Après un agréable week-end entre amis à Tallinn, il est temps de rentrer à Paris. Si LX constituait une excellente option à l'aller, ce n'était pas le cas au retour, avec un vol beaucoup trop tôt dans la journée. L'occasion donc d'essayer la grande soeur, LH, aux fameuses 5* Skytrax, que je n'ai jamais essayé en J. A la lecture des différents FR, je n'avais pas de grandes espérances, voyons si le peu qu'il y en avait sera comblé.
Enchainement de vols
- 1
- 2
Bonus touristique
Une fois n'est pas coutume, je mets un cours bonus touristique en amont du FR.
Pour cette seconde journée, nous décidons de partir à la découverte du quartier de Kadriorg, la Ville Nouvelle (19e et 20e s.) de Tallinn. Nous avons un beau soleil pour arpenter le parc de Kadriorg.
Au milieu du parc, se tient se château de Kadriorg, construit par Pierre Ier en 1718 et qui servait de palais d'été aux tsars. Ce superbe palais de style baroque italien abrite un musée d'art.
Pour le brunch, nous découvrons une pépite avec "Mon repos". Situé aux abords du parc de Kadriorg, il occupe une charmante demeure traditionnelle en bois.
Pour un budget très raisonnable, nous nous sommes régalés, comme avec cet oeuf bénédicte ou ce dessert au chocolat.
L'aéroport de Tallinn
Le plus simple pour rejoindre l'aéroport est de prendre le bus, celui-ci passe en bas du Swissotel et nous dépose en 15 minutes à TLL, il faut dire que l'aéroport est vraiment tout proche.
Il est aussi possible de prendre le tramway, qui dépose les passagers juste à l'entrée du terminal.
Direction l'aérogare.
Nous profitons d'une passerelle vitrée pour faire quelques photos du tarmac. On devine au loin à gauche un petit Airbus de VN, dont on se demande bien ce qu'il fait ici… Le tracteur en mode chasse-neige n'est pas superflu ici.
Mention spéciale pour l'ancienne tour de contrôle, à gauche.
Nous prenons la direction des comptoirs d'enregistrement.
Le tableau des départs. Notre vol est prévu à l'heure, mais le check-in n'ouvre que dans 15 min. C'est un passage obligé car nous n'avons pas pu récupérer nos BP sur l'application (sans doute pour contrôle des documents sanitaires).
Le centre de dépistage covid.
Les comptoirs Finnair et SAS sont ouverts, avec une affluence limitée.
Mais c'est encore fermé côté BT et surtout LH, au fond.
Je note avec étonnement que TK dispose de ses propres bureaux ici.
BT a forcément une place d'honneur. J'aime bien les livrées spéciales de leurs A220 ; voici la version estonienne.
En attendant l'ouverture des comptoirs, je vais faire un petit tour dehors. Il y a une belle vue sur le lac gelé à proximité de l'aéroport.
A mon retour, les comptoirs viennent tout juste d'ouvrir.
La file dédiée aux pax premium est (presque) vide.
Celle-ci n'est pas superflue, l'affluence dans la file générale s'est considérablement accrue et celle-ci envahit tout le hall.
Une fois nos BP en main, directement le contrôle de sûreté.
Il y a un fast track, mais celui-ci n'est pas nécessaire car c'est désert pour l'instant.
Nous traversons l'incontournable duty free.
Ex-CDG je ne m'y attarde jamais mais c'est parfois intéressant de regarder les spécialités locales au retour. Comme ces alcools du cru.
Le duty free de TLL est aussi un haut lieu de la mode estonienne et Olivier a flashé sur ces vestes que n'auraient pas reniées des PNC de KLM ou de Transavia, dont le bon goût pour les couleurs sobres est bien connu.
Plus loin, il y a le choix entre chaussettes chaudes et voiture…
Ou bien encore des accessoires plus atypiques (mais non moins traditionnels).
Certains bonnets méritent le détour.
Une peau de bête peut-être ?
Plus discret mais plus chic aussi, un noeud de papillon aux couleurs de l'Estonie.
Fi de tout de cela, nous restons raisonnables et allons retrouver nos comparses qui ont déjà filé au salon.
Le salon business de TLL
L'entrée est sobre et l'accès n'est pas discriminant, puisque toutes les compagnies opérant ici ainsi que les cartes sésame y donnent accès.
Le salon est agréable, dans des tonalités toutes nordiques.
Gros point fort, il offre une vue sur les pistes.
Il est même possible d'y retrouver le charme d'un bon feu de cheminée.
Une terrasse extérieure est accessible, quoiqu'un peu enneigée.
Elle offre néanmoins une belle vue sur les pistes, avec ici une saucisse scandinave et en arrière-plan l'ancienne tour de contrôle de TLL.
Certains espaces sont plus isolés et tranquilles.
Côté restauration, il y a du choix.
Pour l'essentiel, ce sont des portions individuelles sous cellophane.
Les boissons, sans références notables, mais l'offre est plutôt complète.
Je n'ai pas essayé ça…
Ni ça !
Nous retrouvons Christophe et Mathieu qui nous ont réservé des places.
Il est encore tôt, la collation sera donc légère.
Il est temps de quitter le salon pour rejoindre notre porte d'embarquement, mais pas sans piquer un ou deux bonbons sur le desk d'accueil ^^
Le trajet jusqu'à notre porte est l'occasion de découvrir TLL airside. Je ne savais pas qu'il existait une marque estonienne de piano.
La zone est organisée en plusieurs espaces d'attente, de commerces ou de restauration, donnant toutes sur les pistes.
Mathieu décide de laisser son empreinte (au sens propre).
Voici notre appareil qui est en porte, à côté d'un A220 d'Air Baltic.
Il y a déjà un peu de monde qui fait la queue, mais l'embarquement n'a pas encore commencé.
Je profite de cette attente pour terminer mon petit tour du terminal. Un peu plus loin se trouve ce jeu d'échec géant.
Ce bar met l'aéronautique à l'honneur avec maquettes et photos. Sympa !
L'embarquement débute à l'heure à 17h30, avec pour commencer les pax J et à statut.
C'est parti !
Le jetbridge vitré me permet d'admirer l'A220 d'Air Baltic qui prend la pose avec le coucher de soleil en arrière-plan.
Instant porte. On aperçoit notre chef de cabine, qui offrira un salut glacial et sera particulièrement désagréable pendant tout le vol.
Fuselage shot. LH ne paie plus pour le nettoyage de ses appareils ?…
A bord
Je découvre donc cette cabine teutonne, que je ne connais par les FR.
Diantre, ce siège n'est pas bien épais…
Je prends place au 2A. Olivier est à mes côtés au 2C, tandis que Mathieu et Christophe sont de l'autre côté, au même rang.
Le pas n'est pas exceptionnel, mais au moins mes genoux ne touchent pas le siège de devant.
Le siège du milieu, neutralisé, dispose d'une têtière spécifique.
La documentation est logée dans la partie supérieure du dossier de devant.
Voici le BoB, désormais devenu classique sur les legacy (même si j'ai cru comprendre que BA revenait dessus).
Je profite que la tablette soit dépliée pour votre présenter les documents de voyage.
La présence du logo de la compagnie et de la mention business class en lettres chromées est plutôt élégante.
Le vol semble assez rempli. Une fois l'embarquement terminé, il est temps de repousser.
Mais avant cela, un rapide dégivrage des ailes s'impose.
C'est bon, nous pouvons y aller !
Le roulage permet de voir pas mal d'appareils sur le tarmac, comme ce petit Airbus de Finnair, mais la nuit tombante ne facilite pas la prise de photos.
Nous décollons face à l'ouest. Tous les abords de piste sont bien enneigés.
Nous passons au dessus du lac gelé près de l'aéroport, c'est très beau.
Une fois la couche nuageuse traversée, nous retrouvons un peu de lumière.
Le service ne traîne pas. A peine plus de 5 minutes après le décollage, le chef de cabine déboule avec son trolley.
Il tend le plateau sans un mot. Malgré le masque, on voit très bien qu'il ne sourit pas, et même qu'il tire la tronche. Je suis désolé pour lui qu'il ait préféré être ailleurs, mais nous n'y sommes pour rien et cela ne donne pas une bonne impression de départ.
Proposition de pain chaud.
Voici le plateau tel qu'amené (ou plutôt tendu). Pas d'entrée, un plat froid pas spécialement attrayant. C'est pour le moins minimaliste.
On est loin de LX avec son choix de plat chaud et son service enthousiaste. Pour savoir ce que nous allons "déguster", reportons-nous au menu.
Pour un CDG-FRA ça pourrait être bien, mais pour un vol de 2h30, c'est bien trop juste. On râle (à juste titre) sur le nouveau catering MC d'AF, eh bien là c'est presque pire, ce n'est même pas avenant.
Les couverts sont en métal, c'est déjà ça.
Très étrange : l'emballage de la lingette est entièrement recouvert d'une pub pour des baies vitrées. Il n'y a pas de petits profits mais c'est un peu bizarre.
Le meilleur moment reste à venir avec le choix de la boisson (qui aurait être plus logique avant la dépose du plateau). Je demande s'il y a du champagne, il me dit que non mais qu'il a du sparkling wine. Il me confirme que c'est du sekt et je décline. C'est alors qu'il insiste en me disant que c'est très bon et que je devrais essayer. Je maintiens mon choix et là il se met à râler, que le sekt c'est bien et que LH a fait le choix de produits allemands etc. etc. Le tout sur un ton qui faire dire à Olivier, estomaqué, : "je rêve ou tu viens limite de te faire engueuler ?"
De haute lutte, j'arrive tout de même à obtenir un verre de vin rouge et un verre d'eau.
Curieux, Olivier se laisse tenter par la diatribe du chef de cabine et prend un verre de sekt.
Choix qu'il regrettera à la première gorgée.
De l'autre côté, Christophe et Mathieu auront eu un meilleur contact avec le chef de cabine, réussissant même à nouer une forme d'interaction humaine. Tant mieux pour eux…
L'ambiance sera encore plus plombée par le passager du 1F, un casse-pied qui cherchera des poux à l'équipage pendant tout le vol et fera un scandale pour avoir du champagne (sur le fond je le comprends, mais sur la forme c'était pénible). Il finira par obtenir gain de cause.
Autant l'ambiance du vol entre ZRH et TLL était sympa, autant là ce n'est pas folichon, d'autant qu'il n'est pas facile d'échanger avec nos amis côté droit de l'appareil. L'un des PNC officiant en Y sera heureusement plus amène que son CC et nous en profiteront avec Olivier pour prendre un dernier verre, du riesling pour moi et un whisky coca pour mon compagnon de vol.
Un peu à la mode Swiss, l'équipage propose une dernière douceur avant l'atterrissage.
L'atterrissage à FRA se fait sans histoire. C'est l'occasion d'admirer les nombreux 747-8i de la compagnie teutonne.
Un 787 d'ANA.
Ici Ethiopian
Nous venons nous garer à côté de ce 787 d'Air India, ce qui me permet de noter un détail que je trouve très sympa, à savoir des hublots décorés de fenêtres traditionnelles.
Instant Danette pour le débarquement.
Au revoir Tata Lufthie, autant dire que ce vol ne m'a pas follement convaincu de revoler avec toi…
Inutile de dire que l'odieux chef de cabine fera à peine l'effort de saluer les passagers.
Transit à Francfort
Nous arrivons aux portes B. C'est bien gris et bas de plafond. L'absence de coffrage au plafond fait un peu terminal low cost.
Notre 319 du jour.
Le dernier vol ne sera pas reporté, voici donc un court partage d'expérience à FRA et sur le FRA-CDG.
Nous repartons des portes B, mais il n'y a pas de salon LH ici, il nous faut rejoindre les portes A, ce qui impose une longue marche. C'est tout de même dommage que la compagnie nationale ne dispose pas d'un salon dans chaque zone de son hub. Le cheminement est loin d'être glamour.
Je suis impressionné par la densité du trafic…
Le trajet fait emprunter un long souterrain. Les tapis roulants sont en panne, on se croirait à CDG…
On n'est pas encore arrivés.
C'est la première fois que je vois qu'il faut faire la queue à l'extérieur d'un salon pour y entrer. Une agente vérifie les pass sanitaires et un autre les BP.
Le salon est sympa.
Les bretzels chauds seront délicieux. Par contre le reste de l'offre solide sera très limité, c'est étonnant.
On a bien compris qu'avec LH le champagne n'était pas de la partie.
En revanche ce Montepulciano est vraiment top.
Il est temps de rejoindre notre porte d'embarquement, avec une nouvelle longue marche.
La zone d'attente n'est vraiment pas agréable. Un siège sur 2 est physiquement neutralisé donc ça limite le nombre de places disponibles.
Notre embarquement se fera en retard, ce qui ne sera pas arrangé avec un paxbus…
En revanche notre CC sur ce vol sera franchement plus sympa que son collègue du vol précédent.
Merci de votre lecture et à bientôt !
Merci pour ce FR !
Bilan clairement négatif avec cette cabine digne d'Easyjet, un équipage peu avenant et un catering léger et pas qualitatif. AF propose tout de même des produits de bien meilleure qualité, même si les portions sont souvent réduites...
A bientôt !
Merci Nico pour le commentaire.
Tu parles d'easyJet parce que maintenant c'est ma navette pour TLN ? il a bien fallu s'y faire avec le départ d'AF ;-)
Je râle après le catering d'AF, mais là LH fait clairement moins bien.
A bientôt.
Merci pour ce FR.
Depuis que LH m'a refusé le check-in à DUB en avril 2021 suite à un PCR pris à +3 minutes après la limite imposée par la compagnie (pour un simple transit par FRA), c'est devenu hors de question pour moi d'emprunter cette compagnie lors de périodes "compliquées" car c'est une source d'énérvement dont on se passe volontiers.
Et cela sans compter les règles Covid débiles appliquées en Allemagne (et aussi en Autriche) pour l'accès aux salons, qui changeaient encore selon qu'on se trouvait à MUC ou FRA.
Mon prochain vol Lufthansa est prévu pour la fin mai (heureusement sur billet LX) et si cela se passe de travers une réclamation partira fissa au service clientèle.
Pour revenir au vol il semble avoir fait recette si l'on en juge à la queue à l'enregistrement et au remplissage de la classe affaires.
A FRA les portes B1-B10 sont effectivement déportées pour les vols Schengen ; le plus court était à l'époque de passer au salon LH ou AC des portes B non-Schengen moyennant le contrôle de passeport automatique et un contrôle de sécurité supplémentaire pour revenir en zone Schengen.
A bientôt.
Merci Clément pour le commentaire.
Oulala, refus d'embarquer pour un PCR +3 min, ce n'est pas très cool... Du coup comment as-tu fait ?
Je ne sais pas si une réclamation change quelque chose quand c'est un problème de fond, mais si tu peux grapiller quelques miles, c'est toujours ça.
Pour le salon, nous étions vraiment très juste en temps et c'était risqué de passer PIF et PAF.
A bientôt.
Il a fallu courir avec armes et bagages jusqu'au centre de test de l'aéroport, à 500m du terminal, sous une pluie battante et obtenir un résultat de test antigénique dans les 30 minutes, puis revenir faire l'enregistrement (toujours sous une pluie battante).
Cerise sur le gâteau, durant cette période LH ne payait plus pour l'accès au salon !
Merci Stéphane pour ce FR.
Ce superbe palais de style baroque italien abrite un musée d'art. tu as juste à côté le KUMU pour les amateurs d’art moderne.
Cela fait bizarre de voir ce parc enneigé pour l’avoir fait en plein été, cela a beaucoup de charme.
une pépite avec "Mon repos" => j’adore.
un haut lieu de la mode estonienne => entre la bleue et la verte le choix est cornélien.
Certains bonnets méritent le détour. => pour des lutins.
Je vois que vous avez fait la même chose que nous à TLL, nous avions passé pas mal de temps au rayon chaussette.
Je n'ai pas essayé ça… => moi oui et c’est très sucré
Concernant le catering de LH on avait quand même l’impression depuis septembre que c’était le top du top avec des notes entre 8 à 9 sur des vols de deux heures et plus (avec les mêmes plateaux).
Il y a des critiques sur celui d’AF, mais pour moi c’est du même niveau, on est loin de la J d’IB ou de LX.
par le passager du 1F => qui visiblement vous a bien espionné durant vos prises de photo.
A bientôt
Veuillez s'il-vous-plaît clarifier votre pensée. lol
Merci Valérie !
J'aurais bien fait le KUMU mais nous étions ric rac côté timing et mes comparses étaient un peu stressés.
Tu as fait le "mon repos" aussi ?
Figure-toi que j'ai moi-même passé un moment au rayon des chaussettes !!!
Je ne reviendrai pas sur le catering LH, mais voilà, j'ai testé, si je peux j'éviterai désormais.
Tallinn sous la neige a beaucoup de charme, et j'imagine que c'est très différent de l'été. Un peu comme St Pétersbourg (hélas inaccessible).
A bientôt !
Merci pour le partage Stéphane !
Tallinn est une ville super agréable et ou il fait bon vivre et à visiter sans réserve.
Dommage d'être tombé sur un équipage en version Manfred allemand, vendre du Sekt comme étant buvable, faut vraiment vouloir. Certes certains le sont, mais pas ce que LH sert à bord. Sur un de mes vols LC, comme ils le servent en welcome drink, même l'hôtesse précisait que le Champagne qui allait venir pendant le service allait être meilleur et d'éviter ça :)
Le catering LH a été innovant à son introduction, avec beaucoup de promesses telles que le renouvellement et les produits frais, promesse qui avait été tenue à son départ avec entre autres les nappes avant services, les fruits frais après service.
Force est de constater que les nappes ont disparu, les fruits ne sont plus systématiquement servis, les chocolats souvent pas servis en business du tout et le renouvellement, on en a vite fait le tour. Les produits restent frais, mais il n'y a plus de lisibilité et tu ne sais pas vraiment ce que tu recevras quand, ce qui est bien dommage pour un produit qui se voulait novateur.
A croire que les as du marketing Air France ont été débauchés par ceux de LH et que seule LX sait encore faire de bonnes choses !
A bientôt !
Merci Stephan.
Je suis rassuré de voir qu'un client désormais régulier sur LH partage ma perception. Admettons que nous n'ayons pas eu de chance sur le PNC, mais le catering est vraiment très très juste en quantité et qualité. En l'occurrence, il y a eu une proposition de pomme après le repas, que je n'ai pas prise, mais elle a bien été proposée.
Si on rajoute à cela l'expérience à FRA qui n'a pas été folichonne, je ne suis pas pressé de revenir sur LH (une seule exception : le 747 ^^).
A bientôt.
J'ai aussi eu le droit à un Manfred et sur TLL figure toi :)
Après j'essaie de ne pas faire école des fans, si je suis content je le dis et je note en conséquence et si je ne le suis pas je le dis aussi.
Dommage que la promesse faite par LH soit retombée comme un soufflet pour son catering. Dans quelques semaines je prendrai un vol avec un temps de bloc de 2H40 donc normalement avec repas chaud, on verra si LH décevra encore ... ou pas :)
A bientôt !
Merci pour le partage Stéphane,
Une expérience qui ressemble bien à celle que j'ai eu un mois plus tard mais sans la neige, sans le CC détestable et sans le transit de la mort à FRA.
C'est vrai que le ressenti s'en ressent pourrait on dire.
Même constat par contre sur le "repas" servi, bien maigre pour un vol de plus de deux heures.
A bientôt.
Merci Michel pour le commentaire !
La neige, c'est plutôt, mais le CC grumpy, on s'en passe sans problème !
A part LX (et peut-être IB ?), le catering tend tout de même à s'amenuiser sur les vols MC...
A bientôt !
Salut Stéphane
Ce vol est quasiment le copié / collé de celui effectué en groupe quelques semaines plus tard.
Il me semble que le CDC était le même que nous avons eu.
Le catering est décevant, LH retombe dans ses travers, nous verrons bientôt réapparaître la tomate mozzarella, au train ou vont les choses...
Tallinn est une ville très agréable, j'adore.
Merci pour le partage, à bientôt.
Merci Hervé pour le commentaire.
Le même CC ? curieux de savoir s'il était aussi malaimable ou s'il était juste mal luné ce jour-là.
LH ne m'a jamais fait rêver, et moins encore côté catering (je mets de côté le caviar servi à la cuiller en First ^^).
Tallinn semble effectivement rencontrer un joli succès auprès des FRistes.
A bientôt !