Avis du vol entre Beauvais et Iasi en classe Economique avec Wizz Air

Bonjour à toutes et tous.

Avec ce FR vous savez maintenant la destination finale de ce rounting.

Pourquoi et comment Iasi.

Lors de la préparation de mes vacances européennes l’été dernier, nous avions un souhait commun : faire les monastères de la Bucovine que nous avions tous découverts via un bonus d’un FR de LGaddict.

Nous avions donc après l’Allemagne envisagé de partir en Roumanie et l’un de nous avait trouvé un vol Wizz Air au départ de Billund pour Iasi.

IAS étant une porte d’entrée sur la Bucovine.

A cette époque nous n’étions pas loin du Danemark et ce vol nous convenait parfaitement.

C’est en faisant nos recherches que je constate qu’il y a un départ depuis Paris : certes BVA ce n’est pas Paris mais étant novice de cet aéroport je ne le pensais pas si éloigné que ça.  

La Roumanie classait les pays à risques chaque lundi et nous avions peur de ne plus y être admis fin juillet.

Ce qui fut le cas.

Mais la destination était toujours dans les tablettes.

Initialement plutôt pour ce printemps car la Roumanie en hiver, et bien figurez-vous que cela ne donne pas envie du tout.


On me propose d’y aller à des dates qui n’étaient pas négociables, j’ai donc dit oui car lorsque je voyage avec quelqu’un si je choisis de partir avec c’est pour la personne en premier, sinon je ne le fais pas, ou en tous les cas je le fais en solo.

Le billet a été acheté mi-décembre pour un prix de 45€ l’A/R.

En janvier les cas de COVID en France remontent et c’est reparti pour les restrictions d’entrée sur les territoires.

La Roumanie remet en place une quarantaine.

Cela semble mort, sauf lorsque je lis en détail les modalités d’entrée :

Il existe une exemption à la quarantaine lorsque l’on séjourne moins de 72 heures en Roumanie et que l’on arrive avec un test PCR négatif de moins de 48 heures.

Je suis pile poil dans les clous au niveau des 72 heures.

Banco, le voyage est maintenu.

Seulement voilà, je ne rentrerai pas par le vol retour prévu, et je resterai plus de 72 heures en Roumanie, mais pour mon plus grand plaisir. Et oui les voyages c’est aussi ça, et actuellement il faut en tenir compte.

Je vous rassure je n’ai pas fini dans les geôles roumaines pour avoir grugé la quarantaine.

Ce prolongement de séjour me sera offert le jour même de ce vol par notre premier ministre.

En effet lors de mon transfert vers BVA j’ai le temps d’écouter les informations, et à compter du 24 janvier minuit (soit le jour de mon vol retour) il faut un test PCR pour rentrer en France. Et le mot minuit aura la plus grande importance, mais ça c’est pour le prochain FR. 

Lors de mon attente au salon à AMS je me suis enregistrée.

J’ai pris une option wizz priority afin d’avoir une valise cabine en plus, car sinon c’est un peu limite pour moi niveau vestimentaire. 

Par-contre, je n’ai pas choisi de siège et au jeu de la roulette roumaine j’hérite d’un siège central.

Comme cela ne me convient pas, je dégaine la CB pour prendre un siège au couloir pour ce vol de nuit.

Aéroport de Paris-Beauvais

J’arrive à BVA, avec une météo qui me fera courir à l’intérieur plutôt que de prendre des photos.

De toute façon visuellement cela n’est pas terrible.  

C’est d’un calme olympien, il n’y a que 2 vols aujourd’hui.

Seul le terminal un est ouvert.

Après renseignement si je veux manger c’est avant de passer les contrôles, après il n’y a rien.

J’opte donc pour un sandwich.  

Puis je scann mon BP, un agent vérifie que j’ai bien le wizz priority en raison de ma valise cabine en plus de mon sac à main.

Il n’y a personne au passage de la PIF, c’est donc une affaire vite expédiée.


Alors c’est aussi laid de ce côté-ci, en même temps c’est un aéroport de low-cost avec des prix au ras des pâquerettes, on accepte donc ce type de hangar en tôle.
En tout cas moi cela ne me dérange pas, le point noir c’est pour le rejoindre. 

Il y a encore une PAF à passer pour accéder aux portes D et E.

Les toilettes sont à l’image de l’aéroport, mais elles sont propres, c’est l’essentiel.

Il commence à y avoir un peu plus d’animation.

Après la PAF, où je passe sans vérification plus importante que montrer mon visage sans masque avec mon passeport.

Embarquement habituel des LCC, d’abord ceux avec les options wizz priority, puis on est prié d’attendre dehors sous la pluie.  

L’avion vient à peine d’arriver et le temps d’un nettoyage sommaire, nous pouvons y aller.

a bord du vol w63664 direction iasi

La cabine est toujours la même, l’avantage de ces gros sièges c’est qu’ils sont confortables.

Le pas reste correct.

La safety card.

Le magazine wizz air en mode « j’ai raté la photo »

Nous sommes prêts à partir.

Les PNC sont attachés. 

Pas de photos du décollage, mais de nuit cela n’amène rien.

J’ai le temps de feuilleter le magazine, j’y découvre une exposition que j’ai faite à Berlin l’été dernier.
C’est un joli clin d’œil. 

Les destinations de Wizz, il y a du choix en aéroport de seconde zone.

Le BOB.

Avec même des articles devenus indispensables.

D’ailleurs celui-ci est en marche, mais je ne commande rien.

Le vol se passe sans histoire et sans dormir, je rédige des FR datant de début décembre (je vais bientôt avoir purgé mon retard)

On nous distribue une feuille pour la quarantaine. 

La passagère derrière moi demande au PNC si il faut la remplir si on demande l’exemption des 72 heures, le PNC ne sait pas et lui répond de voir sur place (aucun ne parlera français)

La note divertissement va monter, grâce à ce jeu sur le vomito bag. 

Aéroport international de Iași

Nous arrivons en pleine nuit à IAS.

Un fuselage shot, la météo est identique qu’à Paris, cela promet. 

Je marche donc vite vers le terminal.

Après ce sas, un contrôle des autorités sanitaires.

On nous prend la température et on doit donner à deux personnes en tenu d’infirmier notre déclaration de quarantaine, qui doit être validée.

Visiblement l’anglais n’est pas possible pour communiquer, j’utilise donc la technique du téléphone pour traduire en roumain ma demande. 

Là ça fonctionne, il inscrit « exemption » sur ma feuille, mais ne me réclame pas mon test PCR.

Puis c’est le passage de l’immigration.

L’agent me demande pourquoi je viens en Roumanie.

Il est surpris que je lui réponde : tourisme. 

Et voici le hall des arrivée de IAS.

Puis il ne reste qu’à récupérer la voiture de location pour enfin aller se coucher avec une première nuit à Iasi.

Le terminal (photo datant du dimanche suivant)

Je vous conseille le bonus qui mérite toute votre attention.

Merci pour la lecture et les commentaires.  

BONUS