Bonjour à toutes et à tous!
Introduction
Après un rapide city trip à Londres, l'heure du retour à sonné. Ce dernier s'effectuera via un aéroport fait pour Ryanair: Stansted. Il s'agit de la plus grande base de la compagnie à bas coût.
Ryanair offrant un vol assez tardif, nous pouvons profiter de toute la journée sur place.
Veuillez m'excuser du nombre de photo en vol plus réduit qu'a mon habitude, vol de nuit oblige.
Voici le très simple routing. Je vous encourage évidemment à aller lire ou relire le report du vol aller pour un peu plus de contexte.
Enchainement de vols
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- 2FR1082 - Economique - Londres -> Toulouse - Boeing 737-8
La ligne STN-TLS à été reporté à 5 reprises, il s'agit donc d'un simple rafraichissement de la BDD. La ligne est opérée par un mélange de 737-800 et de 737MAX-8.
Une fois n'est pas coutume, le report ne commence pas à l'aéroport mais au musée des sciences avec cette maquette du terminal principal de l'aéroport de Stansted, belle maquette. A ce soir STN!

Un peu plus tard dans l'après-midi, direction la gare de Liverpool street d'où part le Stansted express. Moyen rapide mais assez onéreux pour couvrir les près de 60km qui nous séparent de Stansted.

Aéroport de londres-stansted
Après 45 minutes de trajet, nous rejoignons directement l'interieur du terminal.

Ici, Ryanair règne en véritable maitre.

Ce hall est assez spacieux et donne une première impression assez positive.

Passage du PIF en une grosse dizaine de minutes. Les agents ne sont pas particulièrement agréables.

Un couloir beaucoup moins accueillant.

…et un gigantesque Duty-free qu'il faut impérativement traverser.

Plétores de produits sont à la vente, les mêmes dans la plupart des duty-free du monde.

Le Duty-free débouche sur ce grand food-court. C'est aussi à cet endroit que ce trouve un fidis géant, indiquant les portes d'embarquement au dernier moment, histoire de retenir encore un peu plus les passagers dans ce temple de la consommation.

Ne souhaitant pas m'éterniser dans cette zone, je cherche un endroit plus tranquille en attendant l'affichage de ma porte.

L'aéroport est organisé selon trois principales jetées.

Pour moi, direction les portes 40 à 59.

Une dizaine de minutes de marche à travers différents couloirs est nécessaire pour rejoindre cette jetée.

Une vue sur le bâtiment principal alors que la nuit tombe.

Nous voici dans cette jetée dédiée à Ryanair. Evidemment, les lieux sont très calmes puisque les PAX ne connaissent pas leur portes d'embarquement.

Un spotting peu alors commencer, avec une bien maigre diversité. Ici, un 737-800NG.

Ici, un 737MAX8. Durant tout le processus de réservation et d'enregistrement à ligne, le plan de cabine sur l'appli Ryanair correspond à celui d'un MAX. Toutefois, Flightradar m'indique au matin du vol que ce dernier sera effectué en 737-8…Qui croire???
Spoiler alert: 1 pour Flight radar / 0 pour Ryanair.
Une chose est sure, la météo est typiquement britannique.

Le même MAX qui doit faire du béton toute la nuit. Ryanair a choisi de conserver l'option de l'escalier intégré.

Entre les portes en faux contact se trouvent de nombreuses places assises.

Tout au fond de cette jetée, au rez-de-chaussée se trouve un sorte d'extension bien moins charmante dans laquelle je serai absolument seul.

Il est temps pour moi de refaire tout le chemin en sens inverse, avec ici un gabarit pour les accessoires de cabine.

Retour au food-court pour un passage au Burger King et pour apprendre que l'embarquement aura lieu en porte 48, dans la jetée où je me trouvais

Après une nouvelle dizaine minutes de marche, la porte 48. N'ayant pas pu enregistrer les documents sanitaires sur l'appli, la documentation nécessaire est scrupuleusement vérifiée par les agent FR.

Il n'y a vraiment pas beaucoup de monde.

Le BP du jour. J'ai hérité du 7B, peu mieux faire.

C'est avec une trentaine de minutes de retard que notre appareil arrive. Relativement peu sur cette ligne à en croire Flightradar et les autres FR.

Le vol
Embarquement en last call et découverte de notre appareil, il s'agit de EI-DWH, un 737-8 âgée d'un peu plus de 14 ans.

Ce monument, quand le visite-t-on ?

En tant qu'avgeek, je reste sous la pluie non seulement pour tirer le portrait de notre Boeing mais aussi pour essayer d'obtenir un hublot.

C'est à la vitesse d'une tortue essoufflée que je me dirige vers l'escalier intégré.

Instant porte avec un point de vue original. On remarque aussi la bare qui permet l'armement des toboggans.

Fuselage shoot. C'est finalement avant dernier que j'embarquerai…OUI, un copilote FR adoptant la même technique aura été plus lent. L'accès au cockpit lui a d'ailleurs été refusé.
Pour ma part, je cherche un hublot de libre…

Bingo! Le 1A fera l'affaire. Il a le privilège d'offrir une belle vue.

Le pas est forcément excellent.

Une vue sur le galley. L'appareil est équipé des nouvelles cabines mais pas du sky interior. La cabine fait donc beaucoup plus "vintage".

Ryanair est heureuse de nous accueillir, et ça se voit! Finalement, l'avion n'est pas plein et les rangées arrières resteront assez clairsemées.

La porte est fermée, les toboggans armées, nous pouvons y aller.

Pas d'autres photos au sol, pluie et vol de nuit ne font pas bon ménage pour prendre des photos. Le décollage sera effectué en 04.
Nous contournerons ensuite la capitale Britannique par l'ouest.

Les sièges des PNC alors que le service de BOB commence, ce dernier rencontrera un certain succès.

Privilège du 1A, On a droit à une véritable consigne de sécurité! Wow, Ryanair se surpasse, à quand une véritable business???

Malgré la présence de nombreuses familles, le vol sera calme. Le hublot témoigne des anciennes cabines Boeing. Manque de chance ou pur plaisirs avgeek, la quasi totalité de mes vols en 737 se font dans des appareils non équipés du sky interior.

Arrivée sur l'agglomération Toulousaine.

Le vol touche à sa fin.

L'atterrissage sur la 32R sera assez doux après 1h30 de vol. Il est 22h11, une partie du retard a été rattrapé.
Avant de sortir, instant F-OITN.

C'est dans les premiers que je débarque sur un tarmac Toulousain aussi humide que celui de Londres.

Une dernière vue sur l'appareil qui repartira dans la foulée pour STN.

Aéroport de toulouse blagnac
Arrivée à la PAF, son passage sera assez rapide.

Une publicité mettant en valeur le constructeur local.

La salle de livraison des bagages par laquelle je ne ferrai que passer.

Vu l'heure tardive, le terminal est assez animé.

L'extérieur est plus calme. Ayant égaré notre ticket de parking lors du sprint pour attraper notre vol aller (si vous ne l'avez pas suivi, c'est ici), nous ne pairons aucun frais supplémentaire après la présentation du BP du vol aller (possible grâce à une caméra sur la borne de paiement). Bon point pour TLS!

La navette pour rejoindre le P6.

Le vol par flight-radar 24
La route du jour, avec une altitude de croisière de 35000ft.

Les informations générales.

C'est ici que je vous quitte. Merci beaucoup de votre lecture.
A bientôt pour de nouvelles aventures.
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Merci beaucoup pour le partage !
On voit bien la conception super ancienne des 737 avec cette porte qui s'ouvre vers l'extérieur, sans coulissement, ce qui est super dangereux pour les équipages sans parler de cet escalier, ou l'on voit tous les rajouts sécurité comme le strap, les barres rouges qui n'y étaient pas à l'origine, rajoutées à cause de nombreux incidents / accidents. Et ce toboggan qu'il faut armer manuellement.
Bref, une bien vieille technologie.
A bientôt !
Merci beaucoup pour le commentaire!
Effectivement, on remarque bien la conception des 60' du 737...avec ces nombreux détails obsolètes. Au moment de fermer les portes, les PNC font de véritables acrobaties! Nous seront un jour nostalgiques de cette technologie!
A bientôt!