Un petit voyage en Toscane pour la Toussaint, en espérant avoir du soleil. On recherche des billets pas trop chers. Aller-retour Pise avec Air France, aussi bien placé qu’Easyjet. Je n’ai pas regardé Ryanair. Et un trajet pas encore reporté sur FR.
La veille on essaye de s’enregistrer 30 heures avant mais ça ne marche pas, ou plutôt on ne peut pas s’enregistrer ou choisir ses places.

Ayant acheté mes billets sur le site Klm (les frais de réservation sont moindres que sur le site AF), je regarde s’il est possible de s’enregistrer. Là non plus, et la phrase d’explication est peu compréhensible. «Vous ou un des membres de votre groupe ne pouvez pas utiliser l’enregistrement par Internet en raison d’une restriction d’enregistrement. Veuillez vous renseigner à l’aéroport ».

Ce n’est qu’après avoir reçu un mail d'Air France 27 heures avant que nous pouvons enfin nous enregistrer. Je n’ai regardé mes mails qu’environ 22 heures avant et là, grrrrh on nous a placé au rang 19. Dernier rang selon le plan cabine du CRJ 700 prévu sur ce vol, sièges à éviter selon Seatguru. On réussi à changer de places pour le rang 16 et on s’enregistre.
Dimanche, arrivée au terminal 2 G, dédié AF & Co. C’est la première fois que nous y allons, découverte. Il n’est vraiment pas pratique d’accès, il faut prendre une navette depuis le 2 F, donc il faut prévoir du temps supplémentaire par les transports. C’est parti pour un petit reportage.
Portes d’entrées latérales, entrée depuis les taxis et la navette.

Porte d’entrée « principale » depuis le parking.


Grande visite du terminal, je ne pense pas l’avoir vu en détail donc je l’immortalise. On a du me prendre pour un malade à tout photographier mais je n’ai pas eu de remarques, seulement des regards interrogateurs.
On essaye la borne libre-service pour s’enregistrer et les bagages. On a seulement réussi à obtenir les cartes d’embarquement mais pas les étiquettes bagages. Cette fonction est en panne. Visiblement ça arrive souvent car les agents à proximité n’ont pas été surpris. Enfin, ils n’ont pas désactivé la borne pour autant. Donc nous avons dû aller au comptoir d’embarquement, classique. Heureusement aucune attente, les agents hèlent les voyageurs pour que ceux-ci viennent à leur comptoir tellement ils (elles) sont débordé(e)s) !


Le hall d’entrée avec les comptoirs d’enregistrement. Au fond la paroi vitrée d’entrée/sortie que l’on voit de l’extérieur sur la deuxième photo, entrée « principale ».


Ces boites sont dans le sas entre l’entrée principale et le hall.

Désolé pour le spot mais c’est le mieux que j’ai pu faire.

Panneau près de la porte de sortie « Navette », porte que l’on entraperçoit à gauche sur la première photo, et oui il faut reprendre la molette ou aller voir ci-dessous à côté des personnes sur la gauche de la photo.

Vue depuis l’extrémité près de la porte des arrivées et toilettes du rez-de-chaussée.

Mur d’écrans des correspondances ! ça en fait des possibilités de voyage

Ecran d’arrivée, il est à droite des écrans ci-dessus. Que des vols Schengen dans ce terminal.

On va vers la porte d’embarquement. Un coup d’œil aux écrans.
Comme dans les gares maintenant, un affichage 20 minutes avant. Notre vol est prévu à l’heure (pour l’instant).

L’accès à l’embarquement, au contrôle, sobrement intitulé sur son panonceau fond orange « Commerces et services ». Au rez-de-chaussée il y a un espace de restaurant « Paul » avec des tables et chaises. Mon image est ratée mais c’est derrière moi depuis l’endroit où j’ai fait la photo ci-dessous.

Photo après le contrôle. Pas d’attente, 0 minute, personnel souriant, détendu, pas de pression, rien ne sonne.

Des « poubelles » sont prévues pour les produits interdits en cabine.

Ensuite il faut se rendre au niveau 1 pour patienter avant l’embarquement.

Dernière vue du niveau 0.

Depuis l’escalator.

Arrivée à l’étage, tentative de spoting par les larges baies vitrées avant qu’il ne fasse nuit mais c’est raté. C’est la première soirée depuis le changement d’heure d'hiver donc il fera nuit lorsqu’on embarquera avant 18 heures.

Je continue le reportage. Il y a un coin fumeur au fond. Quelques fauteuils disponibles dans la partie droite, il y a des PS3 à disposition, prises d'assaut. Vous remarquez que le banquier s’affiche près de l’espace fumeur avec un distributeur d’argent (plusieurs remarques me viennent à l’esprit mais aucune n’est agréable, je m’abstiens). De l’autre côté du terminal il y a un grand presse Relay, un espace restauration Bert’s, une boutique duty et un salon que je n’ai pas eu l’occasion de visiter, plus deux corner. Il y a des ordinateurs à disposition mais sur les 4, 2 ne fonctionnent pas.
Remarquez l’absence de plafond, même pas de plaque de finition pour réduire les bruits !

Oui il y a du monde à l’étage. Autant le rez-de-chaussée était calme, agréable, on se serait cru en province, autant il y a de l’agitation ici. 4 vols prévus à la même heure 18h15 (Bilbao AF1076, Hanovre AF1838, Luxembourg LG8020 et notre vol Pise AF1166), à 18h30 le vol vers Nuremberg AF1810 et trois vols à 18h45 (Florence AF1966, Oslo AF1274 et Zurich AF1314).

Je profite du quart d’heure gratuit en wifi pour la photo corporate que je n’ai pas oublié cette fois-ci.

Une annonce nous informe du retard pour l’embarquement prévu sur notre vol « suite à un changement d’appareil », retard confirmé à l’affichage, + 10 minutes.

Il est 18h05, on embarque, direction les portes G 21 à 30. C’est long la jetée ouest. Un premier long couloir vitré sur la gauche, bardage métallique sur la droite avant d’arrivée à la photo suivante. J’ai gardé cette photo floue, pour vous montrer les présentoirs de l’offre de presse, j’ai été favorablement impressionné par le choix et la diversité à cette heure tardive.

Ensuite on continue jusqu’au bout du terminal pour notre porte par un couloir central à l’étage. Portes d’embarquement de chaque côté de cette dernière partie de la jetée.

Le changement d’appareil CRJ 700 contre un Embraer 190 a sans doute fait que certains passagers ont peut-être dû avoir une nouvelle carte d’embarquement.

A notre tour de descendre les escaliers avant le dernier contrôle et d’accéder directement sur les pistes, j’adore.

La vue de l’appareil depuis le tarmarc, cet Embraer 190 LR de Régional pardon, Hop, immatriculé F-HBLH et mis en service le 26 mars 2009.


Maintenant on embarque. La différence de couleur est que la photo la plus claire ci-dessus est extraite de mon caméscope et les autres de mon lumix.

Une petite dernière avant de rentrer.

Accueil à bord sympathique, chef de cabine souriante. Il est 18 h 11

Nos places pour ce voyage. Pas trop mal ces sièges qui s’inclinent.

Le vis-à-vis pour l’instant inoccupé.

L’embarquement se poursuit.

Ce n’est pas très grand comme coffre.

Ma vue, en face

Vers le haut

Le pitch correct

Les documents de sécurité


L’indispensable winglet un peu vampirisé par un empennage hopien à l’arrière plan.

Il est 18 h 34. Autre vue pendant que nous attendons non pas les passagers, l’embarquement est terminé, mais le catering complémentaire de la part de Servair. Si, si le commandant a pris la parole pour nous annoncer que l’embarquement était terminé et que nous attendions le catering. Quelques minutes plus tard une voiture est arrivée, un homme est descendu avec deux petites boites longues grises, est monté à bord, à poser ses boites. Ensuite l’équipage a fermé la porte.

18h39. Les consignes de sécurité sans vidéo, à la mano.

Décollage en piste 26 donc tout à côté de notre point d’arrêt, pas d’attente, incroyable, comme dans un aéroport de province.

A bord, c’est un peu bruyant.

Le service classique. Et oui on a attendu pour le complément de ça ! Des grissotti et des boissons.

Hommage à mon premier vol Hop, gin tonic. L’hôtesse a versé l’intégralité d’une mignonette d’au moins 5 cl de gin Bombay Sapphire et l’a conservée.

Après 1 h 20 de vol, arrivée à l’aéroport international Galileo Galilei ou aéroport de Pise. Boucle sur la mer avant de s’aligner.
On vient à peine de se garer que c’est déjà l’effervescence à bord.

Tout cela pour aller s’entasser dans un Cobus. Salutations d’usage par l’équipage en sortie de l’appareil. Un seul Cobus pour tous les passagers.

Une dernière vue de notre appareil depuis le tarmac.

La ruée à la sortie du bus.

À l’entrée de cette porte, un chien renifle tous les bagages et leurs propriétaires. Drôle d’accueil.
Une petite photo des agents et du maître chien alors que tout le monde est arrivé.

Les toilettes sont relativement propres, mais pas super moderne.

Le hall d’arrivée de l'aéroport de Pise.

Le distributeur de chariots payants

Un peu de prévention n’est pas mauvais, au moins pour la conscience, mais je doute de l’efficacité vu le nombre de vendeurs de rues que nous avons eu l’occasion de voir durant notre voyage. Ces affiches sont sur le mur face aux carrousels.

13 minutes après être sortis de l’avion nous franchissons la sortie.
L’aéroport de Pise est une base importante pour Ryanair. Il y avait plusieurs vols, départ et arrivée lorsque nous sommes arrivés en Italie.

Décoiffant !

Maintenant direction les loueurs de voiture. Il faut patienter sous un auvent avant de prendre une navette, avons attendu à peine 5 minutes. Un peu rétro comme aménagement du bus, ancien.

Les loueurs sont regroupés dans un hangar à 500 mètres de l’aérogare.

Ce ticket bagage change un peu du talon collé sur le passeport ou sur la carte d’embarquement.

Un petit bonus touristique de Pise et Lucca avant de commencer la rédaction du vol retour.
À bientôt.


Merci pour ce FR qui couvre bien le terminal 2G.
Merci pour le bonus à la fin.
De rien, cela me fait plaisir de partager mes expériences.
Merci pour ce FR qui est le 2ème sur l'aéroport de PSA après le mien. http://flight-report.com/fr/report-3357.html
Je n’ai pas regardé Ryanair : dommage, ils ont souvent des prix vraiment cheap sur Pise
Ce FR confirme ce que je pense du 2G, une sorte de BVA d'ADP !
Oui, j'avais lu votre FR avant de partir. N'ayant pas encore voyagé via Beauvais, je ne peux établir de comparaison.
Je ne comprends pas cet affichage de la porte d'embarquement 20 minutes avant le vol : c'est la meilleure recette pour avoir des PAX en retard. Ce terminal m'évoque l'esthétique des magasins hard discount. J'ai eu la chance de toujours être plutôt à l'avant des E-190 où le niveau de bruit est très modéré, la motorisation étant à l'arrière. Merci pour ce FR !
Merci, l'esthétique est tout à fait discutable comme dans les points de vente. Le fonctionnel a primé sur le beau. La signalétique est plutôt claire et visible (normal vu la taille de certains panneaux). Le bruit de l'avion est impressionnant, pas désagréable, mais bon supportable pour la durée du vol.
Effectivement, il manque au 2G une liaison type METRO avec
les autres terminaux.
Un peu de retard mais compensé par un appareil plus grand.
Prestation AF/HOP classique, pas de distribution de bonbon avant
l'arrivée ?
Merci pour ce FR !
Merci pour votre commentaire.
Non, nous n'avons pas eu de bonbon avant l'arrivée (ni sur le vol retour).
Merci pour ce FR qui me rappelle mon départ du T2G pour Florence en 2012 :)
Je suppose qu'il n'y a pas grand changement dans ce hall.
Merci pour ce FR !!!
Bonjour,
Tout d'abord, merci pour ce très joli FR! Puis, j'espère que vous avez fait un bon séjour en Toscane. Cela me fait penser qu'hier soir, un monsieur m'a soufflé l'idée d'apprendre l'Italien, que j'envisageais déjà d'apprendre auparavant. Nous avons discuté langues, c'est pour ça.
Sinon, concernant le terminal 2G, savez-vous que beaucoup de gens sont tout à fait d'accord avec vous?
Au début, lorsque je prenais l'avion pour Brest, les vols partaient du terminal 2G. Mon beau-père qui m'y avait une fois conduite, m'avait conseillé de prendre Orly la fois suivante, car c'était vraiment le bordel pour s'y rendre et s'y garer. Je partage entièrement vos avis, car franchement, c'est un terminal que je ne trouve pas pratique du tout, et pour les raisons suivantes (sans compter les longs couloirs de l'aéroport):
-déjà, comme vous dites, il est excentrée, il faut prendre un bus depuis le 2F pour s'y rendre, comme ça, il ne se trouve pas à côté du RER;
-le bâtiment ressemble plutôt à un bâtiment non fini, bien que propre. On dirait un bâtiment industriel;
-je suis soulagée de savoir qu'à présent, pour prendre l'avion pour Brest, nous partons désormais, comme hier soir, du terminal 2F, qui non seulement est tout près du RER, que nous y arrieons directement et que là, une heure avant, même une heure et demie, le numéro de la porte d'embarquement est affiché, tandis qu'au 2G, il faut attendre longtemps avant de connaître la porte d'embarquement, alors que c'est un terminal PAXbus, ce qui provoque souvent des retards fous;
-puis pour terminer, le 2G n'est pas du tout pratique pour les personnes handicapées, car il n'est pas équipé de passerelles télescopiques, tandis que le 2F, lui en est équipé.
En Mai dernier, je me souviens avoir eu pourtant un embarquement PAXbus pour Brest depuis le 2F, mais juste pour nous déposer devant le 2E, pourtant non Schengen. Déjà, j'ai trouvé très bien, car ensuite, l'embarquement s'est fait en passerelle et il n'y a pas eu de retard, surtout que le 2E est juste en face du 2F. Le 2E est très pratique aussi et bien plus beau que le minable petit 2G!