Avis du vol entre Firenze et Zurich en classe Economique avec SWISS

Bonjour à toutes et tous.

Après un week-end comme je les aime à profiter de la douceur de vivre d’une ville magnifique, il me faut rentrer en Alsace.
Les vols sont encore en petit nombre, il n’y a donc pas un choix extraordinaire et on fait avec ce qui existe sans se plaindre.

Mon vol retour est à 14 :30, ce qui est tôt mais j’ai quand même eu le temps de profiter de mon petit déjeuner sur la terrasse de mon hôtel, de réserver mes derniers hébergements pour mes vacances de ce mois-ci et d’être à l’ouverture de la galerie des offices, alors que d’autres dorment encore.

J’ai même le temps de me prendre à manger en ville dans une échoppe qui m’est familière et de bonne qualité. 

J’ai fait mon enregistrement en ligne mais je ne puis récupérer mon BP qu’à l’aéroport.
Le vol est bien plein et la J est complète ce qui est étonnant.
A midi me voici à l’arrêt du tram, le temps de prendre mon billet et me voici à bord. 

20 minutes plus tard me voilà au terminus.

Aéroport de Florence-Peretola

Je suis les indications pour rejoindre la zone des départs.

Direction ces tentes.

Il faut y passer pour se faire contrôler avant d’accéder à l’aérogare. 

Vu la chaleur extérieure, les passagers doivent se placer dans cet appareil qui diffuse une brume fraîche, de l’autre côté une personne nous prend la température.

Et nous colle un petit autocollant signifiant que nous sommes visiblement sains.

Une petite œuvre d’art à l’entrée.

Direction l’escalator.

Je me repère pour les comptoirs de LX, en fait il suffit de suivre la foule.

Pff tout ce que je déteste, une file qui n’avance pas.

J’ai le temps d’observer le FIDS, c’est léger, heureusement que le groupe LH est là.

C’est enfin mon tour, l’agente est sympathique, elle m’explique que je dois enregistrer ma valise cabine, cela ne m’a pas surpris ayant vu l’information sur Twitter, en effet si le vol est plein les accès aux coffres sont limités.
Elle me remet également un formulaire à remplir et à remettre en porte d’embarquement.
C’est le même formulaire que celui rempli sur le vol aller. 

Autant ne pas attendre ici, je me dirige vers le PIF.

Le contrôle est rapide, il n’y a pas foule non plus.

On traverse un duty free, passage intemporel. 

Je me laisserai bien tenter, j’adore le Limoncello.

En me retournant je constate qu’il y a un peu plus de monde aux contrôles.

Ensuite c’est une enfilade de couloirs.

Pas mal de commerces sont fermés.

Ainsi que le salon.

Il n’y a que ce bar qui est ouvert.

En face j’ai enfin accès à une vue sur l’extérieur, qui est bien trop calme.

Je continue mon chemin.

Direction l’étage inférieur où se situe les salles d’embarquement.

Niveau animation on a vu mieux.

Le foot en Italie c’est sacré, mais pas au point de rouvrir la boutique.

Le marquage pour la distanciation physique est on ne peut plus voyant.
Cela me permet d’y poser mon bazar. 

Restons dans les spécialités italiennes.

Il est l’heure de se restaurer, sauter un repas n’est pas dans mes habitudes.

Gel hydro alcoolique un peu partout.

Les toilettes sont propres.

On annonce le début de l’embarquement en demandant de respecter le marquage au sol pour les gestes barrières et c’est sans bousculades que la file se met en place.

L’agent vérifie nos pièces d’identités alors que nous sommes masqués et récupère nos feuilles de renseignement.
Il n’y a pas eu d’appel pour les passagers en J, ni encartés.
Les bus nous attendent. 

Au loin Air Dolomiti est bien présente, cela a failli être mon destrier mais le temps de me décider, le lendemain le prix du billet avait doublé (conclusion : laisser place à son impulsivité et oublier la raison).

Le bus démarre, celui-ci n’est pas plein afin d’avoir de l’espace.
Vous pouvez voir au loin l’A220 de Swiss qui n’est pas bien loin.   

Nous stationnons devant l’avion mais visiblement l’avion n’est pas prêt, donc nous pouvons rester enfermé dans un bus sans climatisation.
Au bout d’un moment certains passagers commencent à s’énerver.
Le chauffeur klaxonne pour faire comprendre aux agents qui sont à la porte de l’avion qu’il serait bien de se bouger.
Ouf un pouce levé d’un PNC donne le feu vert à l’ouverture des portes du bus. 

J’ai un siège en fond de cale, la machine pensant qu’un siège milieu allait me convenir, j’ai vite migré au fond de l’avion sur une rangée de 3 place encore libre à ce moment-là.
En bonne habitué des voyages en avion je me dirige vers l’escalier en porte arrière, mais aucun agent n’indique ce qu’il y a lieu de faire.

Quelques photos, c’est le même avion que hier.  

La porte sous le soleil italien.

Et fuselage shot.

La marche est haute.

a bord du vol lx1675 pour zurich

Je me dirige vers mon siège, à nouveau une personne est déjà installée au couloir et doit donc se lever pour me laisser passer.

Et le comble : des personnes d’un âge plus avancé sont montés à l’avant alors qu’ils sont assis à l’arrière et doivent donc remonter l’avion alors que les passagers qui sont montés à l’arrière arrivent dans l’autre sens provoquant des croisements de passagers qui ne sont pas ce qui se fait de mieux niveau distanciation.

On nous distribue un nouveau formulaire de traçabilité à remplir pour la Suisse, ainsi que la lingette désinfectante.

L’IFE est en fonction aujourd’hui.
43 minutes de vol, c’est un vol bien court. 

Je ne nettoie plus, je désinfecte.

Cela prend du temps de remplir les soutes avec toutes nos affaires.

Chouette le siège milieu va rester vacant, sauf pour un chapeau.

Le temps de faire un tweet, mon téléphone me propose le réseau d’un joueur de tennis, dommage je n’ai pas le code d’accès.^^

On nous explique qu’il nous faut porter le masque durant l’intégralité du vol.

Air dolomiti qui atterrit.

Les consignes sont diffusées.

Puis nous effectuons un demi-tour pour nous diriger vers la piste.

Nous roulons jusqu’à la raquette, et l’on tourne pour s’aligner.

Les moteurs sont en mode rugissement car la piste est courte et nous ne sommes pas léger.
Le pilote lâche les freins et c’est à toute puissance que nous entamons notre décollage.  

V1 Rotate, puis on tourne à droite, ce qui me permet d’admirer cette petite piste.

C’est une zone bien urbanisée.

La notice pour les amateurs.

Le paysage change vite, et comme à l’aller, je savoure mon plaisir de profiter des paysages.

Une PNC passe nous distribuer des flyers.

Un rappel des gestes barrières.

Le service a commencé et il sera intégralement effectué.

L’aéroport de Bergame-Orio

La boisson d’Atlanta m’aidera à rester en forme pour le retour en voiture.  

Lac de Come

Puis les Alpes

Et enfin le chocolat.

C'est toujours aussi beau.

Cette fois ci ce sont bien les lacs suisses.

Rapperswil-Jona et son musée polonais ^^

Puis l’approche sur Zürich, c’est quand même mieux lorsque la météo est ensoleillée.

Les riverains doivent être moins content que les activités reprennent.

Et nous nous posons en douceur cette fois ci ;

Aéroport international de Zurich

SQ au loin, voilà qui donne des envies de voyage lointain mais qui ne sont pas encore possible.

Swiss à également son lot d’avion en stockage.

Edelweiss est en force.

Le nouveau neo d’Aegean.

Et nous nous parquons juste à côté.  

Les habitudes sont là : les amateurs de danette également.

Nous devons attendre quelques minutes pour pouvoir nous avancer.

Et en arrivant devant le cockpit je constate un agent de sécurité qui barre la route à un éventuel intrus afin de préserver le VIP qui taille la bavette avec les pilotes.

Direction donc la passerelle. 

Puis une petite marche à travers un aéroport bien calme.

Vérification du numéro du carrousel.

Ou la Bretzel valise sera la dernière à sortir.

Je quitte l’aéroport pour reprendre la route vers la maison.

Mais je n’y resterai qu’une petite semaine, je retourne dans un aéroport dimanche prochain pour le début de vacances bien spéciales car cette année ce sera 5 pays qui seront traversés durant 3 semaines, en mode famille recomposée d’un nouveau genre (j'hésite entre les Daltons ou la famille Adams en comparaison), quelques vols qui j’espère auront lieu (7 sont achetés) car actuellement nous ne sommes certains de rien et beaucoup de bonus à venir, enfin si je ne casse pas les différentes voitures qui vont être louées.

Indice de la première étape : cherchez l'ours.

Merci pour la lecture et les commentaires. 

bonus