que des couleurs) sont associés à chacun.

Le Terminal 1 est accessible en quelques minutes, il suffit de traverser les voies de la ligne TGV (de préférence par le pont). Seul défaut : Pas de protection contre la pluie pour les piétons.

Le fameux nouveau parking P3, qui offre 2000 places, est bien ensoleillé malgré l'heure matinale (6h45). Spoiler : Désormais, il fait nuit noire à cette heure-ci.

L'intérieur du terminal est très lumineux aussi, et ça n'est pas trop fréquenté.

Je n'ai donc pas à attendre pour déposer ma valise pour qu'elle parte en soute.

Me voilà débarrassé de 8 kg d'affaires à traîner, et je récupère mon BP, avec le sourire de l'aimable hôtesse.

Le FIDS en ce vendredi matin de juillet. A l'époque, seul le vol de Bordeaux est encore effectué le vendredi matin.
Désormais, en octobre, plus aucun vol "Hop!" n'a lieu le vendredi matin, seulement un à deux vols en fin d'après-midi (environ 16h30-17h) et en soirée (21h). Le hub Hop! du matin n'est actif que du lundi au jeudi.
On peut noter cependant que la grille des départs a gagné en diversité à LYS, avec des vols low-cost assez variés (Tel Aviv, Bucarest, Copenhague, Sétif…), et des compagnies plus originales, comme FlyOne Armenia pour Erevan (dont le code IATA a été malmené, au lieu de 5F, il est affiché 3F), Air Senegal pour Dakar, Air Serbia pour Belgrade…

Direction l'étage pour passer les contrôles, avec le choix entre escaliers, escalators ou ascenseurs !

A l'entrée du PIF, quatre files différentes : Le passage MONA (fast-track biométrique), le coupe-file "normal", les portiques classiques, et enfin la file Familles.

Personne au coupe-file…

Je n'attendrai donc pas, en quelques minutes je passe avec brio le PIF, avec des agents souriants et sympathiques. Direction le duty-free où je fais un non-stop.

Arrivée à la rotonde, avec derrière la paroi blanche, l'aire de jeux pour enfant, avec… un enfant qui joue. Ca semble donc marcher.

Petit tour à la Confluence
Ne nous attardons pas, direction le salon Confluence ! J'aime toujours autant son logo, dessin de la confluence du Rhône et de la Saône, mais qui peut aussi faire penser à un oiseau au bec effilé…
Le salon permet aux passagers AF éligible à un invité, mais pas plus.

L'accueil est très chaleureux, et je retrouve le salon dans son ancienne disposition ; En effet, désormais les parois blanches (que l'on peut apercevoir derrière le pilier) ont disparu, ce qui ouvre la perspective sur tout le salon, mais qui coupe moins le son et rend les sièges moins intimes.

Le coin "chalet" est toujours là, et surtout, toujours vide, alors que c'est clairement le coin le plus confortable du salon…

Petit tour du buffet, avec les boissons froides et des yaourts à gauche.

A côté, la plaque réfrigérante étant à l'époque toujours HS, on trouve l'offre solide froide avec charcuterie, plateau de fromages, saumon fumé, fromage blanc et beurres.

A côté, des céréales, des viennoiseries, du pain, des pommes…

Et enfin quelques madeleines.

Pour le vin rouge, c'est un peu trop tôt pour moi…
Voilà le tour de l'offre, qui est toujours certes de qualité, mais très réduite.

Ma sélection, avec un peu de tout, pour un petit-déjeuner sain et équilibré !

La carte d'embarquement, avec un embarquement en porte D08 et un numéro de séquence assez mauvais, 051.

Je suis bien calé au fond de mon trou de hobbit, j'y resterai bien quelques heures !

Embarquement low-cost
Malheureusement, il me faut rapidement partir vers ma porte d'embarquement (en voyant au passage des passagers au salon en train de manger des viennoiseries et du jus d'orange achetés dans un commerce de l'aéroport… J'ai un peu du mal à comprendre l'intérêt d'acheter quelque chose que l'on a gratuitement au salon, mais bon).

Au passage, un bout de l'A330-300 Air Canada qui est arrivé il y a environ une heure de Montréal, et qui repartira dans 5 heures et quelques. Le temps au sol n'est pas des plus optimisés (mais AC a sans doute de bonnes raisons à ça).

Et direction les portes D donc. Il est assez dommage que même en dehors des heures du hub, les vols Hop! soient relégués dans la jetée low-cost, alors qu'il y a de la place pour les accueillir en rotonde.

Et me voilà dans le hangar, légèrement amélioré avec un petit commerce de snacks.

Curieusement, les passagers patientent dans le couloir, alors que la salle d'embarquement est vide…

J'ai donc tout le loisir de choisir ma place dans la salle…

Notre appareil du jour est là et nous attend patiemment ! Il est parqué ici depuis son vol de la veille au soir, depuis Pau.

L'embarquement est lancé à 7h58, avec quelques minutes de retard.
Derrière, un splendide A300 de DHL qui devrait plaire à Esteban !

Et voilà donc le bestiau du jour ! Il s'agit de F-HBLQ, le dernier Embraer livré à Hop!, en septembre 2020. Il fait partie des 7 appareils Air France Hop aux couleurs actuelles de la compagnie (sur les 36 de la flotte, tous les autres étant en livrée Hop! Air France, alors que la nouvelle livrée est censée être mise en place depuis 2019…).
Il s'agit d'une nouvelle entrée dans mon logbook, je n'ai jamais pris ce brave pépère ! Accessoirement, il s'agit du plus récent E-190 que j'ai pris.

Instant porte et soleil levant !

Fuselage-shot de cette livrée donc plutôt rare…

L'accueil en porte est cordial et souriant, je m'installe à mon 01A, où un voisin est déjà installé. Le pas est bon sur ces appareils, comme prévu.

L'avant de l'appareil est bien rempli, par des passagers qui font sérieux et professionnel (contrairement à moi).

Le plafonnier et la paroi avant. On peut noter que les sorties des buses mériteraient un petit nettoyage, vu les traces noires sur le côté du plafonnier…

La ceinture n'est malheureusement pas siglée.

Le rideau de séparation des classes est en place, entre le rangées 1 et 2.

Une nuée d'UM arrive en groupe, heureusement, ils sont installés bien au fond de l'appareil. Voilà un autre avantage du statut Gold/Plat, on est loin des enfants ! Enfants qui seront très bien accueillis par l'équipage, par ailleurs.

En attendant qu'ils s'installent, jetons un œil à la documentation de bord, avec la notice de sécurité et le "sachet confort"…

Comme le sac vomito n'est pas passionnant, voilà la notice.

Notice qui a bien vécu, on note l'interdiction d'utiliser le Wifi à bord. L'appareil n'en est de toute façon pas équipé…

A 8h15, l'embarquement est annoncé terminé. 91 passagers sont à bord, dont 14 UM et 2 bébé, d'après les comptes du PNC (qui aura du s'y prendre à plusieurs reprises) !
Une brave Kangoo arrive alors à vive allure, et deux agentes Air France en sortent avec une grosse valise réfrigérée. Il s'agit d'un rein prélevé dans la matinée à Annecy et qui doit être expédié le plus rapidement possible pour Bordeaux pour transplantation.
Le centre hospitalier n'étant situé qu'à une heure de route en ambulance, le choix de l'avion de ligne plutôt qu'un vol affrété spécialement pour a du sens !
Le transfert a visiblement été organisé en dernière minute car l'équipage naviguant n'était pas au courant de ce bout de passager qui devait voler avec nous.

C'est parti pour le vol touristique !
La passerelle est retirée, mais nous devrons attendre une dizaine de minutes en raison de plusieurs retards sur la plateforme lyonnaise, d'après l'annonce du commandant. Le temps de vol sera de 50 minutes, avec du beau temps, et un roulage court à LYS qui devrait nous permettre de rattraper un peu de notre retard.

On repousse finalement avec 9 minutes de retard, avant de nous diriger vers la piste. De l'autre côté de la jetée D, un A321neo de Wizzair pour Bucarest.

On passe par la piste 35L, qui était alors toujours fermée pour travaux sur les taxiways… Sans doute la raison des retards sur LYS, une seule piste au lieu de deux complexifie un peu les opérations.

On va donc s'aligner sur la 35R, plus courte de 1.330 mètres par rapport à sa voisine.

Vue sur l'aéroport, avec un peu de couleurs, entre DHL, Wizzair, Easyjet et Transavia…

On prend le chemin des airs à 8h42, suivi par notre ombre !

Vue sur Pusignan, et Meyzieu derrière…

Le grand Parc de Miribel-Jonage, avec ses lacs et marais encadrés par les bras du Rhône, l'agglomération lyonnaise derrière. Au premier plan, les viaducs autoroutier et ferroviaire de la Côtière qui filent vers le nord.

On vire à l'ouest, ce qui nous offre une magnifique vue sur Lyon et sa région, avec la Saône qui vient de la droite, le Rhône qui vient de la gauche, et la confluence au centre.

A l'ouest de Lyon, les reliefs du nord des Mont du Lyonnais, aux environs de Courzieu, avec la vallée de la Brévenne sur la droite.

Le service commence rapidement, avec le trolley à boissons réduit du matin (boissons chaudes, eau et jus d'orange), et le trio de petites galettes bretonnes (que je préfère à l'unique grande galette).

On a dépassé les reliefs, pour atteindre la plaine du Forez, avec en bas à gauche, la ville de Feurs…

Je me permet mon petit plaisir anglais, en rajoutant du "lait" dans le thé (je préfère ne pas savoir ce que contient réellement le creamer). La touillette est dans l'emballage du sucre, dommage pour le gâchis, je ne prends pas de sucre et le sachet sera donc jeté.

Le ciel se couvre un peu plus, au-dessus des Monts du Forez.

On passe quasiment à la verticale de Clermont-Ferrand, avec tout en bas au centre l'aéroport de Clermont, désormais quasiment totalement délaissé, avec hors saison uniquement des vols pour Paris CDG (3 par jour par Hop!) et Porto (2 par semaine par Ryanair), après une histoire bien plus riche.
L'aéroport a en effet été le premier au monde à avoir une piste en dur, construite par Michelin en 1916, qui construisait à l'époque des avions pour soutenir l'effort de guerre. Dans les années 1990, CFE devient le hub de Regional Airlines, jusqu'à ce qu'Air France passe le hub à LYS pour regrouper Brit Air, Airlinair et Régional au même aéroport. L'aéroport peut donc accueillir plus de 2 millions de passagers par an avec ses infrastructures, mais n'en accueille réellement qu'en moyenne 400.000 (pré-Covid)…

Ca se dégage à nouveau à la frontière entre le Puy-de-Dôme et la Corrèze, avec le lac de retenue de Bort-les-Orgues sur la Dordogne. Au-dessus, la traînée blanche dans le ciel du 767-300 United de la nouvelle liaison Newark - Nice. Nous venons d'atteindre notre altitude de croisière de 30.000 pieds.

Virage vers le sud-ouest, au nord de Brive-la-Gaillarde. 3.000 mètres au-dessus de nous, Ryanair file vers Reus, depuis le Leicestershire (aéroport de East Midlands).

Quelques minutes après, notre descente débute, alors que l'on passe au nord de Périgueux. Le cockpit nous annonce un retard de 5 minutes à l'arrivée.

Pendant notre descente au-dessus du Périgord, la vue est belle, on peut même apercevoir les Pyrénées… Mais pas sur les photos malheureusement !

On vire un peu plus vers le sud, au-dessus de Coutras, où eu lieu en 1587 une bataille entre les Huguenots menés par Henri de Navarre (futur Henri IV) et les armées du roi Henri III, et qui se termina par une écrasante victoire des protestants.

Le cockpit annonce le niveau 100 alors que l'on passe ensuite à côté de Libourne, le long de la Dordogne, bien boueuse ici, puisque la marée remonte de l'estuaire de la Gironde jusqu'aux envions de Libourne. Derrière, le vignoble d'un petit cru méconnu, Saint-Émilion.

Un peu plus loin, la Garonne, à l'est de Bordeaux, tout aussi boueuse, avec l'île de la Lande au milieu.

Le village de Saucats, et à droite, des prairies où se trouvait la ferme de Richemont. Le 14 juillet 1944, une quinzaine de maquisards qui s'y étaient réfugiés furent attaqués et tués par la Gestapo et la Milice française. Un monument aux martyrs de la Résistance du Sud-Ouest y a été construit depuis.

On vire vers le nord-ouest, passant au-dessus du CEA CESTA (Centre d'études scientifiques et techniques d'Aquitaine), qui est historiquement en charge de la conception d'armes nucléaires, et désormais aussi du programme Laser Mégajoule, abrité dans le long bâtiment en bas à droite de l'image. Ce programme permet de simuler les tests d'armes nucléaires, qui ne se font plus en conditions réelles (fort heureusement).

On passe à l'est du Bassin d'Arcachon, avec au fond au centre la dune du Pilat, quelques jours avant le début des incendies en Gironde…

On vire à nouveau pour s'aligner sur BOD, avant de passer à côté de Saint-Jean-d'Illac, dernière commune avant le seuil de piste.

BOD ensoleillé aussi
On se pose à 9h31, après 49 minutes de vol, sur la piste 05.

Roulage à côté des appareils parqués à BOD, avec de gauche à droite, un Dassault Mercure Air Inter, deux 787 de Norwegian (il y en avait 4 en mai, soit les deux autres ont été déplacés, soit ils ont trouvé une nouvelle vie), un ancien A340-500 Singapore et la Caravelle Zéro-G. Mis à part les 787 qui semblent un peu entretenus, les trois autres avions pourrissent malheureusement lentement sur le tarmac…

Juste derrière, les hangars de Sabena Technics, où un Beluga pointe le bout de son nez, devant un appareil militaire.

Dernier virage devant la tour de contrôle…

Et juste après, arrivée au bloc à 9h34, 4 minutes de retard donc !

La passerelle met quelques minutes à se mettre en branle, l'occasion de faire un petit instant porte vu de l'intérieur…

Le débarquement est finalement possible, après qu'un agent Air France ai récupéré la précieuse valise à organe. Je discuterai avec lui sur le chemin, il me dira que ce genre de transfert est assez fréquent sur les vols Air France.

Le cheminement pour atteindre la salle des bagages est assez tortueux, de quoi faire patienter avant le début de la livraison. Celle-ci commence dix minutes après l'arrivée en porte, ma valise est en 15-20e position. La livraison prioritaire est toujours très théorique visiblement…

A BOD aussi, les bagages perdus s'entassent. C'est moins impressionnant qu'à CDG ou AMS, mais ça reste tout aussi facile de piquer une valise.

Je suis landside à 9h50, avec une affiche pour les Bassins des Lumières de Bordeaux, que j'espère bien aller visiter prochainement.

L'extérieur est toujours en travaux, avec au choix taxi ou bus pour rallier Bordeaux.

Une heure plus tard, me voilà bien agréablement posé devant la cathédrale de Bordeaux en attendant ma belle-sœur !

Et voilà pour ce vol ma foi plutôt sympathique ! La trace radar du vol pour les amateurs :

Merci à tous pour votre lecture ! On se retrouve bientôt pour le retour :)
Merci pour ce FR ?
Je ne comprends comment vous avez pu attendre une dizaine de minutes au départ. Avec un organe à bord vous êtes normalement EVASAN, donc prioritaire sur presque tout ce qui peut voler. Visiblement un petit souci de ce côté-là sûrement lié à l’organisation en dernière minute.
Sinon un vol intérieur classique et efficace (plus que To en tout cas)…
Hello, merci pour le commentaire !
Merci pour la précision, j'ignorais cette règle de l'EVASAN ! Sans doute lié à l'organisation de dernière minute oui, vu que même l'équipage semblait surpris de cette arrivée.
Profitons de ces lignes intérieures tant que TO ne les a pas reprises...
A bientôt :)
Merci pour ce FR plein d’humour et parsemé de petits bonus historiques que j’adore. On se cultive tous les jours.
‘’traverser les voies de la ligne TGV (de préférence par le pont)’’ => un conseil plein de bon sens!! :-)
LYS: Ravi d’apprendre qu’il y a désormais un salon accessible à AF. En plus il semble très confortable.
CFE: pour y être passé plusieurs week-ends, cela fait en effet grandeur et décadence, avec cette immense jetée d’embarquement désormais inutilisée. Le dimanche en hiver, c’était pire avec une unique rotation CDG-CFE-CDG. En vol saisonnier l’été, j’ai aussi aperçu un ATR72-500 de XK.
A bientôt
Merci pour ton commentaire !
Le salon Confluence est vraiment très agréable oui à LYS :) Une vraie amélioration par rapport à l'ancien salon Air France au final !
Je n'ai pas eu le plaisir de passer directement à CFE, ça doit être assez impressionnant, un grand aéroport si... vide !
En haute saison je pense qu'il doit y avoir aussi quelques vols supplémentaires de Ryanair, mais ça reste bien peu.
A bientôt !
Merci Robin pour ce FR.
Bienvenue en terres girondines depuis la capitale des gaulles!
Oui c'est vrai, BOD n'est pas très accessible.. Le tram qui aurait du être mis en service fin 2019 verra peut être son activité débuter en mai 2023 !
Bref, un bien long pavé pour faire un BOD - LYS / BOD-CDG-LYS à un tarif prohibitif de 250€ environ. -->> Ne serait-ce pas un LYS-BOD / BOD-CDG-LYS plutôt ?
A bientôt !
Merci pour le commentaire Christian !
Espérons que le tram ne soit pas une énième fois retardé, ca améliorera grandement l'accessibilité...
Merci pour la correction de la coquille ! Je vais modifier ça de suite ^^
A bientot :)