Je vous retrouve pour un nouveau routing européen. Le contexte sanitaire que tout le monde connaît coupe court à toutes les velléités de vol long-courrier et il faut composer avec ce qu'il est possible de faire. A ce titre, la Grèce représente un attrait non négligeable, et d'ailleurs cette destination semble avoir eu un certain succès cet été.
Après la Crète cet été, voici donc un aller-retour à Athènes sur un week-end. Celui-ci sera effectué avec Aegean, en passant par une OTA, Gotogate pour ne pas la citer, qui proposait un tarif très compétitif : 260 euros A/R par personne en J. A noter que pour cela il a fallu réserver 2 allers simples.
J'aurais aimé essayer l'A320neo, mais celui-ci n'était pas positionné sur mes dates, tant pis !
Le routing est donc des plus simples :
Enchainement de vols
- 1A3613 - Affaires - Paris CDG > Athènes ATH - Airbus A320
- 2A3610 - Affaires - Athènes ATH > Paris CDG - Airbus A320
Focus sur les formalités Covid pour la Grèce
La Grèce a rouvert ses frontières en juin mais tous les voyageurs doivent renseigner sur le site internet travel.gov.gr un PLF (Passenger Locator Form). Celui-ci doit être saisi au moins 24h avant le départ (mais il peut être fait bien avant). A savoir :
- il est tout à fait possible d'indiquer vos compagnons de voyage sur le même PLF (y compris s'il ne sont pas de la même famille)
- le fameux QR-code, exigé pour embarquer, est adressé par email la veille du départ, vers 23h ; il n'est pas nécessaire de l'imprimer, mais c'est plus pratique tout de même pour le présenter aux différents contrôles
Le vrai point de stress reste le test aléatoire à l'arrivée en Grèce. Le QR -code n'est pas scanné, il semblerait que ce soit le 1er chiffre qui détermine ou non si un test doit être réalisé.
Notre vol part à 16h30 mais nous arrivons de bonne heure à CDG. Le Grand Charles commence à reprendre des couleurs, mais un FIDS fourni ne préjuge pas de vols pleins…

Le T1 duquel opère normalement Aegean et les autres compagnies *A étant toujours fermé, nous prenons donc la direction du 2A, dont je commence à devenir coutumier après notre escapade zurichoise de juillet.

Il n'y a pas foule mais ce n'est pas désert non plus.

Un peu de monde du côté d'Emirates, même si cela ne remplit pas un A380.

Nous arrivons devant les comptoirs d'A3. L'équipage de notre appareil attend l'ouverture du check-in pour enregistrer leurs bagages. Quelques pax impudents attendent dans la file dédiée à la business mais une agente viendra mettre un peu d'ordre dans tout ça. A leur corps défendant, il n'y a aucune signalétique.

Si ce n'est l'affichage au-dessus des comptoirs.

L'attente sera de courte durée et à l'heure annoncée les comptoirs ouvrent et nous récupérons nos BP. L'agente aura vérifié scrupuleusement notre QR-code et les informations figurant sur le PLF. Nos BP arborent fièrement la mention "Lounge Pass", mais je ne me fais pas d'illusion sur le sujet, tous les salons du T2A ayant porte close.

Direction les portes d'embarquement.

Passage par la PAF, mais sans accès n°1, dommage. Peu de monde, mais cela avancera lentement.
Le fast-track ne sera pas inutile pour autant car il y a foule pour le PIF. Personne côté accès n°1 et nous passons rapidement côté airside.
Lors de mon précédent passage début juillet l'endroit était plus que calme, et toutes les boutiques étaient fermées. La plupart ont rouvert, même si la clientèle est rare.

De fait il n'y a pas foule.


Notre porte d'embarquement, quelques pax sont déjà présents.

Nous nous installons dans un coin au calme, en face d'un 787 Westjest et d'un 777 Etihad.

En l'absence de salon, la seule possibilité pour se restaurer est le Relay, qui pourvoira aux sandwichs et aux autres breuvages de ce déjeuner sur le pouce, que je prendrai en participant à un meeting téléphonique, qui durera jusqu'à 15h30. Je vous retrouve donc directement à l'heure de l'embarquement. Les pax s'agglutinent déjà en porte.

Nous nous présentons devant la file qui semble dédiée à la J. Je dis bien "qui semble" car comme au check-in, il n'y a aucune signalétique.
Tous les pax avec un BP électronique doivent faire éditer un BP papier ; c'est en réalité un prétexte pour vérifier la bonne détention du précieux QR-code.

L'embarquement finit par être lancé, sans annonce ni embarquement prioritaire. Nous arrivons à passer, mais la société de handling gère vraiment mal l'embarquement.
Notre oiseau est en vue.

La passerelle vitrée me permet de faire d'une pierre trois coups : du gros avec un A380 Emirates, du moyen avec un 787 Air Austral et du petit avec cet Airbus Egyptair.

De l'autre côté, c'est également intéressant avec un 787 Air Tahiti Nui, un A340 Air Madagascar et un A350 Ethiopian.

Mais ne nous dispersons pas, en route pour notre A320.

Instant porte.

Et fuselage shot de rigueur. La livrée est tout de même moins attrayante que celle des nouveaux A320neo.

Nos sièges, en 1A et 1C. Aegean a le mérite d'offrir une cabine J "améliorée" avec tablette centrale et accoudoir déportés (comme le proposait jadis AF et encore AZ).

Sur ce vol, la J sera composée de 4 rangées (pour un total de 6 pax). La Y sera en revanche assez pleine.

Les PNC nous propose des lingettes désinfectantes, nouvel accessoire à la mode.

Le pas est plutôt confortable au 1er rang.

Mais il est également très confortable au 2e rang.

Je peux y étendre mes jambes sans problème.

Bien qu'un peu dur, le siège est plutôt confortable, grâce à une inclinaison appréciable et le déport de l'accoudoir.

Les PNC accueillent les pax à l'entrée de l'appareil. Elles sont toutes équipées de gants. Dommage, elles n'ont pas mis leur traditionnelle toque.

L'embarquement se fait au compte-goutte, sans doute à cause des contrôles de QR-code.

J'en profite pour vous présenter les consignes de sécurité, dans un format un peu atypique.


Le vomitobag est richement logoté.

L'IFE collectif est de sortie, avec une géovision très précise.

Aucune bouteille d'eau n'est distribuée, j'en fais la demande à l'une des PNC.

Nous repoussons à l'heure et quittons notre voisin orange.

Les consignes de sécurité sont diffusées sur l'IFE.

Nous décollons face à l'est.

Vue sur le terminal 2E-L-M et un bout du G à droite.

Nous prenons de l'altitude.

Juste après le décollage, les PNC passent avec le trolley pour proposer le magazine de bord. Celui-ci est sous plastique. Je trouve la démarche intelligente, puisque celui-ci n'est de fait distribué qu'aux pax intéressés. Je ne l'ouvrirai pas pour ce vol, mais pour le vol retour.

En revanche, la grosse déception du vol arrive quelques minutes plus tard : une PNC vient nous amener un charmant sac du blanc le plus pur et nous indique que si nous le souhaitons elle a des boissons à disposition (sans préciser lesquelles).

A vrai dire j'en reste coi. J'étais resté sur l'idée qu'A3 proposait un catering de qualité, et sur un vol de 3 heures un vrai service avec plat chaud n'aurait pas été incongru.
Il n'est encore que 17h et donc la faim n'est pas encore là. Je demande toutefois s'il y a du champagne, la PNC me répond que non, mais elle revient avec ceci.

Santé à tous les Fristes !

Ce sparkling wine n'est pas exceptionnel mais frais il se boit…
Encore qu'il ne faille pas trop lambiner en sirotant son verre : l'une des PNC viendra rappeler Madame à l'ordre en lui demandant de remettre son masque entre chaque gorgée ! Euh elles en font pas un peu trop, là, non ?
Nous nous rattrapons avec l'IFE naturel. A ce moment nous sommes déjà au-dessus de l'Alsace, et passons à l'aplomb de Fessenheim. On aperçoit, non loin du Rhin, la forteresse de Neuf-Brisach avec son architecture à la Vauban.

Puis nous passons peu après en vue de l'aéroport de Zürich.

Et enfin les Alpes avec ici le lac de Walenstadt.

Les Alpes italiennes.

Heureuse surprise, nous passons au large de la lagune de Venise.

L'IFE cesse alors de passer des pubs comme il faisait depuis le début et bascule en mode géovision.

Malheureusement la suite du voyage sera nuageuse et je ne verrai plus les paysages, d'autant qu'en nous dirigeant vers l'est, la nuit arrive vite.


Bon, voyons voir le contenu de ce sac. Le vin rouge sera amené à ma demande, avec le verre.

Les sandwichs ne sont pas exceptionnels. Le sachet contient un muffin (pas mauvais).

Nous ne ferons pas d'agapes sur ce vol.
La cabine est calme et la plupart des pax essaient de dormir. Comme notre voisin du rang 3, qui nous gratifie d'un spectacle peu agréable.

La nuit tombe.

Nous sommes déjà en Grèce, entre Patras et Corinthe.

Je crois l'IFE sur parole car en-dessous c'est bien nuageux. Il faut dire que nous arrivons juste après le passage de Yanos, l'ouragan de type méditerranéen qui fera pas mal de dégâts en Grèce.

Les nuages et la nuit ne me permettront pas de faire des photos potables de la fin du vol. Nous atterrirons à 20h30, à l'heure prévue.
De nombreuses places au contact sont libres, mais pourtant nous y irons nous garer au large, surprenant !

A côté de cet A320 en livrée *A.

Les PNC indiquent que les passagers doivent rester assez jusqu'à ce que leurs numéros de siège soient appelés. Une PNC viendra se poster entre la J et la Y pour retenir ceux-ci.
Les passagers J sont donc invités à débarquer en premier.

L'avantage du débarquement par bus c'est qu'il permet d'admirer de près notre avion.



Je constate alors que nous bénéficions d'un bus dédié pour la J. A 6 pax, on ne se bouscule pas… D'ailleurs, au lieu d'un bus dédié, j'aurais préféré un plat chaud en vol…

Le roulage est court et nous arrivons au poste de contrôle des QR-code. Petit moment de stress…
Un vol est arrivé avant nous de Sofia et il y a encore du monde qui fait la queue pour le contrôle. Mais les agents d'ATH nous orientent vers une file vide avec un policier dédié. Celui-ci vérifie rapidement notre QR-code et nous passons sans encombre. Ouf…
En nous dirigeant vers la sortie landside, nous passons devant la zone de test et du personnel médical en surblouse…

Tout ceci est rapide et nous nous retrouvons dans la zone de livraison des bagages.

Nous rejoignons le métro, qui nous amènera directement à Monastiraki, et à 22h nous pouvons enfin faire un vrai repas grec dans une taberna traditionnelle.
Merci de m'avoir lu et à bientôt pour le retour !
Hello Stephane : je ne vais pas feindre la déception puisque tu m'avait débriefé ce vol aller de vive vois, mais tout de même . Si la cabine J tiens la route avec des petits plus comme la tablette centrale et les accoudoirs qui apportent plus de confort, le reste n'est pas à la hauteur de la reputation d'Agean.
Entre un équipage qui se cache derrière le rideau pendant la majorité du vol est une prestation en sac froide et quelconque plus un faux champagne et un repas complet avec plat chaud et vrai champagne proposé par Air France mon choix est vite fait. Je comprend que le COVID apporte de réelles contraintes et modifie les habitudes de service mais il ne fait pas non plus s'en servir de prétexte. Bref j'attends ton vol retour avec impatience.
Merci Christophe.
La qualité (relative) de la cabine ne cache pas la dégradation du service, c'est dommage car A3 avait une bonne réputation.
Clairement AF offre un bien meilleur produit sur cette ligne, et mon choix sera certainement différent pour une prochaine escapade grecque.
Espérons toutefois qu'A3 parvienne à revenir à un niveau de service comparable rapidement.
A bientôt !
Excellent prix pour de la business!
Le sac blanc est le même que sur les vols d’Athènes vers les îles mais le contenu est plus intéressant sur ce vol. Il n'empêche que ça reste assez décevant venant d’Aegean.
Merci pour ce Fr!
Merci Moritz.
Le tarif est bon, mais la prestation est à l'avenant...
La période n'est sans doute pas la plus propice pour voler avec Aegean.
Merci Stéphane pour ce FR.
Je suis passé devant le Grand Charles une 1/2 avant toi, mais dans l'autre sens.
la forteresse de Neuf-Brisach => c'est à 20 KM de chez moi.
A bord c'est loin, très loin de la prestation avant COVID d'A3, c'est donc une grosse déception.
Merci pour les explications pour le QR code, je vais en avoir prochainement besoin.
A bientôt
Merci Valérie pour le commentaire.
Une demi-heure ? ça aurait été drôle de se croiser ! je n'ai pas penser à regarder l'airport meet-up.
La photo ne rend pas bien, mais la vue aérienne de la forteresse était vraiment saisissante avec sa forme en étoile.
De rien ! J'ai pas mal galéré pour obtenir certains détails et je me dis que ces infos peuvent servir aux FRistes ;-)
A bientôt.
Merci pour ce FR !
Un très bon prix pour de la Business ! Mais est-ce une prestation business alors qu'il n'y a pas de salon, un catering de type éco et un siège voisin vide que tu aurais eu probablement en Eco vu le remplissage...
Je crois avoir vu la même chose sur un FR Swiss récemment...
A bientot !
Merci Nico pour le commentaire.
Bon prix effectivement, mais comme tu le dis, qui ne se justifie pas forcément au regard de la prestation.
Effectivement ! Et tu as même relevé le point ;-)
Le cost-cutting n'est pas toujours rationnel...
A bientôt !
Merci pour ce FR Stéphane, un FR sur Aegean peut en cacher un autre en ce moment !
Tu arrives aux mêmes conclusions que moi concernant la dégradation du produit de cette compagnie, et quand on les a connu du temps où ils avaient un bien meilleur niveau on ne peut qu'être déçu. Même les équipages semblent avoir perdu de leur superbe !
Cette relégation des compagnies *A à CDG 2A sans salon ouvert est assez pénible, et évidemment aucune compagnie ne semble se préoccuper de donner un bon pour compenser cette absence.
Les BP électroniques qui doivent être remplacés par des BP papier, encore une belle ineptie à la française.
260€ est un bon prix pour de la business européenne (avant le Covid c'était bien plus cher), mais avec un tel niveau de service ça semble difficilement envisageable de vendre ce billet plus cher.
Sinon, pour être Miles+Bonus Gold, je confirme que les courbettes des PNC ne font pas partie de la culture d'entreprise, ce qui ne me dérange nullement. Idem pour les surclassements, ça m'est arrivé une seule fois et c'était sur TK.
A bientôt !
Merci Carl pour le commentaire.
Je sais que tu empruntes souvent Aegean et j'imagine que tu mesures bien plus encore la dégradation du service.
On est bien d'accord... Il y a pourtant un salon Air Canada, mais qui ne semble pas pressé de l'ouvrir.
Pour pister la Grèce depuis un moment, un CDG-ATH était à 700 € avec A3 en J, alors qu'il n'était pas rare de trouver des billets à 350 € avec AF.
Sans aller jusqu'aux courbettes, un minimum de recherche d'interaction et de service ne serait pas de trop pour donner envie à la clientèle de revoler avec eux.
A bientôt !
Merci Stéphane pour ton FR, bonne idée de repartir en Grèce, moins bonne de choisir A3 car nous avons eu un FR qui présentait déjà cette dégradation du service: https://flight-report.com/fr/report/50054/aegean-airlines-a3721-lisbon-lis-athens-ath
Je rejoins Carl pour le tarif raisonnable, mais combien en Eco? Probablement autour de 150€, cela fait donc 55€ par leg pour ... un mousseux, difficilement rentable (mieux au retour car il y a le salon)!Clairement, AF est une meilleure option sur cette ligne.
Avec une situation de relocalisation qui dure à CDG, il devient urgent pour les compagnies (et ADP) de trouver des salons tant au 2E, qu'au 2AC pour les compagnies qui se sont fait expulser!
Ce FR nous rappel qu'en ce moment, il ne faut pas se fier aux réputations passées des compagnies, certaines comme A3 ou TK font beaucoup moins bien, pour d'autre c'est la durée du vol qui joue beaucoup (éviter AF sur les vols courts par ex), heureusement, certaines offrent une prestation proche de l'avant covid (LX), bref, c'est très difficile de s'y retrouver, et cela rajoute une incertitude dans nos déplacements actuels.
Merci Flavien.
J'avais vu ce FR, mais les billets avaient déjà été réservés...
ça ne fait aucun doute : entre le salon, le champagne, le plat chaud, AF remporte haut la main le match. Le modeste salon A3 pour le retour ne compense pas la qualité médiocre de la prestation en vol.
Depuis la reprise des vols fin juin, je ne comprends pas non plus que rien n'ait été fait.
A l'incertitude sur le service en vol, viennent se rajouter le stress des tests aléatoires et l'absence totale de visibilité sur l'évolution des conditions d'entrée (cf. l'Italie, la Hongrie...) : pour être franc, cela ne donne plus vraiment envie de voler et de prendre de risque...
Sale temps pour les travelgeeks...
"l'une des PNC viendra rappeler Madame à l'ordre en lui demandant de remettre son masque entre chaque gorgée ! Euh elles en font pas un peu trop, là, non ?"=> elle demandait la même chose quand il s'agissait de manger?
Le sandwich et le muffin, ça passe limite mais la brique de jus de fruits, non. Du jus en petite bouteille ferait bien plus Business.
'Comme notre voisin du rang 3, qui nous gratifie d'un spectacle peu agréable. "=> la vue ou l'odeur?
Vivement qu'on revienne à une vie "normale". Mais au vu de l'actualité, c'est pas gagné et les prévisions de retour à la normale vers 2023 ne sont pas si erronées.
Merci Stéphane.
Merci Bernard pour ce commentaire !
Non, il n'y a que moi qui ai mangé ce délicieux sandwich, mais les PNC ne m'ont rien dit.
Il n'y avait rien de vraiment business dans cette prestation.
Rien que la vue mais c'était déjà indisposant ^^
C'est totalement déprimant.....
A bientôt Bernard !
Merci pour ce FR
Paris vous aime mais sans salon et comme déjà dit les compagnies s'en trouvent très bien puisqu'elles n'offrent même pas un voucher
A bord la cabine offre quelques maigres compensations en terme de confort(accoudoirs déportés, tablette centrale, inclinaison)
mais pour le catering et le service c'est proche du niveau zéro
C'est vraiment très pénible et incompréhensible qu'en ces temps de disette pour les compagnies elles ne cherchent pas à offrir une prestation
qui inciterait les pax à voler avec elles
Entre ces produits au rabais et les incertitudes de législations fluctuantes (ET Mergitur) au gré des ambitions politiques des dirigeants et des pseudos
comités scientifiques il n'y a plus beaucoup de plaisir à voyager
A bientôt pour le retour
Merci Gilbert pour ce commentaire.
Je n'ai même pas pensé à demander un voucher, mais de toute façon l'agent de handling n'aurait pas pu faire grand-chose.
LX et AF (pour ne citer qu'elles) ont remis un service à peu près digne de ce nom en business, A3 doit sans doute être trop fragile pour se le permettre. Mais ce n'était pas le deal à l'achat du billet.
On est bien d'accord, sans compter le stress préalable...
Merci pour ce FR!
Franchement, heureusement que le tarif acquitté n'était pas trop élevée car la prestation A3 n'a pas grand-chose de "business": pas de salon, priorités pas respectées, et catering ridicule...
Heureusement que les vues en début de vol auront été belles, car ce n'est pas avec le sac et son pauvre sandwich que l'on va trouver à s'occuper pour longtemps^^
A bientôt!
Merci Tsow pour ce commentaire.
Effectivement, pour un tarif "full fare" comme le pratique habituellement A3 (env. 700 €) je n'aurais pas accepté la prestation. Cela étant un tarif compétitif ne justifie pas forcément une prestation dégradée, surtout cette dégradation n'est clairement explicitée.
A bientôt.