Avis du vol entre Paris et Amsterdam en classe Affaires avec KLM

Bonjour à toutes et à tous,

Je vous retrouve pour une série très simple, relatant un week-end passé à Bucharest. Il s'agit de récupération de vols en pré- et post- acheminement comme je l'expliquais ici, ce qui explique le mélange de Business et d'Economy sur cet aller-retour.

Normalement, je ne publierais pas forcément ces vols relativement classiques, mais la pandémie étant toujours là, les occasions de longs-courriers exceptionnels sont rares !

Arrivée à CDG au terminal 2F. Comme depuis le début de la pandémie, les différents accès sont fermés et tout le flux est concentré sur une porte, comme pour empêcher la distanciation et s'assurer que les flux vont se croiser et se concentrer, dans un pur paradoxe sanitaire.

L'accès N°1 dédié est fermé mais une file prioritaire subsiste au contrôle principal, qui est de toute façon peu encombré, malgré le gros week-end.

Cette occasion de s'échapper est d'ailleurs plus marquée dans la salle d'embarquement qui est bien pleine. Ca faisait quelques mois que je la voyais bien plus vide.

Au salon, la seule nouveauté pour moi est la réouverture du buffet au niveau inférieur, toujours en mode "service à la demande".

Notre B737 arrive à l'heure, ce qui promet un départ non retardé.

Par contre l'Embraer de Nantes qui arrive juste derrière doit transporter une personna non grata vu le dispositif d'accueil qui est déployé !

Peu de temps avant l'embarquement, la distribution de la coupe de Champagne est faite ; un geste toujours apprécié qui durera le temps de la lecture d'un dernier FR !

Puis vient l'embarquement où je suis stoppé. La préposée s'enquiert peu du long texte et me demande juste de remplir le formulaire de santé qui se trouve au lien indiqué en bas de texte. C'est purement déclaratif mais doit quand même m'être notifié.

Puis je peux rejoindre mon siège, qui reste une Business européenne avec un siège neutralisé mais avec encore un espacement correct sur KLM.

Les consignes de sécurité sont énoncées mais aussitôt violées. L'avion est plein ce soir là (ça fait presque plaisir après la période de disette que nous avons connue !) et il n'y a plus de place pour les bagages cabine qui pourront donc rester sous les sièges.

Et nous sommes prêts pour notre envol, suivi d'un Air Baltic qui est presque un clin d'oeil, puisque le routing porté par ce billet commencait justement avec eux !

Très rapidement, et c'est normal vue la durée du vol, la prestation est servie. Il s'agit de la boite issue de KLM Cityhopper, avec une sélection du bar assez limitée.

Pour autant, cette salade Waldorf me semble parfaitement en adéquation avec la durée et l'heure du vol.

A peine ramassée, il est temps de descendre.

Et de se garer à côté d'un Schtroumpf local…nous n'avons que 40 minutes pour la connexion, mais c'est assez !

A bientôt !