Avis du vol entre Cancún et Paris en classe Economique avec Air France

Ceci est le retour, l'aller ayant été fait en premium, décrite ici : https://flight-report.com/fr/report/56083/air-france-af650-paris-cdg-cancun-cun

Après avoir rendu la voiture, ça y est, nous rentrons! Je craignais un peu l'aéroport de Cancun, ayant un plutôt mauvais souvenir de l'aller.
Nous déposons plutôt rapidement les bagages au comptoir et hop, on traverse la PIF puis la PAF. Parcours classique dans la zone duty free, façon parcours Ikea. On tente de se débarrasser de nos derniers pesos avec des bricoles, type tête de mort, bouteilles d'eau, magnets… Les euros étaient acceptés.

Arrivés sur la zone d'attente, je reste impressionné par la quantité d'avions pour les USA et le Canada, avec juste deux ou trois vols vers l'Europe.  L'avion de Paris est affiché à l'heure et le zoziau Air France est bien là donc pas d'inquiétude sur un retard, ce qui met de bonne humeur.

Un peu de spotting.

Zut, serait-on déjà rentrés en France?

Notre zoziau AF semble d'autant plus impressionnant que la plupart des avions pour les USA/Canada sont de moyenne taille. Ce sera le F-GSQO. 15 ans d'âge, comme un whisky quoi.

A l'annonce de l'embarquement, file d'attente importante, normal, pour une bétaillère. Instant porte. Je voulais faire la photo d'un chapeau mexicain (la seule fois où j'en ai vu un, c'est dans un avion Air France !) mais raté, caramba!

Alors évidemment, comment vous dire, passer de la premium à l'éco toute bête. Passons sur le pitch.
Repoussage à l'heure, sympa. 

Sympa de voir que le temps de vol est nettement plus court qu'à l'aller.

L'hôtesse, malgré son masque faisait très bien son boulot et on sentait malgré tout son sourire. Bon point!
J'étais tellement KO que je n'ai pas pensé à faire la photo du plateau repas, qui ne m'a pas laissé un impérissable souvenir. En revanche les fourchettes en bois sont simplement horribles, en particulier pour les enfants, les fourchettes n'attrapent rien du tout. Plat de pâtes vachement huileux, avec des pâtes qui se baladent dans vos jambes, faut bien utiliser sa serviette. Le pain a trempé dans l'eau de la décongélation, beurk.

On essaie tant bien que mal de dormir. On va être réveillé brutalement par la lumière cabine. Bizarrement, cinq minutes plus tard elle est retamisée puis remise de plus en plus forte. Pas super agréable, bref.
Effet lumière sympa avec du bleu/blanc/rouge aux bouts des cabines. 

L'infect sandwich chaud à l'omelette est tout simplement parti à la poubelle.

Nous arrivons enfin en ligne droite sur CDG. Brouillard.

Enfin le bout de la piste 27! L'atterrissage fut plutôt rude, mes filles ont eu peur.

Trèèèèès longue sortie entre la passerelle et la récupération des bagages… On saute dans un roissybus et hop fin du voyage.