Bonjour, très chers lecteurs, très chères lectrices !
Nous voilà reparti pour la suite et fin de ce petit voyage à Bordeaux, avec le vol retour pour Lyon.
Avant d'aller plus loin, si vous souhaitez (re)lire le routing, c'est par ici :
Je pars initialement sur un aller avec Easyjet, avec un départ à 20h50 et une arrivée à 22h (je vous épargne, pour une fois, les détails, mais c'était une réservation initialement faite pour octobre 2021 sur le même trajet, puis décalé à début novembre 2021, puis décalé à fin novembre 2021, puis décalé à mars 2022, puis finalement sur ce vol du 6 mai… Tous ces décalages étant dus à des soucis de santé de ma compagne, puis des contraintes d'emploi du temps…).
Finalement, je réussis à vider mon emploi du temps pour la fin d'après-midi de ce vendredi 6 mai pour pouvoir partir sur le vol Air France de 16h20, me permettant d'arriver à Bordeaux à 17h30 au lieu de 22h, pour un tarif de 80€. Le vol Easyjet est lui une énième fois décalé, au 25 juin, toujours sur Lyon - Bordeaux, puisque nous nous y rendrons à nouveau avec ma compagne pour retourner voir sa sœur, qui débutera sa formation de magistrate là-bas (après quelques mois de stage à Lyon).
Pour le retour, je profite d'un tarif promotionnel Air France à 40€ le tarif de base (au lieu de 50€ habituellement) pour réserver un aller-retour Bordeaux - Lyon, départ le 8 mai, et retour le 27 juin (donc pour coller avec le vol Easyjet décalé… Vous suivez ?) à 80€ l'AR.
Et… Bah c'est tout, c'est déjà bien assez pour un simple aller-retour Lyon - Bordeaux.
Parfois, ne pas faire de détour de 2.000km pour faire un trajet de 500km, ça n'est pas plus mal…
Et voilà donc les vols de ce voyage, on ne peut pas faire plus simple :)
Enchainement de vols
- 1
- 2AF1513 - Économique - Bordeaux → Lyon - Airbus A320
Toujours rien d'inédit pour la base de données, ou pour moi, sur ce trajet : Non seulement je l'ai effectué avec Madame avec l'assistance en février, mais j'ai également volé entre Bordeaux et Lyon en 2011, mon 8e vol de ma carrière d'avgeek. 185 vols plus tard, me revoilà sur la ligne…
Pour le placement à bord, le vol du dimanche après-midi étant nettement moins fréquenté que celui du vendredi soir par les passagers Skyteam Elite +, j'ai tout le loisir de choisir un siège tout à l'avant de la cabine. Ça sera au premier rang à gauche, donc au 02A.
Notons que le plan cabine d'Air France est quelque peu faux, puisqu'il affiche des sièges en 01A et 02B, rangée qui n'existe pas…

A la découverte d'un terminal vide !
Après quelques jours en terres ennemies (je reste et resterai toujours Beaujolais dans l'âme !), où, il faut bien avouer, il fait bon vivre…

… Je grimpe dans un bus de la Liane 1 en direction de l'aéroport ! C'est encore une fois plutôt chargé, avec beaucoup de personnes se rendant à l'aéroport.

Après une demi-heure de trajet, nous voilà déposés à l'arrêt temporaire, situé à une certaine distance des terminaux. Pas désagréable par beau temps, mais nettement moins quand il pleut des cordes comme en février dernier…

Pour Air France, ça se passe dans le Hall B, à l'architecture extérieure plutôt bétonnée (presque trop pour moi !).

L'étage des départs est calme.

C'est plutôt normal : La vague des départs de midi termine tout juste d'embarquer, et les prochains au départ sont après 14h. Le vol pour Paris est affiché pas moins de sept fois, une fois par codeshare… Pas très optimisé comme affichage !

Aucune attente au comptoir Skypriority (ni en Éco d'ailleurs). L'agent m'indique l'entrée du PIF dédié aux passagers prioritaires Skyteam, c'est vraiment pratique, ce passage totalement séparé, et plutôt inattendu pour un aéroport de taille réduite.

Là encore, c'est le calme plat, avec juste une personne. C'est par là aussi que passent les passagers en assistance d'ailleurs.

Un agent a profité de la fin de la vague du vol pour Paris pour faire une petite pause technique (ce que je comprends bien), nous patientons quelques minutes pour passer.

Vue sur le derrière des comptoirs, avec le tunnel pour les bagages enregistrés qui plonge à l'étage inférieur.

Finalement, en moins de cinq minutes, le contrôle est passé, sans soucis. Côté airside, des travaux sont en cours et réduisent l'impression d'espace du Hall, déjà pas très grand.

C'est encore plus calme ici… L'embarquement du vol pour Paris est en "Dernier appel", et sera clôturé quelques instants après ma photo.

Un salon tout aussi calme…
Le totem marquant l'entrée du salon, qui se trouve juste à droite de la porte d'embarquement ci-dessus.
Mon éligibilité est vérifiée par un agent de la porte justement, l'hôtesse du salon s'étant également absentée.

Et on ne peut pas lui en vouloir, c'est effectivement… ben, vide. L'entrée est sur la gauche de la photo.

Une longue table occupe l'espace à droite en entrant, avec des canapés au fond.

A gauche de l'entrée, des espaces plus adaptés au travail, et d'autres canapés au fond, où est installée l'unique occupante du salon (en plus de moi).
Une splendide du 777-300 F-GZND est exposée sur la table… Mais elle a perdu ses moteurs !

Dans le renfoncement à droite, des sièges individuels, avec des prises électriques. C'est là où je m'installerai, au calme… Enfin, comme dans tout le salon de toute façon.

J'aime bien cette petite paroi de séparation entre l'espace restauration et l'espace "détente". Globalement le design du salon est réussi.

L'offre de presse est inexistante, le Covid a eu la peau de ce service pourtant bienvenu… On ne trouvera ici qu'un ouvrage sur la Cité du Vin, mais en chinois !
Le Wifi du salon fonctionne bien, et est plutôt rudimentaire, le nom n'a même pas été changé, on se connecte directement à "Livebox-XXXX".

Passons à l'offre : Du thé, du chocolat chaud, quelques viennoiseries, des biscuits au cacao (que j'ai beaucoup apprécié)…

A côté, du salé identique à celui qui était auparavant distribué dans les vols domestiques (je ne sais pas s'ils font encore partie d'une offre en vol chez AF ou pas), et de petits sandwichs faits à la main. Les vins trônent en bonne place.

Au-dessus, le reste de l'offre "sucré-salé" d'AF.

Et enfin, tout en haut, le fameux Playmobil "Air France", et une maquette de l'A320 F-GKXU, qui a aussi perdu ses réacteurs. Sans doute est-ce pour moins polluer !

Sans grande surprise, les vins proposés sont de Bordeaux, avec ici un Côtes de Bordeaux 2015, que j'ai trouvé ma foi plutôt gouleyant.

Les autres vins sont placés sur la plaque réfrigérantes, avec du blanc liquoreux, du blanc sec, et un rosé. Je n'ai pas goûté à ceux là, mais ils ont l'air honnêtes également (pour un salon d'aéroport régional).

Les liquides sans alcools et la bière.

Et enfin la machine Nespresso !

Au fond de mon recoin, on trouve un autre petit stand à boissons (ainsi qu'une télé branchée sur France 24 en mute).

Voilà pour le tour du propriétaire ! Pas d'alcools forts, ou bien je les ai loupé.
De retour à ma place, voici donc ma sélection qui me servira de déjeuner. Les sandwichs sont bien bons, et généreux en garnitures, et j'ai déjà donné mon avis sur le reste !

Après environ 1h30 passées à me reposer dans cet agréable salon, je quitte les lieux pour un passage aux sanitaires (il n'y en a pas dans le salon), et pour l'embarquement qui devrait débuter d'ici peu.

L'embarquement tarde un peu à être lancé, l'appareil est arrivé avec une dizaine de minutes de retard en porte, en provenance de Paris.

… Et un vol plutôt tranquille aussi !
Finalement, derrière les passagers en assistance, nous embarquons avec le respect des priorités. Il n'y a pas foule en Skyprio.

Un filoguide nous barre le passage avant d'arriver dans la passerelle, le temps que les passagers devant nous soient installés.

Ca ne prendra que quelques minutes, et nous arrivons rapidement à la porte de l'appareil où l'accueil est très souriant !

Je bifurque à droite directement pour m'installer en 2A, où le pitch est correct pour un vol court.

La vue permet d'observer… Pas grand chose, excepté quelques mouvements de véhicules au sol. La passerelle commence à rouiller !

Je récupère rapidement un voisin en 02C, mais le siège en B reste pour le moment libre… Comme à mon habitude, quand je repère sur le plan cabine que mon siège voisin est censé être inoccupé, j'occupe le terrain en y posant veste et autres effets personnels, pour décourager les opportunistes qui souhaiteraient voyager à côté de moi (un privilège limité seulement aux meilleurs !).

Petit moment de joie : La lingette désinfectante violette au design immonde a ENFIN été remplacée par une lingette aux couleurs de la compagnie. Voilà qui est mieux !

L'embarquement se poursuit tranquillement. Comme l'appareil vient d'arriver de Paris, j'ai le privilège d'être assis sur un siège Business ! C'est à dire que la têtière est en cuir rouge au lieu d'un cuir plus fin rouge et blanc. Joie.
Le rideau inter-classe est encore présent également.

Pour les amateurs du genre, le plafonnier, qui est du genre un peu sale.

Sur le bulkhead, les consignes habituelles, et le logo du Wifi à bord (collé de travers), que je ne testerai pas pendant ce court vol, je préfère parfois déconnecter, justement :)
A noter que le Wifi en vol ne marchera initialement pas, un passager le signalera à un PNC qui fera un petit reset du système, résolvant le problème !

Je n'oublie bien évidemment pas la boucle de ceinture siglée, signe des compagnies Premium !

La notice de sécurité, qui date de mars 2020, et ne comporte donc pas l'indication "Papier microbicide". L'ordre des pictogrammes est également différent, avec quelques différences mineures de design. Idée d'occupation pour vos prochains voyages en A320 avec vos enfants donc : Jouer au jeu des sept erreurs entre les anciennes et nouvelles safety card !


Finalement, l'embarquement est terminé à 14h20, et la passerelle est retirée. Nous sommes 125 passagers à bord, un taux de remplissage de 70% donc.

Et comme prévu, je n'ai pas de voisin !
Le commandant vient faire son annonce de bienvenue en tête de cabine. Il s'excuse pour le léger retard, et prévoit un temps de vol de 55 minutes, avec des orages en fin de journée sur Lyon.

On repousse à 14h28, avec 8 minutes de retard donc. Le chef de cabine prend à son tour la parole, il a une voix juste parfaitement posée, je croirais presque à une annonce préenregistrée si je ne le voyais pas parler devant moi !

A droite, un Beechcraft 1900D de Chalair venu remplacer celui à gauche, caché derrière l'A319 Easyjet, sur la ligne Bordeaux - Brest (je suppose pendant que l'autre appareil subissait une longue maintenance). Il repartira sur sa ligne habituelle deux semaines après, Orly - Limoges.
Quant à l'A319 orange, il revient de Figari avant de repartir sur Bastia. Une journée plutôt corse pour lui donc !

Pendant le roulage, un bout du plafonnier supportant les aérateurs se décroche à moitié, il est "réparé" avec une étiquette collante, la même technique que la SNCF et ses réparations à base d'étiquettes "Accès interdit" !
Le chef de cabine le notera immédiatement dans un carnet, je suppose le cahier de maintenance de l'appareil.

On remonte le taxiway, croisant au passage la piste 11/29.

On s'aligne sur la piste 05, au niveau de l'antenne VOR/DME…

Et on décolle à 14h38, avec une vue sur les appareils parqués, 787 Norwegian, A330 Philippine Airlines, un A340 que je ne parviens pas à reconnaitre, et des appareils plus mythiques, avec la Caravelle Zero G à droite de l'A340, et un Mercure d'Air Inter sur la gauche.

Les hangars de Sabena Technics, avec encore quelques 787 Norweguan, mais aussi un A340-300 d'Edelweiss, et un Beluga d'Airbus qui se cache derrière un hangar.

On reste dans l'aéronautique, avec des hangars et bureaux de Dassault et Thales.

La montée est particulièrement turbulente… On survole le sud du vignoble du Médoc, vers Le Taillan-Médoc.

En se contorsionnant un peu, on a une belle vue sur l'estuaire de la Gironde !

On longe de jolis nuages cotonneux, au-dessus d'Ambarès.

Le rideau est tiré pour la préparation du service !

Un nuage cache le changement de couleur des eaux de la Dordogne, du bleu au marron… Au centre de l'image, Libourne.

On sent qu'on est en terres viticoles, entre Libourne et Saint-Émilion ! Rien que cette vue me donne soif…

Bergerac le long de la Dordogne, qui essaie de se cacher derrière les nuages…

Une douzaine de minutes après le décollage, le service commence. Je tente de demander s'il reste du champagne d'ouvert de la Business du vol depuis Paris, mais le PNC s'excuse et me dit que la bouteille est finie. Dommage !
Je me rabats donc sur un jus d'orange pour accompagner la galette bretonne qui fait office de collation aujourd'hui.

Dehors, l'urbanisation et les vignes ont laissé place à un paysage plus sauvage… Enfin, à première vue, puisqu'en bas au centre de l'image, on aperçoit le CEA de Gramat, au cœur des Causses du Quercy, qui travaille sur l'armement atomique… Plutôt sauvage aussi donc en faitm.

La couverture nuageuse se densifie un peu, c'est plutôt beau et apaisant ! La descente commence juste après, virant au passage vers le nord-est.

Une quinzaine de minutes plus tard, ça se découvre alors que l'on finit la traversée du Massif Central. Sous nos ailes, Annonay, et le Massif du Pilat derrière.
Après que le commandant ai annoncé la descente, et une arrivée au parking à 15h30, avec un retard rattrapé (et un vol "entièrement décarboné", un peu de greenwashing ne fait jamais de mal), le chef de cabine prend le relais pour annoncer les correspondances à Lyon, qui sont assez courtes, une demi-heure. Mais vu la petite taille de la plateforme, aucun soucis pour les assurer !

Les nuages reviennent quelques instants, juste pour cacher la traversée du Rhône. Honteux ! Nous voilà donc dans la vallée de Bièvre-Valloire, en Isère.

Le village de Pact (avec le diable ?), longé par la LGV Rhône-Alpes. Le reste de l'approche, à basse altitude, se fera dans une ambiance plutôt turbulente !

On continue à se rapprocher du sol, au-dessus du massif forestier de Bonnevaux. On notera les nombreux étangs, qui sont quasiment les seuls vestiges de l'Abbaye cistercienne de Bonnevaux, fondée en 1117.
Les étangs, creusés par les moines, permettaient à l'abbaye de se nourrir de la pêche, et accessoirement de revendre le surplus pour subvenir aux besoins quotidiens.
Après le pillage de l'abbaye en 1789, elle fut revendue par l'état comme bien national, et fut utilisée comme carrière de pierres. Il ne reste donc plus rien des bâtiments de nos jours…

La LGV Rhône-Alpes en bas de l'image, et au-dessus, la commune d'Heyrieux, à la démographie amusante (bon, je vous préviens, quand je dis que quelque chose est amusant, ça n'amuse que moi en général).
Jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, le village ne comptait que 200 âmes. Mais en 1754, suite au massacre dans la région d'une dizaine d'enfants, attribué aux loups peuplant les forêts alentours, l'intendant du Dauphiné décida donc de réaliser des battues, et de rameuter un nombre important de chasseurs de loups en promettant des primes importantes à chaque loup tué. Heyrieux fut choisie comme "base" de départ de ces battues, qui durèrent plusieurs années…
Et beaucoup de ces chasseurs s'y installèrent définitivement, de telle sorte que quarante années plus tard, après la Révolution, la population avait quasiment été multipliée par six !

Au centre de l'image, la bifurcation ferroviaire de Saint-Quentin-Fallavier, entre la ligne classique Lyon - Grenoble (- Marseille), et la LGV Rhône-Alpes. A droite, l'autoroute A43 qui relie Lyon à l'Italie via le tunnel du Fréjus.

Grenay à gauche, au fond à droite, Saint-Laurent-de-Mure.

On s'apprête à survoler l'A432, signe que l'aéroport est tout proche ! L'autoroute le contourne par l'est.

Et en effet, à 15h24, on touche la piste 35R, au niveau du T1.

La gare TGV et le T2, qui est bien occupé !

L'habituelle église de Saugnieu…

Dernier virage ! Avec un A319 d'Air Malta en porte au T1, qu'il faudrait que je teste un de ces jours !

On vient se parquer à côté de l'ERJ-190 Hop! F-HBLF qui passe une semaine entièrement consacrée à la liaison Lyon - Caen.

L'efficacité lyonnaise
On stoppe au bloc avec pile 30 secondes d'avance ! La passerelle est immédiatement mise en place.

Et deux minutes après, on débarque gaiement avec les chaleureuses salutations de l'équipage.

Le couloir de débarquement de LYS permet de tirer le portrait à notre appareil du jour. Il s'agissait donc de F-HBNB, un A320 livré en 2010 à Air France. Pas un inconnu dans mon logbook, je l'avais déjà pris entre Paris et Nantes en septembre 2020 (et je ne me rappelais absolument pas avoir pris un vol Paris-Nantes en 2020, ma mémoire flanche).

On descend à l'étage inférieur par les escaliers, Vinci nous souhaite la bienvenue au T2.

Pas de bagage à récupérer, donc après un passage aux WC (qui sont crades, ce qui est assez rare à LYS), je file vers la sortie, j'ai un Rhônexpress qui part dans moins de cinq minutes !

Et ce n'est pas à côté, il faut tout d'abord remonter à l'étage des départs par l'escalator derrière les ascenseurs…

Filer tout droit en coupant au plus court via le Starbucks qui a fermé ses portes jusqu'à au moins la fin de la rénovation du T2…

Rejoindre le "cœur" de LYS, à la jonction entre T1 historique et T2, pour se jeter sur les travelators !

Descendre en courant les escalators de la gare TGV et la traverser à grandes enjambées, pour descendre tout aussi rapidement sur le quai de REX (le tram, pas le chien) ! C'est donc en ayant bien chaud que je pars avec 20 minutes d'avance pour le centre de Lyon, tout juste 10 minutes après l'arrivée au bloc de l'appareil.
Beau score, vu la distance approximative de 600 mètres entre la salle des bagages et le quai du Rhônexpress, que j'ai parcouru en environ 4 minutes, ça me fait une petite moyenne de 8km/h. J'ai fait ma séance de sport du mois. Ça mérite bien de prendre la dernière place assise de la rame du coup (curieusement boudée par pas mal de passagers qui préfèrent rester debout.

48 minutes après l'arrivée au bloc, je suis donc prêt à monter dans mon bus 38 qui me ramènera chez moi (et qui arbore fièrement des drapeaux français et ukrainien, un mix du 8 mai et de l'actualité internationale).

La trace radar du vol qui, contrairement à l'aller, n'emprunte pas la route la plus courte. Malgré cela, on aura mis seulement 47 minutes pour rallier Lyon, contre les 55 minutes initialement prévues par le commandant de bord.

Merci d'avoir suivi ce petit récit jusqu'au bout ! J'espère vous lire très bientôt, que ce soit dans vos reports ou en commentaire.
Quant à moi, je vous dis à très bientôt, j'ai encore 4 FR à écrire, et bientôt 5 de plus…
Merci Robin pour le partage !
A bientôt !
Merci pour ton commentaire Stephan, au plaisir de te lire ! (J'ai du retard sur la lecture de tes récits ^^ )
Salut Robin
Le salon de BOD offre un espace agréable, le choix de nourriture et de boisson est convenable, mais surtout ; Il est ouvert !
Vol agréable au premier rang
Avec de belles vues sur les régions traversées.
Petite question : Le bus 38 a t'il toujours le même itinéraire qu'autrefois : Part-Dieu- Brotteaux- Charpennes- Gratte Ciel- Grange Blanche-Etats Unis ?
Merci pour le partage, à bientôt.
Salut Hervé !
En effet, le salon de BOD est de ce point de vue là mieux que celui de LYS ^^ (pour lequel j'ai encore eu de nouvelles infos pour le T1... Chaque fois que je passe à LYS c'est une nouvelle version !)
Le 38 fait maintenant Part-Dieu - Tête d'Or - Cuire - Caluire !
A bientôt :)
BOD est tout de suite plus agréable quand il y a peu de monde.
Salon sympa. Les maquettes sans les moteurs sont amusantes.
Un petit saut rapide d’ouest en est assez agréable, sans voisin et avec un petit service gratuit.
Merci pour ce Fr
Merci pour le commentaire !
Et en effet, j'ai du mal à imaginer le terminal et le salon avec 3 vols au départ au même créneau horaire en semaine...
Je soupçonne que certains petits ou grands enfants se sont trop amusés avec ces maquettes ^^
Bon résumé du vol, rien à redire !
A bientot :)
Merci Robin pour ce FR !
Le pré-embarquement semble être à la mode sur AF... pourquoi pas si l'attente est de 5 min max et que les passerelles sont climatisées ou chauffées l'hiver (il faut rêver pour ça!)
A bord vol sans surprise !
A bientôt !
Merci Nico pour le com' !
Je crois que depuis ma reprise "aéronautique", je n'ai pas eu un seul vol AF sans pré-embarquement... Quand c'est court, ça me va aussi, quand c'est comme il y a deux jours où j'ai cuit à feu doux dans une passerelle non climatisée à Roissy pendant une demi-heure... Non merci :)
A bientôt !
SAlut Robin et merci pour le FR sur une ligne que j'ai pas mal empruntée pendant le covid... et les changements sont nombreux, déjà ce n'est plus un CRJ mais un retour aux A32X, le service sur le réseau domestique a bien repris et surtout le salon à BOD qui lui, a eu la chance de réouvrir!
Bien tenté pour le champagne :)
Salut Chris ! Merci pour ton commentaire :)
En effet, ça change bien, la capacité augmente, et là en juin le nombre de vols aussi (on passe de 2 à 4 vols en semaine il me semble), ça fait plaisir à voir !
BOD sans le salon doit être vite plus ennuyeux, vu la petite taille de la zone Air France (enfin, pendant le Covid c'était peut etre depuis le Hall A ?).
J'aurais tenté, sans gagner ^^
A bientôt !