Avis du vol entre Bergen et Amsterdam en classe Affaires avec KLM

Je reviens pour une petite série qui m'amène tout au Nord de l'Europe et plus exactement à Tromso, dans l'espoir (déçu) d'y observer les aurores boréales.

Ces vols se déroulent en Business (à l'exception des vols Wideroe qui, bien que vendus en Business par Air France, sont opérés en monocabine Economy) car ils font partie d'un plus long routing international qui aura lieu plus tard.

Je passe sous silence le retour de Tromso avec Wideroe, tellement il y a peu à raconter qui n'ait été déjà dit à l'aller. Et je reprends donc au niveau de la liaison Bergen Amsterdam, par KLM.

S'il y a plus à dire que sur Wideroe, tout est déjà très connu, et je vais donc me limiter à l'essentiel.

Nous transitons à l'aéroport de Bergen, qui est bien vide. Dans le sens des vols domestiques vers l'espace Schenghen, on évite le re-contrôle que nous avions eu à passer à l'aller.

Seule particularité de cet aéroport, des distributeurs qui proposent toutes les monnaies européennes, ainsi que des dollars US et des Bahts Thaïalandais (destination ultra-prisée des norvégiens).

Personne à la porte quand nous arrivons mais au final l'avion sera quand même remplie à une bonne moitié.

Nous nous installons pour patienter à une des nombreuses tables (pourvues de prises électriques) à disposition dans le terminal, en attendant l'embarquement.

Documents de vol :

Nous sommes ensuite chaleureusement accueillis à bord par un équipage très dynamique.

Cabine classique de KLM, équipée de deux rangs de Business aujourd'hui.

Ce qui m'interroge (et en espérant que les pros du site aient une réponse !), ce que dans cette configuration, le rideau condamne l'accès au canot de sauvetage, alors même que nous allons survoler des zones maritimes. La configuraton ne devrait elle pas être au minimum de 3 rangs pour éviter ce risque ?

Je suis installé au premier rang qui dispose d'un pitch plus important. Et particulièrement au 1C où il est quasiment infini, du fait du décalage entre la cloison et le siège. Le souci de cette place est son exposition au passage (et aux valises dans les genoux) pendant l'embarquement.

Peut-être moins de 2 minutes après le décollage, le personnel est libéré et se lance dans le service à une vitesse impressionante et non justifiée par la durée du vol !

Toujours une "boite" en Business, et aujourd'hui c'est la salade Waldorf.

C'est toujours bon, mais assez répétitif, car cela fait longtemps que les propositions n'ont pas été renouvelées.

Si le service (en Business et en Economy) a été mené au pas de course, c'est parce qu'il semble que ce vol soit celui où le personnel reçoit officiellement sa collation. Toute l'équipe se retrouve au galley avant et des repas sont concoctés en panachant diverses entrées et plats issues de plateau Business long-courrier.

Le personnel restera pour autant attentif à sa cabine, jusqu'à la descente sur AMS.

Passage rapide au salon avant de prendre la dernière connection vers CDG avec Air France.