Avis du vol entre Munich et Paris en classe Economique avec Lufthansa

Bonjour, bonsoir à tous.

Voici mon dernier vol avec Lufthansa cet été, entre Munich et Paris. Rien de bien exceptionnel sur ce segment, présentant peu d'intérêt avgeek, et laissant peu place à une introduction riche et cocasse, passons au routing, qui se pare de rouge. 
 

Marcher 45minutes après un tel vol peut se révéler un calvaire, mais également permet de bien se dégourdir les jambes. Quoi qu'il en soit, on nous annonce un temps de marche de l'ordre des 25minutes. C'est qu'il ne sont pas prêts pour mes performances athlétiques, car j'avalerai ces centaines de mètres en une quinzaine de minutes seulement.

Le temps passe assez rapidement, car on a vraiment galérer à trouver pour petit-déjeuner.. C'est assez vide.

Il a de quoi spotter : un 773 d'Air China qui arrive juste de Beijing

Pas grand monde ici

Petit tour de métro ensuite, toujours pour chercher à manger

Air Canada en nouvelle livrée. J'ai un peu l'impression qu'ils essayent de recopier le masque de Zorro d'Airbus des nouveaux modèles.

Lufthansa en A340

Et un bout d'A350.

après avoir trouvé des bretzels, retour au concourse K. Les tapis roulants se mettent en route au passage des piétons. 

L'embarquement va bientôt début, le temps de dégainer les papiers de voyage, notamment mon passeport qui ici m'autorise le passage par PARAFE, mais qui arrive bientôt en bout de vie, autant au niveau de la péremption que de la place pour les tampons. 

Notre appareil stationne à côté d'un A319 de la SAS.

l'instant porte pour master esteban

Notre appareil est un A320NEO, en ancienne  livrée

Le pas est correct

Même si je suis un peu encombré par ce joli chapeau tout droit ramené du Viêt Nam.

A côté, un A321.

Tandis qu'arrive un 350

Le roulage commence à 8h45 soit avec 5 minutes d'avance. On passe devant quelques compagnies étrangères dont DL, BA, AA et ElAl

On attend un peu en bout de piste. Deux rangs devant moi se trouve le petit Raphaël, qui doit bien être âgé de 7 ans mais qui refusera obstinément de voyager sur son siège, au moins pour lé décollage. Malgré l'acharnement d'un excellent steward, parlant français (car il s'agissait d'une famille française) pour tenter de le convaincre, Raphaël décollera finalement sur les genoux e sa mère., avec les petites ceintures adaptés aux enfants en bas-âge. Le steward a été génial, parce que le petit hurlait vraiment (et hurlera pendant tout le décollage et tout l'atterrissage sur Paris). Je ne sais pas si c'est juste un enfant malélivé comme on dit en Guadeloupe, ou s'il a fait une crise de panique, ou un autre problème médical, mais le steward (et chef de cabine ) a été très pro. 

On grille la priorité à cet autre 320. Normal : c'est un -CEO, on est un -NEo, hé oui

On s'aligne, sous un beau ciel bleu

Et décollage!

Rotation. La région est, sans surprise, très verte, et c'est agréable que l'aéroport soit en milieu un peu sauvage,n que l'agglomération de Munich ne l'ait pas (encore) atteint.

On s'élève assez rapidement

Puis virage à gauche pour prendre une direction nord est

Ce qui nous laisse une très belle vue sur l'aéroport.

Aéroport ma foi plutôt agréable.

Et on atteint petit à petit notre altitude de croisière.

Quelques paysages allemand

Ansbach, à l'ouest de Nuremberg

La prestation arrive. Ce sera la boisson d'Atlanta pour moi

suivi du solide. Les équipes LH sont toujours en grève, mais cette fois, contrairement à l'aller, un petit quelque chose de substitution est proposé pour remplacer le sandwich.

A l'intérieur

Le biscuit en lui-même n'est pas dégueu, mais je n'aime pas le chocolat au lait. Du choc noir aurait été bien meilleur.

Dehors, ça s'urbanise: je pense que l'on passe juste au nord de l'agglo strasbourgeoise. 

Compactage rapide et pas si casse-tête

Puis, après être entré en territoire français, on retombe sur quelque chose de plus monotone, de plus Grand Est si je puis m'exprimer ainsi.

Reims ?

Là je n'identifie pas cette ville à l'est de Paris. On entre dans la zone polluée de la capitale, si ça peut aider.

Puis on passe Roissy par le nord. Ca sera une approche face à l'est

On aperçoit la région parisienne

Embrumée 

Virage à 180 sur la gauche.

Pour venir survoler les mêmes communes que six semaines plus tôt au décollage 

On finit notre virage

Et nous voici en finale 

C'est moins vert qu'en bavière (et ça rime)

Touchdown après une heure 10 de vol.

On ralentit assez brusquement

Pour dégager la piste rapidement

Une des tours de contrôle de CDG

SQ en A380 

Air china en 330. Je suis étonné de l'utilisation du 330 pour CDG et du triple7 pour Munich, mais peut-être cela vient du fait qu'il y ait deux vols quotidiens entre Paris et Beijing.

Tk en 330 aussi, DY derrière.

Encore DY

Le beau camembert

Instant danette plus ordonné qu'au Viêt Nam

UA arrive de je ne sais quel hub.

Et c'est réciproque pour moi!

Passage sous le tarmac, on boucle la boucle

Les bagages arriveront avec un peu de retard.

Le mot allemand pour (delivery expected) est tout simplement imprononçable pour tout humain normalement constitué.

flight radar 24

le trajet

Arrivée sur CDG

Merci pour votre lecture de ce court vol banal. C'est parti pour une dernière semaine de vacances dans la plus belle ville du monde (et oui à mon sens) et à bientôt pour le retour en GP. tchuss