Bonjour cher tous, cher toutes !
Et voilà donc le retour de Bordeaux à Lyon, un vol effectué fin juin dernier. Avant de commencer, pour ceux qui n'ont pas lu l'opus précédent ou veulent se remettre en tête mon habituelle explication du routing, c'est par ici :
Le voyage était initialement prévu avec un aller via Easyjet (de nombreuses fois décalé, comme mentionné dans ce précédent récit), pour un vol aller le samedi 25 juin à 12h15.
Le retour était lui lié à ce même report cité ci-dessus, j'avais en effet réservé un aller-retour Lyon - Bordeaux avec Air France avec aller le 6 mai et retour le lundi 27 juin, en soirée, pour 80€ aller-retour. Aucune modification sur le retour, à part un très bienvenu changement d'appareil, on est passé d'un ERJ170 à un CRJ1000, j'aurais ainsi une opportunité supplémentaire de voler à bord de cet appareil génial :)
Pour l'aller, ça se complexifie (légèrement) : En effet, devant voyager à la base avec ma compagne, j'avais prévu un voyage sur un week-end de 3 jours.
Mais deux choses vont changer les plans courant mai :
1/ Ma compagne ne peut pas me rejoindre sur ce voyage, et j'ai donc la possibilité d'allonger mon séjour sur place (vive le télétravail !)
2/ Par conséquent, la lourde valise d'affaires à amener à la sœur de ma compagne devra voyager avec moi en avion
La modification du vol Easyjet et l'ajout d'une valise en soute me reviendrait à plutôt cher (même plus cher que l'achat d'un nouveau billet EasyJet, la logique m'échappe).
Je pars donc sur une solution plus radicale, un vol Lyon - Bordeaux direct le jeudi 23 juin au matin (juste de quoi me reposer le 22 après mon voyage avgeek), pour 75€, sur Air France Hop! en ERJ190. Avec le statut Gold, le bagage en soute est compris, et en plus, j'ai l'accès au salon compris ! Le billet EasyJet sera perdu.
Et voilà !
L'habituel préambule
Le routing, on ne peut plus simple, est donc le suivant :
Enchainement de vols
- 1
- 2AF1651 - Économique - Bordeaux → Lyon - Bombardier CRJ1000
Je vais passer sur le "Blablabla rien d'inédit sur FR" parce que bon, on s'en doute un peu !
Pour moi, pas grand chose d'inédit non plus, on peut noter que c'est la première fois que je fais le trajet sur Hop!, les trois précédents vols étant sur Air France, et le premier remonte à… février 2011 ! C'était la première fois que je mettais les pieds à Bordeaux à l'époque :)
Par habitude, je sélectionne le premier rang à l'achat du billet pour l'espace pour les jambes… Avec le recul, je me dis que l'arrière aurait pu être sympathique aussi, vu que ça risque d'être mon dernier vol à bord du CRJ1000 Hop!, bien profiter du bruit des réacteurs est aussi sympathique (j'espère pouvoir rattraper le coup en novembre, avec un vol prévu en CRJK pour le moment…) !
Au moment de l'enregistrement, la cabine se remplit rapidement, j'ai théoriquement un voisin, et vu le peu de places disponibles, j'ai peu d'espoir qu'il change de siège. Nous verrons cela !

Sur ce… Allons-y !
Découverte de BOD, version Hall A
Après un long trajet de 50 minutes en Liane 1, nous voilà déposés à l'arrêt provisoire, un peu loin des terminaux, à 18h15. Au moins ça permet d'avoir une belle vue sur l'avancée des travaux du tramway, la plateforme est terminée, mais les LAC ne sont pas encore posées. Au fond, on voit que le Hall B est tout bâché, pour cause de travaux.

Il faut malgré tout s'y rendre pour l'enregistrement, le reste des étapes se déroulera au hall A. La file Skypriority est bien matérialisée, mais les comptoirs sont fermés, il faut donc griller la priorité aux comptoirs Eco, c'est toujours moins agréable, notamment pour les passagers en Eco qui voit les passagers prioritaires défiler devant eux sans qu'eux ne puissent avancer.

C'est un agent très sympathique qui me remet mon billet, direction le Hall A pour passer les contrôles !

Dans le hall, aucune file n'est matérialisée, l'enregistrement Aegean prend donc beaucoup de place…

L'accès au PIF est assez étroit, et le temps d'attente affiché de 1 minute me semble un peu utopique.

Le fast-track débouche directement dans la file, un simple coupe-file donc.

Pendant l'attente pour passer le PIF, je repère cet écran qui affiche les informations techniques sur les vols au départ : Types et immatriculations des appareils, positions de parking… Les vols fret sont également affichés. Je suppose que ces informations sont plutôt à destinations du personnel navigant et des agents du PIF que pour les passagers !

C'est finalement plus de dix minutes qu'il faudra pour passer le contrôles, on débouche sur un duty-free qui est évitable.

A droite, les portes hors-Schengen, et aussi l'accès au salon, juste à droite avant les filoguides.

Heureusement qu'il y a un petit panneau, sinon je me croirais dans un couloir d'hôpital.

C'est bien là ! Il faut monter d'un étage.

Un salon… Qui a le mérite d'exister
L'accueil est très sympathique par l'unique employée du salon qui s'occupe donc de l'accueil, du réassort, du nettoyage (de tout le salon, des tables au sol en passant par les sanitaires), et même de la préparation des sandwichs… Un peu beaucoup pour une seule personne. Elle passera son temps à courir à droite à gauche, tout en gardant le sourire et en s'excusant du nettoyage pas parfait auprès des passagers.
Notons une procédure un peu "antique", le BP est littéralement scanné (dans un scanner donc), je ne sais pas ce que ça apporte par rapport au scan du code-barres…
Bref, passons à la vue de l'offre : Du soft, de la Heineken, du Lillet, du vin blanc, et quelques salades et sandwichs qui se courent après (parce que la pauvre employée n'a pas le temps de tout faire, justement).

Au niveau du sucré, du fromage blanc et coulis de fruits rouges, des galettes et madeleines St Michel. Une machine à café est aussi à disposition à droite.
Notons les couverts en bois.

Un peu de snacks sucrés, des alcools forts, et du vin rouge.

Et… C'est tout. L'offre est particulièrement décevante je trouve. A noter que le salon est accessible moyennant 30€, et d'après les conditions de l'aéroport, l'accès est disponible 1h30 avant le départ pour les vols internationaux, et 1h pour les vols nationaux. C'est une belle arnaque !
Bref, voilà donc ma sélection (sans alcool, eh oui, ça m'arrive parfois !).

Au passage, le BP du jour ! J'embarque en porte 53, tout au fond du terminal donc.

La vue de ma place (les fauteuils sont peu confortables, d'ailleurs)… Je n'ai pas fait de vue d'ensemble du salon, mais on voit quasiment tout là, mis à part la baie vitrée sur la gauche donnant sur le tarmac, un peu monopolisée par des voyageurs.
A noter que l'ouverture de la porte du salon est déclenchée par l'hôtesse, avec un son de buzzer très bruyant, et ça devient vite désagréable (et je n'y ai passé qu'une heure).

Passage aux sanitaires qui sont :
1/ En quantité insuffisante (1 par genre)
2/ Sales (mais vu qu'il n'y a qu'une seule employée, et que les gens sont souvent des porcs, ça n'est pas étonnant)
3/ Pas très bien entretenus, en témoigne l'état du pousse-savon.

Coup d'œil au FIDS, on peut noter de sacrés retards chez Ryanair et KLM (en haut), et le nombre impressionnant de codeshares pour le vol AF vers Roissy (et l'affichage un peu encombrant et inutile de ces derniers).

L'offre en sandwich a enfin pu être réapprovisionnées après le départ des passagers pour Paris.

Allons visiter ce charmant endroit qu'est le Hall A de BOD ! (non)
Je quitte le salon à l'heure prévue de début d'embarquement. L'employée me dira au revoir avec un grand sourire, alors qu'elle est au téléphone avec ses supérieurs pour quémander un peu d'aide au salon… Qui lui sera visiblement refusée vu sa tête. Ce que je trouve un peu honteux… (Et qui aide à comprendre les raisons de la grève de nombreux agents de l'aéroport en juillet, m'est avis).

Je trouve le hall A assez étroit, je l'aurais cru plus grand… On aperçoit derrière les baies vitrées un A320 Aegean pour Heraklion.

Et voilà l'arrivée aux portes 51 à 64, toute en longueur, assez étroite, et sans aucun commerce il me semble.

Notre CRJ est en porte, mais il vient tout juste d'arriver en provenance de Nice, le débarquement commence juste. Quelque chose me dit que notre embarquement sera un peu retardé :)

Et voilà le plus beau ! (L'avion, pas moi)
L'embarquement est lancé à 20h05, avec le respect des priorités et un micro en panne, ce qui forcera le brave employé à user de sa belle voix grave :)
Et voilà la belle bête du jour ! Qu'il est beau ce CRJ1000 (oui, je continuerai à m'extasier devant jusqu'au bout) !
Il s'agit de F-HMLJ, livré en 2011 à Brit Air, pas un nouveau venu dans mon logbook, puisque je l'ai déjà pris entre Lyon et Nantes en 2020.
A noter que le vol devait initialement être effectué par F-HMLI, mais ce dernier ayant accumulé du retard le matin sur ses premières rotations, il a été remplacé à la volée pour ses rotations de l'après-midi par ce beau bestiau que voilà.
Et à noter que F-HMLI (donc l'appareil que j'aurais du avoir, pas celui en photo) est parti au stockage en Slovénie début août… Encore un de moins. A l'heure où j'écris ces lignes, il ne reste que 4 appareils en service actif chez Hop! (F-HMLF / J / K / O)…

Instant nez ! Enfin, nez… C'est un roc… C'est un pic… C'est un cap ! Que dis-je, c'est un cap ?.. C'est une péninsule !

Fuselage-shot de trop près et mes cheveux au vent en ombre chinoise. Il est beau ce réacteur non ?

Accueil très souriant à bord, le vol est annoncé complet, les valises sont donc invitées à rester sur le tarmac pour aller en soute. Le pitch au premier rang est toujours aussi bon.

Le plafonnier d'une seule traite (merci le grand angle).

La ceinture non siglée, et l'accoudoir "plein" qui réduit un peu la largeur du siège à l'avant.

Le tarmac est plutôt vide, à part les employés qui font des aller-retours avec les valises cabine.

La safety card a un peu souffert, j'ai bien fait de récupérer celle neuve de mon précédent vol en CRJK !


Dernier vol en CRJ1000 Hop! ? Je n'espère pas…
L'embarquement est terminé à 20h20, nous sommes 96 passagers à bord plus un bébé, et j'ai donc récupéré un voisin, comme prévu. Le cockpit nous annonce un temps de vol de 50 minutes, avec des turbulences prévues "en montée, en croisière, en approche et à destination". Autant dire durant tout le vol ^^
A 20h27, on repousse, avec le soleil couchant en pleine face, avec 12 petites minutes de retard.

On commence notre roulage, poursuivis par l'ombre de notre dérive…

Un Beechcraft 1900D de Chalair (affecté aux liaisons Bordeaux - Brest) et un A320 Volotea sont parqués aux portes du hall B, habituellement utilisées par Air France.

Le gang des oranges est juste un peu plus loin !

Le parking fret tout à l'est de la plateforme, avec ce 767-300 Star Air/Maersk Air Cargo qui partira à 21h30 pour Cologne (le hub de Star Air) via Paris. A sa droite, un 737-400 DHL qui partira pour Bruxelles via Paris juste quelques minutes après son imposant voisin !

On approche de la piste 29, ce qui est plutôt rare, puisque seulement environ 15% des mouvements atterrissent ou décollent de la 11/29. On laisse passer un 738 de Ryanair (enfin, Malta Air) en provenance de Birmingham.

Alignement, avec la base aérienne 106 de Mérignac au fond.

Après quelques minutes d'attente, on s'élance à 20h38, traversant au passage la piste 05/23.

On prend le chemin des airs après 1.400 mètres de piste sur les 2.400 disponibles.

Vue sur la zone d'activités et commerciale de Saint-Jean-d'Illac…

Très rapidement, on vire au sud-est, permettant cette belle vue sur la plateforme bordelaise.

L'agglomération bordelaise est bien visible !

On vire plein est au large de Cestas, avec l'A63 sur la gauche qui file vers Arcachon et Bayonne.

Bordeaux d'un peu plus haut, avec à gauche toujours l'aéroport que nous venons de quitter.

On s'apprête à traverser la Garonne, avec l'Île de la Lande en bas, occupée principalement par un lac (dont l'eau ne communique pas avec la Garonne, comme on peut le voir à la différence de couleur), et qui sinon comporte des ruines d'une ancienne propriété.

On survole des terres moins peuplées, mais nous restons en territoire civilisé puisqu'il y a sous nous le vignoble de l'Entre-deux-mers, qui produit principalement du vin blanc (l'AOC est exclusivement en blanc, mais des rouges en appellation Bordeaux sont aussi produits sur le même terroir). On peut voir la Dordogne qui serpente au fond.

Les nuages apparaissent rapidement, empêchant d'apercevoir Bergerac…

… Sauf si vous arrivez à voir à travers ça !

Pendant ce temps, le service approche. Mon voisin se lance sur le premier épisode de Breaking Bad pour s'occuper, un très bon choix !

Le service a un peu changé ! Les galettes bretonnes refont leur apparition, ça faisait des mois que je n'avais que madeleines ou financiers.
Les boissons sont celles de l'après-midi, donc un chariot plus diversifié. Ca sera Coca et eau pour moi, je reste en mode dry.

Santé, avec un gobelet en carton, déjà bu à moitié, et avec les stries de l'éclairage LED. On a fait mieux mais bon !

On a atteint notre altitude de croisière, au-dessus du parc naturel régional des Causses du Quercy (où il n'y a rien de spécial à voir vu que c'est un peu le désert humain là-bas. Mais vu du sol par contre, c'est très charmant !)

Marathonnage effectué dans les règles de l'art (enfin là c'est le tutoriel, vu le peu de complexité).

Les nuages reprennent le dessus, à la fois en bas et à notre altitude, les turbulences prévues apparaissent enfin !

Ca se dégage un peu au dessus de l'Aubrac (même remarque que pour le Quercy)… La descente commence au même moment.

Le soleil se couche, et la couche de nuages sombres que nous venons de traverser donne une magnifique lumière entre deux bancs de nuages !

Le jaune vire à l'orange et presque au rouge… Je ne lâche pas le hublot (et comme mon voisin ne décroche pas de Breaking Bad, ça ne gêne personne).

Ca rend moins bien en photo, mais des rayons parviennent à traverser les deux couches nuageuses et atteignent le sol en y formant des raies et des tâches de lumières… On survole Saint-Bonnet-le-Froid, à la limite entre le Velay et le Vivarais, un petit village connu pour abriter le restaurant 3 étoiles de Régis Marcon (qui est ici aussi bien connu pour faire souvent les menus des classes avant d'Air France).

Toujours une belle lumière, vers Bourg-Argental, juste au nord d'Annonay.

On croise le Rhône au niveau de l'Île de la Platière, le CNPE de Saint-Alban se situe juste au nord, sur la rive gauche du Rhône (donc à droite de la photo).

Survol des Terres froides, en Isère, avec au fond les Mont du Lyonnais qui se découpent devant les lueurs orangées…

Juste sous nos roues, la LGV Rhône-Alpes contourne Saint-Georges-d'Espéranche pour virer vers le nord pour se rapprocher de la bifurcation de Saint-Quentin-Fallavier, permettant aux TGV venant du sud de rallier Lyon ou de poursuivre vers Paris via LYS TGV.

On suit le tracé de la LGV, survolant le village de Diémoz, situé sur l'ancienne voie romaine reliant Vienne (en Isère, pas en Autriche) à Milan.

Quelques minutes après, nous passons au large de Grenay, avec en bas à gauche le vaste centre de R&D d'Holcim n°1 mondial dans le secteur de la cimenterie, anciennement Lafarge… (Lafarge a fusionné avec Holcim mais le nom Lafarge a disparu de l'appellation, ma supposition étant que cela est lié aux différents scandales ayant éclaboussé le cimentier français).

La zone aéroportuaire fait son apparition, tandis que le Soleil termine sa disparition…

Atterrissage tout en douceur à 21h26, avec la gare TGV et la tour de contrôle en fond…

Bon, il n'est pas très visible, entre le flou et le zoom, mais une petite rareté squatte le tarmac lyonnais… Le premier des deux appareils au parking au milieu de la photo est en effet un Dornier 328JET de Sun-Air, une pépite que j'aimerais beaucoup emprunter !
Il est arrivé la veille d'un vol Oslo - Lyon, et repartira dans deux jours pour Nîmes… Sans doute du privé et/ou de l’affrètement entre deux vols privés.

On repart dans l'autre sens sur la piste principale (qui sert toujours de taxiway, je vous rassure), l'occasion de photographier la toujours aussi charmante église de Saugnieu !

On approche du T1, avec du EasyJet au satellite D et autour de la rotonde, un CRJ1000 Hop! au parking éloigné, et surtout, l'imposant 777 Emirates qui s'apprête à repousser.

La présence d'un bus en attente (caché derrière les passerelles mobiles) et d'un agent de piste, bâtons lumineux à la main, me laisse présager d'un parking au large pour nous aussi.

Et en effet, nous voilà parqués à 21h30, 5 minutes de retard à l'arrivée !

Un peu d'attente une fois la porte ouverte, le temps que les valises cabine commencent à être débarquées, ce qui me permet de prendre en photo le galley…

L'efficacité lyonnaise
Et me voilà dehors, avec le personnel au sol qui prend soin de sortir les poignées des valises, une attention toujours agréable (mais avec voyageant avec un sac à dos uniquement, je n'en aurais guère l'utilité :) ).
Deux bus nous attendent !

L'avantage du premier rang, c'est l'assurance d'une place assise dans le paxbus. LYS a investi depuis quelques années dans des bus Man de 15 mètres pour remplacer les antiques Irisbus voire Renault de 12 mètres, ce qui a l'avantage d'avoir une meilleur capacité d'emport sans pour autant sacrifier le nombre de places assises (contrairement aux fameux Cobus). Et comme écrit sur les vitres, les bus roulent au gaz naturel.

Cinq minutes plus tard, nous voilà lâchés dans le terminal…

Pas d'arrêt pour les bagages, c'est 14 minutes après l'arrivée au bloc que je retrouve le chemin de la gare. Le ciel est juste magnifique…

Vu le beau temps et la beauté des cieux, je ne prends pas le cheminement couvert. On passe par l'entrée de la gare SNCF, longée par l'ancienne route désormais condamnée qui menait aux terminaux avant la construction du nouveau T1…

Dernier coup d’œil sur les beautés de la nature avant de descendre vers les abysses…

… Ou bien juste vers les quais du Rhônexpress, en version moins dramatique. Le prochain est dans 12 minutes, de quoi laisser le temps de profiter des courants d'air de cet endroit !

Et voilà déjà la fin de ce court aller-retour bordelais ! La traditionnelle trace radar du vol, avec un vent porteur qui a permis de rattraper un peu notre retard…

On se retrouve très bientôt pour un prochain récit (je ne sais pas encore lequel…), n'hésitez pas à commenter !
Et à bientôt sur vos reports (mon retard de lecture étant irrattrapable, vacances déconnectées et dure reprise du travail obligent, je pense que je vais me contenter de lire les récits récents ^^).
Merci ! Celà me rappelle ORY/PGF laissé désormais à Transavia .............
Merci pour le commentaire !
Il a été annoncé fut un temps qu'une bonne partie du hub de Lyon passerait aussi à Transavia... Heureusement que ça n'est pas concrétisé (et espérons que ça dure...), la différence de service est rude.
A bientôt :)
Merci pour ce très sympathique FR doublé d’un bel IFE naturel durant le vol.
Effectivement la taille de BOD semble bien peu adaptée a l’affluence. Au salon, l’offre n’est pas mirobolante mais on peut au moins patienter au calme.
‘’Que dis-je, c'est un cap ?.. C'est une péninsule !’’ => et ne pas apercevoir Bergerac ensuite, je suis très déçu :-)
A bientôt.
Merci pour le commentaire !
Dame Nature était de la partie pour offrir un magnifique spectacle, vu du ciel comme du sol :)
BOD semble avoir été conçu il y a 20 ans et n'avoir pas évolué d'un iota depuis... Le salon permet en effet d'attendre confortablement installé, j'ai vu pas mal de passagers assis à même le sol dans le terminal...
"et ne pas apercevoir Bergerac ensuite, je suis très déçu :-)" C'était Bergerac ou le coucher du soleil ^^
A bientôt !
Merci pour ce FR
Salon très limite à BOD
Quelle tristesse d'apprendre qu'il ne reste plus que 4 appareils en service.
La retraite approche à grand pas pour le CRJ
J'espère que AF fera un petit évènement Avgeek pour le dernier vol de cet appareil
Merci pour ton commentaire :)
Le salon à BOD est un peu à l'image du hall A quoi, tout juste fonctionnel ^^
Les CRJ disparaissent très vite, depuis le début de l'été c'est une vraie hécatombe... Ils sont prévus jusqu'en novembre ou décembre actuellement, mais je ne sais pas s'ils vont tenir jusque là.
J'espère aussi pour l'évènement avgeek, mais je n'ai guère d'espoir...
A bientôt !
Merci pour ce FR
Je pensais que la trajectoire passait bien plus au Nord
Effectivement :
https://www.lepoint.fr/economie/la-disparition-sans-couronne-des-ciments-lafarge-11-09-2021-2442663_28.php
A bientôt !
Merci pour le commentaire !
En effet, alors que les vols LYS > BOD suivent plus ou moins une ligne droite entre les deux villes, dans l'autre sens on contourne le Massif Central par le sud... Peut-être une histoire de courant d'air en haute altitude plus porteurs.
Merci pour la confirmation pour Lafarge ! Curieusement la raison officielle de la disparition du nom n'évoque pas cette raison ^^
A bientôt !
Merci Robin pour ce FR !
Une transversale classique encore opérée par Hop! (pendant combien de temps^^). La forte concurrence sur la ligne permet je suppose de bénéficier de bons tarifs même sur AF.
A bientôt !
Hello Nico ! Merci pour ton commentaire :)
Espérons que LYS puisse garder ses relations Hop!... La plateforme lyonnaise serait bien triste avec uniquement des vols AF vers CDG et le reste chez TO !
La concurrence aide sans doute, EasyJet est bien installée et opère à des horaires compatibles avec les déplacements loisirs comme pros !
A bientôt :)
Merci Robin pour ce nouveau partage et sur une machine qui aura bientôt disparu de la flotte HOP!
Quel dommage !
A l'EAP aussi il y a quelques uns de ces écrans un peu disséminés dans l'aéroport, il faut savoir où ils sont mais j'aime toujours les consulter :)
Le salon comme tu le dis a le mérite d'exister, mais avec une seule employée, dur de maintenir un standard correct avec des personnes, comme tu le mentionnes aussi, qui sont souvent des porcs.
Les cheveux au vent sur le fuselage d'un CRK, mais quelle belle image :)
Que de belles photos au soleil couchant, que ce soit à bord ou au sol !
A bientôt !
Merci Stephan pour ton commentaire !
La disparition du CRJK chez Hop! ne pourra que m'encourager à voler chez Iberia, qui vient à LYS en CRJ plusieurs fois par jour...
C'était la première fois que j'en repérais un dans un aéroport, c'est assez sympathique !
J'espère que l'unique employée est une situation exceptionnelle... Et en effet, les gens sont des porcs, et aussi impolis au possible (je n'ai pas mentionné les passagers réclamant des sandwichs à l'employée courant partout... Assez indécent).
Il m'arrive d'avoir un côté artiste, que ce soit à l'aide de ma chevelure ou du soleil :P
A bientôt !