Bonsoir à tous!
Voici donc comme annoncé le vol retour de notre périple Norvégien à Stavanger, avec quelques bonus touristiques à la fin.
L'aéroport se rallie facilement, en vingt minutes environ. prix de la course en car: une quinzaine d'euros. Comme à l'aller, le chauffeur, très souriant et avenant ( comme beaucoup de Norvégiens lorsqu'ils voient des mômes) ne me fera pas payer la place de ma fille et me fera même grâce de dix couronnes tandis que je trifouille dans ma poche pour chercher de la monnaie.
Arrivée donc aux alentours de midi à l'aéroport (oui c'est en avance, mais nous étions en plan avec une grosse valise, pas très pratique pour grapiller quelques heures de plus à cette jolie ville, et nous sommes fourbus après ces quelques jours bien remplis).


Première étape: aller me faire rembourser quelques couronnes sur les souvenirs que j'ai achetés dans une boutique en ville, ainsi que ça m'a été indiqué par le commerçant. Question de taxe apparemment.

Démarche rapide, qui ne me rapportera qu'environ six euros, mais étant donné la ruine que fut ce séjour, c'est toujours ça de récupéré.


Bon et bien… Allons imprimer nos cartes et notre étiquette bagage.


Un dépose bagage automatique en service, contrairement à notre aller en partant de Noce. Ca nous permettra de passer de suite en zone passager, malgré notre avance considérable.


Jolie, la projection de déco avec la mer en mouvement.


Passons les contrôles.


Ainsi fut fait. Petit au revoir aux trolls au Duty free


Moi qui suis féru de vikings, les magazines d'histoire Norvégiens ont l'air de tourner en boucle dessus. Dommage que je ne lise pas la langue, ça me fait envie ^^.


je n'ai pas souvenir d'avoir souvent vu de tels fauteuils


C'est parti pour quelques heures d'attente à flâner dans les duty free, plutôt bien achalandés pour cet aéroport de taille modeste (enfin pas tant que ça, Stavanger est la quatrième ville de Norvège et son aéroport a une certaine gueule).
Notre porte d'embarquement s'affiche. Hall presque désert, nous sommes parmi les premiers.






Avant de continuer, je précise que nous avons à nouveau un challenge, ce soir. Nous devons atterrir à 20h30 à Nice, et le dernier car pour Toulon est à 21h30. Autant dire que j'espère que notre vol n'aura pas de retard.
Notre oiseau arrive.
Et là, commence un manège de charge et décharge de bagages et de chariot repas sous nos yeux, avec un rythme qui me parait très nonchalant. Je vois les minutes défiler, l'heure du départ dépassée sans qu'aucun retard ne soit annoncé, et je commence à me dire que je vais perdre mon pari. Tant pis, fallait pas compter sur une low cost pour un horaire aussi serré , je n'ai à m'en prendre qu'à moi même.







Voir cet employé balancer ses jambes dans le vide de manière fort ludique il est vrai, m'énerve au plus haut point, je suis en stress, jamais nous ne serons à l'heure. Nous allons être bon pour payer une nuit d'hôtel à Nice.





Enfin c'est parti! Nous décollerons avec à peu près 25 minutes de retard.






Le siège n'est pas destroy comme à l'aller, mais le ménage n'a pas été fait.

Rien d'extra pour le pitch

On décolle. Moi qui m'imaginais survoler les fjords et faire des photos d'enfer, je repasserai. On rentre vite dans une purée de pois.







J'en peux plus, cinq jours sans pinard tant il était cher, je craque, un petite bouteille de vin Espagnol… Chère.

Le personnel, comme à l'aller, n'est ni désagréable, ni spécialement sympa, sauf quand on achète. Et voilà deux heure 50 de vol, entrecoupé de turbulences pas piquées des hannetons.
Quand Nice pointe le bout de son nez, impossible de faire une jolie photo à cause de la luminosité, pourtant, mes atterrissages préférés se sont passés ici.
tandis que que 20h30 sont passés, je suis en nage. Il me semble que le demi-tour de l'avion vers la méditerranée est bien plus long que d'ordinaire et que ça n'en finit pas. Non, jamais nous n'aurons notre car.



Enfin nous atterrissons (de manière fort rude encore une fois)



Il est 20h50 et une folle course poursuite va s'enclencher. Plus le temps pour la moindre photo. Tout me parait interminable. Le débarquement. L'embarquement dans un bis sur le tarmac pour faire 20 mètres. La livraison de la valise. Quand nous la récupérons, il est 21h15. Je n'y crois plus, mais il faut le tenter. Nous courons vers le bus pour atteindre le terminal 2, le tram arrivant trop tard. Mauvais calcul: bloqué dans les bouchons, le car ne parvient pas à se frayer son chemin. Arrivés au terminal 2, je galère pour trouver l'arrêt du car, et je laisse éclater ma frustration dans un ascenseur. Quand nous trouvons enfin l'arrêt, il est 20h35 et… Le car est en retard, quel bol! Il ne partira d'ailleurs qu'à 22h20. Tout est bien qui finit bien. Merci de m'avoir lu.
Merci pour le partage !
Effectivement c'est jouer avec le feu 1H00 entre l'atterissage, la récupération des bagages et le dernier car pour Toulon, surtout sur une LCC.
Mais finalement tout est bien qui fini bien.
Très joli bonus qui donne envie d'aller faire un tour à Stavanger.
A bientôt.
Merci pour ce FR.
La notation à 5 partout pour la compagnie c'est juste ?
Les pays nordiques sont onéreux.
25 minutes de retard : en espérant que le retard sera rattrapé en vol.
Ce n’est pas agréable de récupérer les déchets des passagers précédents.
Quelle course et stress , heureusement le car est en retard.
Joli bonus.
A bientôt
Bonjour et merci pour votre commentaire. Oui, la notation à cinq partout est délibérée.
Merci pour ce FR.
Vol quelconque, un manque de sérieux avec le nettoyage mal fait entre 2 rotations.
Le timing était vraiment short à l'arrivée, vous aimez la prise de risque, tant mieux que tout se termine bien au final.
Le bonus donne envie de faire un tour à Stavanger.
A bientôt.