Avis du vol entre Porto et Frankfurt en classe Economique avec Lufthansa

Bonjour à tous,

Suite de mon périple printanier et chamboulé, dans un premier temps à Porto, dans un second à Tallinn.

Après un très agréable séjour sur les rives du Duro, et une escapade d'une journée à Braga, l'heure de rejoindre Tallinn sonne, driiiiing !
 
Difficile de faire plus court comme introduction…

OPO landside

J'arrive avec une belle avance à l'aéroport, afin de profiter du salon pour déjeune, ( avant d'embarquer sur un vol doté d'une carte payante ), le Covid semble derrière, puisque la plateforme est honorablement fréquentée.

L'entrée des artistes comme dans les palaces…

La structure métallique et le décor dans les tons gris ne sont pas pour me déplaire.

Le FIDS à l'ancienne tranche avec l'aérogare ultra moderne.

Les guichets réservés au groupe LH se trouvent à proximité de l'entrée.

Aucune attente à la banque d'enregistrement, l'aimable préposée me délivre le BP après avoir tagué mon bagage. Il ne me retse plus qu'à prendre la direction de la zone airside, étant éligible au fast track je ne me prive pas de l'emprunter.

opo airside

Le passage par la sûreté est rapide, il ne faut plus sortir son ordinateur, ni même les liquides de leur sachet transparent, emballé c'est pesé ! On débouche sur une mezzanine avec une vue dominant l'immense concourse.

L'aperçu sur les opérations n'est pas en reste…

Pour le moment, les masques sont toujours obligatoires, à l'intérieur des bâtiments portugais. Le lounge est indiqué, allons y !

Ce dernier est situé à l'étage…

Par les cornes de Belzébuth ! Le salon est fermé pour cause de… Covid, qui a toujours bon dos !

Soit le louge est clos, mais le Burger King aussi, ça commence à me courir sur le haricot…

Je décide une visite appronfondie de l'environement qui s'offre à moi, c'est bien joli de mettre à disposition des ordinateurs, faudrait t'il encore penser aux chaises !!!

Pas énormément de trafic pour le moment, quelques zozieaux seulement en arrière plan.

Pas grand monde dans cette partie du terminal…

Idem au rez de chaussée.

Lorsque deux FIDS de différentes générations se rencontre…

Après avoir trouvé un siège près de la porte d'embarquement dédié à mon vol, je passe le temps à bouquiner.

Matériel afférent au vol.

L'Airbus de tante Lufthie arrive à l'heure, c'est déjà une bonne nouvelle.

embarquement

On n'est pas pressé de lancer l'appel… Dix minutes après l'embarquement thérorique, les voyageurs sont invités à embarquer, pas de PMR, juste deux familles avec des enfants en bas âge se présentent, des resquilleurs tentent bien de passer outre, ils sont refoulés avec tact pas les employés… Vient ensuite le tour des pax prioritaires, en avant !

Le finger est très lumineux.

A gauche toute !

Les indéboulonnable instants porte et fuselage shoot.

la vie à bord

L'accueil à bord ne m'a pas laissé de souvenir impérissable. passage obligatoire par la biz comptant 3 rangées aujourd'hui.

Cet A320 paraît être un A321 !

J'ai pu "bloqué" un siège aux issues lors de l'enregistrement en ligne.

Allez les autres, vous pouvez venir !

Consignes spécifiques pour les personnes assises près des sorties de secours.

L"accoudoir façon multi usages, ça ne me dérange pas !

Le store obture le hublot en le montant.

Le pas(trick) sied bien au Savoyard.

L'ensemble de la littérature de bord, ou le magazine est toujours en vacances… Forcées !

La fiche sécurité ultra connue.

Voyons voir ce que le BoB propose : J'ai la fringale.

J'allais oublier la lingette désinfectante distribuée lors de l'accès à bord.

Belle vue sur le réacteur.

Plafonnier moderne et immaculé.

Un rapide briefing concernant l'attitude à adopter lors d'une éventuelle évacuation d'urgence, est dispensé par une PNC. J'ai toujours en tête la mésaventure décrite par l'éminent Indianocéan, ( lors d'un vol avec AZ, avec un feu-moteur au décollage ! ).

FR et LG sont en embuscade.

Le Commandant de Bord, Wilfried Von Richter annonce 2h25 de vol et une arrivée à l'heure sur les bords du Main. Nous repoussons avec quelques minutes de retard.

Le taxi est long et l'attente en bout de piste commence à durer, ceci afin de laisser le champ libre aux atterrissages.

Après avoir laissé se poser trois avions, notre tour a lieu.

La météo n'est pas extra en ce 16 mars… Nous longeons l'Atlantique avant de disparaître dans les nuages.

N'ayant personne à mes côtés, ni même sur toute la rangée je décide de prendre mes aises.

Ambiance spéciale lorsqu'on navigue entre deux couches de nébulosité, la cabine respire la quiétude.

Nous voici au plus bel endroit de la terre…

c'est ripaille à bord

Alors que le rideau inter-classes est tiré, un duo de PNC passent distribuer une bouteille d'eau… Il est certes Professionnel, mais l'on sent bien que plus vite on expédira le service, plus tôt on ira jacasser avec les copains et les copines dans le galley situé à l'avant de l'appareil.

Je commande de quoi me sustenter en espérant déguster une salade, mais il n'y en a plus ! Sinon, le BoB n'aura pas vraiment de succès.

On commence par un whisky en guise d'apéritif, Chevelan l'apprécie toujours sans glace, dommage qu'il soit servi dans un gobelet en plastique.

A la santé des contributeurs émérites et bénévoles de ce site !

Le plan B : Un sandwich, heureusement il est particulièrement goûteux.

Autopsie de la bête…

Ramon Bilbao est t'il Basque ?

Second toast à la communauté des voyageurs aériens.

Double emballage pour le dessert .

Cette pâtisserie ne vaut pas la Sacher torte vendue à bord des aéronefs d'Austrian, mais ce gâteau reste délicieux.

Lors de l'embarquement, le jeune homme assis devant avait demandé à l'hôtesse,l'autorisation de profiter du hublot aux issues, requête accordée sans problème, après le décollage il rejoint la personne âgée qu'il accompagne, il ne reviendra pas s'assoeir en 11A, cherchez l'erreur…

Beau ciel azur juste au dessus de la mer de nuages. 

Après un festin rabelaisien une petite sièste s'impose !

J'ouvre les yeux lors de l'annonce de la descente. La visibilité n'est pas terrible durant toute la phase d'approche.

Le sol est  visible quelques secondes avant le toucher des roues.

Nous regagnons sans secousses le plancher des vaches.

Le roulage s'avère court, et youpi l'avion s'immobilise au contact du terminal !

débarquement

L'instant Danette, de nouveau revenu à la mode…

Me voici dehors, je n'ai pas de correspondance aujourd'hui, Chevelan prend tout son temps pour se rendre dans la salle de livraison des bagages.

Passage devant le salon SEN… Puis on tourne à droite, les escalators menant vers la sortie font face juste après.

Il ne me reste plus qu'à obliquer à gauche et franchir les portes automatiques.

Ma valise arrive sur le tapis sept minutes plus tard.

Je n'ai rien à déclarer !

Il faut rejoindre la gare régionale qui heureusement est située dans le terminal.

Après l'achat du ticket à un automate placé sur le quai, j'ai la chance de monter à bord d'un train qui s'ébranle 5 minutes plus tard.

 le convoi entre en gare centrale de Francfort après 20 minutes de voyage.

Mon hôtel est situé à distance de marche de la sortie principale de la Hauptbahnhof…

Merci de m'avoir lu, à bientôt pour la suite du périple.