Bonjour à tous et à toutes.
L'introduction
La genèse de ce voyage diffère de ceux effectués depuis mon retour en Europe.
Tout d'abord, il y avait une raison particulière à mon déplacement dans la capitale espagnole, alors que généralement cette année j'ai surtout voyagé par opportunisme tarifaire sur des destinations jamais ou anciennement visitées.
Ensuite, car le billet a été réservé seulement un mois avant le départ. Généralement, je planifie mes week-ends plusieurs mois à l'avance pour obtenir les meilleurs prix.
La motivation doit se chercher dans une exposition au Prado qui m'avait totalement échappé et dont vous aurez un petit aperçu en bonus sur le FR de retour. Bref, je dois me rendre à Madrid en pleine saison estivale depuis mes aéroports de proximité très germaniques et donc friand de paëllas…
Tout cela, à réserver en plein mois de juillet. Autant vous dire que ma banquière frisait la crise d'apoplexie avant même de lancer les comparateurs de prix.
Et effectivement, les billets sont très chers ex EAP, mais aussi ex ZRH. Les vols depuis SXB ne servent à rien (un peu comme cet aéroport, je le crains, enfin sauf pour Jules67500 et on SXB-BOD sur V7). J'ai essayé plusieurs dates, en vol dans la journée ou sur le weekend, les sites des compagnies ou les OTAs. Rien n'y fait. Je vais devoir passer à la caisse.
Puis, un éclair de génie (momentané, je vous rassure) me frappe (un homme qui se frappe, n'est qu'une brute).
Le fameux vol LATAM FRA-MAD. 5ème liberté synonyme de prix doux. FRA est un peu loin depuis chez moi, mais comme le vol part en soirée, cela me permet de faire un peu de tourisme en chemin dans la journée. Allemagne+Madrid, deux produits en un. De quoi amadouer mon contrôleur de gestion interne, qui s'inquiète de mes dépenses exacerbées depuis l'Iran.
A force de prendre l'avion chaque semaine en Iran, on prend de mauvaises habitudes. Ce n'est pas Greta qui me contredira.
Je tombe donc sur un prix pas cher (je ne sais plus combien) en Y à une date compatible. Et en allongeant 209 EUR sur govoyage (moins cher que le prix de LATAM sur son site web) et en changeant de date, je peux m'offrir cette fameuse J de l'oeuvre de Momolemomo.
Tout un symbole mais aussi 120 Status Credits pour ma carte QF, ce qui pour env. 200 EUR est un yield SC/EUR du tonnerre.
Ni une, ni deux, c'est réservé.
Place au routing qui ne devrait pas occuper trop de mémoire vive de votre cerveau que je vais m’employer à rendre disponible du mieux que je peux
Enchainement de vols
- 1LA705 - Affaires - Frankfurt - Madrid - Boeing 787-900
- 2LA704 - Affaires - Madrid - Frankfurt - Boeing 787-900
Au programme de ce FR : une très longue marche maoïste dans les annexes de FRA, une arrivée tardive au salon, la famine et la soif sévissent au sol, un FIDS trompeur qui m'a presque fait rater le vol, le plus GRAND fail meet-upien jamais observé sur FR.com, la source de champagne s'est tarie en vol et le fin mot de l'histoire de ces restrictions, du poulet et des hommes, enfin dernier arrivé, premier sorti.
Le prélude
J'arrive à FRA - un aéroport que je ne connais pas bien en venant en véhicule particulier.
N'étant pas très spécialement en avance, je me dirige vers le premier parking venu. Déjà bien éloigné du terminal afin de réduire les coûts de stationnement, le parking The Square est surtout destiné aux professionnels se rendant au centre d'affaire.
C'est donc le début d'une très longue marche que je n'avais pas anticipée et qui va mettre à mal ma séance de mogoyage.

Je l'ignorais, mais ce monorail aux couleurs de mon ancienne société m'aurait épargné de partir à l'aventure, la fleur au fusil.
Il me faudra prendre un escalier, longer le bâtiment ci-dessus, entrer dans un parking, passer des portes battantes, prendre un ascensceur.

Et me retrouver ici.
Le centre d'affaire est désert. Normal pour un samedi. Mais c'est plutôt inquiétant : à ce moment de la marche, je commençais à me demander si l'accès à l'aéroport était ouvert !!

Heureusement je vois une issue avec ces escalators au loin. Croisons les doigts !

Je retrouve la civilisation dans ce bâtiment qui n'est d'autre que la gare longue distance.

Encore de la marche, et je trouve le terminal 1.

Pour ne rien arranger, certains pax déploient une énergie folle à me ralentir.

Un coup d'oeil au FIDS pour rechercher à quel comptoir il faut m'enregistrer.
Il est 17h46 et le vol décolle à 19h25. Je n'aurai pas beaucoup de temps à consacrer au salon.
C'est d'ailleurs pour moi un mystère : pourquoi LATAM reste au T1 depuis que la TAM a quitté Star Alliance pour Oneworld.
Une histoire de codeshare sûrement mais cela fait maintenant 5 ans !

Il me faut rejoindre le terminal 1, hall C.
Naturellement, c'est le plus éloigné.

C'est que cela commence à user les souliers tout cela…

Nous y voici.

La compagnie sud-américaine est en vue.
Dieu merci, les opérations touchent à leur fin et il n'y a plus grand monde.

Direction le comptoir business. Après tout, j'ai payé pour ce service !

Des pax en mode Nico83et13 embarquent la moitié de leur maison et me font perdre encore deux minutes…
Mon enregistrement sera en revanche beaucoup plus rapide, malgré le fait que l'agent ne sache pas le code à deux lettres de ma carte Qantas.
On lui pardonnera, le kangourou n'est pas très visible en Europe, ni même en Amérique du Sud.

Le passage au comptoir d'enregistrement était nécessaire car en l'absence de salon oneworld au terminal 1, il était risqué de se présenter uniquement armé de son BP.

Ce sera donc le salon Air Canada. Bien connu ici et de bon niveau pour un salon outstation nord américain.
La marche reprend pour se diriger vers les portes.

Après avoir essuyé un refus de passage assez peu poli, il me faut encore parcourir une cinquantaine de mètres pour accéder au PIF.
Les files prioritaires ne sont pas respectées. Rhaaaaa ! Cela commence mal : tant de contrariétés depuis que j'ai quitté mon véhicule.

Ouh là là, l'est pas content le mogoy !

La voie s'éclaircit au sens propre comme au sens figuré.
Un cerbère s'assure de l'éligibilité à la file prioritaire.

C'est après 8 minutes d'attente que je passe le PIF. Mon passage au salon se réduit comme peau de chagrin… mais sans avoir le bénéfice que mes souhaits se réalisent. Il est 18h17 à ce moment. Soit tout au plus 20 à 30 minutes de mogoyage !

Action sur le champignon si je veux pouvoir avaler quelque chose !
Mais, il y a encore la PAF à passer puisque le vol se poursuit vers SCL…
Pas de monde en revanche et la machine PAF allemande me reconnaîtra malgré mes lunettes de soleil me couvrant une grande partie du visage, ce qui est soit impressionnant soit peu rassurant en fonction de votre humeur du jour.

Le lounge report express
Nous y voilà. L'accueil n'est guère chaleureux…

Et ce que j'y trouve respire la famine. Plus de riz, plus de ragougnasse…

Mais qui sont les morfales m'ayant précédé ?
J'aurais dû me douter que quelque chose de pas net se tramait ici.

Et cela continue. On dirait qu'une nuée de sauterelles est passée par là.
Une punition divine ?

Ils ont bien laissé des morceaux de pain…

Et des crudités. Mais cela ne nourrit pas son homme !


Le seul truc à peu près mangeable : des sandwiches en format mini.

Question liquide, c'est le même constat désolant. Il y a bien des bouteilles, mais plus de Coca zéro à la fontaine.

Il y a du hard, certes.

Mais plus de saumur !

Ah ouf, des bretzels !

Rapide coup d'oeil sur la presse en passant. RIen de sérieux à récupérer ici.

"To add insult to injury" : les tireuses à bière sont condamnées ! En Allemagne ! On doit frôler l'émeute dans le salon.

J'ai patienté quelques minutes pour voir si les employés allaient prendre la mesure de la déchéance dans laquelle ils abandonnaient leurs ouailles. Que nenni : le préposé au buffet passe et repasse plusieurs fois sans noter la bouteille vide que j'ai pris soin de bien mettre en évidence alros même que le sombre individu a remplacé d'autres flacons au même endroit.
En attendant, je prends un whisky tout en observant ce triste manège aux sièges bar situés à proximité.

Si jamais, les cloches devaient se remplir, il manquerait les fourchettes.
N'y tenant plus, j'alerte une des employés qui virevoltent sans vraiment changer la situation.

Maigre sélection pour le moment. Sans fourchette, c'est plus chic ! La dite fourchette mettra cinq pénibles minutes à rejoindre son bac.
Et il faudra que j'aille la chercher moi-même dans le bac : pas de prime pour les lanceurs d'alerte ici !

Les cloches sont remises à niveau.
Avouez qu'il n'y avait pas grand chose à attendre non plus.

Mais c'est du chaud.

Le calme revient et je prends en photo cet appareil bien rare : la compagnie n'est même pas créée dans la BDD de FR.com !

Et donc, cinq ans après la création de LATAM, on trouve encore des avions en livrée TAM.
Plus fort qu'AF !

Un 789 est prévu pour moi.

Petit tour du salon en attendant mais sans y pénétrer plus loin. Je dois rester à l'affût si jamais le saumur refaisait son apparition.

Le clou du salon, cette sculpture.

Et à gauche, ces sièges façon cantine scolaire ne rencontrent pas le succès.

Je goûte les pâtes correctes, et la purée de céleri, bien originale.

Entre temps, j'ai fini par réclamer une nouvelle bouteille de saumur.
Tout en me jurant de bien saler la note de service de ce salon que j'ai connu mieux disposé.

Finalement !

Le bretzel est en revanche inmangeable. Totalement rassis.

Et le saumur est bien trop amer en bouche.
Bref échec sur toute la ligne.

Seuls trouveront grâce à mes yeux ces petits beignets décadents. Mais on ne peut pas s'en nourrir…
Le "summer lemon cake" est léger malgré son apparence bourrative.

Parce que je suis bien élevé, je finis mon assiette.
Il est 19h00 et le FIDS indique toujours la position "gate open" et pas "boarding".
Je pars vérifier auprès de la dragonne qui pour toute réponse me lance que je dois être en porte à l'heure indiquée sur le BP !
Mais à quoi cela sert-il d'user de l'électricité pour les FIDS ! J'en toucherai un mot à Greta pour me racheter une conscience écologique…

Le flight report
Je décide donc de suivre ce faux conseil, et plie bagages… tout en pestant contre ces inventions du diable qui ne remplissent par leur office.
Quand j'arrive en porte, les agents sont sur le point de clôturer le vol et je passe in extremis.
Je ne me suis pas privé pour signaler qu'ils n'avaient pas changé le statut du vol, ni en "boarding", encore moins en "last call".
Assez énervé d'avoir failli rater mon vol, je n'attendrai même pas leur réponse et m'engage dans la passerelle…
L'instant porte. L'accueil est sympa à bord (bien la première fois depuis que je suis à FRA en cette journée) : les PNC croyant que j'en avais après elles, prennent des poses cocasses.

et je pénètre par l'arrière bon dernier, en mode tortuga mais sans l'avoir vraiment ni cherché, ni maîtrisé.
Scrogneugenu de scrogneugneu, entre la longue marche, le salon poucrave et le quasi-fail de l'embarquement, je suis de mauvais poil.
Et je ne remarque pas certaines calottes dans la cabine…
Rétrospectivement, c'était évident, mais cette fois, j'avais la tête ailleurs.

Ni d'ailleurs eux, car ma conscience aiguë du devoir m'incite à m'appliquer dans la prise du siège. Le 5A en fond de cabine J.

Le pas est très bon sur la J LATAM en LC.

Comme un malheur n'arrive jamais seul. Il me faut quémander mon verre de bienvenue en activant le bouton d'appel.
Belle réactivité, car une PNC arrive dans les trente secondes. Je demande alors du champagne et la PNC me répond qu'il n'y en a pas.
En fait il n'y en a PLUS. La faute à ces pax mystérieux et à leur soif inapaisable.
Je me rabats sur le un chardonnay (et une paille pour faire des bulles).
Le tout servi avec le sourire et en précisant bien qu'il s'agit d'un vin chilien. Mon accent a dû me trahir en porte.

Rapidement, les docs de voyage que je n'ai pas eu le temps de prendre au salon, tout affairé à avaler tout ce que je pouvais !

Le lot de vol.

Un petit rangement et l'antique télécommande à droite du siège.

Une liseuse ajustable.

Et faisons joujou pour se détendre un peu : malheureusement, les hublots sont désactivés au sol !
Madre de dios !

L'ambiance est tamisée, il aurait été difficile dans ces conditions de reconnaître qui que ce soit.
D'autant que la cabine est très calme et que je n'entends pas parler français dans les environs.

Consignes de sécurité

Et je me plonge dans ZE pour retrouver mon flegme britannique.

Dehors rien de spécial à voir : nous repoussons et les pax regagnent la main sur les hublots.

Hormis un cargo QR qui passe.

Le réseau de LATAM

Décollage à 19h36.




Re carte des destinations.


Les rêveries s'achèvent et recommencent.

Petit tour aux toilettes à l'arrière…

Pour un marathon qui prête attention à ce genre de détail.

Et un autres instantané porte.

De l'autre côté, cela me permet de prendre le bout de l'aile.

L'équipage s'active et distribue des couvertures et des oreillers aux pax frileux ou fatigués.
Ce qui est un bon point sur un vol court comme celui-ci.

J'en fais partie !

Je remarque ce changement de configuration du plafond. Certainement lié à un local de repos de l'équipage.

L'avantage d'un grand pas est un inconvénient pour la taille perçue de l'écran.

Le bruitomètre n'est pas trop mauvais pour un boeing.

Le service d'oshibori.


Et j'attends que le service commence en lisant.

Ce qui ne tarde pas à débuter.
Je contrôle tout de même que l'on ne m'ait pas menti : pas de bouteille de champagne en vue !
J'aperçois bien les hauts de crânes de quatre passagers mais qui aurait reconnu qui que ce soit ?

Nous sommes alors déjà bien engagés sur le vol.

Et il faudra un certain temps avant que l'auge à roulette n'arrive jusqu'à mon rang.

Très bon point pour cette cabine avec une tablette d'un seul tenant et très large.

D'autant qu'un mécanisme de débattement permet de s'en extraire (sauf à être en taille sumo).

Détail des commandes du siège.


Et voici l'en cas proposé. Roquette, blanc de poulet, tomate cerise.
Le tout sur un plateau sur une nappe.
Ce pourrait être bien pire !

Je poursuis sur le chardonnay chilien, qui m'allait bien.

Un service soigné mais pas très souriant de la part de ma matrone d'allée.

Et avec un jus d'orange pour étancher la soif.

L'assaisonnement vient du pays.

Le pain est servi à température.

Le sel a beau être rose, il est en sachet.
Pour ce type de vol, cela me semble justifié.

Petit chocolat pour une touche d'amertume suisse.

MIse à part la roquette qui aurait fait plaisir à Pititom, le plateau n'a pas grand relief.

Et le dessert n'est pas très léger. Et je ne la finirai pas.


Le débarrassage prendra lieu entre Bordeaux et Bayonne.

Vue sur le crépuscule naissant.

Et je commande un expresso et un cognac - servi très généreusement !

Allez santé !
Si le début de ce vol s'est bien mal emmanché, le passage des Pyrénées au dessus du Béarn vaut bien un toast.

Ou deux (mais pas de refill, je vous rassure !)
Quelle dose, comme certains PNC asiatiques, l'équipage n'a aucune culture du cognac.
La dose est bien trop importante et le récipient fort peu adapté.

Changement d'ambiance en cabine J. Il faut réveiller la cargaison.

Nous arrivons à MAD à 21h40 soit avec vingt minutes d'avance.

Et l'instant danette, pris à la dérobée et où l'on peut imaginer (avec un peu d'effort) quel FRiste occupait le siège 3B.
Car oui, il est temps de tomber les masques : j'étais sur le même vol, même cabine que 4 Fristes : Opoman, Ateon, Ksar et Marcety.
Et on ne s'est pas vu ni au salon, ni en vol. Voilà pourquoi au salon, il n'y avait plus rien à manger ! Mais plus sérieusement et de leur propre aveu, ce sont eux qui ont vidé l'unique bouteille de champagne de l'armement de ce vol avant même le décollage! HONTE à eux ! You won't get away with it !
En tout cas, moi à l'arrière, eux déjà assis : je tire deux conclusions.
La légendaire furtivité du FRiste tout concentré à noter la qualité du produit ne s'accommode guère de manifestations bruyantes propres à le démasquer… surtout s'il est en groupe. Bravo donc pour ce petit groupe qui ne s'est pas fait remarqué !
Ensuite, jouer à la danette n'est pas digne d'un FRiste car je ne les ai pas vus attendre debout le débarquement !
La dignité y a gagné ce que la convivialité y a perdu.

Le débarquement se fait par la porte 2L et c'est donc sur mes pas que les FRistes me suivront.
Il faut croire que malgré leurs grandes jambes, ils étaient bien trop alanguis par les délices chiliens car j'ai tracé directement : histoire de PAF et d'horaires bien tardifs.


Rapidement j'ai doublé tous les pax Y devant moi.

Personne pour m'arrêter.

Pas même le PAF à passer de nouveau.

Jusqu'au people mover.

Le tout s'achève à attendre la navette de l'hôtel.


Merci de m'avoir lu sur ce FR. Au retour pas de non-rencontre fortuite mais un bonus sur la raison de ce voyage.
La notation - une fois n'est pas coutume - aux couleurs d'Arlequin.
Merci Quentin pour ce FR.
Je commence par : scrogneugneu j'étais en train de terminer la conclusion du même vol , désolé mais soit j'attends une semaine et je prends encore plus de retard, soit je valide le mien.
Comme mon expérience salon est totalement différente cela fera une contre balance amusante.
Pour le reste : l'expérience LATAM est très bien, la restauration satisfaisante et les PNC c'est un peu une loterie.
A bientôt
Merci Valérie pour le com.
L'interrogatoire "musclé" d'un prisonnier du BALIK s'est révélé fort instructif !
avoue plutôt que tu es un agente de la propagande ex-Pinochetesque ayant prêté serment de défendre le produit LATAM !
Merci pour le partage Quentin (avec Valérie qui te pique la une sur le même vol ! faut le faire quand même !)
Les dieux du ciel n'étaient pas avec toi pour rencontrer les autres FRistes prévus sur le même vol, ça aussi il faut le faire :)
A bientôt !
Merci Stephan pour le com.
Une sacrée coincidence en effet que les phases chronoligiques coincident.
Des lundis studieux en tout cas pour nous deux !
C'est Valérie qui m'a alerté sur le fait que les vols Latam reportés par Opoman et Ateon étaient sur le même vol que le mien !!
Merci pour ce FR
Bravo pour cette inspiration/idée de génie venue de, venue d'où d'ailleurs ???
"C'est après 8 minutes d'attente que je passe le PIF."
Ce qui est très rapide pour FRA même en Fast Track
Passage au salon après un escadron de #JeFaisMesCoursesAuSalon ;)
"Ah ouf, des bretzels !"
Moi j'aurais dit "Beurk !"
Tout est en mode "A la recherche de "
"Le bretzel est en revanche inmangeable"
Je le savais, je le savais ;)
"Et le Saumur est bien trop amer en bouche."
Le Saumur est de la saumure
"Je ne me suis pas privé pour signaler qu'ils n'avaient pas changé le statut du vol, ni en "boarding" , encore moins en "last call"."
Il me semble qu'il n'y a que toi qui te fie aux indications des FIDS ;)
Et pourtant cela t'a déjà joué des tours !
Pas de champagne : la guigne continue !
Même siège que sur, entre autres, TK
"Et je me plonge dans ZE pour retrouver mon flegme britannique."
BoJo sors de ce corps !
"(sauf à être en taille sumo)"
ça reste possible
"Ce pourrait être bien pire ! "
Mais ça pourrait être aussi beaucoup mieux
" l'absence de champagne est plus à mettre sur le compte de 4 FRistes"
Pas d'accord il pourrait y avoir plus d'une bouteille chargée car il n'y a
pas que des FRistes pour boire du champagne
Bref je trouve que ce vol n'est pas terrible du tout du point de vue catering
Pour le salon AC tu n'as pas eu de chance car s'il n'est pas remarquable il reste
tout de même dans une bonne moyenne
A bientôt pour le retour et le bonus
Merci Gilbert pour le com.
Les FIDS et moi, c'est une grande histoire de désamour. C'est vrai. J'ai encore le souvenir cuisant d'avoir raté un vol LX parce que je n'avais pas eu l'heur de rester au salon qu'ils avaient indiqué et que j'avais fait confiance au FIDS.
Mais la pratique du mogoyage est un art de précision. Il s'accommode peu de l'à peu près.
4 coupes par refill, deux refill, je pense que l'essentiel de la bouteille y passe presque. Donc je maintien ma fatwa contre ces voleurs de champagne.
Le plus de ce vol reste le confort de la cabine vs les offres des majors européennes.
Merci pour ce FR !
Maintenant tu connais bien FRA, tu t'es parqué à Stuttgart pour être aussi éloigné ? Même le chemin de St-Jacques de Compostelle est plus court !
Les éléments se sont déchaînés sur toi et te voilà privé d'un bon moment au salon. D'ailleurs, les cloches et tous les alcools sont vides, faute à vous savez qui !
À bord, ce n'est guère mieux, le champagne a été sifflé ! Diantre ! Sinon toujours un bon vol en J avec LATAM sur cette fameuse 5ème liberté devenue très célèbre sur FR et même un must-do !
À bientôt
Merci Gaëtan pour le com.
Un vrai pélerinage effectivement surtout pour ne rien trouver à destination !
Les coupables ont été identifiés, le châtiment sera sévère !
Salut Quentin
Ce vol LATAM est maintenant largement distribué sur FR, ça reste un bon deal
J'aime bien cabine avec une boite à pieds large
Rien à redire sur le catering, les PNC n'étaient pas au top sur ce vol, dommage c'aurait été presque parfait
Rencontre fortuite lors du débarquement, mais le autres FRistes ne t'on laissé aucune chance de déguster une seule goutte de Champagne... ^^
Mis çà part l'épisode " Hôtesse Monique", on peux considéré que ce fût un bon voyage.
Merci pour ce FR, à bientôt pour le segment de retour.
Merci Hervé pour le com.
Un très bon deal d'autant qu'il paye royalement en "miles" qualifiant sur le Kangourou.
Si j'ai l'occasion, je reprendrai ce vol au printemps.
Merci pour ce FR.
lol
Un salon proprement dévalisé. Les sauterelles sont les pax t'ayant précédé !
Vision d'horreur ! ><
Cela devient une habitude !
Là c'est le bouquet !!!
Une vraie dose de cheval !
J'ai un souvenir d'une dose similaire chez BR, ou plus récemment chez SQ ! lol
Effectivement gros fail pour ce meet up tué dans l'oeuf !
A bientôt.
Merci Clément pour ton com'.
Belle misère tout le long question mangeaille et buvaille. Le retour sera plus contrasté avec des baisses et des hausses !
Pour le coup, c'est un GRAND fail. La cabine n'est pas si grande et 4 FRistes devraient être facilement reconnaissable. :D C'est dommage ce raté
LATAM est resté au T1 pour des histoires de codeshare. Lors de la fusion de TAM et LAN, la brésilienne a voulu garder ses codeshare avec Lufthansa. C'est donc LAN qui a rejoint TAM au T1 et non l'inverse. Ces codeshares existent toujours, d'où mon rebooking de LATAM sur Lufthansa et non sur Iberia en mars dernier.
Ce salon a été dévalisé avec ton arrivée et il y a eu des victimes (la bière)! Je ne l'ai jamais vu comme ça.
"Plus fort qu'AF !" --> AF reste les meilleurs. J'ai vu un 777 avec l'ancienne livrée il y a 3 semaines à GRU
J’ai l’impression que la salade a laissé place à un pauvre sandwich. Déjà que le plateau était le point faible de LATAM sur cette ligne, si maintenant c’est un sandwich…
C’est dommage pour l’équipage, c’est rare de tomber sur un moyen-mauvais.
Merci pour ce Fr!
Merci Moritz pour le com.
Je pensais que *A était la plus intransigeante en matière de codeshare avec l'ennemi. Cela dit pas d'autre choix sur l'AmSud que Latam, et ce n'est plus la défunte Avianca Brasil qui peut compléter le réseau finalement limité d'Avianca.
Cette dernière est plus idoine pour une compagnie nord américaine au niveau des routes.
Moi non plus, d'où les notes
A suivre sur le FR du retour dont ce sera le coeur !
Merci pour ce FR Quentin!
J'ai d'abord commencé par lire le FR de Valérie et j'avoue que le tien contraste fort avec le sien.
Un grand fail sur toute la ligne. J'ai eu un brin d'espoir lorsque tu as actionné le bouton et que la PNC a été réactive mais en fait non, plus de champagne.
Tu as néanmoins pu rejoindre Madrid dans une cabine agréable compte tenu de la durée du vol.
A bientôt
Merci Noëllie pour le com.
Valérie a eu plus de chance que moi effectivement.
Pas un vol désagréable mais une série de déconvenues couronnée par le constat ultérieur du fail du meet-up en vol !
Merci Quentin pour ce FR.
Cela commence par une longue marche que ne renierait pas un septuagénaire en pleine forme pour se poursuivre dans un salon où règne la famine : l'Histoire se répète inlassablement.
Un bien piètre salon avec des tenanciers de haut vol dans l'art du service.
La cabine est agréable. Elle est identique à celle déployée par KQ. Les ayatollahs du full access n'aiment pas.
Ce qui me dérange le plus dans ces B-787 c'est de devoir subir le degré d'obturation des hublots imposés par l'équipage.
Pas de champagne : contrariant.
Une prestation froide correcte à l'oeil mais qui ne laisse pas de souvenir impérissable.
A bientôt !
Merci Franck pour le com.
Espérons qu'elle ne bégaye pas trop souvent.
Avec un meilleur espacement non ? je ne saurai dire.
au contraire du vol retour mais dans le mauvais sens.
Merci Quentin pour ce FR qui me parle plus particulièrement !
Sur plusieurs photos (au salon et dans la cabine) on nous aperçoit bien. Comme tu dis, tu était trop absorbé par ton ZE...
Rôôô ! nous n'avons eu chacun qu'un fond de verre (et encore, je crois que Marcety n'en a pas eu), les refill ont été effectués au chardonnay (que comme toi j'ai apprécié).
Nous aurions d'ailleurs pu nous croiser aussi au Prado, que j'ai visité le dimanche matin !
Ceci mis à part, il est amusant de constater les différences de perception sur un même vol : nous avons eu la même PNC et elle a été adorable avec moi !
Une bien belle expérience en tout cas.
Merci Stéphane pour le com'.
Quand on ne sait pas, il est difficile de faire le rapport entre des touffes de cheveux et des connaissances !
La PNC avait certainement épuisé son sourire avant d'arriver à ma rangée, un peu comme le champagne :)
J'ai passé la matinée du dimanche pour les expos. Je n'ai pas eu vraiment le temps d'attaquer les collections permanentes, que je connais par ailleurs...
Double fail donc !
Bonjour Quentin et merci pour ce FR,
Longue Marche qui se termine au bord de l’épuisement dans ce salon navrant : peut-être une auberge espagnole vu la destination ?
En tout cas, ce n'est pas reluisant et le personnel n'en a visiblement cure. La feuille d’érable est bien fanée.
Embarquement de justesse à cause d'un FIDS félon, antinomie latine.
Cabine accueillante avec un PAS impérial dans une configuration en duo que je n'aime pas. Pour un vol court, de jour, c'est cependant excellent.
Dîner à bord un peu léger avec cette assiette froide. L'offre liquide est plus généreuse excepté les bulles qui ont ete vampirisées par la Bande des Quatre : après une bonne Longue Marche, une visite d'un camp de rééducation par le travail leur ferait le plus grand bien.
Pas très fan de ces hublots dont l'obturation peut échapper aux PAX.
Au final, un vol dans une cabine agréable avec un catering faiblard.
A bientôt pour le retour qui ne s'annonce pas meilleur dirait-on !
Merci Laurent pour le com'.
Certainement aussi désorganisée qu'une coloc erasmus.
Je juge la cabine à l'aune de son usage. Un 3F en J européenne serait trop demander.
leur manque de sens de la collectivité est une marque indélibile de leur esprit contre révolutionnaire et réactionnaire. Je compte les reporter au grand Leader.
Merci Quentin pour ton FR.
J’admire le fait de te voir prendre autant de photo (nette) alors que tu es en retard dès le parking.
J’aurais tiré la tronche pour l’absence de champagne dès le PDB, ce n’est pas normal!
Le reste est un bon vol avec le confort d’un avion long-courrier qui est bien trop rare en Europe.
A+
Merci Flavien pour le com'.
Je ne savais pas exactement ce qui m'attendait au début de la marche. Ce n'est qu'au fur et à mesure du labyrinthe que j'ai commencé à stresser un peu.