Avis du vol entre Munich et Toulouse en classe Economique avec Air Dolomiti

VOL #307 / 2021-10

A l'origine réservé pour le LH2222 de 16h que LH a annulé (puis rétabli sans prévenir, je ne l'ai appris qu'en entendant un annonce sur le tronçon PMI/MUC) Mais au final je n'aurais pas pu me présenter à l'embarquement vu le retard…
Malgré tout, après la visite du poste du 350 j'ai foncé vers le service client LH, il y avait de l'attente, j'ai donc recherché mon vol sur Flight Radar et l'avion filait déjà vers Toulouse.

Après cette déconvenue, j'ai décidé de tout reprendre à zéro.
Dernier leg de mon "summer challenge" et un vol que je connais bien dans un sens comme dans l'autre TLS/MUC ou MUC/TLS.
Beaucoup de temps à passer, alors un peu de flannerie. Il y a plus moderne comme tableau d'affichage mais mon vol y figure.
La liaison n'a reprit de façon régulière qu'en juillet 2021 après la crise que l'on connait.

Ici c'est Munich ! Beaucoup de boutiques fermées mais celle du FC Bayern est belle et bien ouverte, question de survie.

Il ne restait plus qu'à attendre le dernier vol et donc 4 heures pour un peu de spotting, voir d'autres passagers embarquer et me restaurer, car à bord ce ne sera pas une orgie romaine ;-)
Enfin mon avion arrive de Toulouse, en retard. Un Embraer 195 de Air Dolomiti (Lufthansa Partner) qui exploite des vols pour Lufthansa au départ de Munich. Certains jours des A319 ou A320 de Lufthansa assurent la ligne également. Et selon les saisons cela peut être des E190 de Lufthansa CIty Line histoire de se perdre un peu plus.

De même la numérotation des vols est difficile à comprendre. Ce jour là le 2222 était l'apres midi et le 2220 en night stop et d'autres jour c'est l'inverse. Pour moi l'important ce jour là c'est que je puisse rentrer à Blagnac :-)
La mention port du FFP2 est là pour faire jolie car dans les faits le masque chirurgical n'est pas motif de refus d'embarquer. Bon à savoir j'ai 4 vols DLH qui suivent et je repasse à MUC 3 jours plus tard.

Le vol se déroulera de nuit, pas très sexy donc, faisons connaissance avec la porte, ses courbes et ses tonalités blanches et vertes.

Embarquement banal et à bord je découvre une cabine dans sa version verte. Certains avions ont cette cabine et d'autres la classique avec sièges gris.

Je m'installe au siège 6A et je n'aurai pas de voisin, tant pis pour lui ;-)
Encore un Embraer bien coloré, la veille j'étais dans le E2 de Binter et son cocktail rouge et vert.

A quand les hublots anti reflets ?

Un rapide roulage plus tard nous nous envolons déjà vers la ville rose.
A bord distribution de la traditionnelle bouteille d'eau, nouveau standard du catering aérien européen en Y.
Puis distribution des questionnaires COVID à remplir obligatoirement dont celui censé être récupéré à l'arrivée (et qui a terminera à la poubelle, comme les suivants, en fait personne ne les prend à Toulouse)
Entre explications en anglais, en français en allemand et la recherche de stylos cela occupera beaucoup certains passagers et beaucoup moins ceux qui dorment (mais un session de rattrapage les attend)

Donc après mes pages d'écriture, je peux admirer le paysage ou plutôt l'imaginer car il fait nuit je le rappelle. J'aurais moi également mon rattrapage 2 semaines plus tard à bord du LH2222 cette fois maintenu et programmé de jour.
Arrivée piste 32R afin de gagner 1 minute et 30 seconde de roulage sur les 20 minutes de retard.
Un débarquement rapide, et sans bagages à récupérer je suis rapidement rendu à l'extérieur afin de préparer d'autres aventures.