Avis du vol entre Chennai et St Denis en classe Premium Eco avec Air Austral

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TNR-RUN [Il y a une éternité!]
RUN-MAA [Pour comparer]
MAA-BKK [Pour comparer]
BKK-NRT [C'est toujours dispo!]
NRT-BKK C’est par là!]
BKK-MAA Pour se remettre dans le bain!]
Avertissement : le segment MAA-RUN s’effectuant nuitamment, dans le 738 présenté dans le trajet précédent, le FR rapportant cette expérience est inhabituellement court même si le vol dure 6 heures.
Pour débuter ce pénultième reportage retour, je vous invite à découvrir la 3° partie du bonus touristique japonais.
Je vous propose de commencer par des détails qui ont attiré mon attention. D'abord, les pictogrammes, toujours très présents, originaux ou imagés.
Sur le quai du métro.

Rencontre du 3° type dans une venelle près de Shinjuku.

McDo c’est par derrière !

Toilettes multifonctions au Skytree.

L’escalator mène-t-il au café ou le café jouxte-t-il l’escalator ?

Il me semble que cela annonçait le lieu où acheter les tickets.

Rédigez la traduction idoine. Les potaches ne manqueront pas d’imagination ;-)

Je me suis longtemps demandé ce que cela pouvait bien être.

Pendant que papa utilise le WC qui chante, qui nettoie, qui chauffe et qui sent bon…

… bébé attend sagement en sécurité sur son siège dédié sans échapper à la surveillance paternelle.

Lolita-écolière qui distribue des prospectus près des boutiques d’Akihabara

Parking résidentiel qui illustre parfaitement la rareté de l’espace et l’ingéniosité nipponne.

Visite du marché aux poissons de Tsukiji.

Quelques produits frais.

Quelqu’un connaît-il cet étonnant champignon ?

Confection de brochettes.

Débitage du thon surgelé.

Etal bien ordonné.

D’après ce que j’ai vu –et non lu- cette farandole de gilets jaunes derrière la pancarte ramassait les mégots.

Il est 9h et on fait la queue pour déguster des sushis.

C’est beaucoup trop tôt pour moi.

Vue générale du jardin Kiyosumi, ancien jardin d’une villa de seigneur un temps propriété de la famille propriétaire de Mitsubishi, dans le quartier de Ryogoku.

La maison à thé.

Le gardien.

La célèbre Tokyo tower.

Quelques panoramas de divers CBD tokyoïtes qui illustrent aussi le fait que la ville est très verte.

En direction du Skytree.

Au premier plan, un sanctuaire.

Terminons par la foule à Shibuya.

Le chien Hachiko, incarnation de la fidélité.

Le célèbre carrefour de Shibuya.

Ainsi s’achève le bonus japonais.
Place au FR.
Je vous ai donné congé sur le tarmac de MAA, les rais du soleil n’éclairant plus qu’horizontalement infrastructures et aéronefs.

Comme à l’aller, il s’agit avant tout d’avitailler pour reconstituer nos 20 tonnes de carburant, de laisser une dizaine de PAX débarquer, d’en embarquer un peu plus et, dans l’entre deux, de montrer aux autorités indiennes nos cartes d’embarquement et nos bagages à main pour qu’elles puissent y apposer un autocollant.
Il fait donc presque nuit lorsque nous nous détachons de la passerelle…

…le verre de bienvenue à la main.

Les deux parties de l’aérogare de MAA ne se mêlent guère harmonieusement.

Nous nous élançons.

Des feux d’artifice sont tirés : pas en notre honneur mais à l’occasion d’une fête indienne.

Ambiance extérieure et winglet.

Nous sommes là.

A 5h40 de Saint-Denis.

Ambiance cabine.

Une petite collation est servie une fois l’extinction de la consigne « attachez vos ceintures. »
Champagne, noisettes et fruits secs et sandwiches.

Gros plan.

Champagne et Cilaos.

Je regarde un film : Emperor qui retrace le contexte de la célèbre rencontre entre Mac Arthur et Hiro-Hito en 1945.

Puis un hyper navet avec Christian Clavier intitulé Profs. Voilà qui nous amène à ce point de notre vol, grossièrement à l’aplomb de Diego Suarez.

C’est donc 1h23 avant l’arrivée qu’est servi le dîner.

Apéritif, toujours en compagnie de Nicolas, mon fidèle ami en ce samedi.

Le plateau est servi. Toujours pas de menu papier ni de choix. C’est viande pour tout le monde.

Entrée, fraîche. Il se trouve que j’adore les asperges.

Poulet en sauce, légumes et riz. C’était bon.

Salade et pâtisserie.

Les deux vins proposés pour la photo. Tel Hachiko, je demeure fidèle au Bourgogne.

Un thé pour terminer. Dommage que l’eau refroidisse vite et empêche une réelle infusion.
On note l’effort de ne pas proposer le jus de chaussette traditionnel en Y.

Les deux chocolats, signature UU en Y+ et en J.
L’emballage maison créole n’est disponible qu’ex-RUN.

Cers dernières agapes se terminent alors que nous sommes quasiment à destination.

La cabine est mise en configuration atterrissage.

Nous nous posons à RUN avec une trentaine de minutes d’avance…

… et nous arrimons à la passerelle.

RUN est désert en ce samedi soir. Aucun autre vol à l’arrivée et la salle d’embarquement est vide.
Ma valise étant enregistrée jusqu’à TNR, je ne pousse pas le vice à attendre les bagages de mes compagnons de voyage pour évaluer la rapidité, ou pas de la livraison.

Je sors donc les mains vides sous l’œil étonné du très beau Labrador des Douanes.
Je rejoins mes amis dionysiens qui m’accueillent pour ce transit d’une douzaine d’heures.
A suivre…