Avis du vol entre Lisbon et Madrid en classe Economique avec TAP Express

Bonjour, 

Dernier trajet de ce routing, le retour à Madrid. 

Le transfert à LIS n'est pas aussi fluide que dans d'autres hubs européens. Débarquement par bus, contrôle de passeport et de test PCR négatif, contrôle de passeport, puis une queue immense pour le contrôle de sûreté. 
La distanciation sociale est en option pour la plupart des passagers. Je la respecte et ça me vaudra de me faire doubler par une personne.

Avec tous ces contrôles, j'arrive enfin airside 50 minutes après le débarquement du vol précédent. 

Mon transit d’1h50 a été bouffé mais j’ai quand même un peu de temps pour passer au salon. Direction l'étage où se trouve le salon ANA et le salon TAP.

33% d'occupation ce matin. Je rappelle que depuis la réouverture de ce lounge, la TAP accepte un maximum de 100 passagers à l'intérieur et un écran indique le pourcentage d'occupation. 

Rien n'a changé en 10 jours. Le lounge est toujours aussi petit pour un lounge Schengen ET non-Schengen.

Une table sur deux est condamnée à cause du Covid et il en reste encore quelques unes de libre. 

Le buffet est sur la gauche en entrant. On indique aux employés ce qu'on souhaite et ils le mettent sur un plateau.

L'offre n'est pas trop mal mais je n'ai pas très faim alors je passe mon tour.

Je m'installe proche du bar, situé à droite en entrant. Il y a un bon choix de boissons.

Je ne prends que de l'eau pour passer le petit quart d'heure que j'ai avant de devoir rejoindre la porte d'embarquement.

En repartant il faut traverser l'espace commercial du centre de l'aérogare. 

Mon vol part d'une extrémité du terminal, il faut compter quelques minutes de marche.

Un B737 de Ryanair en chemin.

Mon vol en ATR part de ce mini satellite où on trouve les portes 7 à 13.

C'est un des espaces de ce terminal où les vitres n'ont pas de points noirs.

Mon ATR est là. C'est le CS-DJD, 5 ans, nommé Braga. 

La TAP m'avait proposé de faire une offre de surclassement sur ce vol en m'envoyant plusieurs emails pour faire une enchère. Le message est clairement envoyé automatiquement mais ils devraient faire plus attention. Non seulement l'enchère la moins chère est déjà très chère pour un vol d'1h mais surtout le vol est opéré par un ATR qui n'a pas de Business Class et la seule chose qu'on achète c'est une bataille avec le service client de la TAP.

L’embarquement commence à 9:30. C’est en ATR et je suis le seul passager Premium, j’arrive donc en premier à l’avion et j’ai tout le temps de prendre des photos.

L'avion appartient à White Airways qui opère ces vols pour le compte de TAP Express, la division régionale de TAP Portugal. 

Une hôtesse distribue des lingettes désinfectantes à l'entrée de l'avion.

Le deuxième PNC m'amène même jusqu'à mon siège.

La cabine est classique des ATR les plus récents.

On retrouve bien le logo de la TAP sur toutes les parois.

Le legroom est satisfaisant.

On est rappelé que c'est bien un ATR de White Airways, au cas où.

L'embarquement est rapide. Bien que le vol soit rempli aux 70-80%, j'hérite quand même du meilleur voisin.

Repoussage à l'heure. Mon hublot est un peu sale et rayé mais ce n’est pas le pire que j’ai eu sur ATR. Je n’ai encore jamais vu de hublot immaculé sur un ATR, même pas quand j’ai volé sur un avion de moins de 6 mois.

L'A330neo d'Azul repart pour Campinas.

Après un court roulage on s'envole aussi vers le Nord-Est. Qu'est-ce que ça fait du bruit un ATR, tellement que les annonces de l'équipages sont inaudibles. 

Notre plan de vol nous fait suivre le Tage jusqu'à Toledo avant prendre vers le Nord pour atterrir à Madrid. On commence par un survol de la base de Alverca.

Où sont parqués de nombreux avions de la TAP et de Flybe.

Puis on continue notre remontée du Tage.

Le service débute. Un chocolat est offert depuis un panier puis une boisson: Thé, café, eau ou jus d’orange. Ce n'est pas grand chose mais c’est mieux que rien et surtout c’est mieux que sur la maison mère sur laquelle je n'avais eu que le chocolat.

Un B737 au niveau de la frontière espagnole. Un TUI faisant Hannover - Las Palmas avec une livrée spéciale Robinson Club Resorts. 

Le réservoir Maria Jose Oriol.

La ville de Talavera de la Reina où coule le Tage qu'on continue à suivre fidèlement.

Distribution du formulaire d’entrée en Espagne pour ceux qui ne l’auraient pas fait en ligne. J'ai mon code QR, ça permet de passer plus rapidement en arrivant. 

J'en profite pour passer aux toilettes mais, pour la 3e fois en 4 vols, j'ai encore des problèmes avec le pictogramme. Il est vert mais elles sont bien occupées. Décidément, TAP a quelques problèmes avec ses pictogrammes.  

Il est temps de se séparer du Tage et de rejoindre Madrid. On survole la ville de Fuensalida.

Madrid apparaît au loin.

On passe la ville par le sud pour atterrir par le sud-est.

En finale avec vue sur le stade de l'Atlético de Madrid.

Toujours autant d'avions parqués partout sur la plateforme Madrilène. 

Depuis mon départ, British Airways a continué à envoyer des avions pour les parquer ici.

Il y a d'ailleurs plusieurs A380.

Il y a aussi un B767 de Condor qui partait pour Bangkok, un vol et une compagnie inhabituelle ici.

Qui dit ATR, dit débarquement par bus. 

Ça me permet de faire quelques dernières photos de l'ATR du jour.

Avant d'accèder aux tapis bagage il faut passer par un contrôle du code QR ou du formulaire pour ceux qui n’ont pas le code. Il y a ensuite une prise de température et enfin on peut récupérer les bagages. L'obligation de test négatif ne débute que le lendemain.

Les bagages commencent à être délivrés quand les premiers passagers arrivent aux tapis. La mienne est parmi les premières.
Des agents de douane sont postés à la sortie et guettent les tags bagage avec deux destinations. J’arrive d’un pays hors Schengen, je dois donc passer mon bagage au scanner. C'est rapide et je peux ensuite monter dans un taxi et rentrer chez moi.

Merci d'avoir suivi ce routing et à bientôt pour quelques vols de plus.