Avis du vol entre Paris et Amsterdam en classe Economique avec KLM

Bonjour à toutes et tous.

Qui dit été, dit vacances, c’est le crédo de beaucoup de monde, moi y compris.

En plus en règle générale c’est la période basse du Covid, encore que rien n’est jamais sûr avec ce virus qui n’en a pas fini de nous en faire voir.

Cette semaine de vacances, c’est un complot à plusieurs auquel j’ai répondu présente. Je pars avec le chef d’orchestre à Dresde, puis nous rejoignons la philarmonique à Berlin, mais en train.

Le billet est fort simple, KLM est l’option la moins chère pour un CDG-AMS-DRS-BER-AMS-EAP à savoir 160€ (billet acheté en avril 2021).
A cela j’ai rajouté un EAP-AMS-CDG la veille. Et dans les bonnes résolutions 2021, je vous fais grâce de ces FRs afin de me consacrer à ce qui est intéressant et nouveau.

Vous n’aurez donc que 3 vols sur les 6.

Pourquoi partir de CDG ? ce billet a été acheté avant de savoir qu’il y aurait un diner FR début juillet, et sachant que les musées et exposition devaient rouvrir j’avais calé de me faire une boulimie de ce que je n’avais pu voir depuis octobre.
Au final c’est sur ce week-end là que je rattraperai assidument les expositions qui m’intéressaient et j’opterai pour un aller simple entre EAP et CDG la veille (via AMS pour une raison très simple : le prix et de laisser ma voiture au même endroit que là où je rentre car mon heure d’arrivée sera tardive et je ne veux déranger personne).

Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle

Direction le 2F, avec mon BP sur mon téléphone, contrairement à la veille j’ai pu l’obtenir sur ces deux vols alors qu’au départ d’EAP c’est impossible, il faut obligatoirement passer par le check in pour faire vérifier son pass sanitaire.
Je passe en mode rapide.

Puis direction les comptoirs SP ou je dois présenter ma carte pour valider mon accès.
Un agent s’occupe de mettre en soute la Bretzel valise en mode tortue.
Il demande si nous avons nos documents justificatifs pour voyager, mais ne nous demande pas de les voir.
Soit la confiance règne, ce qui dans ce cas n’est pas pour moi un gage de satisfaction, le contrôle devrait être fait et mentionné sur le BP papier.
L’accès aux PIF numéro un est juste à côté.
Mais il y a beaucoup de monde, et pas vraiment des personnes qui voyagent fréquemment.

Ce qui ralentit encore plus le schmilblick.
D’ailleurs deux passagers vont être mis de côtés, afin qu’ils vident leurs valises cabines des éléments liquides.
Je gagne un test explosif cette fois ci.
C’est comme les PCR, il est négatif.
Direction la verrière.

salon air france 2F1

Et bien évidemment le salon pour un petit déjeuner que je n’ai pas encore pris.

Je scann mon BP, ainsi que mon ami.

Une agente nous demande d’utiliser la machine à nettoyer les mains.
Mon ami me sert de cobaye.

Cette fois ci je teste le niveau inférieur.

Ces sièges me semblent bien pour cette petite pause.

Le buffet est un peu moins garni mais largement suffisant pour me faire un beau petit plateau.
Que voici.

L’enclos à Ultimate, cela ne donne pas envie.

Le sac en mode chaussette de Noël me fait de l’œil.

La vue n’est pas exceptionnelle, mais cela occupe de voir ce qui se passe sous les avions.

Notre vol est annoncé à l’embarquement, il est temps d’y aller.
Mais que de monde, si il n’y avait pas les masques on pourrait ce croire à l’ère avant Covid.

Même la file SP est longue.

Et contrairement à la file en éco, ou là un contrôle est effectué, on ne nous demande aucun justificatif sanitaire.
Direction la passerelle.

Les personnes derrière nous se rendent en vacances à Dubaï, j’espère qu’ils aiment la chaleur.
Hop à côté de nous.

La pluie elle, est bien présente à CDG.

La porte.

Le fuselage shot, avec l’amoncellement de feuilles de traçabilité Covid, qui visiblement ne vont pas bien loin entre l’avion et la poubelle.

a bord du vol KL1230 direction amsterdam

Direction nos sièges, en issues, pour mes petites jambes.

Les consignes spécifiques sont sur le dos du siège de devant.

Le hublot de forme carré, et son cache hublot en bas.

Je préfère ne pas à avoir à utiliser ces consignes.

La fiche classique.

Le ménage n’est pas optimum.

Contrairement à la place disponible.

Le magazine en version été, voilà qui donne envie de se jeter à l’eau.

La carte du réseau KLM, bon je suis sympa, je peux vous dire que fin juillet je serai sur un autre continent qui est desservit par KLM (Mais seulement si Delta ne change pas la donne ces 9 prochains jours)

Certains se mettent à l’aise.

La majorité des passagers vont vers le continent africain et on des bagages cabine très volumineux, ce qui ralentit l’embarquement, sans pour autant remettre en cause l’heure de notre arrivée.
Deux personnes seront déplacées par les PNC vers les issues qui étaient libres.

Nous pouvons partir, c’est un au-revoir pour moi à CDG, je ne reviendrai pas avant un bon moment.

Une lingette désinfectante nous est distribuée.

Le vol est annoncé avec des turbulences, ce qui est le cas, mais j’aime bien.
Le chariot à délices arrive, et la collation a changé : sur ce vol du matin c’est un gâteau à la noix de coco.
Ainsi qu’une boisson.

Alors je vous rassure de suite, le campari a été amené et n’est pas disponible à bord.
La boisson vous donne un indice concernant l'ami avec qui je voyage ! Aussi culte que son pictogramme.

Le vol passe vite à papoter.

Et à estimer le temps que va prendre notre valise, et si surtout elle va arriver à la suite car la connexion est très courte (15 minutes entre l’heure d’arrivée et celle d’embarquement du vol suivant, pour nous c’est tranquille sachant que nous devons faire un trajet des portes C à B)
Et voilà, à peine le temps de débarrasser les déchets et nous approchons d’AMS.

La météo n’est pas optimum, ici non plus.
Mais j’ai déjà connu bien pire.

Aéroport d'Amsterdam-Schiphol

Atterrissage en douceur, devant un EK cargo..

On freine.

Et on se dirige rapidement vers les portes C, on aura au moins évité la polderbaan.

J’aperçois aux portes B l’avion suivant qui attend patiemment.

La danette est de retour, visiblement personne n’écoute les invitations à débarquer rang par rang, mais ce ne sont pas les PNC qui vont les empêcher.

Nous quittons l’avion sans courir, un quart d’heures entre les portes C et B c’est suffisant pour deux marcheurs, mais pour deux valises, ce sera la surprise.

Merci pour la lecture et les commentaires.

La suite au prochain numéro.

bonus