Avis du vol entre Paris et Toulouse en classe Economique avec Air France

Introduction

Bonjour à tous !

Pour mon premier Flight Report, je vous propose un vol Paris Orly –> Toulouse sur la navette Air France. C'est parti, direction le soleil toulousain pour une semaine de vacances !

L'arrivée à Orly

C'est en voiture que je me rends à l'aéroport d'Orly (une contrainte professionnelle m'impose de partir directement en voiture à mon retour). C'est donc à 7h30, avec 2h d'avance que j'arrive au parking éco. Parking qui porte très mal son nom puisque garer sa voiture pendant 1 semaine coûte la modique somme de 160€ (c'est plus cher de garer sa voiture que de prendre l'avion) !!! 

En bonus, ce prix économique donne le droit de se garer à distance du terminal mais un bus vous y amène en 20 minutes environ (en incluant les 10 minutes pour attendre le bus). 

Le terminal 1 d'Orly

A peine arrivé dans le terminal 1, je découvre que mon vol est annoncé avec 45 minutes de retard. Une petite vérification sur Flight Radar me permet de voir que l'avion du jour est en vol et est prévu d'arriver à Orly avec 45 minutes de retard, donc le nouvel horaire annoncé semble plutôt fiable.

Pas trop de monde dans le terminal en ce lundi matin. L'enregistrement se fait sur une borne puis la dépose des bagages sur une autre borne. Aucune attente, tout est expédié en moins de 3 minutes.

Idem, pas d'attente au PIF. La salle d'embarquement après le PIF est par contre toute petite et pleine de monde. Comme l'avion est en retard, je choisis de ne pas passer le PIF et je me dirige vers l'enseigne Paul, ce qui me permet de profiter d'un petit-déjeuner avec vue sur un Vueling stationné au loin et sur l'arrivée d'un vol Air France.

Après une bonne heure de pause, je passe le PIF en moins de 5 minutes et me retrouve dans la salle d'embarquement, blindée de monde, impossible de s'asseoir.

L'avion du jour est bien arrivé. Il s'agit de F-GTAO, un A321 âgé de 13 ans qui se prépare pour nous emmener vers la ville rose.

Devant la porte d'embarquement, une belle affiche nous vante la ponctualité de la compagnie nationale. Dommage, ce ne sera pas le cas aujourd'hui. D'ailleurs, un passager a ajouté une petite inscription au stylo sur l'affiche (je vous laisse imaginer la raison de son message). 

Embarquement et inspection du siège

L'embarquement se fait via une passerelle aveugle. Tentative de fuselage shot via la seule petite ouverture disponible.

Installation à l'arrière de l'avion, près de la fenêtre. Inspection détaillée du siège : propre à l'extérieur mais sale à l'intérieur (de la pochette). Le pas est juste adapté pour mon 1m80. Présence également d'une prise USB et d'un logo indiquant la présence du wifi à bord.

Pendant que l'embarquement se poursuit, les bagages sont chargés dans la soute. L'application Air France permet de vérifier que son bagage a bien été scanné et chargé dans la soute.

En attendant le repoussage, on croise des collègues du sud-ouest de l’Europe (2 espagnols et 1 portugais)

On repousse finalement avec plus de 50 minutes de retard, ce qui permet de voir les navettes Air France stationnées les unes à côté des autres. Le roulage est très rapide et on décolle très vite, avec tout de même près de 1h de retard.

Le vol

En à peine une minute, on se retrouve au dessus de la grisaille parisienne. L'ombre de l'avion se déplace avec nous sur les nuages.

Il est temps de tester la connexion WiFi. Un réseau AirFrance est bien disponible. Il propose d'envoyer gratuitement des messages. Pour surfer sur Internet, il faut payer 3€. Malheureusement ces 2 services seront inactifs tout au long du vol avec un message indiquant "connexion satellite interrompue".

Malgré ce problème, la connexion permet un accès à la géovision et au suivi du vol, ce qui est super !

C'est au dessus de la Creuse (la rivière) et de ses boucles que nous quittons la couche nuageuse.

Viens ensuite l'heure de la célèbre collation. Sucré ou Salé ? Pour moi ce sera un thé et des biscuits salé, à déguster au dessus de la Corrèze et de la ville de Tulle.

Le vol se poursuit et on passe au dessus d'une nappe de brouillard qui suit le parcours de la Dordogne…

Et on poursuit notre survol des plus belles rivières du centre de la France avec les gorges du Lot

Le temps passe et nous finissons par arriver en vue de Toulouse

Après un demi-tour au sud de la ville, l'approche se fait avec une superbe vue sur le centre ville

Atterrissage sans problème à Toulouse. Lors du roulage, on aperçois les Beluga d'Airbus et un avion DHL stationné sur le tarmac.

Fin du vol, notre avion vient stationner au milieu d'une armada orange

La sortie de l'avion et de l'aéroport se fera rapidement, si bien que je n'ai même pas pris le temps de prendre des photos (pressé aussi de sortir car on est arrivé avec près d'une heure de retard au final).