Avis du vol entre Bordeaux et Zurich en classe Economique avec SWISS

Bonjour à tous,
Je vous retrouve pour un aller-retour dans la journée au départ de Bordeaux, pour un rendez-vous à Zurich.
Je ne reporterai que le premier vol et je vous publierai en bonus des photos du vol retour.
Il était convenu que ce rendez-vous ait lieu sous la forme d’un déjeuner et d’une discussion plus poussée sur un sujet ciblé, et le Vendredi semblait être le meilleur jour pour les deux parties, compte tenu d’une charge de travail certaine…
Étant rentré la veille de Paris, je me suis réveillé à 08h15 (j’habite l’hyper centre de Bordeaux) pour un vol programmé à 09h50… je vous passe le coup de stress et la prière pour que la rocade ne soit pas trop embouteillée.
Le temps de me doucher/habiller/dévaler les escaliers/récupérer la voiture/prendre la rocade, il est 09h13 quand je me gare au P2.

Je me dirige vers le terminal A qui accueille toutes les compagnies régulières (et un peu de Ryanair et Vueling depuis peu).

Je n’ai pas encore passé le PIF et le vol n’est pas encore passé en boarding.

Go le PIF !

Il n’y a pas trop de monde cette fois-ci et 5 minutes plus tard, je suis dans la file d’attente pour l’embarquement.

A travers la nourrice d’accès à la passerelle, on reconnait un Airbus de British Airways à destination de Gatwick et un Air Arabia à destination de Fès.

Jetbrige aveugle : à Bordeaux, Sixt a davantage la côte que HSBC.

Il s’agit de mon premier vol en A220, et le legroom est plutôt convenable.

J’apprécie les deux pochettes pour, entre autres, y loger mon téléphone (j’étais en communication à ce moment-là, les AirPods sont une invention fabuleuse).

Pas encore remis de ces émotions, Je m’aperçois que je me suis trompé de siège et je récupère mon trône ; j’avais en fait choisi un hublot.

J’aime mieux ces petits écrans aux écrans rétractables à la résolution imparfaite.

Pushback.

Pour les amateurs …

Le hangar de la société Airlec, qui opére des rapatriements sanitaires dans le monde entier.

Décollage à l’heure, c’est parti !

Il nous faudra 3 minutes pour passer au-dessus des nuages.

Douze minutes après le décollage, ce croissant nous est servi. Le goût est surprenant mais je trouve ça bon.

Un second passage est ensuite fait, pour les boissons cette fois-ci. N’ayant pas encore pris de café, je me lance et il est plutôt bon. Je l’accompagne d’un verre d’eau.

Une fois que les gobelets sont ramassés, des chocolats sont distribués. Swiss-branded chocolate.

Le vol est court et on arrive rapidement au début de descente.

On aperçoit bien la nature suisse : c’est plutôt joli !

On atterrit à 11h14, avec 6 minutes d’avance sur l’horaire.

American, Swiss, Delta et Singapore Airlines au contact.

Etihad, United et El Al s’ajoutent à la liste des compagnies présentes ce jour-là.

Je sors rapidement et monte dans le premier taxi que je trouve pour me rendre à mon lieu de rendez-vous.
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Je ne suis pas rentré seul à l’aéroport : un collègue résident à Francfort était avec moi et nous avons passé l’essentiel du temps à discuter. Je vous relate rapidement le parcours.
Nous sommes arrivés à 16h00 à l’aéroport.

Je serai invité au salon Schenghen mais nous passons notre temps à discuter et je n’ai bu qu’un café.
Le vol retour se fait à bord d’un Dash 400M opéré dans un appareil Austrian Airlines par un équipage éponyme.

Le spectacle nuageux est assez saisissant.

La collation est adaptée à l’heure : une baguette fraiche, beurre fromage.

Là encore, l’arrivée à Bordeaux est rapide…

… et pour la première fois, je trouve le cousin Lufthansa à Bordeaux !

On rejoint le terminal à pied, je retrouve ma voiture et retour chez moi après une journée riche en émotion et en enseignements.