Avis du vol entre Toulouse et Strasbourg en classe Economique avec Volotea

Bonjour à tous, je vous retrouve pour un retour vers l'Alsace.

Rappel du routing : 

Après une matinée à visiter le musée Aéroscopia, je me dirige après le déjeuner à l'aéroport.

Easyjet qui essaye un nouveau surnom pour Toulouse.

On se dirige vers le terminal.

Le FIDS, avec de nombreux vols annulés…

Ce qui nous amène à un terminal quasi désert.

Les comptoirs d'enregistrement également déserté de toute forme de vie humaine.

Cela me fera toujours rire, faire payer pour peser son bagage…

Tiens ! Un peu de vie au loin !

Direction le PIF

Petit rappel des règles.

Passage par la boutique Duty Free, avec un grand choix de boissons, nourritures et autres parfums.

Un info pour les amateurs de salon.

Devant la porte de départ, la foule s'agglutine,

Je m'exile un peu plus loin, c'est plus calme, mais pas de prise pour recharger les batteries.

Encore plus loin, dans un couloir, sièges et prise disponibles. 

Vient l'heure de l'embarquement, on me propose d'embarquer mon bagage cabine en soutes car "il n'y aura pas de place dans les coffres à bagage à bord"

On se retrouve à stationner avant de descendre pour l'embarquement.

L'oiseau du jour : 

Une passagère devant moi se fera réprimander par un "gilet orange", car elle était en pleine conversation téléphonique, je crain aussi de me prendre une remarque du fait de la prise de photos, mais finalement non, je continue donc :)

L'instant porte :

Fuselage shot :

Je regagne mon siège, ce n'est pas tout à fait nickel.

Instant F-OITN :

Petit Hop! CRJ 700 se prépare pour Marseille 

Je vérifie que ma valise déposée aux roues de l'appareil soit bien embarquée ;)

L'embarquement est terminée, le vol sera complet à 99%, cela me change des mes derniers vols très peu remplis ^^
Par contre, les coffres à bagages sont loin d'êtres complets… 

On repousse !

Au loin les bâtiments Airbus.

On s'arrache du sol, bye la ville de l'aéronautique.

Pour ce vol, l'équipage a annoncé qu'aucun service ne sera effectué pendant le vol, dû aux restrictions sanitaire.

Le soleil brille fort là-haut ;) 

C'est vraiment un plaisir de prendre l'avion et d'avoir ce genre de vues.

Survol du lac Léman.

Passage au dessus du magnifique massif vosgiens et de ses crêtes.

On approche du sol alsacien, avec la végétation bien sèche, les champs de mais qui ne vont pas tarder à êtres moissonnés.

Touch down !

Le débarquement se fera par rangées, d'abord à l'avant puis par l'arrière lorsqu'un escalier sera mis en place.

La cabine après ce court vol.

Je profite de sortir en dernier pour photographier le petit 319 ;) 

SXB, comme à son habitude très calme, sous un soleil caniculaire.

Une dernière photo de l'oiseau !

SIXT… vous êtes bien sympathiques, mais c'est pas pour tout de suite les schmoutz ;p

Arrive maintenant, une longue attente, les bagages laissé aux roues de l'appareil à Toulouse, se font attendre sur les tapis. Pour la prochaine fois, peut être enlever l'étiquette du bagage pour pouvoir l'emmener à bord et sortir sans attendre.

Après plus de 10 mins d'attente, ma valise sera crachée parmi les premières des entrailles de SXB sur tapis. 

Je me dirige donc ensuite vers la "gare" de SXB, qui est plutôt une halte ferroviaire.

Le chemin est couvert depuis l'aéroport.

SXB est relié à la gare de Strasbourg avec le TER Grand Est Alsace, en 8 à 10 minutes en moyenne toutes les 15 mins tout au long de la journée, pour la modique somme de 2,80€ ou 4€60 pour un trajet combiné avec une correspondance au réseau urbain.

Je vous laisse à bord de ce Régiolis, je continue mon chemin sur rail vers les contrées lointaines de l'Alsace du Nord ;)

Un petit bonus sur la visite du musée Aéroscopia.

A bientôt, je l'espère dans les airs !