Avis du vol entre Paris et Rome en classe Economique avec ITA Airways

Bonjour à toutes et tous.

Pour un voyage en Italie, il n’y a pas mieux que de se laisser tenter par aller voir à quoi ressemble la nouvelle compagnie italienne ITA.

Avant ce choix il y a une destination, et celle-ci me taraude depuis quelques temps. J’adore l’Italie, mais mes nombreux séjours ont été dans la région « familiale par alliance », (le frioul) Venise, Milan, Rome.
La Toscane a de nombreuses reprises mais en voiture.
Et il me manque l’Ombrie, on m’en a vanté les charmes ensorceleurs, et il avait bien raison.

Je décide donc de planifier un long week-end pour m’y rendre.
Je propose le projet à un couple d’amis qui je sais se passionne pour les mêmes lieux que moi.

Nous cherchons une date commune, au départ le week-end de l’ascension est retenu, mais il s’avère vite que les prix sont déjà à leur maximum, on change donc pour le dernier week-end de mars (en se disant qu’il doit commencer à faire bon à cette époque) et au final je proposerai à mes amis une autre idée pour fin mai (vous l’aurez compris les idées ce n’est pas ce qu’il me manque).

A cela je propose à mes amis de prendre ITA pour rajouter la compagnie à mon book (et le leur), je vous passe l’aller-retour avec AF pour rejoindre la capitale.

Prix du billet 109,98€, acheté en janvier 2022, en tarif light, nous comptons sur nos avantages SP pour le reste.

CDG terminal 2B

Lors de l’enregistrement ITA nous bascule sur le site AF, je sélectionne un siège à l’avant de la cabine.


Un vol à 06 :20 cela signifie un départ bien trop tôt à mon goût mais l’avantage indéniable c’est que cela permet une journée complète sur place.

Ce sera donc un taxi depuis le domicile parisien de mes amis à 4 :00 du matin.

Autre avantage, à cette heure ci c’est fluide.

Nous voici déposés au T2B , là aussi cela me change du T2F.
Je me dépêche de prendre quelques photos de l’extérieur.

Nous sommes le deuxième vol de la journée, avec beaucoup d'orange.

Merci Paris

Au moins le rideau est ouvert.

Ce n’est pas tout mais il y a une valise à enregistrer.

Nous nous rendons en file SP, les deux comptoirs sont occupés par des passagers lourdement chargés, et évidemment cela dépasse le poids et le nombre d’item autorisé.

Des échanges se font, bref cela prend du temps.

Finalement le staff leur demande de se rendre au stand ITA pour payer les suppléments de laisser les autres passagers enregistrer.

Je récupère mon BP et j’indique à l’employé qu’il n’y a pas la mention SP dessus.

Elle me répond que c’est normal, mais que c’est pris en compte, ah bon ? Je veux bien que l’on joue sur la naïveté des gens, mais là c’est fort de café ;

A côté de nous il y a l’enregistrement d’un vol plutôt hors du commun.

Ensuite je fais un arrêt boulangerie pour récupérer de quoi me faire un petit déjeuner à bord.

Pour le PIF c’est à gauche en haut des escalators.

Je me dirige vers la file SP et là bip, cela ne fonctionne pas. Le préposé me demande la compagnie et m’indique qu’ITA ne paie pas pour l’accès numéro Un, évidemment ! Je lui demande avec mon plus joli sourire si étant platinum ça fonctionne, il me répond, allez-y !!

Passage rapide, sans test supplémentaire.

Après cela on reprend les escalators pour revenir à l’étage inférieur.

Pour se retrouver devant les grilles fermées du duty free.

Il y a des personnes qui attendent mais il suffit de se diriger sous les escalators pour trouver la porte qui permet d’éviter le duty free.

On se retrouve de l’autre côté, rien n’est ouvert.

CDG nous souhaite un bon voyage.

Nous cherchons notre porte.

Un espace d’attente, bon je ne l’aurais pas appelé la terrasse, rien n’y fait penser.

Pour nous c’est par ici, cela présume un embarquement par bus.

Nous y voilà, vous pouvez constater que ce n’est pas la foule des grands jours.

Nous nous installons le temps que l’embarquement commence.



Lorsque c’est l’heure il n’y aura pas d’appel par classe, de toute façon au vu du monde on ne va pas se bousculer. Il est contrôlé à ce moment-là que nous ayons bien un masque FFP2.

Deux passagers se font refouler et partent en courant acheter un masque.

Nous attendons puis le bus démarre.

Pour avoir la nouvelle livrée c’est râpé, on aura peut-être plus de chance au retour, ou pas…

Premier fuselage shot

Un joli nez.

A bord du vol az317 direction rome

A bord, c’est la célèbre cabine Alitalia, je cherche mais aucune mention d’ITA.

C'est pour nous

La carte de sécu qui finira chez mon collectionneur habituel.

La têtière.

Un deuxième bus arrive avec les retardataires qui ont du acheter des masques en urgence, on retrouve notre groupe de fret de l’enregistrement et un groupe se rendant à Tel-Aviv.

L’avion est à 80% vide et j’ai pourtant deux voisines.

L’une d’elle regarde l’arrière et demande à son amie de bouger à des places vides.
L’autre lui répond que non elle est installée et ne veut plus bouger.

Ca y est nous partons, avec les consignes de sécurité à la mano par un équipage pas très motivé. Conclusion à part le nom, rien n’a pour l’instant changé avec Alitalia : ses avions et son personnel souvent inexistants.

La prestation est servie, enfin le PNC nonchalant me demande ma boisson, j’opte pour un café pour me réveiller, puis il entame la discussion avec l’autre PNC.
5 minutes plus tard il se remet au service en donnant à mes voisines un snack, en m’oubliant.

Bon ce n’est pas grave j’ai de toute façon un bon gros petit pain au raisin, et à l’arrivée j’aurai loisir à m’acheter ce que j’aime beaucoup en Italie, un croissant à l’abricot.

Nous avons entamé la discussion avec mes voisines et elles me demandent si les snacks sont kasher.

Alors là je pense qu’elles sont plus a même que moi pour répondre à cette question au vu de leurs habillements.

C’est le calme plat les passagers somnolent.

J’en profite pour potasser notre première journée de visite.

La descente est amorcée, et la météo ne semble pas être la meilleure, zut, pour information nous aurons même de la neige durant l’une de nos visites, c’est dire la vague de froid qui sévit ce week-end-là.

Rebonjour Rome, nous ne nous sommes pas quittés il y a longtemps.

Aéroport Léonard-de-Vinci de Rome Fiumicino

Les pompiers.

La livrée spéciale d’ITA Born in 2021.

Un peu de spoting exotique.

Un fuselage shot en sortant, c’est à nouveau un bus qui nous attend.

Je vois le stickers ITA et je reviens le photographier ce qui va dérider le PNC en porte.

Il ne fait pas chaud, vite dans le bus.

On croise la nouvelle livrée, scrogneugneu.

Nous sommes déposés au terminal 1.

A l’époque il fallait encore un PLF que personne ne contrôle.

Il nous reste à récupérer la bretzel valise.

Ce qui se fera rapidement en nous permettant de faire une pause toilettes.

Puis direction la sortie.

Et les loueurs de voiture.

Je teste une agence locale qui est bien moins chère que les majors internationales (3 fois moins chers), voici notre voiture qui sera parfaite pour notre séjour.

Pour ne pas changer, place au bonus qui j’espère vous donnera envie de visiter l’Ombrie.

Merci pour la lecture et les commentaires.

bonus