Avis du vol entre Nice et Paris en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous, le week-end ensoleillé niçois touche à son terme et le temps est venu pour les vénérables membres de ce sympathique groupe de rejoindre leurs ports d'attaches.
Que les organisateurs de ce moment convivial soient chaleureusement remerciés. 

Nous rejoignons NCE en véhicule VIP généreusement mis à notre disposition par le supporter de l'OGCN. 

Seul le T2 en forme de soucoupe volante est actuellement ouvert. Après vérification minutieuse, point de trace de Thomas Pesquet.

Nous prenons congé de notre ami et nous engouffrons dans les entrailles de la bête à la suite de notre Anakin Skywalker.

Une œuvre d'art : populaire? populiste? populeuse?

L'agence allemande de location de véhiculés fait la loi et a le jeu de mot facile.

Nous snobons les bandits manchot multi-compagnies…

… et privilégions la file SP. Mieux vaut voyager léger si l'on est très à l'avance. 
L'enregistrement est diligemment effectué par une agente courtoise. 

Nous attendons sagement notre comparse en maintenant largement la distance.

Contre-champ. L'architecture de ce T2 multiplie les contre-jour.

Notre camarade en ayant terminé, nous traversons l'aérogare pour rejoindre le circuit d'embarquement.

La file prioritaire est opérationnelle et le PIF est promptement passé en dépit de l'oubli d'un jus d'orange par un étourdi…

A la sortie du PIF, NCE est une zone commerciale comme tous les aéroports. On peut noter que les tarifs sont plus élevés qu'en ville pour les parfums et les alcools au moins. 

FIDS en mode reprise. Les destinations européennes sont assez nombreuses.

Nous partons en A04.

Le patio central.

Nous nous dirigeons vers le salon qui est ouvert. Mais peut-on (en)clore the Infinity? Vous avez 4 heures et la note ne comptera pas si elle est mauvaise (J-M B.)

Les lieux sont vastes, sous surveillance. Nous n'aurons pas de mal à trouver une place. Nous retrouvons 3 de nos camarades de week end.

L'offre n'est pas en libre-service. 

Vue sur le patio central depuis le lounge.

Une coupe ne se refuse pas ! 

Les nacelles emmanuelines sont inoccupées.

L'embarquement est annoncé : c'est à regret que nous prenons congé de notre ami jurasso-helvético-savoyard.
Les palmiers confèrent une ambiance tropicale. 

Nous arpentons le long jet bridge lumineux.

A320 en livrée Skyteam.

Le museau de notre aéronef.

Instant porte à l'intention de celui qui se pavane encore dans son hôtel de lux(ure).^^

Fuselage shot.

Accueil quelconque. Les PNC sont préoccupés par le pandémonium relatif au rangement des bagages cabine lorsque l'avion est plein. Des consignes que personne ne semble écouter sont diffusées en boucle. 
 Cabine classique MC.

Nos sièges au rang 12, privilège Plat.
Casper sera remplacée par une employée d'AF partant en stage à Paris qui concentrera toutes les attentions de la chef de cabine… 

Le pas est exquis.

Spécialiste des vols à 9 euros.

Le remplissage lentement se poursuit.

Le wifi à bord me permet de jouer avec AF connect. Où l'on apprend que Paris et Nice sont dans le même fuseau horaire.^^

Chacun ayant rejoint sa place et chaque bagage ayant trouvé la sienne, nous repoussons. 

A320 AF.

Russes et Anglais sont là : Nice sera toujours Nice.

BoB le Belge aussi.

Les vrais nantis embarquent. 

Nous nous présentons en seuil de piste.

Et c'est parti pour 1h20 de vol.

Au large.

Les nuages bas interdisant toute visibilité, poursuivons la montée avec AF Connect.

Nous ne verrons rien des Alpes.

Le service se limite toujours au liquide. L'annonce relative à la limitation à une seule boisson pour des raisons S A N I T A I R E S retentit en amont du service. 

Nous atteignons la capitale des 3 Gaules. 

Pas mal d'enfants bruyants sur ce vol. La CC leur distribue une galette bretonne. Il doit bien y avoir quelque part du sucré-salé…
Pas d'amélioration côté météo. 

Nous entamons notre descente. Un PNC équipé d'une tablette me demande si le vol se passe bien, eu égard à mon statut précise-t-il. Je m'attendais à un questionnaire : que nenni !

Nuages et buée sur le hublot : la prise de photo est inutile.

La CC vient nous informer de notre porte d'embarquement pour BVE. Débarquant au contact, nous devrions être exemptés d'un nouveau passage du PIF.
Atterrissage en douceur, taxi assez rapide et nous voilà à notre point de stationnement. 

Retour à l'ambiance blafarde d'ORY. 

Le transfert sera-t-il aussi chaotique qu'à l'aller? Ne manquez pas l'ultime épisode de cet exceptionnel périple, à paraître prochainement.

Afin de terminer agréablement ce reportage, je vous propose une balade dans les rues de Nice.

Notre petit groupe s'est donné rendez-vous sur la place Masséna. 

Panoramique de nette place joliment ripolinée. 

Nous nous retrouvons au pied d'Apollon. Cette sculpture d'Alfred Janniot s'intitule la fontaine du soleil. Elle a été inaugurée en 1956 puis ré-installée par Christian Estrosi en 2011.

La figure solaire d'Apollon est entourée de 5 groupes de bronze : la Terre, Mercure, Venus, Mars et Saturne. En voici quelques photos. Sauez-vous reconnaître qui est qui? 

La Terre?

Vénus légèrement callipyge ? 

Notre promenade guidée par le FRiste local nous conduit à travers rues et ruelles du Vieux Nice.  Le Palais Rusca.

Le palais de justice d'où s'est évadé le célèbre Albert Spaggiari. Un passant a tenu à nous montrer la fenêtre "officielle." Certaines mémoires sont indélébiles. 

Nizza est italienne dans sont centre ancien : elle donne l'impression d'une petite bourgade.

Calmette est un enfant de Nice. Avec Pasteur, Yersin et Jaurès il est l'un de ceux que le Vietnam indépendant n'a pas condamnés à la damnatio memoriae. 

Le clocher de la cathédrale Sainte-Réparate. 

La première cathédrale a été édifiée au XI° siècle en l'honneur de Sainte-Réparate, martyre chrétienne du III° siècle. Le bâtiment actuel date du XVII°, le clocher du XVIII° et la façade du XIX° .

L'intérieur correspond aux canons du baroque.

L'église saint-Jacques le Majeur est une fondation jésuite.

Ce que confirme l'exubérante décoration intérieure.

Cette boîte aux lettres, dans la cour de l'Hôtel de Ville fermée par une grille est inaccessible au public du moins le week-end. Hommage de C215 à Simone Veil. 

Cette œuvre d'art est-elle un message du Maire de Nice au député Ciotti? 

Nous baladons le long de la promenade des Anglais où le masque est facultatif.
Sur les galets, la plage. 

Comme au cinéma.

La statue de la liberté en modèle réduit inaugurée par… Christian Estrosi. 

Elle se situe sur le Quai des Etats-Unis nommé ainsi en remerciement de l'intervention américaine dans la Première guerre mondiale. 

Ainsi se clôt ce premier bonus niçois. Nous prendrons un peu de hauteur dans l'ultime FR.
Merci de votre lecture et à bientôt !