Introduction
Enchainement de vols
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- 2AF1105 - Affaires - Rome -> Paris - A220
Bonjour,
Bienvenue dans ce flight-report.
Voici la suite du récit pour le vol retour avec la découverte de l’A220. Ayant déjà ma carte d’embarquement avec la mention ready2fly, pas besoin de passer aux comptoirs d’enregistrement.

Après ce court séjour à Rome, départ de l’hôtel qui m’a proposé une suite pour 33€ (erreur de prix, ils ont oublié un 0).





La gare centrale étant à proximité, le Leonardo express m’emmènera à l’aéroport.


Aeroport de Rome
Une fois arrivée, l’accès au terminal 1 se fait sans encombre.





Petite escale technique pour se désinfecter les mains.

Il y a beaucoup de monde aujourd’hui ; le fast track sera bien utile pour gagner du temps. À noter que le pass vaccinal (super green pass) est nécessaire pour utiliser le fast track.


Après avoir passé les contrôles de sécurité, il est temps de faire quelques emplettes. La vendeuse me recommande quelques bouteilles de rouge. Une fois les bouteilles sélectionnées, elle m’emmènera à la caisse (sûrement pour toucher sa commission sur la vente).




Ensuite direction la zone d’embarquement E. Une bonne distance à parcourir et à nouveau, j’arrive dans une zone commerciale. Mais pour le moment, direction le salon.






Le salon plazza premium
Le salon Plazza Premium est situé à l’étage.

À l’accueil du salon, l’hôtesse scanne la carte d’embarquement. Ensuite, on arrive directement vers l’espace de restauration.







La commande des plats chauds se fait via l’iPhone. J’opte pour un œuf, une salade, des fruits, un cappuccino et une part de tarte.






Après cette collation, il est temps de recharger l’iPhone puisque selon plusieurs FR sur l’A220, les prises USB ne fonctionnent pas. Je prends donc mes dispositions.

Vue sur… le terminal.

Pendant ce temps, l’A220 arrive à FCO en retard.


Le salon se remplit et l’offre chaud du déjeuner se met en place.


Il est temps de quitter le salon 20 minutes avant le début de l’embarquement pour un dernier achat.







Chez le spécialiste italien du chocolat




Pas chaise ni de table ? Aucun souci.
Une fois le gelato avalé, direction la porte d’embarquement E16 pile à l’heure.
Passage devant le salon ITA


Ne nous dispersons pas.
Sur le chemin, il y a une sculpture en marbre. Pas le temps de lire le descriptif. L’A220 est bien là. Me voilà à la porte d’embarquement.




L’embarquement
Les passagers en zone 3 sont invités à embarquer ? J’ai loupé plusieurs chapitres.

Effectivement… ils ont commencé l’embarquement en avance. Nous attendrons 15min dans la passerelle.










Voici la porte

Le vol
Accueil chaleureux par la cheffe de cabine.
Peu de pas à faire pour rejoindre le siège 2A. L’hôtesse me dira que j’ai selon elle, la meilleure place sur ce vol avec l’espace pour les jambes et la garantie de ne pas avoir de voisin. Je ne vais sûrement pas la contredire. La cabine est très spacieuse, les coffres à bagages prennent peu de place une fois refermés. Le tapis avec les motifs en chevrons rappelle les parquets. Les hublots sont XXL.









L’avion est neuf mais les prises ne marchent pas. Heureusement que j’avais chargé mon téléphone au salon.







Notre voisin du jour


Vers la fin de l’embarquement, le commandant de bord descend sur le tarmac pour ramasser l’écharpe d’un passager. Ne me demandez pas comment elle est arrivée en bas.

L’écharpe est sauvée, nous pouvons partir ! La passerelle se rétracte.




On repousse.




Une fois que les moteurs sont allumés, taxi vers la piste de décollage.
Une compagnie que je testerai en mars.

2,5 hublots pour prendre les photos.


La nouvelle livrée ITA

Nous continuons vers la piste









Décollage. L’A220 accélère rapidement et prend son envol au bout de quelques secondes. Les moteurs sont beaucoup plus silencieux que sur les A320.










Le signal est ensuite donné pour tirer les rideaux et lancer la préparation du repas. Le plateau repas arrive avec les opercules qui seront rapidement retirés. Foie gras de canard, avec ses tranches de bœuf et son blé, raisins secs et potirons. Fromages et tropézienne. Champagne et Perrier pour les boissons. Une thé à la menthe sera ensuite servi. La tasse en porcelaine est toujours absente à mon grand regret.
Très bon repas.






Santé

Nous arrivons vers les Alpes




Passage aux toilettes




Début de descente et vue sur mon quartier.



Atterrissage à CDG


Après le décollage de cet A380, nous pouvons traverser et réjoindre le terminal 2F


La passerelle se met en place et nous pouvons débarquer. La cheffe de cabine me remerciera chaleureusement.
Encore un très bon vol.

Je ne peux pas en dire autant du contrôle de police à CDG : 15 minutes d’attente.


Merci de m’avoir lu et à bientôt pour de nouvelles aventures.
François
Salut François
L'erreur de tarif à l'hôtel ressemble à l'affaire du siècle ! ^^
Le salon offre un belle espace de repos et une nourriture qui donne envie
15 minutes d'attente dans la passerelle, c'est bien long... Comme à la PAF à CDG lors de l'arrivée.
Je trouve la nouvelle livrée ITA très jolie.
Il manque un mini FIDS au dessus des têtes dans ce bel A220 d'AF.
Le rang 2 A et C offre une large place pour les jambes, autant le savoir.
Le catering semble en adéquation avec le temps de vol, il a l'air appétissant.
Les vols sont toujours agréable lorsque les PNC sont motivés.
Superbe vues lors de l'approche au dessus de Paris.
Merci pour le partage, à bientôt.
Salut Hervé,
L’attente dans la passerelle semble toujours longue. Effectivement, un équipage attentionné peut largement faire remonter le niveau et donc l’expérience en vol.
À bientôt
Merci pour le partage François,
Le salon fait bien son job, rien à redire, le salon ITA n'est pas encore ouvert ?
A bord, c'est un bel avion, sans aucun doute, mais toujours sans plat chaud. Bof bof bof.
Au moins l'hôtel c'est, comme le dit Hervé, l'affaire du siècle !
A bientôt !
Salut Stephan,
Le salon ITA était ouvert mais je n’ai pas essayé d’y rentrer. Je venais tout juste de faire l’autre.
À bientôt
Merci François pour le récit
Contrairement à mon illustre prédécesseur dans les commentaires, je me sens légèrement inconfortable avec cette erreur à l'hotel surtout quand je repense à ma grand-mère qui faisait parfois 10 kms pour retourner au magasin pour payer un kilo de sucre oublié dans la note. Il est probable qu'ici cela ne se voit jamais car entièrement automatisé mais un trou dans une caisse n'est jamais sympa à constater en fin de journée. Je serais curieux d'entendre d'avis de FFlyerCDG sur le sujet quand il sera redescendu de ses montagnes.
L'entièreté du parcours me parait de bon aloi avec un fasttrack utile, un salon confortable et bien achalandé et un vol très agréable (y inclus le catering qui fait envie). Nous obtenons encore une confirmation que le graal du 1A est plutôt une chimère qu'autre chose :-), enfin selon les vraies spécialistes (les PNC)!
Encore merci pour le FR
Frédéric, et encore désolé d'avoir cassé l'ambiance :-)
Merci pour ce report en 220.
Bientôt mon tour de le tester.
A bientôt
Salut Quentin,
J’espère que t’auras une bonne expérience également.
À bientôt !
Merci pour ce FR !
J'ai aussi constaté la même chose... Espérons que cela soit seulement une erreur de mise à jour ou en attente de développement.
A bord je reste très dubitatif sur les avantages de l'A220 pour les passagers en J.. Plus de séparation avec l'Eco, et plus de plat chaud, alors que ce vol dure tout même 2h.
A bientôt !
Salut Nicolas,
J’espère également qu’ils vont faire évoluer l’appli AirFrance Connect.
Le plat chaud pourrait être un plus.
À bientôt.
Merci François pour le partage,
L'hôtel à Rome a été l'affaire du siècle !
Au salon, l'offre a l'air très qualitative.
Pourquoi faire procéder à l'embarquement quand l'avion n'est pas prêt et faire patienter les pax dans la passerelle !
A bord, tu as eu la meilleure place, avec un beau plateau (à part le gobelet) et l'attention de la PNC.
Une magnifique vue de Gênes, et bien sur de Paris.
15 mn d'attente aux contrôles à CDG : normal : paris vous aime !
A bientôt
Salut Patrick,
On rencontre parfois quelques petits aléas. Heureusement que l’expérience en vol a largement compensé.
À CDG, le process de contrôle d’arrivée est très aléatoire.
À bientôt !