Introduction
Ce récit est celui du premier segment du trajet aérien LJU-BLQ via CDG. Faire un détour de près de 900 km pour effectuer 300 km à vol d'oiseau (et moins de 400 km par la route) peut paraître géographiquement absurde, mais les horaires d'avion et le tarif astronomique d'une restitution de voiture de location dans un autre pays (donc l'obligation de faire un A/R en voiture) éliminaient l'option (auto)routière.

(merci gcmap.com)
Nous sommes donc au deuxième segment du routing de cette semaine de vacances :
Enchainement de vols
- 1
- 2AF1037 - Economique - Ljubljana → Paris - Embraer E-190
- 3AF1328 - Economique - Paris → Bologne - Embraer E-170
- 4AF1329 - Economique - Bologne → Paris - Embraer E-190
Trajet vers LJU et enregistrement
Le matin du départ, la réception de notre hôtel nous avait réservé un taxi pour l'aéroport (au tarif forfaitaire de 25 €), et comme l'hôtel était dans la zone piétonne, un court transfert en Kavalir : un véhicule électrique qui dessert cette zone à la demande, vraiment pas indispensable pour nous, mais cela m'amusait de l'essayer avant de partir.
Ces navettes qui peuvent être réservées ou hélées au passage sont entièrement gratuites pour les usagers; le site de l'office de tourisme de Ljubljana précise que "les véhicules Kavalir s'adressent surtout aux personnes âgées, aux personnes et aux touristes à mobilité réduite" : je laisse mes lecteurs me positionner au mieux dans ce cœur de cible !

En moins d'une demi-heure de bout en bout, nous arrivons à l'aéroport. (Il y a aussi un bus, mais le trajet prend 45 minutes en raison des arrêts intermédiaires, il part de la gare centrale qui est nettement plus loin du cœur historique et surtout il n'y en a qu'un par heure en semaine, un toutes les deux heures le week-end.)

Contrairement au vol CDG-LJU, AF ne délivrait pas lors de l'enregistrement en ligne les BP pour ce trajet LJU-CDG-BLQ, certainement pour vérifier les documents sanitaires obligatoires. J'avais réservé nos places à l'achat des billets; la veille du vol, voici les sièges disponibles (rouge = 15 € de supplément, bleu = gratuit). Je ne sais pas ce qui différencie un siège "non disponible" (gris clair) d'un siège "occupé" marqué par une croix; ma meilleure hypothèse est que les premiers ont été pré-attribués par le système de réservation et que les seconds ont été choisis ou confirmés par les PAX. Cela ferait donc un taux de remplissage de 75% si la J est complète.

Il y a déjà une longue queue à l'enregistrement, un peu plus d'une heure avant la clôture du vol

Le comptoir Skypriority est occupé, mais très rapidement, l'employé du comptoir voisin, censé traiter un autre vol, me fait signe.

Pas de bagage à enregistrer, des documents sanitaires complets : obtenir ce BP à l'ancienne (avec un griffonnage à l'ancienne du numéro de porte !) est rapide.

Montée à l'étage pour le contrôle de sûreté, ce qui offre une vue panoramique de l'espace landside et de la queue dont la longueur n'a guère changé.

Vue sur les montagnes et sur une partie du parking devant le terminal

Un seul poste de contrôle en service au PIF, ce qui suffit bien, en l'absence de boulet devant nous.

Les boulets, ce seraient à la rigueur nous-mêmes, car nos deux valises de cabine sont mises à part pour vérification… à cause de nos pinces à ongle dont l'employé (par ailleurs fort sympathique) n'a pas besoin de mon mètre ruban pour constater qu'elles ne présentent aucun danger. Je n'ai pas souvenir qu'elles aient jamais été contrôlées auparavant; la perte de temps a été minime, car il ne voulait voir que cela.

Passage rapide à travers une supérette locale, aux espaces de circulation suffisamment larges pour ne pas avoir à ralentir

Le salon de LJU
L'entrée du salon est impossible à rater, face à la sortie de la zone commerciale. Le comptoir de la dragonne est caché derrière cette haute cloison qu'il faut contourner pour se présenter à elle, annulant une hypothétique mesure de protection sanitaire.

A part quelques sièges en arrière-plan ci-dessus, vous voyez ci-dessous à peu près le tiers de la largeur du salon. L'accès aux sanitaires (propres) est au fond.

Que l'exploitant soit passé à la presse numérique (comme AF), qu'elle ait été victime de cost cutting en période de disette ou de prétextes sanitaires, la presse sur papier a tendance à disparaître des aéroports, mais pas ici. Mogoy, voici enfin un aéroport où le seul magazine ou journal international est The Economist !

Un choix honorable de nourriture, compte-tenu de la très faible fréquentation du salon qui va se vider à l'embarquement du vol vers FRA : moins d'une dizaine de PAX, nous compris.


Clin d'œil à Airbretzel, auquel Mme a fait honneur.

Contrairement à AF qui fournit dans ses salons de petites bouteilles d'eau à usage unique (ou pas, si on les emporte comme petite gourde à remplir airside lors de voyages ultérieurs) …

…ce sont ici des bouteilles d'un litre à usage collectif.

Gros plan sur la bouteille de Fanta et autres liquides toxiques à haute dose

Tireuse à bière

D'élégants verres à pied

Ma très petite sélection : le petit déjeuner à l'hôtel n'est pas loin, le déjeuner au salon à CDG non plus.

La bien courte liste des vols au départ à partir de la fin de la matinée. Non, le trafic ne s'arrête pas à 16h ! La desserte actuelle de LJU n'est pas moins très clairsemée actuellement : seuls CDG et FRA sont desservis quotidiennement.
(CAT506, c'est un vol de Copenhagen Air taxi : il ne compte pas comme vol régulier.)

Un espace de travail et repos côté baies vitrées est délimité par cette cloison basse

Un peu de spotting
Le salon dispose de cette terrasse d'observation qui offre une vue un peu lointaine sur l'aire de stationnement à droite. Pour protéger l'étanchéité, le toit-terrasse a été couvert d'un revêtement de bois jusqu'à la délimitation en panneaux de verre.

757 DHL, un appareil dont les hublots occultés trahissent sa transformation en avion de fret

A gauche, EI-GEH est bien l'un des CRJ900 Cityjet en stockage : bien vu, Esteban!
Mais à droite, OY-MIL (stocké par Copenhagen AirTaxi) cache un S5-AFA, un CRJ900 dont les réacteurs ont été démontés depuis la faillite d'Adria Airways, et un quatrième CRJ non identifié.

En zone publique airside, les grandes baies vitrées inclinées (ce qui les protège de la pluie si le vent n'est pas défavorable) donnent sur le tarmac et la piste.

ATR72 Sprint Air

Le CRJ-900 LH pour FRA

Derrière, un Falcon 900EX

LJU est géré entièrement par Fraport, l'exploitant de FRA

Arrosage du gazon avec les moyens locaux, vérification du bon état du matériel, ou entraînement des pompiers ? :)

Un baby-foot gratuit en libre accès dans un recoin

Embarquement - la cabine de l'E190
Notre vol embarquera ici; au-delà, c'est manifestement la zone non-Schengen.

L'E-190 Air France Hop! est au bout d'une passerelle…

… laquelle est au bout d'un long couloir de cheminement

Plus de passerelle que d'avion dans cette photo

Instant porte

Comme à l'aller, j'étais en pole position pour prendre la photo de la cabine vide.

28 cm du bord de l'assise à l'aumônière, un peu plus de 46 cm de large entre les accoudoirs : je ne manque pas de place.


La moquette est propre

Le PSU, photographié peu avant le décollage

Les fiches de sécurité, un peu fatiguées

Chargement des bagages en cours

Encore un peu de spotting
Ce Pilatus PC-12 va effectuer un triangle LJU-SPU-BEG-LJU

A320 South African Airways qui n'est pas près de repartir au sud de l'Equateur

Tout comme ce CRJ900 Arik Air (Nigéria) dont les moteurs ont été déposés.

Le terminal, vu après le repoussage

OK pour le départ après repoussage

Encore un peu plus de de spotting
Entre temps, un Cessna 172 allemand a décollé

Vus à travers le hublot de l'autre côté, une collection hétéroclite d'appareils à l'avenir très incertain. Je n'ai même pas trouvé d'information sur ES-MCQ, dont l'immatriculation est pourtant bien lisible à l'arrière-plan.

E-145 Amelia, Cessna 501 américain, Cessna Citation 500 (Luxwing Aviation).

Encore un CRJ-xxx ? moteurs déposés.

Décollage et montée
Alignement piste 30

Aperçu trop lointains des appareils stationnés en vrac dans la zone technique

Le terminal en entier


Zoom sur le terminal et la zone technique nord. Remarquez que le trafic passagers a tellement diminué que la moitié du parking a été transformé en circuit de karting !
J'ai recadré cette photo pour que la terrasse du salon (au revêtement plus sombre, car en bois) soit au ras du bord droit de l'image

Kranj

Les zones d'activités au centre de Kranj

Škofja Loka

L'avion commence par partir curieusement plein sud (merci Flghtradar24)

Polhov Gradec, à une dizaine de km plein ouest de Ljubljana

Les sommets des collines sont parsemés de hameaux dispersés

cours de géographie alpine
Žiri, aperçu après le virage vers le sud-ouest

La frontière entre l'Italie à gauche et la Slovénie à droite passe ici, au centre de la photo. Cette agglomération (Görz, ou Gorizia) de l'Autriche-Hongrie a été partagée en 1916 selon les vœux des populations respectives entre le Royaume d'Italie et le Royaume des Serbes, Croates et Slovènes, puis attribuée en entier à l'Italie en 1919, pour être de nouveau séparée entre Italie et Yougoslavie en 1947.

La gare de triage de la slovène Nova Gorica est au ras de la frontière

Côté ouest, c'est l'italienne Gorizia.

Arrivée dans la plaine d'Udine

Le confluent des fleuves Torre et Natisone

Udine

Udine, encadré par les fleuves Tagliamento à gauche et Torre à droite

Le défilé du Tagliamento à la sortie des montagnes

Le lac de Redona

Le lac de Selva

Dans une trouée des nuages, le lac d'Alleghe

Paysage en version nuageuse

Deux sommets des Dolomites : le Sassopiatto (ou Plattkofel en allemand, 2995 m) à gauche et le Sassolungo (ou Langkofel, 3181 m) à droite

La vallée de l'Eisack, en amont de Bolzano

Bressanone

Le chariot traverse le rideau

Qu'on reçu les PAX devant le rideau ? Il nous aurait fallu débourser 89 € ou 22 300 miles pour le savoir. Merci, mais non merci.

Donc derrière le bureau, nous recevons chacun ce sandwich carotte – courgette cumin (et un verre de café) qui attendra sagement notre arrivée à notre chambre d'hôtel le soir pour compléter le festin au salon de CDG-2F et le festin à bord du vol CDG-BLQ à venir.

Pour les amateurs d'uniformes de PNC, le corsage à pois blancs et noirs sur fond rouge de l'hôtesse de l'air.

L'extrémité nord du lac de Resia, et la ville éponyme à gauche

Un peu loin de la trajectoire, ce qui a demandé un peu de traitement d'image pour améliorer le contraste, Zurich et son lac…

… et bien sûr ZRH

Le lac de Hallwil

Au centre de la photo, la centrale nucléaire de Gösgen, au bord de l'Aar.

A nouveau un peu loin de la trajectoire, l'agglomération de Bâle

Zoom sur EAP

Sochaux et Montbéliard au centre, Belfort dans le coin supérieur droit

Les usines de Stellantis (ex PSA), au centre de l'agglomération de Sochaux

Avant que la couverture nuageuse ne s'épaississe, au centre de cette photo…

Vesoul, avec sa zone d'activité au centre

descente sur CDG
Il faut attendre la fin de la descente pour revoir le sol, au sud de Château-Thierry

Zoom sur Château-Thierry

Le rideau a été rouvert

Air to air avec un appareil AF atterrissant sur le doublet nord, que je n'ai curieusement pas vu dans le replay de Flightradar24.



L'échangeur entre la N2 et la N1104, aux boucles triangulaires caractéristiques

La base arrière des taxis de CDG

Atterrissage et roulage
Le Terminal 2G

787-9 AF en partance

A321neo MEA

Un A320 Aeroflot

Décollage du 787-9 AF. Il s'agit de F-HRBG, assurant le vol AF334 CDG-BOS et parti avec 44 minutes de retard

Air Austral et Air Canada

Roulage d'un 777-300ER AF

Les Embraer Hop! stationnés au Terminal 2G

Et pas de chance, nous allons stationner au large ici, ce qui veut dire transfert par PAXbus.
E-170 Hop !

Mais bonne nouvelle, nous avons un quart d'heure d'avance : ceci va compenser cela

Cette photo est une bonne illustration du fait qu'il ne faut jamais passer trois secondes à fignoler un cadrage quand le sujet ne va rester dans le champ qu'une seconde, ici à cause des protections anti-souffle.
A321neo LR Açores Airlines

Débarquement et transfert
Fuselage shot

Des PAX semblent attendre le débarquement de compagnons de voyage; ils vont prendre le PAXbus suivant.

E170 Hop ! vu au passage en partant

787-10 Etihad aperçu au vol au Terminal 2E

Par mesure de sécurité sans doute, tous les marteaux brise-vitres sont rassemblés dans la cabine du conducteur du PAXbus, laquelle est hermétiquement séparée des voyageurs. En cas de départ de feu suite à un accident, il faut espérer que le conducteur n'ait pas perdu connaissance.

Une fois n'est pas coutume pour nous à Paris, nous sommes en correspondance entre deux vols internationaux.

Notre vol vers Bologne est affiché à l'heure

Paris se garde bien de vous dire ici qu'il vous aime, car l'escalier mécanique vers le niveau Départs du Terminal 2F est en panne.

Cheminement vers la jetée 2

C'est quasiment la sortie du contrôle de sûreté pour qui part de CDG, et c'est la fin de ce FR.
J'aime avoir visité un lieu avant que l'Unesco ne le classe dans sa prestigieuse Liste du Patrimoine Mondial, mais là, j'ai été pris de court à moins de deux semaine près. A quel titre ? Je vous propose de le découvrir, et plus, dans le bonus qui suit.
Merci François pour le partage ! (et désolé pour le vol de une, vraiment pas fait exprès ... ou peut être une petite punition pour ne pas être là ^^)
Bon, ça ne pouvait pas durer longtemps : après une petite série de sans fautes, voilà les erreurs qui reviennent :)
Le 320neo MEA est un A321neo et le dernier regard sur l'E90 est en fait un dernier regard sur un E70. Tss Tss
Sinon un très joli report, comme à ton habitude, attention, sous pretexte de montrer le chemisier de l'hôtesse, certains bien pensants pourraient te taxer de voyeur amateurs de fesses ^^
Un bien beau bonus aussi sur cette très belle ville, encore merci !
A très vite !
Il m'est difficile de prétendre que Mme m'a pressé de terminer mon FR pour excuser mes fautes d'identification.
J'ai pris plusieurs photos de la PNC, mais quand on ne peut pas prendre de photo de face (droite à l'image) , ni de profil (attention aux silhouettes trop suggestives), ni de dos (attitude trop suggestive ?), ce n'est pas simple ! Enfin si, il aurait fallu lui demander, tout simplement, mais les PNC ne s'attardent pas pendant le service. Quand s'ajoute à cela une recommandation de "limiter les déplacements en cabine au strict nécessaire" (pour raison sanitaire), c'est mission impossible ! ^^
Merci pour le corrigé aussi rapide que tes publications !
Merci pour ce FR : )
Les sièges non disponibles sont généralement neutralisés pour 4 grandes raisons :
- blocage pour des raisons techniques (principalement pour le centrage de l’appareil afin que la charge soit « bien placée »)
- blocage car le siège n’est pas commercialisable (défectueux, non vendu pour la classe de voyage type 1 sur 2 en J, etc.)
- blocage pour des raison de statut (pax à haut statut avec un siège neutralisé à proximité, etc.)
- blocage pour réserver un swap d’appareil (afin qu’il n’y ait pas de double seating ou de changement de siège en cas de changement d’appareil).
Merci pour ces détails toujours aussi précis.
La raison 1 pouvait expliquer le blocage de la plupart des sièges aux rangs 3 à 6 (mais je n'ai pas souvenir qu'ils étaient vides)
La raison 2 : cela fait quand même beaucoup de sièges cassés ?
La raison 3 peut expliquer le blocage du siège 7F, là, pas d'objection
La raison 4 aurait pu tenir si c'était l'arrière de l'avion qui était bloqué (je l'ai déjà vu, mais pas là)
Bref, ça reste assez mystérieux !
Merci François pour ce FR.
Perso j'aurais pris le train, avec un changement à Triestre c'était faisable et à un coût dérisoire.
LJU semble très agréable et je valide totalement le choix des produits proposés au salon. ( merci pour la dédicace)
Arrivée dans la plaine d'Udine => que je connais fort bien, c'est la région de mon beau-frère et j'y suis allé assez souvent.
Le sandwich est de retour ? je n'arrive pas à comprendre quand il est là ou pas.
Passage à proximité d'EAP.
Un transit à CDG pour des parisiens c'est un comble .^^
A bientôt
J'avoue ne pas avoir envisagé le train que je n'ai pas l'habitude de pratiquer à l'étranger (hors trains de banlieue).
Un petit salon, mais suffisamment grand et suffisamment fourni pour la demande qui était bien réduite.
Même avec la trace de flightradar24, l'identification des lieux survolés a été ardue, à l'exception de la plaine d'Udine, grâce au tracé de ses fleuves.
La disponibilité du sandwich serait-elle liée au caractère aléatoire des stocks disponibles ? :)
Il m'est arrivé de transiter à Paris dans un lointain passé... quand j'étais taïwanais !
Merci pour le commentaire, à bientôt pour la suite du transit !
Merci pour ce FR,
Un vol agréable avec de belles vues aériennes. Le sandwich fourni est le bienvenu pour un vol le midi.
A bientôt
Le ciel a été plus dégagé pour le vol suivant, quelques heures plus tard (teaser...)
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce récit bien illustré et le joli bonus de Ljubljana.
Il me semble que tu es le premier à avoir rapporté des photos du tout nouveau bâtiment de LJU, inauguré début juillet ! De l'enregistrement jusqu'au salon, c'est tout neuf, et ça change sacrément de l'espace exigu qu'il y avait jusque là. Seule déception : les avions historiques qui étaient suspendus dans le hall d'enregistrement semblent avoir disparu. :( Il y avait également un petit espace muséographie relatant l'histoire de l'aviation en Slovénie, l'as tu vu, ou a-t-il aussi fait les frais de la modernité ?
En tout cas le salon semble très accueillant, les petites verrines sont une bonne idée. Le vol est agréable et AF semble considérer que son sandwich au cumin est indémodable !
Je me disais aussi que ce terminal était dans un état impeccable (ne pas en déduire a contrario que la ville serait décrépite) ! Merci pour cette information, et pour l'attribution d'un modeste scoop à ce FR. ^^
Hélas non, la décoration de ce terminal est particulièrement sobre : je n'ai rien aperçu qui puisse rappeler l'histoire de l'aviation slovène, à part le DC-6 exposé dehors, visible en quittant l'aéroport, pas en y arrivant.
Merci pour le commentaire !