Avis du vol entre Nápoli et Paris en classe Affaires avec Air France

Bonjour à tous,
Voici le vol retour de mon déplacement express à Naples, non pour loisirs mais pour "affaire" si je puis dire.
Tous les détails se trouvent dans le FR aller.

Après une rare bonne nuit à l'hôtel, il est l'heure de rentrer à la maison.
Deux cousines se proposent de nous emmener à l'aéroport de Naples située à 80 km au nord. Nous quittons donc Battipaglia (capitale de la mozzarella) vers 9h30. Au loin quelques petits sommets sont enneigés.

En route pour l'aéroport

Une demi-heure plus tard, nous arrivons dans le golf de Naples et nous apercevons le Vésuve.

Du vent fort est annoncé.

Nous voici arrivé. L'aéroport est à droite, tout au bout. Étrange cette configuration ou l'aéroport est en zone urbaine !

On passe devant cette pâtisserie.

Les abords sont en travaux.

Nous y sommes presque ; ici l’arrêt de bus de l'Alibus (sens Naples => aéroport).

Arrêt minute ou parking sauvage ! En tout cas la police est en train de verbaliser…

NAP

On ne présente plus la jolie façade.

Le FIDS.

Les comptoirs sont ouverts. Le problème est qu'il n'y a que la file SP qui est ouvert, et bien sur tout le monde passe par là. Tout le monde est un grand mot car il n'y a pas foule non plus.

Les bandes pour la file éco n'ont pas été retirées.

Notre tour arrive rapidement. Comme à l'aller nous nous délestons de nos bagages cabines qui iront faire un tour dans la soute. L'agent nous demande d'attendre sur le coté, une personne de l'assistance va arriver pour prendre en charge ma mère.

A peine 2 minutes plus tard, l'agent arrive. Nous lui indiquons que nous souhaitons aller au salon. Il nous propose de le suivre, mais au lieu de prendre les escalators situés à la sortie de l'enregistrement (à peine 20 mètres), il nous fait traverser tout le hall pour aller vers l'ascenseur. Il ne marche pas doucement…

Bon l'avantage de l'ascenseur c'est qu'il débouche près du PIF.

Nous empruntons la file fast track.

Pour nous retrouver dans le file ordinaire, enfin presque car il y a une petite file priorité "famille". Le PIF est à gauche. Il n'y a pas trop de monde. Mais néanmoins l'agent bloquera les 5/6 pax de la file pour nous faire passer. S'il nous avait fait passer par le fast track, on aurait gêné personne….

Il nous dépose au salon. Finalement nous arions pu y aller seuls et ça aurait été plus rapide !
Il nous indique l'heure où nous devrons nous rendre au bureau assistance de l'embarquement.

Le salon

De l'extérieur, on a une vue plongeante vers l'intérieur !

Nous voici installé. Au même endroit que 6 jours auparavant avec François88. D'ailleurs, l'agente du salon m'a reconnu.
En effet, nos passes sanitaires ne "passe pas", alors qu'ils ont été scannés sans problème à l'enregistrement…
L'agente dit à son collègue que ce sont leurs scans qui doivent mal fonctionner car je suis passé la semaine dernière (où je lui avait dit "à la semaine prochaine" lorsque j'avais quitté le salon).

Aperçus.

L'espace restauration.

Deux agents nous servent tant en plats qu'en boissons.

Notre sélection salée.

Et sucrée. Pas d'alcool cette fois car j'ai un peu mal au ventre. Je prendrai donc un coca.

Depuis l'espace restauration, on a une vue plongeante sur le hall des départs (et donc inversement).

Escapade commerçante

Comme la semaine précédente, je m’éclipse quelques instants pour aller acheter de la mozzarella.
Ici vu sur le hall des départs de l'étage supérieur.

La boutique où je me rends est à l'étage inférieur, d'où partira notre vol. Ici il y a des sièges relaxes avec vue sur la piste.

Voici ladite boutique.

De sympathiques canapés sont installés.

L'embarquement aura lieu à cette porte.

Le lift est prépositionné.

Easy est présent.

Devant la délicieuse pâtisserie Bellavia, je croise notre agent d'assistance. Ses nouveaux "clients" ont dû lui demander de faire une halte gastronomique ici !

Le gorille n'a pas bougé depuis la semaine dernière !

En route pour l'embarquement

A l'heure dite par l'agent d'assistance, ma mère et moi rejoignons le bureau assistance de l'embarquement.
Notre destrier vient d'arriver de Paris.

Les pax débarquent.

Nous prenons l'ascenseur.

La colonne d'escalier est encastrée dans une boutique de chaussure ; c'est original !

Nous voici au bureau assistance. Les derniers pax de notre avion ont débarqué.

On nous fait asseoir ici et on nous dit qu'on viendra nous chercher. Il y a une autre pax PMR sur notre vol. En contrebas se situe l'embarquement pour notre vol.

Un avion encore aux couleurs Alitalia arrive.

L'agent d'assistance embarquement nous indique qu'ils ont un problème (je ne sais plus exactement, mais le lift en panne ou pas de camionnette disponible) et que nous allons embarquer un peu plus tard. L'embarquement à donc commencé sans nous.

Finalement on vient nous chercher et on nous accompagne à pied à l'avion. C'est vrai que ce n'est pas loin. Finalement une assistance pour rien ou presque. Nous sommes allé à pied au salon, sans passer par le fast track auquel nous avions droit, et on embarque vers la fin alors que nous étions prioritaires sky priority !). En même temps, ça a permis à ma mère de rester assise plutôt que de stationner un long moment en porte.

L'agent d'assistance porte les bagages de l'autre pax PMR.

On y est presque, et presque les derniers !

Instant réacteur !

On gravit les marches. Il y a énormément de vent comme cela était annoncé sur l'autoroute. Ça risque de secouer au décollage…

Instant porte.

Fuselage shot.

Instant cockpit avec vitres ouvertes.

A bord

Nous avons les sièges 2A et C. Impossible de réserver le rang 1 qui reste bloqué sur l'appli. j'avais contacté AF sur Twitter qui m'avait répondu qu'ils ne pouvaient pas débloquer et que je devrais voir au comptoir d'enregistrement. A l'enregistrement ils me disent de voir avec les PNC car c'est bloqué sur le plan de cabine et ne peuvent rien faire.
Alors, en montant je demande à la chef de cabine si nous pouvons migrer au rang 1 si il est toujours libre. Elle me répond qu'on est en première rangée ; celle-ci commence au numéro 2. Il n'y a pas de rangée 1 en A et C, contrairement au 1 D et F.

C'est parfait !

Le pas (rasite) est tellement minable sur les autres rangées de J que celui-là est royal !

Voila la première rangée.

La passerelle est retirée.

Atitech qui a toujours été Atitech, et non "Alitech" contrairement à ce que j'ai pu dire lors du dernier FR (merci Okapi).

Les seuls distractions à bord dont le sac confort qui a failli m'être utile…

On repousse.

LH est présent.

Direction la piste. On va encore décoller coté terre.

L'italie vue du ciel

C'est parti. Les habitations sont près des pistes.

La banlieue de Naples est très dense.

Au loin, le château de Caseste. Jamais vu sur des dizaines de vols et là je le vois 2 fois de suite. Finalement que l'on soit à droite ou à gauche, on le voit sous des angles différents.

Gare d'Afragola. Je pense que c'est une gare de la ligne grande vitesse…

Vue sur l'aéroport.

Capri.

Aéroport militaire de Caserta - Grazzanise.

Au nord de Naples, dans le golf de Gaete : étrange formation géologique que ces sommets isolé en pleine plaine.

Au niveau de Frosinone, au sud de Rome.

Le lac de Albano Laziale et le Parco dei Castelli Romani. La résidence d'été des papes se trouve sur l'autre rive à Castrel Gandolfo.

Étranges figures géologiques au niveau de Palestrina (au sud-est de Rome).

Ici encore, avec Tivoli à droite.

Aéroport de Ciampino, au sud de Rome.

Et celui de Fiumicino au loin.

Rome ! On distingue la stade olympique sur la droite, la gare de Roma Termini au centre, et un peu plus au nord on devine la coupole de la basilique Saint-Pierre (en se repérant avec google map !!).

La villa Borghèse.

Retour à bord ; entre temps les rideaux ont été tirés.

La plateau est servi. Enfin je vais connaitre la salade de lentille !!
En fait je ne vais goûter qu'une bouchée et mon verdict est sans appel : c'est dégueulasse !.
Rien à voir avec la salade de saumon - lentilles que j'avais eu sur un vol LDE-ORY, dans le cadre du feu menu BOCO voir ici
La tarte au poire me fait envie, mais je n'y toucherai pas non plus.
En effet, je suis pris d'une gastro-entérite aiguë qui me porte limite à l'évanouissement. Cela m'arrive en moyenne tous les 10 ans et ça fini aux urgences à l’hôpital.
Heureusement la PNC me donnera des médicaments ce qui me permettra de finir le vol au mieux. J'aurai quand même le droit à SOS médecin une fois rentrée chez moi.

La vue des paysages me divertie un peu, mais ce n'est plus ça, j'ai quand même hâte d'arriver avant que ma situation ne s'aggrave. Je poursuis quand même le FR avec ici les montagnes Corses enneigées.

Le Cap Corse.

Nous allons maintenant entamer la traversée des Alpes.

Aéroport de Turin.

Les sommets blancs sont de plus en plus nombreux.

Il me semble que c'est la vallée d'Aoste.

On arrive au Massif du Mont Blanc. Coté Italien ?

Le Mont-Blanc est recouvert par un petit chapeau de nuage !

Aiguilles du Grépon ?

On devine la mer de glace.

Chamonix en bas à droite.

Aiguille du Plan ?

Mont Blanc chapeauté !

On traverse le Brévent.

Bonneville, Annemasse en dessous ?

Aéroport de Genève.

Fin de la géographie aérienne ; on est en France et on retrouve les nuages !

Plafond bas à CDG.

En finale.

Posé.

Les camions Servair partent avitailler.

La zone hôtelière.

Le concorde, qui mériterait un petit rafraîchissement (ça se voit surtout depuis la route quand on est en voiture).

Arrivé au 2F.

Dernier virage.

Assitance

Nous débarquerons en dernier. La Chef de cabine me dira d'être prudent sur la route et ne pas hésiter à faire des pauses.
L'assistance est là. Un jeune homme sympathique, visiblement passionné d'avion également : en chemin on discutera de la business, du salon…

Dernier regard sur notre A318.

Récupération des bagages. L'assistant nous propose de nous accompagner jusqu'à la sortie.

Mais ce n'est pas la peine, l'ascenseur du parking est quasiment en face de la sortie.

Au passage, ce couloir de transit entre le 2E et 2F emprunté et reporté par Esteban il y a peu et que je n'avais jamais remarqué auparavant.

Le vol selon FR24.