Je vous retrouve pour un A/R express à Oslo. Ce vol a été réservé 15 jours avant le départ, nous cherchions une destination pour un week-end de septembre et je dégote un tarif à 100 € A/R avec Norwegian. Cela faisait un moment que nous voulions découvrir cette capitale scandinave et je me dis que c'est une bonne occasion d'essayer la compagnie nationale qui fait tant parler d'elle. Heureuse surprise à la réservation, je découvre que les deux vols seront opérés par EuroAtlantic Airways. Il n'existe qu'un seul FR (sur un vol effectué en 2015) sur cette compagnie de leasing.
EuroAtlantic Airways
Cette compagnie portugaise effectue des vols charters avec équipage. Elle dispose de six B767-300ER, un B777-200ER, un B737-800NG et un Cessna Citation CJ3. Leur site internet est très bien fait et permet de consulter le plan des cabines et des équipements disponibles.

Sur les six 767, 3 sont équipés en full Y et parmi eux un est équipé de wifi.
Le site de Norwegian est très bien fait et très clair. En quelques clics, la réservation est effectuée. Sans ambiguïté, il est bien précisé que les deux vols seront opérés par EuroAtlantic Airways.
Vous noterez que les horaires sont parfaits pour un week-end avec un départ le vendredi soir et un retour le dimanche soir (même si on regrettera que le vol retour ne soit pas un peu plus tard pour profiter de la journée).

Norwegian propose la réservation de sièges (payante bien sûr). En consultant le plan de cabine, j'ai la bonne surprise de constater que la configuration est en 2/4/2 (c'est d'ailleurs étonnant que le plan de cabine d'une compagnie tiece soit disponible). Je bloque un duo de sièges à la première rangée en 1H et 1K.

A CDG1
Nous nous rendons à CDG par le RER. Juste avant d'arriver, une annonce (à peine audible) nous informe que pour une obscure raison le terminus de ce train sera CDG1 et non plus CDG2. Norwegian part du T1, donc pas de conséquence pour nous, mais inutile de vous décrire les regards remplis de stress et d'incompréhension des touristes (pas d'annonce en anglais bien sûr…).

Certes il y a le CDG-val, mais c'est vraiment nul ce RER B… Vivement le CDG express !
Le CDG-val nous amène par cette belle fin d'après-midi au T1. Je suis toujours étonné par cette architecture où le béton nu est roi.

Pour rejoindre le terminal, les tapis roulants sont HS, donc il faut descendre les marches à pied.

J'avise le FIDS avec les vols de la soirée. C'est très varié en terme de compagnies, ça change du 2E…

Voici notre vol, prévu à l'heure (pour l'instant…).

Direction la zone 5 à gauche pour l'édition du BP.

Un seul guichet pour DY à ce moment-là et il y a déjà un peu de monde.

Notre valise cabine entrant dans les standards requis, inutile de faire la queue.

Nous pouvons donc éditer nos BP à ces bornes, au design très réussi.

Nous voilà munis du précieux sésame. Il est bien précisé que le vol est opéré par EuroAtlantic. Je note que j'ai le numéro de séquence 0001 !

Je reconnais ce restaurant que nous avons découvert trois semaines plus tôt avec Opoman et Marcety.

Une maquette du T1 en Lego. Amusant mais pas très utile pour se repérer…

Pas grand chose à faire ici, direction donc le PIF.

Les fameux tubes.

Et le passage souterrain menant au satellite.

Personne au PIF, comme bien souvent.

Nous voilà donc airside, il nous aura fallu moins d'une demi-heure en prenant tout notre temps. Les vols de la soirée dans notre satellite : 2 vols A3, 3 vols SK et 2 vols DY.

En attendant d'embarquer…
C'est bien connu, l'architecture de ces satellites est désastreuse pour ce qui est d'accueillir du monde. La preuve en images.



C'est littéralement blindé et il est difficile de trouver deux places côte à côte pour s'asseoir.
Il y a bien un lounge SAS, mais ce n'est pas mon BP Norwegian qui m'en ouvrira les portes.

Je note d'ailleurs les critères d'éligibilité de ce salon qui exclut les pax business : les pax J non Gold d'A3 et SK doivent apprécier…

Il va donc falloir nous résoudre à se trouver une petite place. Pas simple…

Madame réussit trouver une place et je fais un petit tour pour profiter (on ne peut pas lui retirer ça) des belles vues sur les pistes qu'offre la salle d'embarquement.
A3 pour Rhodes.

Un Coréen masqué qui passe devant nous.

CA au parking non loin de nous.

Un 773 d'AF. Je reconnais cet appareil à sa livrée "signature", c'est lui qui m'avait emmené à SIN il y a quelques mois !

Un 737 SK.

A chaque embarquement, un énorme bouchon bloque la circulation dans la salle d'embarquement. C'est vraiment mal fichu.

L'heure tournant, les pax font leurs emplettes dans les quelques commerces présents. Ici aussi il y a la queue.

C'est un peu plus calme de l'autre côté, vers les toilettes. Des bornes de jeu vintage sont disponibles, un jeune pax s'y essaie avec un succès relatif.

Ah ! que de souvenirs de jeunesse !

Peu après 19h, je reçois un SMS de DY, m'informant que mon vol aura 50 minutes de retard.

Pourtant, le FIDS reste optimiste avec un départ on time.

L'info est toutefois rapidement confirmée par FR24, avec une arrivée de l'appareil prévu à 21h06.

Je note que c'est donc CS-TST qui sera notre convoyeur du soir, un gamin de 17 ans.
Entretemps, Madame a réussi à trouver deux places un peu plus au calme et qui est plus près des baies vitrées.

Comme DY précisait qu'il n'y aurait pas de repas possible en vol, nous avons pris nos dispositions. Ce repas diététique était prévu en vol, mais puisque nous avons du retard…

Mais me direz-vous, comment ouvrir une bouteille de vin airside sans tire-bouchon ? Réponse : en demandant gentiment au cerbère du salon SAS :-)
Le ciel prend une belle couleur et je profite du ballet des avions.


Coucher de soleil rougeoyant sur CDG.


Autre point noir de cette salle d'embarquement : la difficulté à trouver des prises. Il y en a quelques-unes près de certains sièges, mais la plupart sont HS.

Comme l'a indiqué FR24, notre appareil arrive un peu après 21h.

La porte d'embarquement est préparée, mais il faut attendre le débarquement des pax en provenance d'OSL.

Malgré l'heure avancée, il y a encore beaucoup de monde en salle d'embarquement et ce n'est pas très agréable.

Certains passagers prioritaires sont appelés à embarquer. En attendant, nous discutons avec un Français coutumier de la ligne. Avec le retard de l'appareil, nous risquons de rater le dernier Flytoget, le train express qui doit nous conduire à Oslo.
Puis c'est à nous d'embarquer.

Voici une photo un peu plus potable de notre destrier de ce soir. Un gros porteur sur un vol de moins de 2h, c'est du luxe ! et j'ai du mal à cacher mon excitation à vrai dire.

Le jetbridge est aveugle.

Accueil en porte.

Fuselage shot.

Et instant… pas porte ! eh oui, sur cet appareil la porte se soulève et entre dans le fuselage. Le drapeau portugais est fièrement affiché.

Accueil assez quelconque par les PNC, qui nous indiquent de tourner à gauche.

Le flight report
D'ordinaire, tourner à gauche en entrant dans l'avion c'est plutôt bon signe, mais là, pas de stupre ni de luxure, car c'est du full Y…

La petite cabine de 9 rangées située à l'avant de l'appareil. La première impression est plutôt bonne, les tons beige rehaussés par les têtières rouges sont plutôt élégants.

Vue sur la grande cabine.

Nos sièges au bulkhead.

Le pas au 1er rang est vraiment appréciable et significativement supérieur à celui des autres rangées. En revanche, c'est dommage il manque un hublot.

Attention, le pas est moindre sur les sièges du milieu.

Je passe une tête au galley et en profite pour essayer d'échanger avec la PNC présente, qui ne sera guère encline à discuter. Bon, ambiance…
Ce vent ne m'empêche pas de vous montrer la porte 1L.

Et les trolleys qui eux sont bien Norwegian.

Les têtières sont également au logo de DY.

Faisant le tour du siège. Le revêtement en faux cuir est plutôt qualitatif mais ne nous leurrons pas, c'est un siège en mode planche à repasser.
Sur ces sièges en bulkhead, les tablettes sont situées dans les accoudoirs.

L'accoudoir héberge également les boutons d'appel PNC, d'éclairage et d'inclinaison du siège.

La cabine est équipée de trois écrans principaux, mais ceux-ci resteront éteints durant tout le vol.

Tandis que je découvre la cabine, un diable rouge passe près de nous.

Moment amusant : une pax norvégienne vient me voir et me demande un peu inquiète pourquoi je prends de nombreuses photos. Je lui explique que je suis passionné et que c'est une compagnie et un appareil peu courants. Elle n'est pas rassurée car sans plus doute plus habituée aux appareils et équipages DY, mais je la rassure sur la sécurité du vol et la fiabilité de l'appareil et de la compagnie. Elle repart soulagée !
Inspectons la littérature de bord. Voici les consignes de sécurité.

Je ne me souviens pas d'avoir déjà vu une seconde fiche de consigne spécifique aux issues de secours.

Le magazine de la compagnie (que j'éplucherai plus en détail lors du vol retour).

Et enfin la carte du BoB.

Les solides.



Les snacks.

Et les liquides.


Nous n'avons rien commandé donc je ne pourrai pas vous en dire grand-chose, mais pour vous donner une idée des prix, 10 NOK (couronne norvégienne) = 1 euro.
Et pour finir, un vomitobag bien décoré.

La cabine n'est pas bien pleine ce soir.

En tout cas je suis ravi de pouvoir étaler mes gambettes.

Bon, la cabine n'est pas toute jeune, et ça se voit. Ainsi ce profilage de polystyrène qui bidouille…

Le PSU pour les amateurs.

La moquette est sale… beurk.

Une vingtaine de minutes après le début de l'embarquement, nous repoussons. Les PNC portugaises exécutent les démonstrations de sécurité.

Décollage et vue sur CDG.

Les rideaux sont rapidement tirés et les PNC s'enferment au galley pour papoter entre elles.

Dès que le signal lumineux est éteint, je me lève et me balade un peu dans l'appareil. La seconde cabine, un peu plus remplie que la première.

Les toilettes, vintage mais propres.

Instant porte en 2L, plus vintage encore !

Certains passagers ont profité du faible remplissage pour transformer les sièges libres du milieu en couchette.

Les PNC seront quasi absentes pendant tout le vol. Elles passeront proposer sans grande conviction du BoB, mais fera plus d'aller - retour dans le coffre à bagage où elles ont rangé leurs affaires, claquant celui-ci vigoureusement à chaque fermeture. Pas classe…

Nous ne tardons pas à arriver en vue de la Norvège.


En approche sur OSL.

Nous atterrissons à minuit, avec 30 minutes de retard. Le commandant de bord aura réussi à récupérer une bonne partie de notre retard.

Le patron des lieux.

Le roulage est rapide. Instant Danette.

Bye bye !

Ce sera un débarquement par la porte 1L.

Les équipements "électroniques" trahissent l'âge de l'appareil.


La porte s'ouvre donc par le haut (c'est assez surprenant à voir lorsque l'on ne s'y attend pas).

Nous débarquons dans la froidure norvégienne.

Le jetbridge vitré me permet de prendre le museau de notre destrier du soir. Rendez-vous pour le retour dans 2 jours !

L'arrivée à Oslo
C'est la course pour prendre le Flytoget. Il est 00h05 et le prochain train est dans 5 minutes. Certains pax (dont le Français avec qui nous avons discuté avant l'embarquement) courent à travers les couloirs. Si on rate celui-ci, c'est 20 minutes d'attente.

Je prends quelques secondes quand même pour dire bonne nuit à notre 767 vintage.

OSL est bien désert à cette heure-ci.

Le train pour Oslo est bien indiqué.

Le Flytoget de 00h10 partira devant nous… Il nous faudra donc attendre 20 minutes dans la fraîcheur norvégienne avant que le suivant n'arrive.

Le Flytoget est parfait pour rejoindre Oslo : rapide (20 min), ponctuel, propre, confortable, safe, équipé de wifi. Bref tout ce que n'est pas notre RER B national. Bon, il coûte tout de même 200 NOK aller simple (20 €), mais c'est dix fois moins cher que le taxi (n'est-ce pas Opoman ? ;-)

A bientôt pour le retour !
Le vol sur FR24

Merci pour ce FR!
Voler en 767, bel oiseau qui se fait rare dans le ciel européen, est bien le seul avantage de ce vol: la cabine est agréable au premier rang et les harmonies ne sont pas mal, mais 2-4-2 sur un 767 c'est hyper dense (d'habitude, il me semble que la configuration du 767 en Y est plutôt en 2-3-2). Pour ne rien arranger, ne nettoyage est mal fait... Je n'aimerais pas faire de vols LC à bord de cet appareil!
L'équipage n'ameliore pas le tableau: c'est dommage de choisir ce métier si l'on n'aime pas l'interaction avec les pax...
Seul le BoB ne semble pas mal, mais manque de chance ce n'est pas vraiment grâce à EuroAtlantic!
Merci également pour le bonus 1ere partie!
À bientôt!
Merci pour le commentaire.
Effectivement la configuration est un peu dense, mais au premier rang le pas compense (rime involontaire !).
Je ne ferai pas non plus un LC dans cette cabine, surtout avec cet équipage !
A bientôt.
Merci pour ce FR insolite !
J'ignorai qu'il était déployé vers CDG, il est en revanche très souvent envoyé à Nice et Barcelone.
L'avion a l'air en relativement bon état malgré son âge avancé.
Dommage pour l'équipage, ce n'est pas étonnant dans le sens où c'est un affrètement. C"est souvent le cas et c'est bien dommage !
A bientôt !
Merci Nico pour le commentaire.
C'est un coup de chance, je cherchais des vols pour OSL et je suis tombé dessus aux bonnes dates.
Pour l'équipage, ce n'est pas une fatalité, celui du retour était bien plus avenant.
A bientôt !
Merci pour ce FR !
Le CDG express ? Ce n'est pas pour demain...
Le T1 est toujours assez sympa au niveau architectural même si l'étroitesse des lieux se faire ressentir, les avions n'ont plus la même capacité qu'auparavant.
Ce 767 d'Euro Atlantic est une bonne surprise sur le plan avgeek ! En effet, il faut un peu de loterie pour en prendre un même si ce n'est pas si difficile que cela.
La configuration, tout en Y est surprenante mais cela reste tout de même, un appareil cantonné à de la location pour des compagnies qui ont besoin de capacités ou qui ont une clientèle low-cost comme DY.
À bord, il y a pas grand chose à voir entre l'absence de catering gratuite et les vues extérieures absentes en raison de la nuit. De plus, il semblerai que les PNC soient plus enclin à jacasser entre elles au galley que faire le minimum syndical auprès des clients.
Bref, on retiendra surtout la prise du 767 et rien de plus.
À bientôt
Merci Gaetan pour le commentaire.
Hélas...
Ce n'était à vrai dire pas l'objectif initial, mais j'ai eu de la chance et j'étais très impatient à l'idée d'emprunter cet appareil. Pour un vol de 2h, c'est très bien, pour un vol MC plus long ou un LC, no way. A noter qu'EuroAtlantic propose des 767 équipés d'une classe affaires.
Dommage effectivement que le vol de nuit ait empêché la prise de vues extérieures, surtout à l'arrivée.
A bientôt.
Ben ça alors, un salon qui n'accepte pas les passagers Business.
Déjà que la Business Class SK n'est pas terrible, raison de plus de ne pas acheter de billet J sur SAS au départ de CDG.
Bon point, il n'est pas au sous-sol sans lumière extérieure comme celui de LH
"Mais me direz-vous, comment ouvrir une bouteille de vin airside sans tire-bouchon ?"=> j'allais plutôt demander: comment a-t-elle pu passer la PIF?
Ces hôtesses feraient mieux de rester travailler pour Euro Atlantic. Elles seraient épuisées chez Norwegian à vendre du BoB
Norwegian, autre victime du moteur RR du B787.
Merci Stéphane
Merci Bernard pour le commentaire.
J'étais moi-même étonné pour le salon SAS. Mais je ne le critiquerai pas trop, c'est grâce à lui que j'ai pu ouvrir ma bouteille !
Pas de mystère, nous avons pris la bouteille au "duty free" de la salle d'embarquement.
A bientôt !
Bonsoir,
Merci pour ce FR un peu insolite sur un chouette appareil. Dommage que l'équipage soit si peu aimable...
Le bonus est sympa, merci!
A bientôt!
Merci Adrien pour le commentaire.
Un vol MC en gros porteur est toujours un plaisir avgeek, et surtout en 767, pas si courant dans nos cieux.
Heureusement l'équipage sera plus sympa au retour.
A bientôt !
Bonjour. Pour avoir passé 5h à attendre un vol retardé de TK je confirme que ce terminal n’est pas top.
Belle cabine pour du MC mais en effet l’équipage pas top comme souvent le cas sur ces compagnies d’affrètement de type Wamos.
A bientôt
Merci Hamza pour le commentaire.
5 heures d'attente dans cette salle d'embarquement, vous n'avez certes pas eu le choix, mais je vous admire quand même...
Un combo compagnie / appareil atypique sur cette route, heureusement l'équipage au retour remontera la note !
A bientôt.
Merci Stéphane pour ce super récit très détaillé. Il faut être avgeek pour apprécier un vol en 767 en 2019. Comme dirait un ami commun : on adore ! Le découverte d’une nouvelle compagnie, un gros porteur sur un vol inter européen : difficile de résister ! La cabine full Y est sympa mais je n’aimerais pas y faire un vol en long courrier ! Les PNC semblent totalement désintéressées des passagers et effectuent leur job de façon mécanique , c’est franchement décevant. Pas de prestation à bord mais tu le savais et chest la règle avec Norwegian ( que tu n’auras finalement pas essayé ! )
Merci Christophe pour le commentaire.
J'ai eu de la chance en dénichant cette opportunité d'essayer un 767 en MC européen. Comme bcp ici je n'essaierai pas en LC, surtout avec un tel équipage.
Pour l'absence de prestation, nous avions anticipé donc pas de problème pour nous.
A bientôt !
Merci Stéphane pour le partage !
Toujours sympa de voler en wide body et en plus sur un affrètement ! Après ça reste effectivement une cabine densifiée en 2-4-2 au lieu du standard 2-3-2 pour les 76S.
Dommage d'avoir un équipage aussi désintéressé.
Très joli bonus scandinave, il me tarde de voir la suite au retour.
A bientôt !
Merci Stephan pour le commentaire.
J'ai effectivement constaté que d'ordinaire les 767 sont en 2/3/2. On est clairement dans une logique d'affrètement haute densité, j'étais donc d'autant plus étonné par le faible remplissage.
La suite arrive ;-)
Merci Stéphane pour ce FR.
De très bons horaires pour un week-end.
Un 767 c’est une très bonne pioche.
une bouteille de vin airside sans tire-bouchon => voilà de quoi passer une attente de la meilleure façon qui soit, mais quid des verres ?.
Une photo à la porte d’embarquement mériterait un petit coup de floutage
PS : Pour avoir une base de données cohérente, il faut remplir les horaires publiés (théoriques, donc) de chaque vol, ici tu as mis les réels.
Merci Valérie pour le commentaire.
Un horaire idéal, un 767 sur une compagnie originale, un tarif défiant toute concurrence, une destination intéressante : la recette d'un bon week-end ;-) Il ne manquait plus que des musées ouverts :-( cf. FR retour à venir.
A vrai dire nous avions prévu notre coup : nous avions pris des verres avec nous...
C'est corrigé pour les horaires et le floutage.
A bientôt !
Merci pour ce FR ! J'ai eu moi aussi le plaisir de prendre cet avion cet été (FR à venir), mais j'avais eu plus de chance au niveau de l'équipage. Une bien belle prise AvGeek, car un vol intra-européen en 767 et sur une compagnie qui ne fait aucun vol en propre, ça ne court pas les rues en 2019 !
Le très bon tarif s'explique lorsqu'on voit le faible taux de remplissage !
A bientôt pour le retour, sur le même avion sans doute !
Merci pour le commentaire.
L'équipage a été meilleur au retour.
J'ai eu de la chance de trouver cette occasion, comme bcp ici j'adore prendre un wide body sur un MC ;-)
Sans doute, mais le vol était plein au retour !
A bientôt (eh oui sur le même avion)
Bonjour Stéphane et merci pour ce FR,
Horaires au top pour un week-end dans le nord.
Sympa l’apéro pré-embarquement ! J'ai eu des américains dans un TGV la semaine dernière qui avaient apporté de la cochonnaille et du fromage qui devait être bon vu les effluves dans le wagon et 3 bouteilles de vin : brunch très sympa, ça faisait envie !
Vol en B767 avec cette compagnie, c'est une belle prise pour 1 AvGeek.
La cabine est ancienne, densifiée à mort mais pour 2h de vol, ça passe bien d'autant que les 2 sièges en bulkhead sont très confortables au niveau pitch.
PNC absentes : là encore, pas de quoi s’énerver pour la durée du vol, c'est du LCC et le prix est bon.
Joli bonus, on attend la suite !
A bientôt !
Merci pour ce FR, avoir un 767 est une bonne option lorsque l'on est AVGeek, car bien plus rare et intéressant que le basique 737-800 de la compagnie dont l'absence (très longue) du 737 Max ne doit pas aider. Pour le reste sinon on est dans un vol bien faiblard, mais au prix tout doux.
"Vivement le CDG express !" à voir, car à plus ou moins 25€ le billet je doute du succès... Surtout si le métro fini par le rejoindre avec le grand Paris.
Merci du FR et à bientôt
Merci pour ce fr.
C'est top d'avoir un 767 sur un petit vol comme ça, qui en plus est tout sauf plein, donc plus agréable.
Le terminal 1 à CDG est bondé et ne donne pas envie.
Dommage pour l'équipage.
A bientôt.
Tiens, j’avais vu ce 767 à Nice, opérant un vol pour Norwegian. Il y a le plaisir de voler en 767 mais pour la plupart des passagers les 737 de Norwegian sont plus intéressant avec du divertissement et le wifi.
Merci pour ce Fr!
Merci Stéphane pour ce FR.
Belle entrée en matière pour "Paris vous aime".
Ou comment faire entre un cube dans un trou rond, le lego n'est pas très circulaire à la base.
Tout aussi bondé.
Quelle attente, mais vous aviez certainement la meilleure des positions pour patienter. Bravo !
Pas de prix en euros, quel impair pour vendre ses produits à des pax qui ne sont pas agents de change professionnels !
Sympathique bonus avec la stavkirk qui me rappelle mon périple.
A bientôt !
Merci Quentin pour le commentaire !
Tant que le cube est plus petit que le rond... ^^
Figure toi que je ne m'en étais même pas rendu compte !
A bientôt !